Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.5 n°2Mention de date : mars 2019Paru le : 01/03/2019 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierFormation pratique et théorique des internes Desar : état des lieux en 2018 / Florian Robin in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Formation pratique et théorique des internes Desar : état des lieux en 2018 [revue] / Florian Robin, Auteur ; Alexandre Ouattara, Auteur ; Karine Nouette-Gaulain, Auteur . - 2019 . - p.73-82.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.73-82
Mots-clés : anesthésiste-réanimateur
enseignement
étude médicale
internatRésumé : Introduction :
Les internes d’anesthésie-réanimation (Desar) bénéficient d’une formation de cinq ans, au cours de laquelle ils reçoivent un enseignement pratique et théorique. En 2014, le rapport Couraud-Pruvot soulignait les insuffisances dans l’enseignement du 3e cycle des études médicales. Cette enquête fait un état des lieux en 2018 de la formation pratique et théorique des Desar avant la mise en place de la réforme du troisième cycle (R3C).
Matériel et méthodes :
Un audit en ligne a été réalisé du 9 janvier au 2 mars 2017 auprès de tous les Desar inscrits au 1er novembre 2016 (n=2129). Le questionnaire a été diffusé par voie électronique via les coordonnateurs de subdivision et d’interrégion du Desar. Les données sont exprimées en pourcentage ou moyenne.
Résultats :
Cinq cent vingt-deux Desar issus de 24/28 subdivisions ont complété le questionnaire. Concernant la formation théorique, des enseignements régionaux ou interrégionaux sont proposés à 92 % des Desar sous forme de cours magistraux (93 %) et d’apprentissage en ligne (19 %) ou cas cliniques (20 %). Dans le cadre des cours magistraux, 45 % des Desar ont des difficultés régulières à s’y rendre. Près d’un tiers des Desar effectuent une formation complémentaire (DU, DIU ou DESC), 39 % estimant la formation incomplète. Concernant le suivi des connaissances, 57 % des Desar bénéficient d’une évaluation au moins chaque année au début de leur cursus.
Conclusion :
Cette enquête souligne la qualité de la formation théorique des Desar. Elle montre qu’il existe des axes importants d’amélioration et des disparités entre les subdivisions.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.73-82
Titre : Formation pratique et théorique des internes Desar : état des lieux en 2018 Type de document : revue Auteurs : Florian Robin, Auteur ; Alexandre Ouattara, Auteur ; Karine Nouette-Gaulain, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.73-82 Langues : Français Mots-clés : anesthésiste-réanimateur
enseignement
étude médicale
internatRésumé : Introduction :
Les internes d’anesthésie-réanimation (Desar) bénéficient d’une formation de cinq ans, au cours de laquelle ils reçoivent un enseignement pratique et théorique. En 2014, le rapport Couraud-Pruvot soulignait les insuffisances dans l’enseignement du 3e cycle des études médicales. Cette enquête fait un état des lieux en 2018 de la formation pratique et théorique des Desar avant la mise en place de la réforme du troisième cycle (R3C).
Matériel et méthodes :
Un audit en ligne a été réalisé du 9 janvier au 2 mars 2017 auprès de tous les Desar inscrits au 1er novembre 2016 (n=2129). Le questionnaire a été diffusé par voie électronique via les coordonnateurs de subdivision et d’interrégion du Desar. Les données sont exprimées en pourcentage ou moyenne.
Résultats :
Cinq cent vingt-deux Desar issus de 24/28 subdivisions ont complété le questionnaire. Concernant la formation théorique, des enseignements régionaux ou interrégionaux sont proposés à 92 % des Desar sous forme de cours magistraux (93 %) et d’apprentissage en ligne (19 %) ou cas cliniques (20 %). Dans le cadre des cours magistraux, 45 % des Desar ont des difficultés régulières à s’y rendre. Près d’un tiers des Desar effectuent une formation complémentaire (DU, DIU ou DESC), 39 % estimant la formation incomplète. Concernant le suivi des connaissances, 57 % des Desar bénéficient d’une évaluation au moins chaque année au début de leur cursus.
