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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.34 n°5Mention de date : octobre 2021Paru le : 01/09/2021 |
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Ajouter le résultat dans votre panierIntoxications des enfants par les plantes / P. Leveau in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°5 (octobre 2021)
[article] Intoxications des enfants par les plantes [revue] / P. Leveau, Auteur . - 2021 . - p.237-243.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.237-243
Mots-clés : enfant
intoxicationRésumé : L’environnement comporte des plantes très toxiques auxquelles les enfants peuvent être exposés. Leur intoxication est rare et la plupart du temps sans conséquences mais certaines peuvent être graves et nécessite une hospitalisation. En cas de signes généraux, l’enfant doit être transporté aux urgences pour examens et surveillance clinique. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.237-243
Titre : Intoxications des enfants par les plantes Type de document : revue Auteurs : P. Leveau, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.237-243 Langues : Français Mots-clés : enfant
intoxicationRésumé : L’environnement comporte des plantes très toxiques auxquelles les enfants peuvent être exposés. Leur intoxication est rare et la plupart du temps sans conséquences mais certaines peuvent être graves et nécessite une hospitalisation. En cas de signes généraux, l’enfant doit être transporté aux urgences pour examens et surveillance clinique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035450 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Le déficit en G6PD / S. Pissard in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°5 (octobre 2021)
[article] Le déficit en G6PD [revue] / S. Pissard, Auteur ; H. Wajcman, Auteur . - 2021 . - p.244-250.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.244-250
Mots-clés : globule rouge
hémolyse
oxydation
paludismeRésumé : Le déficit en G6PD est une affection produisant une hypersensibilité au stress oxydant et qui se traduit par une hémolyse aiguë, un ictère néonatal, une anémie chronique, ou aucun symptôme tant le facteur déclenchant essentiel est le stress oxydant exogène. Dans sa forme aiguë, Il s’agit d’une anomalie extrêmement fréquente puisque touchant environ 500 millions de personnes dans le monde. Le gène codant pour la G6PD est porté par le chromosome X ce qui donne à cette pathologie des caractères de transmission et de diagnostic particuliers notamment le fait que 20 à 25 % des femmes hétérozygotes sont méconnues par les dosages enzymatiques. Mis à part les formes entraînant une activité enzymatique indosable ou proche de « 0 » ou la prise en charge est comparable à celle d’une thalassémie majeure, la prise en charge des déficits partiels [type II et III de l’OMS] repose essentiellement sur la prévention du stress oxydant chez les hommes [hémizygotes] et les femmes homozygotes et il n’est pas opportun de différencier la prise en charge des types II et types III puisque des hémolyses aiguës sévères, entraînant des anémies profondes ou des ictères nucléaires peuvent survenir dans les deux formes. La prise en charge des formes induisant une activite enzymatique indetectable ou proche de "0" (type 1 de l 'OMS) est comparable à la prise en charge des thalassémies majeures. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.244-250
Titre : Le déficit en G6PD Type de document : revue Auteurs : S. Pissard, Auteur ; H. Wajcman, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.244-250 Langues : Français Mots-clés : globule rouge
hémolyse
oxydation
paludismeRésumé : Le déficit en G6PD est une affection produisant une hypersensibilité au stress oxydant et qui se traduit par une hémolyse aiguë, un ictère néonatal, une anémie chronique, ou aucun symptôme tant le facteur déclenchant essentiel est le stress oxydant exogène. Dans sa forme aiguë, Il s’agit d’une anomalie extrêmement fréquente puisque touchant environ 500 millions de personnes dans le monde. Le gène codant pour la G6PD est porté par le chromosome X ce qui donne à cette pathologie des caractères de transmission et de diagnostic particuliers notamment le fait que 20 à 25 % des femmes hétérozygotes sont méconnues par les dosages enzymatiques. Mis à part les formes entraînant une activité enzymatique indosable ou