[article] Le « Semestre Rebond » après la réorientation obligatoire en première année commune des études de santé (PACES) en France. Quels apports et quels devenirs pour les étudiants ? [revue] / Cathy Perret, Auteur ; Fabienne Vienney, Auteur ; Muriel Henry, Auteur . - 2018 . - p.3-13. Langues : Français in pédagogie médicale > vol.19 n°1 (janvier 2018) . - p.3-13 Mots-clés : | échec évaluation PACES première année commune aux études de santé pédagogie université
| Résumé : | Contexte et problématique : L’échec en premier cycle universitaire s’est constitué en question politique et scientifique, avec une situation encore plus marquée pour les études de santé. Pourtant, peu de recherches encore sont consacrées à ces situations et aux dispositifs d’aide proposés. Objectifs : Cette recherche vise à caractériser les profils des étudiants en situation d’échec, leurs stratégies de réorientation au nombre desquelles l’accès à un dispositif d’accompagnement proposé à l’université de Bourgogne, le semestre Rebond. Elle met en évidence les apports de ce dispositif perçus par les étudiants et ses effets sur les parcours de formation ultérieurs. Méthodes : L’étude mobilise les données d’une enquête réalisée auprès des étudiants et les données administratives de l’établissement, auxquelles sont appliqués des traitements statistiques et des modélisations économétriques (régressions logistiques) permettant de dégager les facteurs explicatifs en appréciant de manière simultanée le poids respectif de chacun de ces facteurs, toutes choses égales par ailleurs. Résultats : Les résultats montrent la variété des choix des étudiants à l’issue de l’échec, choisissant ou non d’intégrer le dispositif de soutien proposé, ces choix étant marqués par le poids de l’environnement social et le passé scolaire des étudiants. Conclusion : Si des effets positifs du dispositif sont identifiés, ce sont pourtant les étudiants ayant le parcours scolaire le plus favorable qui, bien qu’utilisant moins fréquemment le dispositif d’aide, sont plus fréquemment encore inscrits à l’université deux ans après leur échec, relativement aux étudiants s’étant engagés dans le dispositif d’aide. |
[article] in pédagogie médicale > vol.19 n°1 (janvier 2018) . - p.3-13 Titre : | Le « Semestre Rebond » après la réorientation obligatoire en première année commune des études de santé (PACES) en France. Quels apports et quels devenirs pour les étudiants ? | Type de document : | revue | Auteurs : | Cathy Perret, Auteur ; Fabienne Vienney, Auteur ; Muriel Henry, Auteur | Année de publication : | 2018 | Article en page(s) : | p.3-13 | Langues : | Français | Mots-clés : | échec évaluation PACES première année commune aux études de santé pédagogie université
| Résumé : | Contexte et problématique : L’échec en premier cycle universitaire s’est constitué en question politique et scientifique, avec une situation encore plus marquée pour les études de santé. Pourtant, peu de recherches encore sont consacrées à ces situations et aux dispositifs d’aide proposés. Objectifs : Cette recherche vise à caractériser les profils des étudiants en situation d’échec, leurs stratégies de réorientation au nombre desquelles l’accès à un dispositif d’accompagnement proposé à l’université de Bourgogne, le semestre Rebond. Elle met en évidence les apports de ce dispositif perçus par les étudiants et ses effets sur les parcours de formation ultérieurs. Méthodes : L’étude mobilise les données d’une enquête réalisée auprès des étudiants et les données administratives de l’établissement, auxquelles sont appliqués des traitements statistiques et des modélisations économétriques (régressions logistiques) permettant de dégager les facteurs explicatifs en appréciant de manière simultanée le poids respectif de chacun de ces facteurs, toutes choses égales par ailleurs. Résultats : Les résultats montrent la variété des choix des étudiants à l’issue de l’échec, choisissant ou non d’intégrer le dispositif de soutien proposé, ces choix étant marqués par le poids de l’environnement social et le passé scolaire des étudiants. Conclusion : Si des effets positifs du dispositif sont identifiés, ce sont pourtant les étudiants ayant le parcours scolaire le plus favorable qui, bien qu’utilisant moins fréquemment le dispositif d’aide, sont plus fréquemment encore inscrits à l’université deux ans après leur échec, relativement aux étudiants s’étant engagés dans le dispositif d’aide. |
|