Conclusion :
Cette enquête souligne la qualité de la formation théorique des Desar. Elle montre qu’il existe des axes importants d’amélioration et des disparités entre les subdivisions.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors / Marc Gentili in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors [revue] / Marc Gentili, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Kamran Samii, Auteur . - 2019 . - p.83-90.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.83-90
Mots-clés : anesthésiste-réanimateur
enquête
santé
seniorRésumé : En France, un nombre croissant d’anesthésistes-réanimateurs poursuit une activité après l’âge de la retraite. Une enquête nationale a été conduite sur les conditions d’exercice des anesthésistes-réanimateurs en fin de carrière. Un questionnaire a été adressé aux médecins anesthésistes-réanimateurs de plus de 55 ans inscrits au registre national de l’ordre des médecins. Ce questionnaire évaluait leur profil démographique, leur mode, leur condition d’exercice et leur attente concernant la formation continue. Les réponses recueillies entre septembre 2015 et mars 2016 ont été analysées. Au total, 1577 questionnaires ont été analysés, représentant 32,1 % de la population ciblée. Ils ont été répartis en deux groupes selon que les répondeurs étaient retraités avec activité professionnelle (R=331) ou non retraités (NR=1246). Le groupe R travaillait moins : 3(2–5) vs 5(4–5) jours pour le groupe NR ; le nombre de gardes était de 4(3–5) dans le groupe NR et de 3(2–5) dans le groupe R (p<0,03) et le nombre d’astreintes était de 5(37) et de 4(3–7) respectivement dans les groupes NR et R. Les raisons de poursuivre l’activité, relevaient de l’amélioration des revenus et du désir de maintenir une activité stimulante socialement et intellectuellement. L’expertise pratique du groupe R en matière de nouvelles technologies (échographie, vidéolaryngoscopes) était moindre. L’incidence des plaintes judiciaires au cours des deux dernières années était moindre dans le groupe R (9,4 % vs 3,8 % ; p=0,002). La majorité des anesthésistes-réanimateurs considéraient que leur besoin de formation continue était satisfait et une grande majorité avait une bonne opinion de leur spécialité. Après 55 ans, les anesthésistes-réanimateurs mènent une vie professionnelle active qui se prolonge au-delà de 65 ans pour certains d’entre eux. Cette augmentation de la durée de vie professionnelle doit être prise en compte aussi bien en termes de formation continue qu’en termes de conditions d’exercice. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.83-90
Titre : Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors Type de document : revue Auteurs : Marc Gentili, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Kamran Samii, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.83-90 Langues : Français Mots-clés : anesthésiste-réanimateur
enquête
santé
seniorRésumé : En France, un nombre croissant d’anesthésistes-réanimateurs poursuit une activité après l’âge de la retraite. Une enquête nationale a été conduite sur les conditions d’exercice des anesthésistes-réanimateurs en fin de carrière. Un questionnaire a été adressé aux médecins anesthésistes-réanimateurs de plus de 55 ans inscrits au registre national de l’ordre des médecins. Ce questionnaire évaluait leur profil démographique, leur mode, leur condition d’exercice et leur attente concernant la formation continue. Les réponses recueillies entre septembre 2015 et mars 2016 ont été analysées. Au total, 1577 questionnaires ont été analysés, représentant 32,1 % de la population ciblée. Ils ont été répartis en deux groupes selon que les répondeurs étaient retraités avec activité professionnelle (R=331) ou non retraités (NR=1246). Le groupe R travaillait moins : 3(2–5) vs 5(4–5) jours pour le groupe NR ; le nombre de gardes était de 4(3–5) dans le groupe NR et de 3(2–5) dans le groupe R (p<0,03) et le nombre d’astreintes était de 5(37) et de 4(3–7) respectivement dans les groupes NR et R. Les raisons de poursuivre l’activité, relevaient de l’amélioration des revenus et du désir de maintenir une activité stimulante socialement et intellectuellement. L’expertise pratique du groupe R en matière