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Auteur Serge Wunsch
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Les attentes sexuelles des femmes face aux attentes de leur partenaire / Philippe Brenot in Sexologies, vol.25 n°1 (janvier mars 2016)
[article] Les attentes sexuelles des femmes face aux attentes de leur partenaire [revue] / Philippe Brenot, Auteur ; Serge Wunsch, Auteur . - 2016 . - p.31-34.
Langues : Français
in Sexologies > vol.25 n°1 (janvier mars 2016) . - p.31-34
Mots-clés : attente
besoin
désir
fantasme
femme
partenaire
sexe[article]
in Sexologies > vol.25 n°1 (janvier mars 2016) . - p.31-34
Titre : Les attentes sexuelles des femmes face aux attentes de leur partenaire Type de document : revue Auteurs : Philippe Brenot, Auteur ; Serge Wunsch, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.31-34 Langues : Français Mots-clés : attente
besoin
désir
fantasme
femme
partenaire
sexeExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00027901 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le développement des activités autoérotiques. Une analyse transdisciplinaire et transculturelle / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
[article] Le développement des activités autoérotiques. Une analyse transdisciplinaire et transculturelle [revue] / Serge Wunsch, Auteur . - 2017 . - p.24-35.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°1 (janvier mars 2017) . - p.24-35
Mots-clés : autoérotisme
jeu
masturbation
orgasme
sexualitéRésumé : L’objectif de cet article est de préciser les facteurs et les caractéristiques du développement des activités autoérotiques, quel que soit le contexte culturel. Pour réaliser cette modélisation, les données neurobiologiques, ethologiques, ethnologiques et cliniques disponibles ont été comparées et synthétisées. On observe qu’apparemment le développement autoérotique dépend principalement des apprentissages provoqués par les stimulations des zones érogènes primaires. Mais ce développement est fortement influencé par les normes culturelles, qui peuvent être éducatives, permissives, restrictives ou répressives. En fonction du contexte culturel, le développement autoérotique peut débuter dès la première année après la naissance, ou être retardé, voire supprimé. En l’absence d’études détaillées tant en neurobiologie du développement que sur des échantillons représentatifs des différents contextes culturels, il est difficile de décrire précisément les phases et les époques du développement de l’autoérotisme. En simplifiant, le développement autoérotique le plus spontané correspondrait à celui décrit dans les contextes permissifs. On observe dans ces contextes que la plupart des garçons commencent à jouer avec leurs organes génitaux vers 6 ou 7 mois, les filles commencent à 10 ou 11 mois. En général, la masturbation – c’est-à-dire une activité intentionnelle et technique (en particulier des mouvements rythmiques…) de recherche du plaisir sexuel – n’est pas observée avant la deuxième ou la troisième année après la naissance. Le plus souvent elle commence à se développer entre le 15e et le 19e mois. Durant la masturbation, les signes de l’excitation incluent des poussées rythmiques du bassin, des sons, des rougeurs au visage et une respiration rapide. Les études déclaratives suggèrent l’existence de sensations érotiques et de type orgastique dès les premières années de la vie. Les activités autoérotiques coexistent avec les activités sexuelles avec des partenaires, mais ces dernières sont généralement préférées. Au fur et à mesure du développement et de l’accumulation des expériences autoérotiques et sexuelles, les activités autoérotiques deviennent plus cognitives et dépendent davantage de l’imagerie érotique. Elles peuvent également être associées à des émotions positives ou aversives, comme la culpabilité, ce qui peut induire des troubles. Fait notable en Occident, en raison des restrictions culturelles à la sexualité entre enfants, les activités autoérotiques apparaissent comme le principal moyen initial du développement sexuel.