proche de « 0 » ou la prise en charge est comparable à celle d’une thalassémie majeure, la prise en charge des déficits partiels [type II et III de l’OMS] repose essentiellement sur la prévention du stress oxydant chez les hommes [hémizygotes] et les femmes homozygotes et il n’est pas opportun de différencier la prise en charge des types II et types III puisque des hémolyses aiguës sévères, entraînant des anémies profondes ou des ictères nucléaires peuvent survenir dans les deux formes. La prise en charge des formes induisant une activite enzymatique indetectable ou proche de "0" (type 1 de l 'OMS) est comparable à la prise en charge des thalassémies majeures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035450 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Développement psychologique de l’enfant / J.M. Coq in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°5 (octobre 2021)
[article] Développement psychologique de l’enfant [revue] / J.M. Coq, Auteur ; P. Gérardin, Auteur . - 2021 . - p.251-261.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.251-261
Mots-clés : affectivité
cognition
développement psychologique
famille
langage
psychomotricitéRésumé : Le pédiatre aborde, aujourd’hui, le développement d’un enfant, non seulement par son versant somatique, mais aussi dans sa dimension psychologique, prenant ainsi en compte la globalité de son être. La psychologie du développement bénéficie de différents apports, qui ont contribué à élargir l’éventail des connaissances, que nous avons de la construction et du fonctionnement de l’appareil mental, depuis la période anténatale, jusqu’à l’adolescence. Les neurosciences, l’imagerie fonctionnelle, tout comme les sciences cognitives et la psychanalyse, contribuent chacune à apporter un éclairage sur cette construction, comme sur ses aléas et ses dysfonctionnements les plus graves. Ainsi, les connaissances issues de ces différentes disciplines donnent au pédiatre des repères, lui permettant d’appréhender la dynamique développementale des grands processus psychologiques en jeu chez son jeune patient, en distinguant les difficultés transitoires, de troubles psychopathologiques qui nécessitent, eux, une orientation vers un spécialiste. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.251-261
Titre : Développement psychologique de l’enfant Type de document : revue Auteurs : J.M. Coq, Auteur ; P. Gérardin, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.251-261 Langues : Français Mots-clés : affectivité
cognition
développement psychologique
famille
langage
psychomotricitéRésumé : Le pédiatre aborde, aujourd’hui, le développement d’un enfant, non seulement par son versant somatique, mais aussi dans sa dimension psychologique, prenant ainsi en compte la globalité de son être. La psychologie du développement bénéficie de différents apports, qui ont contribué à élargir l’éventail des connaissances, que nous avons de la construction et du fonctionnement de l’appareil mental, depuis la période anténatale, jusqu’à l’adolescence. Les neurosciences, l’imagerie fonctionnelle, tout comme les sciences cognitives et la psychanalyse, contribuent chacune à apporter un éclairage sur cette construction, comme sur ses aléas et ses dysfonctionnements les plus graves. Ainsi, les connaissances issues de ces différentes disciplines donnent au pédiatre des repères, lui permettant d’appréhender la dynamique développementale des grands processus psychologiques en jeu chez son jeune patient, en distinguant les difficultés transitoires, de troubles psychopathologiques qui nécessitent, eux, une orientation vers un spécialiste. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035450 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois : connaissances des parents et facteurs influençant leurs pratiques / M. Rochoy in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°5 (octobre 2021)
[article] Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois : connaissances des parents et facteurs influençant leurs pratiques [revue] / M. Rochoy, Auteur ; A. Mameche-Yazit, Auteur ; T. Puszkarek, Auteur . - 2021 . - p.262-270.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.262-270
Mots-clés : alimentation
nourrisson
RPC recommandation pour la pratique clinique
