[article] Attirer et fidéliser médicaux et paramédicaux. S’inspirer des start-up ? [revue] / Robin Gonalons, Auteur ; Antoine Loron, Auteur . - 2020 . - p.217-221. Langues : Français in Gestions hospitalières > n°595 (avril 2020) . - p.217-221 Mots-clés : | attractivité fidélisation management recrutement
| Résumé : | La plupart des établissements sanitaires et médico-sociaux sont confrontés à des difficultés de recrutement des personnels de santé, du radiologue à l’anesthésiste en passant par l’infirmier de bloc opératoire ou le masseur-kinésithérapeute. Les start-up rencontrent elles aussi des difficultés dans l’attraction et la rétention de talents rares, du développeur au commercial, issus des meilleurs parcours académiques ou ayant démontré des compétences techniques, en particulier dans le développement de logiciels. Certes, ce sont des organisations sensiblement différentes des établissements de santé, pour autant, l’efficacité de certaines de leurs pratiques RH ainsi que les problématiques qu’elles rencontrent, similaires à celles des établissements de santé dans le recrutement de compétences rares, rend cette analyse opportune. Par ailleurs, nombre de start-up ont atteint une taille comparable à celle de certains établissements sanitaires ou médico-sociaux. Or, elles ont conservé les pratiques RH de leurs origines, les ont améliorées et continuent à jouir d’un faible turn-over. Les auteurs sont convaincus qu’une partie de ces pratiques RH est transposable aux établissements de santé, dans le respect des spécificités du secteur. |
[article] in Gestions hospitalières > n°595 (avril 2020) . - p.217-221 Titre : | Attirer et fidéliser médicaux et paramédicaux. S’inspirer des start-up ? | Type de document : | revue | Auteurs : | Robin Gonalons, Auteur ; Antoine Loron, Auteur | Année de publication : | 2020 | Article en page(s) : | p.217-221 | Langues : | Français | Mots-clés : | attractivité fidélisation management recrutement
| Résumé : | La plupart des établissements sanitaires et médico-sociaux sont confrontés à des difficultés de recrutement des personnels de santé, du radiologue à l’anesthésiste en passant par l’infirmier de bloc opératoire ou le masseur-kinésithérapeute. Les start-up rencontrent elles aussi des difficultés dans l’attraction et la rétention de talents rares, du développeur au commercial, issus des meilleurs parcours académiques ou ayant démontré des compétences techniques, en particulier dans le développement de logiciels. Certes, ce sont des organisations sensiblement différentes des établissements de santé, pour autant, l’efficacité de certaines de leurs pratiques RH ainsi que les problématiques qu’elles rencontrent, similaires à celles des établissements de santé dans le recrutement de compétences rares, rend cette analyse opportune. Par ailleurs, nombre de start-up ont atteint une taille comparable à celle de certains établissements sanitaires ou médico-sociaux. Or, elles ont conservé les pratiques RH de leurs origines, les ont améliorées et continuent à jouir d’un faible turn-over. Les auteurs sont convaincus qu’une partie de ces pratiques RH est transposable aux établissements de santé, dans le respect des spécificités du secteur. |
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