Mots clés : , Masturbation, Jeu génital, Orgasme, Sexualité infantile[article]
in Sexologies > vol.26 n°1 (janvier mars 2017) . - p.24-35
Titre : Le développement des activités autoérotiques. Une analyse transdisciplinaire et transculturelle Type de document : revue Auteurs : Serge Wunsch, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.24-35 Langues : Français Mots-clés : autoérotisme
jeu
masturbation
orgasme
sexualitéRésumé : L’objectif de cet article est de préciser les facteurs et les caractéristiques du développement des activités autoérotiques, quel que soit le contexte culturel. Pour réaliser cette modélisation, les données neurobiologiques, ethologiques, ethnologiques et cliniques disponibles ont été comparées et synthétisées. On observe qu’apparemment le développement autoérotique dépend principalement des apprentissages provoqués par les stimulations des zones érogènes primaires. Mais ce développement est fortement influencé par les normes culturelles, qui peuvent être éducatives, permissives, restrictives ou répressives. En fonction du contexte culturel, le développement autoérotique peut débuter dès la première année après la naissance, ou être retardé, voire supprimé. En l’absence d’études détaillées tant en neurobiologie du développement que sur des échantillons représentatifs des différents contextes culturels, il est difficile de décrire précisément les phases et les époques du développement de l’autoérotisme. En simplifiant, le développement autoérotique le plus spontané correspondrait à celui décrit dans les contextes permissifs. On observe dans ces contextes que la plupart des garçons commencent à jouer avec leurs organes génitaux vers 6 ou 7 mois, les filles commencent à 10 ou 11 mois. En général, la masturbation – c’est-à-dire une activité intentionnelle et technique (en particulier des mouvements rythmiques…) de recherche du plaisir sexuel – n’est pas observée avant la deuxième ou la troisième année après la naissance. Le plus souvent elle commence à se développer entre le 15e et le 19e mois. Durant la masturbation, les signes de l’excitation incluent des poussées rythmiques du bassin, des sons, des rougeurs au visage et une respiration rapide. Les études déclaratives suggèrent l’existence de sensations érotiques et de type orgastique dès les premières années de la vie. Les activités autoérotiques coexistent avec les activités sexuelles avec des partenaires, mais ces dernières sont généralement préférées. Au fur et à mesure du développement et de l’accumulation des expériences autoérotiques et sexuelles, les activités autoérotiques deviennent plus cognitives et dépendent davantage de l’imagerie érotique. Elles peuvent également être associées à des émotions positives ou aversives, comme la culpabilité, ce qui peut induire des troubles. Fait notable en Occident, en raison des restrictions culturelles à la sexualité entre enfants, les activités autoérotiques apparaissent comme le principal moyen initial du développement sexuel.
Mots clés : , Masturbation, Jeu génital, Orgasme, Sexualité infantileExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030294 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’éducation à la sexualité. Perspectives des données neuroscientifiques / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
[article] L’éducation à la sexualité. Perspectives des données neuroscientifiques [revue] / Serge Wunsch, Auteur . - 2017 . - p.54-63.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°1 (janvier mars 2017) . - p.54-63
Mots-clés : apprentissage
éducation
éducation sexuelle
éthique
neurosciences
socialisationRésumé : L’éducation à la sexualité est un sujet généralement peu abordé dans les institutions et les établissements scolaires. Quand elle est abordée, elle concerne surtout la prévention des risques (IST, grossesses non désirées, abus sexuels…). Mais cet apport d’informations limitées est-il suffisant ? Quel devrait être le contenu de cette éducation ? L’objectif de cet article est de présenter les implications éducatives probables des dernières connaissances en neurosciences de la sexualité. Pour réaliser ce bilan, les compétences nécessaires pour vivre la sexualité, tant au niveau individuel que social, ont été évaluées et comparées avec les capacités et compétences qui préexistent dans l’organisme. Chez les mammifères, les études récentes ont montré que le but du comportement de reproduction, grâce à des structures élémentaires préorganisées, est la copulation hétérosexuelle. Mais chez l’être humain, la majorité de ces facteurs sont altérés ou modifiés (altération des circuits olfactifs qui détectent les phéromones, lordose non fonctionnelle, dissociation des activités sexuelles des cycles hormonaux…). Pour ces raisons, il apparaît que l’essentiel de la sexualité humaine est acquis : les associations avec des émotions et des affects positifs et/ou aversifs ; et tous les apprentissages des différentes activités érotiques, des automatismes moteurs, de la socialisation sexuelle, de toutes les connaissances concernant la sexualité, ainsi que l’assimilation des normes et des valeurs sexuelles. De plus, les données cliniques suggèrent que les défauts ou les problèmes d’apprentissages, en particulier dans le cas d’association avec des émotions aversives (dégoût, peur, honte…), seraient la cause d’une partie significative des troubles de la sexualité. Dans les sociétés sexuellement éducatives, il existe différentes pratiques socioculturelles qui permettent d’acquérir au cours du développement les différentes connaissances et compétences nécessaire à la vie sexuelle adulte. Il faudrait évaluer, de manière transdisciplinaire et transculturelle, les différentes pratiques éducatives afin de fonder l’éducation à la sexualité sur les données les plus objectives possible. En conclusion, l’éducation à la sexualité – scientifique, globale et intégrée de manière cohérente aux autres apprentissages – apparaît, tant sur les aspects comportementaux, affectifs que cognitifs, indispensable à la santé sexuelle et à une vie sexuelle et sociale adaptée, consciente et responsable. [article]