de nouvelles technologies (échographie, vidéolaryngoscopes) était moindre. L’incidence des plaintes judiciaires au cours des deux dernières années était moindre dans le groupe R (9,4 % vs 3,8 % ; p=0,002). La majorité des anesthésistes-réanimateurs considéraient que leur besoin de formation continue était satisfait et une grande majorité avait une bonne opinion de leur spécialité. Après 55 ans, les anesthésistes-réanimateurs mènent une vie professionnelle active qui se prolonge au-delà de 65 ans pour certains d’entre eux. Cette augmentation de la durée de vie professionnelle doit être prise en compte aussi bien en termes de formation continue qu’en termes de conditions d’exercice. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Hyperoxie en réanimation / Julien Demiselle in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Hyperoxie en réanimation [revue] / Julien Demiselle, Auteur ; Peter Radermacher, Auteur . - 2019 . - p.91-97.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.91-97
Mots-clés : choc septique
hyperoxie
mortalité
réanimationRésumé : L’administration libérale d’oxygène était initialement considérée comme l’un des piliers de la prise en charge des patients admis en réanimation dans un contexte d’état de choc, dans l’objectif de corriger l’inadéquation entre besoins et apports en oxygène. Depuis, cette approche est largement controversée, de nombreuses études ayant démontré un impact négatif de l’hyperoxie. En effet, la toxicité de l’hyperoxie a été prouvée dans plusieurs situations de réanimation, avec une surmortalité dans les contextes de réanimation post-arrêt cardiaque, d’accident vasculaire cérébral ischémique et de traumatisme crânien sévère. Plus récemment, une augmentation de la mortalité a été mise en évidence chez les patients en état de choc exposés à l’hyperoxie. À ce jour, en dehors d’indications particulières (intoxications au CO, embolies gazeuses, accident de décompression), l’administration d’oxygène avec une stratégie restrictive et non plus libérale (objectif prescrit de ne pas excéder une saturation pulsée en oxygène supérieure à 95 %) semble à privilégier. Cette revue a pour objectif, par une approche physiopathologique, de synthétiser les données disponibles de la littérature concernant l’effet de l’hyperoxie chez le patient de réanimation dans diverses situations, et de faire apprécier au clinicien l’impact potentiel d’une administration non raisonnée d’oxygène. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.91-97
Titre : Hyperoxie en réanimation Type de document : revue Auteurs : Julien Demiselle, Auteur ; Peter Radermacher, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.91-97 Langues : Français Mots-clés : choc septique
hyperoxie
mortalité
réanimationRésumé : L’administration libérale d’oxygène était initialement considérée comme l’un des piliers de la prise en charge des patients admis en réanimation dans un contexte d’état de choc, dans l’objectif de corriger l’inadéquation entre besoins et apports en oxygène. Depuis, cette approche est largement controversée, de nombreuses études ayant démontré un impact négatif de l’hyperoxie. En effet, la toxicité de l’hyperoxie a été prouvée dans plusieurs situations de réanimation, avec une surmortalité dans les contextes de réanimation post-arrêt cardiaque, d’accident vasculaire cérébral ischémique et de traumatisme crânien sévère. Plus récemment, une augmentation de la mortalité a été mise en évidence chez les patients en état de choc exposés à l’hyperoxie. À ce jour, en dehors d’indications particulières (intoxications au CO, embolies gazeuses, accident de décompression), l’administration d’oxygène avec une stratégie restrictive et non plus libérale (objectif prescrit de ne pas excéder une saturation pulsée en oxygène supérieure à 95 %) semble à privilégier. Cette revue a pour objectif, par une approche physiopathologique, de synthétiser les données disponibles de la littérature concernant l’effet de l’hyperoxie chez le patient de réanimation dans diverses situations, et de faire apprécier au clinicien l’impact potentiel d’une administration non raisonnée d’oxygène. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Vasoconstriction pulmonaire hypoxique : de la physiopathologie à la clinique / Sophie Ridoux in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Vasoconstriction pulmonaire hypoxique : de la physiopathologie à la clinique [revue] / Sophie Ridoux, Auteur ; Adrien Balmier, Auteur ; Clarisse Berroeta, Auteur . - 2019 . - p.98-109.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.98-109