soins primairesRésumé : La diversification alimentaire est une étape importante au cours du développement de l’enfant. Les sociétés savantes françaises recommandent une diversification alimentaire entre 4 et 6 mois, même si un terrain atopique est connu. Les objectifs de ce travail étaient de recueillir les modalités pratiques de diversification alimentaire et les principales sources d’informations utilisées par les parents d’enfants suivis en centres de protection maternelle et infantile (PMI). Nous avons réalisé une étude transversale et analytique : un questionnaire a été élaboré d’après les recommandations de la société française de pédiatrie de 2015, et distribué aux parents d’enfants de 6 à 12 mois lors des consultations infantiles de la PMI de Wattrelos-Leers, du 1er novembre au 31 décembre 2016. Les pratiques de diversification alimentaire de soixante enfants d’un âge médian de 9,5 mois ont été analysées. Elles étaient en adéquation avec les recommandations en ce qui concerne les fruits et légumes. Les erreurs les plus fréquentes étaient : introduction tardive des œufs (84 %), introduction simultanée de plusieurs aliments (64 %), introduction tardive des protéines (54 %), introduction précoce des farines (42 %), introduction tardive des céréales et du gluten (33 %). Le retard à l’introduction était lié à l’utilisation de sources d’informations via internet et l’utilisation de produits « faits maison ». Les principales sources d’informations étaient la famille puis les médecins (93 % et 87 % des mères, respectivement) ; les sites internet et le carnet de santé étaient aussi fortement consultés. Neuf parents sur 10 ont rencontré des difficultés, essentiellement liées à des refus alimentaires (43 %) et des troubles digestifs (26 %). Des informations ciblées pourraient améliorer les pratiques de diversification alimentaires, et aider à la prévention des allergies alimentaires ; le carnet de santé devrait renvoyer vers un site internet gouvernemental régulièrement à jour. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.262-270
Titre : Diversification alimentaire chez les enfants de 6 à 12 mois : connaissances des parents et facteurs influençant leurs pratiques Type de document : revue Auteurs : M. Rochoy, Auteur ; A. Mameche-Yazit, Auteur ; T. Puszkarek, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.262-270 Langues : Français Mots-clés : alimentation
nourrisson
RPC recommandation pour la pratique clinique
soins primairesRésumé : La diversification alimentaire est une étape importante au cours du développement de l’enfant. Les sociétés savantes françaises recommandent une diversification alimentaire entre 4 et 6 mois, même si un terrain atopique est connu. Les objectifs de ce travail étaient de recueillir les modalités pratiques de diversification alimentaire et les principales sources d’informations utilisées par les parents d’enfants suivis en centres de protection maternelle et infantile (PMI). Nous avons réalisé une étude transversale et analytique : un questionnaire a été élaboré d’après les recommandations de la société française de pédiatrie de 2015, et distribué aux parents d’enfants de 6 à 12 mois lors des consultations infantiles de la PMI de Wattrelos-Leers, du 1er novembre au 31 décembre 2016. Les pratiques de diversification alimentaire de soixante enfants d’un âge médian de 9,5 mois ont été analysées. Elles étaient en adéquation avec les recommandations en ce qui concerne les fruits et légumes. Les erreurs les plus fréquentes étaient : introduction tardive des œufs (84 %), introduction simultanée de plusieurs aliments (64 %), introduction tardive des protéines (54 %), introduction précoce des farines (42 %), introduction tardive des céréales et du gluten (33 %). Le retard à l’introduction était lié à l’utilisation de sources d’informations via internet et l’utilisation de produits « faits maison ». Les principales sources d’informations étaient la famille puis les médecins (93 % et 87 % des mères, respectivement) ; les sites internet et le carnet de santé étaient aussi fortement consultés. Neuf parents sur 10 ont rencontré des difficultés, essentiellement liées à des refus alimentaires (43 %) et des troubles digestifs (26 %). Des informations ciblées pourraient améliorer les pratiques de diversification alimentaires, et aider à la prévention des allergies alimentaires ; le carnet de santé devrait renvoyer vers un site internet gouvernemental régulièrement à jour. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035450 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Quelles sont les hésitations entourant la vaccination de l’enfant en Ariège, chez les parents et les médecins généralistes ? / L. Percheron in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°5 (octobre 2021)