in Sexologies > vol.26 n°1 (janvier mars 2017) . - p.54-63
Titre : L’éducation à la sexualité. Perspectives des données neuroscientifiques Type de document : revue Auteurs : Serge Wunsch, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.54-63 Langues : Français Mots-clés : apprentissage
éducation
éducation sexuelle
éthique
neurosciences
socialisationRésumé : L’éducation à la sexualité est un sujet généralement peu abordé dans les institutions et les établissements scolaires. Quand elle est abordée, elle concerne surtout la prévention des risques (IST, grossesses non désirées, abus sexuels…). Mais cet apport d’informations limitées est-il suffisant ? Quel devrait être le contenu de cette éducation ? L’objectif de cet article est de présenter les implications éducatives probables des dernières connaissances en neurosciences de la sexualité. Pour réaliser ce bilan, les compétences nécessaires pour vivre la sexualité, tant au niveau individuel que social, ont été évaluées et comparées avec les capacités et compétences qui préexistent dans l’organisme. Chez les mammifères, les études récentes ont montré que le but du comportement de reproduction, grâce à des structures élémentaires préorganisées, est la copulation hétérosexuelle. Mais chez l’être humain, la majorité de ces facteurs sont altérés ou modifiés (altération des circuits olfactifs qui détectent les phéromones, lordose non fonctionnelle, dissociation des activités sexuelles des cycles hormonaux…). Pour ces raisons, il apparaît que l’essentiel de la sexualité humaine est acquis : les associations avec des émotions et des affects positifs et/ou aversifs ; et tous les apprentissages des différentes activités érotiques, des automatismes moteurs, de la socialisation sexuelle, de toutes les connaissances concernant la sexualité, ainsi que l’assimilation des normes et des valeurs sexuelles. De plus, les données cliniques suggèrent que les défauts ou les problèmes d’apprentissages, en particulier dans le cas d’association avec des émotions aversives (dégoût, peur, honte…), seraient la cause d’une partie significative des troubles de la sexualité. Dans les sociétés sexuellement éducatives, il existe différentes pratiques socioculturelles qui permettent d’acquérir au cours du développement les différentes connaissances et compétences nécessaire à la vie sexuelle adulte. Il faudrait évaluer, de manière transdisciplinaire et transculturelle, les différentes pratiques éducatives afin de fonder l’éducation à la sexualité sur les données les plus objectives possible. En conclusion, l’éducation à la sexualité – scientifique, globale et intégrée de manière cohérente aux autres apprentissages – apparaît, tant sur les aspects comportementaux, affectifs que cognitifs, indispensable à la santé sexuelle et à une vie sexuelle et sociale adaptée, consciente et responsable. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030294 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Erotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (1ère partie) / Serge Wunsch in Sexualités humaines, n°28 (janvier mars 2016)
[article] Erotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (1ère partie) [revue] / Serge Wunsch, Auteur . - 2016 . - P.12-24.
Langues : Français
in Sexualités humaines > n°28 (janvier mars 2016) . - P.12-24
Mots-clés : érotisme
mammifère
neurosciences
sexualité[article]
in Sexualités humaines > n°28 (janvier mars 2016) . - P.12-24
Titre : Erotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (1ère partie) Type de document : revue Auteurs : Serge Wunsch, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : P.12-24 Langues : Français Mots-clés : érotisme
mammifère
neurosciences
sexualitéExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00026104 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Érotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (2ème partie) / Serge Wunsch in Sexualités humaines, n°29 (avril juin 2016)
[article] Érotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (2ème partie) [revue] / Serge Wunsch, Auteur . - 2016 . - p.6-21.
Langues : Français
in Sexualités humaines > n°29 (avril juin 2016) . - p.6-21
Mots-clés : érotisme
mammifère
neurosciences
reproduction[article]
in Sexualités humaines > n°29 (avril juin 2016) . - p.6-21
Titre : Érotisme, sexocorporel et neurosciences chez les mammifères (2ème partie) Type de document : revue Auteurs : Serge Wunsch, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.6-21 Langues : Français Mots-clés : érotisme
mammifère
neurosciences
reproductionExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00028083 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Étiologie des troubles sexuels. Perspectives cliniques des données neuroscientifiques / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
PermalinkL’influence de la cognition sur la sexualité / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
PermalinkL’orgasme masculin est-il complexe ? Étude exploratoire des discours sur l’orgasme de 923 hommes en couple / B. Gouvernet in Sexologies, vol.28 n°2 (avril juin 2019)
PermalinkOrientation sexuelle ou préférences sexuelles ? / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
PermalinkPhylogenèse de la sexualité des mammifères. Analyse de l’évolution des facteurs proximaux / Serge Wunsch in Sexologies, vol.26 n°1 (janvier mars 2017)
PermalinkPrincipaux facteurs, contextes et variations du développement sexuel humain. Une synthèse transculturelle et transdisciplinaire. 1re partie : données ethnologiques / Serge Wunsch in Sexologies, vol.25 n°2 (avril juin 2016)
PermalinkPrincipaux facteurs, contextes et variations du développement sexuel humain. Une synthèse transculturelle et transdisciplinaire. 2e partie : modélisation / Serge Wunsch in Sexologies, vol.25 n°4 (novembre 2016)
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