Mots-clés : hématose
physiopathologie
vasoconstriction
ventilationRésumé : La vasoconstriction pulmonaire hypoxique (VPH) est un mécanisme réflexe unique aux poumons : la baisse de pression alvéolaire en oxygène induit une vasoconstriction locale contrairement à ce qui se passe dans les autres tissus. Cela permet une redistribution préférentielle du débit sanguin vers des zones mieux ventilées afin d’optimiser l’hématose. Cette réponse est variable, modulée par des facteurs génétiques (voie du « facteur induit par l’hypoxie », HIF), métaboliques (équilibre acido-basique), pharmacologiques, le statut martial. Les mécanismes cellulaires peuvent se résumer ainsi : la cellule musculaire lisse des artères pulmonaires résistives joue un rôle majeur, avec un senseur à l’oxygène (dans les mitochondries), inhibition de canaux K+ spécifiques de cette circulation, activation de canaux Ca2+, transduction par la [Ca2+]i et de certaines voies (rho-kinase, HIF, etc.), avec une réponse en contraction, voire en prolifération si le stimulus perdure. La contraction est biphasique, les mécanismes cellulaires étant différents. Sa réversibilité est retardée quand le stimulus est prolongé. En pratique, la VPH est bénéfique quand le trouble de ventilation est localisé, mais peut être délétère quand l’hypoxie est généralisée (par exemple hypoxie d’altitude) surtout chez les patients ayant une réponse exacerbée (à risque d’œdème pulmonaire d’altitude). Dans les situations où la VPH joue un rôle dans le maintien de l’hématose (en particulier la ventilation unipulmonaire en chirurgie thoracique), il faut la respecter. Les agents d’anesthésie récents n’ont pas d’effets aux doses habituelles. L’alcalose, l’hypothermie et certains vasodilatateurs peuvent l’inhiber. Elle joue un rôle également dans certaines situations : sepsis, cirrhose, maladies pulmonaires hypoxémiantes. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.98-109
Titre : Vasoconstriction pulmonaire hypoxique : de la physiopathologie à la clinique Type de document : revue Auteurs : Sophie Ridoux, Auteur ; Adrien Balmier, Auteur ; Clarisse Berroeta, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.98-109 Langues : Français Mots-clés : hématose
physiopathologie
vasoconstriction
ventilationRésumé : La vasoconstriction pulmonaire hypoxique (VPH) est un mécanisme réflexe unique aux poumons : la baisse de pression alvéolaire en oxygène induit une vasoconstriction locale contrairement à ce qui se passe dans les autres tissus. Cela permet une redistribution préférentielle du débit sanguin vers des zones mieux ventilées afin d’optimiser l’hématose. Cette réponse est variable, modulée par des facteurs génétiques (voie du « facteur induit par l’hypoxie », HIF), métaboliques (équilibre acido-basique), pharmacologiques, le statut martial. Les mécanismes cellulaires peuvent se résumer ainsi : la cellule musculaire lisse des artères pulmonaires résistives joue un rôle majeur, avec un senseur à l’oxygène (dans les mitochondries), inhibition de canaux K+ spécifiques de cette circulation, activation de canaux Ca2+, transduction par la [Ca2+]i et de certaines voies (rho-kinase, HIF, etc.), avec une réponse en contraction, voire en prolifération si le stimulus perdure. La contraction est biphasique, les mécanismes cellulaires étant différents. Sa réversibilité est retardée quand le stimulus est prolongé. En pratique, la VPH est bénéfique quand le trouble de ventilation est localisé, mais peut être délétère quand l’hypoxie est généralisée (par exemple hypoxie d’altitude) surtout chez les patients ayant une réponse exacerbée (à risque d’œdème pulmonaire d’altitude). Dans les situations où la VPH joue un rôle dans le maintien de l’hématose (en particulier la ventilation unipulmonaire en chirurgie thoracique), il faut la respecter. Les agents d’anesthésie récents n’ont pas d’effets aux doses habituelles. L’alcalose, l’hypothermie et certains vasodilatateurs peuvent l’inhiber. Elle joue un rôle également dans certaines situations : sepsis, cirrhose, maladies pulmonaires hypoxémiantes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Prise en charge d’une parturiente atteinte d’un déficit sévère en facteur VII (? 