[article] Quelles sont les hésitations entourant la vaccination de l’enfant en Ariège, chez les parents et les médecins généralistes ? [revue] / L. Percheron, Auteur ; C. Caudal, Auteur . - 2021 . - p.271-280.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.271-280
Mots-clés : pédiatrie
vaccinationRésumé : La population française est la plus hésitante au monde concernant la sécurité vaccinale. Les hésitations peuvent être regroupées en 4 familles ; intégrité des politiques vaccinales, l’aspect réglementaire, doutes concernant l’efficacité, et la dangerosité des vaccins. Nous avons réalisé la première étude évaluant et comparant les hésitations des médecins généralistes (MG) et des patients. Notre étude concerne le département de l’Ariège. Nous avons adressé un questionnaire aux 123 MG du département, ainsi qu’à 90 parents amenant leur enfant en consultation. Au total, 48 % (n=59) des MG et 76 % (n=68) des patients ont répondu. Les hésitations étaient très fréquentes, puisque 61 % des MG et 72 % des patients en présentaient. La répartition des craintes était similaire entre ces 2 populations ; la peur la plus fréquente dans les 2 groupes portait sur l’intégrité des politiques vaccinales (p<0,05). Cela traduit des doutes importants concernant la transparence des autorités de santé. Les sujets ressentaient rarement les 4 hésitations à la fois (2 % des MG et 12 % des patients). La décision vaccinale est fragile. Ce travail illustre la nécessité de cibler précisément ce qui fait hésiter les patients. En effet, la vaccination n’étant pas refusée en bloc la plupart du temps, il semble possible de leur proposer une réponse adaptée à leur(s) propre(s) hésitation(s). Nous avons également mis en évidence une défiance importante vis-à-vis des autorités de santé, de la part des patients mais aussi des MG (montrant qu’une réponse institutionnelle à cet enjeu de santé publique est essentielle). [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°5 (octobre 2021) . - p.271-280
Titre : Quelles sont les hésitations entourant la vaccination de l’enfant en Ariège, chez les parents et les médecins généralistes ? Type de document : revue Auteurs : L. Percheron, Auteur ; C. Caudal, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.271-280 Langues : Français Mots-clés : pédiatrie
vaccinationRésumé : La population française est la plus hésitante au monde concernant la sécurité vaccinale. Les hésitations peuvent être regroupées en 4 familles ; intégrité des politiques vaccinales, l’aspect réglementaire, doutes concernant l’efficacité, et la dangerosité des vaccins. Nous avons réalisé la première étude évaluant et comparant les hésitations des médecins généralistes (MG) et des patients. Notre étude concerne le département de l’Ariège. Nous avons adressé un questionnaire aux 123 MG du département, ainsi qu’à 90 parents amenant leur enfant en consultation. Au total, 48 % (n=59) des MG et 76 % (n=68) des patients ont répondu. Les hésitations étaient très fréquentes, puisque 61 % des MG et 72 % des patients en présentaient. La répartition des craintes était similaire entre ces 2 populations ; la peur la plus fréquente dans les 2 groupes portait sur l’intégrité des politiques vaccinales (p<0,05). Cela traduit des doutes importants concernant la transparence des autorités de santé. Les sujets ressentaient rarement les 4 hésitations à la fois (2 % des MG et 12 % des patients). La décision vaccinale est fragile. Ce travail illustre la nécessité de cibler précisément ce qui fait hésiter les patients. En effet, la vaccination n’étant pas refusée en bloc la plupart du temps, il semble possible de leur proposer une réponse adaptée à leur(s) propre(s) hésitation(s). Nous avons également mis en évidence une défiance importante vis-à-vis des autorités de santé, de la part des patients mais aussi des MG (montrant qu’une réponse institutionnelle à cet enjeu de santé publique est essentielle). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035450 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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