5 %) / Theodosia Charpidou in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Prise en charge d’une parturiente atteinte d’un déficit sévère en facteur VII (? 5 %) [revue] / Theodosia Charpidou, Auteur ; Vanessa Mika, Auteur ; Leonhard Schäffer, Auteur . - 2019 . - p.112-114.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.112-114
Mots-clés : anesthésie
cas clinique
hémorragie du post-partum
obstétrique
parturienteRésumé : Nous présentons un cas clinique d’une parturiente avec un déficit de facteur VII sévère sans symptômes cliniques. Dans ce cas, un accouchement par césarienne programmé en anesthésie générale a été effectué avec administration d’acide tranexamique (ATX) à titre prophylactique sans substitution de FVII après ligature du cordon ombilical du nouveau-né. Tout le processus s’est déroulé sans hémorragie du post-partum et sans complication. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.112-114
Titre : Prise en charge d’une parturiente atteinte d’un déficit sévère en facteur VII (? 5 %) Type de document : revue Auteurs : Theodosia Charpidou, Auteur ; Vanessa Mika, Auteur ; Leonhard Schäffer, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.112-114 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
cas clinique
hémorragie du post-partum
obstétrique
parturienteRésumé : Nous présentons un cas clinique d’une parturiente avec un déficit de facteur VII sévère sans symptômes cliniques. Dans ce cas, un accouchement par césarienne programmé en anesthésie générale a été effectué avec administration d’acide tranexamique (ATX) à titre prophylactique sans substitution de FVII après ligature du cordon ombilical du nouveau-né. Tout le processus s’est déroulé sans hémorragie du post-partum et sans complication. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Obstruction Iatrogène peropératoire d’une sonde d’intubation endotracheale. À propos d’un cas / Olivier Belin in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Obstruction Iatrogène peropératoire d’une sonde d’intubation endotracheale. À propos d’un cas [revue] / Olivier Belin, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Fabien Espitalier, Auteur . - 2019 . - p.115-117.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.115-117
Mots-clés : anesthésie
cas clinique
intubation endotrachéale
obstructionRésumé : Nous rapportons le cas d’un homme de 63 ans qui a présenté brutalement en peropératoire une obstruction totale iatrogène de la sonde d’intubation endotrachéale par un corps étranger avec pour résultat une ventilation impossible. L’évolution fut favorable après reintubation du patient. La cause de l’incident fut détectée à posteriori. Un examen minutieux a mis en évidence une occlusion complète de la lumière de la sonde d’intubation endotrachéale par un pansement plastique transparent type Opsite®. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.115-117
Titre : Obstruction Iatrogène peropératoire d’une sonde d’intubation endotracheale. À propos d’un cas Type de document : revue Auteurs : Olivier Belin, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Fabien Espitalier, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.115-117 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
cas clinique
intubation endotrachéale
obstructionRésumé : Nous rapportons le cas d’un homme de 63 ans qui a présenté brutalement en peropératoire une obstruction totale iatrogène de la sonde d’intubation endotrachéale par un corps étranger avec pour résultat une ventilation impossible. L’évolution fut favorable après reintubation du patient. La cause de l’incident fut détectée à posteriori. Un examen minutieux a mis en évidence une occlusion complète de la lumière de la sonde d’intubation endotrachéale par un pansement plastique transparent type Opsite®. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Veine cave supérieure gauche persistante : un cas clinique pour une conduite à tenir pratique / Thierry Garnaud in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Veine cave supérieure gauche persistante : un cas clinique pour une conduite à tenir pratique [revue] / Thierry Garnaud, Auteur ; Mahmoud Muheish, Auteur ; Françoise Brevet, Auteur . - 2019 . - p.118-121.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.118-121
Mots-clés : cas clinique
cathéter veineux central
échocardiographie
veine caveRésumé : Un cathéter veineux sous-clavier gauche a été mis en place chez une patiente après l’échec d’un abord veineux périphérique gauche de type Picc Line (cathéter central à insertion périphérique). La radiographie du thorax de contrôle a mis en évidence un trajet anormal paramédian gauche du cathéter veineux central (CVC). L’anesthésiste n’avait pas pris connaissance au préalable du dossier du patient, dans lequel se trouvait un compte rendu tomodensitométrique montrant la persistance d’une veine cave supérieure gauche (VCSG) ainsi qu’un échec d’un accès veineux central sous-clavier droit et l’existence de lésions vasculaires post-traumatiques sous-clavières gauches. La décision du maintien du CVC a été prise après une revue bibliographique et un test de contraste aux bulles par échocardiographie, révélant un drainage de la VCSG dans les cavités droites du cœur. Ce type d’anomalie congénitale est la forme la plus fréquente et le plus souvent associée à une veine cave supérieure droite. Dans 10 % des cas, la VCSG se draine dans l’oreillette gauche et le cathéter doit être retiré en raison du risque élevé d’embolie systémique. Devant un trajet aberrant d’un CVC, il faut savoir le laisser en place, s’assurer qu’il soit en position vasculaire et qu’il ne puisse pas générer un risque embolique. L’analyse de l’anatomie veineuse thoracique devrait être un préalable à tout accès veineux central cave supérieur. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.118-121
Titre : Veine cave supérieure gauche persistante : un cas clinique pour une conduite à tenir pratique Type de document : revue Auteurs : Thierry Garnaud, Auteur ; Mahmoud Muheish, Auteur ; Françoise Brevet, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.118-121 Langues : Français Mots-clés : cas clinique
cathéter veineux central
échocardiographie
veine caveRésumé : Un cathéter veineux sous-clavier gauche a été mis en place chez une patiente après l’échec d’un abord veineux périphérique gauche de type Picc Line (cathéter central à insertion périphérique). La radiographie du thorax de contrôle a mis en évidence un trajet anormal paramédian gauche du cathéter veineux central (CVC). L’anesthésiste n’avait pas pris connaissance au préalable du dossier du patient, dans lequel se trouvait un compte rendu tomodensitométrique montrant la persistance d’une veine cave supérieure gauche (VCSG) ainsi qu’un échec d’un accès veineux central sous-clavier droit et l’existence de lésions vasculaires post-traumatiques sous-clavières gauches. La décision du maintien du CVC a été prise après une revue bibliographique et un test de contraste aux bulles par échocardiographie, révélant un drainage de la VCSG dans les cavités droites du cœur. Ce type d’anomalie congénitale est la forme la plus fréquente et le plus souvent associée à une veine cave supérieure droite. Dans 10 % des cas, la VCSG se draine dans l’oreillette gauche et le cathéter doit être retiré en raison du risque élevé d’embolie systémique. Devant un trajet aberrant d’un CVC, il faut savoir le laisser en place, s’assurer qu’il soit en position vasculaire et qu’il ne puisse pas générer un risque embolique. L’analyse de l’anatomie veineuse thoracique devrait être un préalable à tout accès veineux central cave supérieur. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Recommandation sur l’anesthésie du sujet âgé : l’exemple de fracture de l’extrémité supérieure du fémur / Frédéric Aubrun in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°2 (mars 2019)
[article] Recommandation sur l’anesthésie du sujet âgé : l’exemple de fracture de l’extrémité supérieure du fémur [revue] / Frédéric Aubrun, Auteur ; Christophe Baillard, Auteur ; Jean-Baptiste Beuscart, Auteur . - 2019 . - p.133-138.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.133-138
Mots-clés : anesthésie
fracture du fémur
gestion des risques
recommandation
sujet âgéRésumé : Le vieillissement de la population est associée à une augmentation d’actes chirurgicaux et donc du nombre d’anesthésie générales et locorégionales. À ce titre, la fracture du col fémoral concerne plus de 75 000 patients par an et constitue donc un enjeu de santé publique du fait d’une morbi-mortalité non négligeable. Les experts issus de quatre sociétés savantes, la SFAR, la SOFCOT, la SFGG et la SFPC ont rédigé 26 recommandations concernant la prise en charge périopératoire du patient âgé en s’intéressant plus particulièrement à la fracture de l’extrémité supérieure du fémur. Une première partie concernait l’évaluation en préopératoire du risque cardiovasculaire, des fonctions cognitives et de la fonction rénale. Les auteurs ont recommandé une prise en charge pluridisciplinaire et une gestion préopératoire rationnelle des traitements afin de réduire le risque de confusion. Le délai d’intervention des FESF a été fixé à 48h et les modalités de monitorage précisées (monitorage hémodynamique, de la pression artérielle de l’oxygénation et de la température). Une technique d’anesthésie n’a pas été privilégiée pour la chirurgie de la FESF mais une titration des agents anesthésiques a été recommandée. Les experts ont également recommandé la mise en place d’un programme de prévention non médicamenteuse de la confusion postopératoire ainsi qu’une stratégie de gestion des épisodes confusionnels postopératoires tels que l’usage d’une benzodiazépine à demi-vie courte ou d’un neuroleptique de dernière génération. Le bloc fémoral ou iliofascial ont été probablement recommandés en postopératoire à la différence des infiltrations, peu contributives dans ce type de chirurgie. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°2 (mars 2019) . - p.133-138
Titre : Recommandation sur l’anesthésie du sujet âgé : l’exemple de fracture de l’extrémité supérieure du fémur Type de document : revue Auteurs : Frédéric Aubrun, Auteur ; Christophe Baillard, Auteur ; Jean-Baptiste Beuscart, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.133-138 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
fracture du fémur
gestion des risques
recommandation
sujet âgéRésumé : Le vieillissement de la population est associée à une augmentation d’actes chirurgicaux et donc du nombre d’anesthésie générales et locorégionales. À ce titre, la fracture du col fémoral concerne plus de 75 000 patients par an et constitue donc un enjeu de santé publique du fait d’une morbi-mortalité non négligeable. Les experts issus de quatre sociétés savantes, la SFAR, la SOFCOT, la SFGG et la SFPC ont rédigé 26 recommandations concernant la prise en charge périopératoire du patient âgé en s’intéressant plus particulièrement à la fracture de l’extrémité supérieure du fémur. Une première partie concernait l’évaluation en préopératoire du risque cardiovasculaire, des fonctions cognitives et de la fonction rénale. Les auteurs ont recommandé une prise en charge pluridisciplinaire et une gestion préopératoire rationnelle des traitements afin de réduire le risque de confusion. Le délai d’intervention des FESF a été fixé à 48h et les modalités de monitorage précisées (monitorage hémodynamique, de la pression artérielle de l’oxygénation et de la température). Une technique d’anesthésie n’a pas été privilégiée pour la chirurgie de la FESF mais une titration des agents anesthésiques a été recommandée. Les experts ont également recommandé la mise en place d’un programme de prévention non médicamenteuse de la confusion postopératoire ainsi qu’une stratégie de gestion des épisodes confusionnels postopératoires tels que l’usage d’une benzodiazépine à demi-vie courte ou d’un neuroleptique de dernière génération. Le bloc fémoral ou iliofascial ont été probablement recommandés en postopératoire à la différence des infiltrations, peu contributives dans ce type de chirurgie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032543 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00032543 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact