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Ajouter le résultat dans votre panierLe temps du soin comme soin du temps / P. Blanc in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Le temps du soin comme soin du temps [revue] / P. Blanc, Auteur . - 2023 . - p.218-224.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.218-224
Mots-clés : endurance
narration
reconnaissance
soin
temporalitéRésumé : Tout acte de soin, quelles que soient sa nature et sa durée, intervient au moment où une personne, frappée par l’accident, la maladie, le handicap ou l’approche de la mort fait l’expérience d’une rupture de la continuité du rapport à lui-même, du rapport aux autres et au monde. C’est pourquoi la prise en considération par le soignant de cette déstabilisation temporelle dont le patient fait l’épreuve douloureuse, paraît essentielle pour engager toute démarche thérapeutique. Le problème fondamental est alors celui qui concerne les conditions de la rencontre entre patient et soignant dont l’appréhension de la maladie ne se situe pas d’emblée dans le même cadre, tant sur le plan de la représentation de la pathologie que de la relation thérapeutique conçue au premier abord, comme un rapport évident entre un pouvoir d’un côté et une impuissance de l’autre. Nous verrons que ces difficultés peuvent être surmontées par un recours aux approches phénoménologiques et narratives aptes à engendrer un processus de reconnaissance croisée de l’expérience respective de l’endurance du patient et de celle du soignant, constitutive d’une possible temporalité partagée, susceptible de favoriser le recouvrement par le patient de la dynamique du temps affectée par la maladie. Nous évoquerons pour finir la maladie d’Alzheimer qui semble réduire à néant la possibilité même de cette rencontre et de cette démarche et nous essaierons de comprendre malgré tout, en quel sens un « soin du temps » comme prise en considération éthiquement nécessaire de la personne, reste encore concrètement possible. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.218-224
Titre : Le temps du soin comme soin du temps Type de document : revue Auteurs : P. Blanc, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.218-224 Langues : Français Mots-clés : endurance
narration
reconnaissance
soin
temporalitéRésumé : Tout acte de soin, quelles que soient sa nature et sa durée, intervient au moment où une personne, frappée par l’accident, la maladie, le handicap ou l’approche de la mort fait l’expérience d’une rupture de la continuité du rapport à lui-même, du rapport aux autres et au monde. C’est pourquoi la prise en considération par le soignant de cette déstabilisation temporelle dont le patient fait l’épreuve douloureuse, paraît essentielle pour engager toute démarche thérapeutique. Le problème fondamental est alors celui qui concerne les conditions de la rencontre entre patient et soignant dont l’appréhension de la maladie ne se situe pas d’emblée dans le même cadre, tant sur le plan de la représentation de la pathologie que de la relation thérapeutique conçue au premier abord, comme un rapport évident entre un pouvoir d’un côté et une impuissance de l’autre. Nous verrons que ces difficultés peuvent être surmontées par un recours aux approches phénoménologiques et narratives aptes à engendrer un processus de reconnaissance croisée de l’expérience respective de l’endurance du patient et de celle du soignant, constitutive d’une possible temporalité partagée, susceptible de favoriser le recouvrement par le patient de la dynamique du temps affectée par la maladie. Nous évoquerons pour finir la maladie d’Alzheimer qui semble réduire à néant la possibilité même de cette rencontre et de cette démarche et nous essaierons de comprendre malgré tout, en quel sens un « soin du temps » comme prise en considération éthiquement nécessaire de la personne, reste encore concrètement possible. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Clinique des patients électrohypersensibles : un parcours de la reconnaissance ? / R. Pougnet in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Clinique des patients électrohypersensibles : un parcours de la reconnaissance ? [revue] / R. Pougnet, Auteur ; L. Pougnet, Auteur . - 2023 . - p.225-233.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.225-233
Mots-clés : alliance thérapeutique
connaissance
électrohypersensibilté
reconnaissanceRésumé : Dans nos sociétés marquées par le développement de nouvelles technologies, certaines personnes se plaignent d’électrohypersensibilité (l’EHS), à savoir de l’apparition symptômes, plus ou moins variés, lors d’exposition aux ondes et champs électromagnétiques de faible intensité. Les autorités sanitaires, comme l’ANSES, publient régulièrement des rapports sur les effets de ces expositions. Actuellement, l’EHS n’est pas reconnue comme une maladie, mais comme une intolérance environnementale idiopathique. Au-delà des controverses scientifiques, une question clinique, tant pour le médecin que pour la personne se déclarant EHS, est de pouvoir tisser un lien de confiance et une pris en charge respectueuse l’un de l’autre. Dans cet article, les auteurs explorent la question de la reconnaissance : qui reconnaît quoi ? Quels rapports entre reconnaissance et connaissances dans un contexte d’incertitudes physiopathologiques ? Quelle reconnaissance mutuelle entre médecin et patient dans un contexte de polémiques sociétales ? [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.225-233
Titre : Clinique des patients électrohypersensibles : un parcours de la reconnaissance ? Type de document : revue Auteurs : R. Pougnet, Auteur ; L. Pougnet, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.225-233 Langues : Français Mots-clés : alliance thérapeutique
connaissance
électrohypersensibilté
reconnaissanceRésumé : Dans nos sociétés marquées par le développement de nouvelles technologies, certaines personnes se plaignent d’électrohypersensibilité (l’EHS), à savoir de l’apparition symptômes, plus ou moins variés, lors d’exposition aux ondes et champs électromagnétiques de faible intensité. Les autorités sanitaires, comme l’ANSES, publient régulièrement des rapports sur les effets de ces expositions. Actuellement, l’EHS n’est pas reconnue comme une maladie, mais comme une intolérance environnementale idiopathique. Au-delà des controverses scientifiques, une question clinique, tant pour le médecin que pour la personne se déclarant EHS, est de pouvoir tisser un lien de confiance et une pris en charge respectueuse l’un de l’autre. Dans cet article, les auteurs explorent la question de la reconnaissance : qui reconnaît quoi ? Quels rapports entre reconnaissance et connaissances dans un contexte d’incertitudes physiopathologiques ? Quelle reconnaissance mutuelle entre médecin et patient dans un contexte de polémiques sociétales ? Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Respect de l’autonomie du patient, clé de voûte de la prise en charge en douleur chronique : intégration dans le débat sur la fin de vie / M. D'USSEL in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Respect de l’autonomie du patient, clé de voûte de la prise en charge en douleur chronique : intégration dans le débat sur la fin de vie [revue] / M. D'USSEL, Auteur ; B Lombart, Auteur ; Anne Masselin-Dubois, Auteur . - 2023 . - p.234-238.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.234-238
Mots-clés : accompagnement
autonomie
douleur chronique
soins palliatifsRésumé : Peut-on librement décider de sa mort ? La question est au cœur du débat actuel sur la fin de vie qui pourrait aboutir à une nouvelle loi. L’autonomie décisionnelle du patient est reconnue partout dans le monde comme une valeur. L’idée d’autonomie a été la clé de voûte des changements accomplis dans l’histoire contemporaine du droit de la santé. Il s’agit du respect pour chacun de disposer soi-même de sa santé et de choisir les options qui correspondent à ses souhaits, ses valeurs ou ses projets de vie. La douleur est toujours une expérience personnelle qui est influencée à des degrés divers par des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. C’est particulièrement prégnant lorsque la douleur devient chronique, i.e. persistant au-delà de ce qui est habituel pour la cause initiale présumée (le plus souvent au-delà de 3 mois), et induisant une détérioration significative et progressive des capacités fonctionnelles et relationnelles. Comme pour toute maladie chronique, le patient souffrant de douleurs chroniques doit retrouver une nouvelle autonomie. Les structures pluriprofessionnelles vont, en transformant le patient en auto-soignant, guider et accompagner la personne dans cette démarche en utilisant également leur autonomie comme moyen thérapeutique. Nous proposons ici de questionner les enjeux de l’un des principaux principes éthiques : le respect de l’autonomie, sa place en médecine de la douleur et son rôle dans les réflexions autour de la fin de vie et de l’aide active à mourir. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.234-238
Titre : Respect de l’autonomie du patient, clé de voûte de la prise en charge en douleur chronique : intégration dans le débat sur la fin de vie Type de document : revue Auteurs : M. D'USSEL, Auteur ; B Lombart, Auteur ; Anne Masselin-Dubois, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.234-238 Langues : Français Mots-clés : accompagnement
autonomie
douleur chronique
soins palliatifsRésumé : Peut-on librement décider de sa mort ? La question est au cœur du débat actuel sur la fin de vie qui pourrait aboutir à une nouvelle loi. L’autonomie décisionnelle du patient est reconnue partout dans le monde comme une valeur. L’idée d’autonomie a été la clé de voûte des changements accomplis dans l’histoire contemporaine du droit de la santé. Il s’agit du respect pour chacun de disposer soi-même de sa santé et de choisir les options qui correspondent à ses souhaits, ses valeurs ou ses projets de vie. La douleur est toujours une expérience personnelle qui est influencée à des degrés divers par des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux. C’est particulièrement prégnant lorsque la douleur devient chronique, i.e. persistant au-delà de ce qui est habituel pour la cause initiale présumée (le plus souvent au-delà de 3 mois), et induisant une détérioration significative et progressive des capacités fonctionnelles et relationnelles. Comme pour toute maladie chronique, le patient souffrant de douleurs chroniques doit retrouver une nouvelle autonomie. Les structures pluriprofessionnelles vont, en transformant le patient en auto-soignant, guider et accompagner la personne dans cette démarche en utilisant également leur autonomie comme moyen thérapeutique. Nous proposons ici de questionner les enjeux de l’un des principaux principes éthiques : le respect de l’autonomie, sa place en médecine de la douleur et son rôle dans les réflexions autour de la fin de vie et de l’aide active à mourir. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Un rapport suspect à la rédemption ? / E. Decazes in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Un rapport suspect à la rédemption ? [revue] / E. Decazes, Auteur ; B. Quentin, Auteur . - 2023 . - p.239-245.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.239-245
Mots-clés : philosophie
sédation
soins palliatifs
souffranceRésumé : Alors que depuis 2016, la loi Leonetti Claeys donne le droit d’éviter toute souffrance en fin de vie, certaines personnes préfèrent s’abstenir d’une sédation et affronter des souffrances qui nous paraissent insupportables. Comment prendre au sérieux une telle position sans pour autant avoir un rapport suspect à la rédemption ? Cette question nous conduira à faire appel à la philosophie et la théologie. Nous aurons comme boussole l’énigmatique expression de Ricoeur « Je souffre donc je suis » qui nous conduira à questionner le lien entre la souffrance et la vie. Après un éclaircissement sur la théologie de la rétribution et ses limites, nous verrons que, bien que la souffrance puisse éloigner de la vie, les traitements médicamenteux qui la diminuent peuvent aussi diminuer le sentiment d’être vivant. La souffrance pourrait aussi, dans une certaine mesure, apporter à la vie : bien que force terrassante, elle pourrait aussi être force motrice et de transformation. Ainsi, malgré la souffrance (ou à travers elle), si l’accompagnement humain est une réalité, l’épreuve de la fin de vie pourrait, parfois, aller jusqu’à offrir l’opportunité d’une sorte d’accomplissement. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.239-245
Titre : Un rapport suspect à la rédemption ? Type de document : revue Auteurs : E. Decazes, Auteur ; B. Quentin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.239-245 Langues : Français Mots-clés : philosophie
sédation
soins palliatifs
souffranceRésumé : Alors que depuis 2016, la loi Leonetti Claeys donne le droit d’éviter toute souffrance en fin de vie, certaines personnes préfèrent s’abstenir d’une sédation et affronter des souffrances qui nous paraissent insupportables. Comment prendre au sérieux une telle position sans pour autant avoir un rapport suspect à la rédemption ? Cette question nous conduira à faire appel à la philosophie et la théologie. Nous aurons comme boussole l’énigmatique expression de Ricoeur « Je souffre donc je suis » qui nous conduira à questionner le lien entre la souffrance et la vie. Après un éclaircissement sur la théologie de la rétribution et ses limites, nous verrons que, bien que la souffrance puisse éloigner de la vie, les traitements médicamenteux qui la diminuent peuvent aussi diminuer le sentiment d’être vivant. La souffrance pourrait aussi, dans une certaine mesure, apporter à la vie : bien que force terrassante, elle pourrait aussi être force motrice et de transformation. Ainsi, malgré la souffrance (ou à travers elle), si l’accompagnement humain est une réalité, l’épreuve de la fin de vie pourrait, parfois, aller jusqu’à offrir l’opportunité d’une sorte d’accomplissement. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Éthique de la relation et du don : l’accueil des remerciements dans la construction du rôle professionnel du soignant en soins palliatifs / L. Marcucci in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Éthique de la relation et du don : l’accueil des remerciements dans la construction du rôle professionnel du soignant en soins palliatifs [revue] / L. Marcucci, Auteur ; V. Laudrin, Auteur ; V. Morel, Auteur . - 2023 . - p.246-250.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.246-250
Mots-clés : contre don
don d'organes et de tissus
éthique
soignant
soins palliatifsRésumé : À partir d’une situation vécue en unité de soins palliatifs par un étudiant infirmier s’interrogeant sur son positionnement professionnel face aux remerciements des proches d’un patient accompagné jusqu’à sa mort, l’article expose les résultats d’une discussion menée dans l’unité selon une démarche d’éthique appliquée. L’authenticité de la rencontre éthique et la dynamique du don et du contre-don, au cœur des valeurs du soin, sont apparues comme structurantes et porteuses de sens pour le groupe. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.246-250
Titre : Éthique de la relation et du don : l’accueil des remerciements dans la construction du rôle professionnel du soignant en soins palliatifs Type de document : revue Auteurs : L. Marcucci, Auteur ; V. Laudrin, Auteur ; V. Morel, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.246-250 Langues : Français Mots-clés : contre don
don d'organes et de tissus
éthique
soignant
soins palliatifsRésumé : À partir d’une situation vécue en unité de soins palliatifs par un étudiant infirmier s’interrogeant sur son positionnement professionnel face aux remerciements des proches d’un patient accompagné jusqu’à sa mort, l’article expose les résultats d’une discussion menée dans l’unité selon une démarche d’éthique appliquée. L’authenticité de la rencontre éthique et la dynamique du don et du contre-don, au cœur des valeurs du soin, sont apparues comme structurantes et porteuses de sens pour le groupe. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Annonce diagnostique aux urgences : perception des patients / W. Abdelghaffar in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Annonce diagnostique aux urgences : perception des patients [revue] / W. Abdelghaffar, Auteur ; K. Anane, Auteur ; W. Bahria, Auteur . - 2023 . - p.251-259.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.251-259
Mots-clés : annonce diagnostic
relation soignant soigné
urgenceRésumé : Aux urgences, le médecin et le patient se rencontrent pour la première fois sans relation préalable. Le médecin doit répondre au droit du patient à avoir une information de qualité. En Tunisie, peu d’études se sont intéressées à la relation soignant-soigné. L’objectif de notre étude était d’évaluer la qualité de l’annonce diagnostique aux urgences du point de vue des patients
Une étude descriptive, transversale a été menée au service des urgences de l’hôpital Mongi Slim, La Marsa. L’enquête s’est déroulée auprès d’un échantillon pris au hasard de patients. Les données ont été recueillies du mois de décembre 2020 jusqu’au mois de mars 2021 à l’aide d’un questionnaire élaboré par les auteurs, basé sur la littérature et un pré-test.
Pour cette étude, 121 participants ont été choisis au hasard. Le taux de satisfaction de la communication était de 42,1 % et celui de la prise en charge était de 44,6 %. Ces deux variables étaient statistiquement liées (p<0,001). La satisfaction de la communication était associée à l’empathie perçue du médecin, au fait que le médecin se présente, à la durée de l’annonce suffisante, au discours facile, au délai d’attente court, à la disponibilité du matériel, ainsi qu’au fait d’avoir bénéficié d’examens complémentaires et soins.
La satisfaction des patients de la prise en charge était liée à la satisfaction de la communication. Cela invite les soignants à une prise de conscience de l’importance de la communication dans la relation soignant-soigné. Par ailleurs, la formation médicale devrait promouvoir l’apprentissage des compétences en communication.[article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.251-259
Titre : Annonce diagnostique aux urgences : perception des patients Type de document : revue Auteurs : W. Abdelghaffar, Auteur ; K. Anane, Auteur ; W. Bahria, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.251-259 Langues : Français Mots-clés : annonce diagnostic
relation soignant soigné
urgenceRésumé : Aux urgences, le médecin et le patient se rencontrent pour la première fois sans relation préalable. Le médecin doit répondre au droit du patient à avoir une information de qualité. En Tunisie, peu d’études se sont intéressées à la relation soignant-soigné. L’objectif de notre étude était d’évaluer la qualité de l’annonce diagnostique aux urgences du point de vue des patients
Une étude descriptive, transversale a été menée au service des urgences de l’hôpital Mongi Slim, La Marsa. L’enquête s’est déroulée auprès d’un échantillon pris au hasard de patients. Les données ont été recueillies du mois de décembre 2020 jusqu’au mois de mars 2021 à l’aide d’un questionnaire élaboré par les auteurs, basé sur la littérature et un pré-test.
Pour cette étude, 121 participants ont été choisis au hasard. Le taux de satisfaction de la communication était de 42,1 % et celui de la prise en charge était de 44,6 %. Ces deux variables étaient statistiquement liées (p<0,001). La satisfaction de la communication était associée à l’empathie perçue du médecin, au fait que le médecin se présente, à la durée de l’annonce suffisante, au discours facile, au délai d’attente court, à la disponibilité du matériel, ainsi qu’au fait d’avoir bénéficié d’examens complémentaires et soins.
La satisfaction des patients de la prise en charge était liée à la satisfaction de la communication. Cela invite les soignants à une prise de conscience de l’importance de la communication dans la relation soignant-soigné. Par ailleurs, la formation médicale devrait promouvoir l’apprentissage des compétences en communication.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Consultations d’éthique clinique : quels apports pour la pratique des soins primaires ? / A. Labrunie in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Consultations d’éthique clinique : quels apports pour la pratique des soins primaires ? [revue] / A. Labrunie, Auteur ; L. Wittke, Auteur ; G. Durand, Auteur . - 2023 . - p.260-266.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.260-266
Mots-clés : éthique
éthique clinique
interprofessionnalité
médecine générale
soins primairesRésumé : Dans certains hôpitaux français, des personnes soignantes et non soignantes, membres de consultations d’éthiques cliniques, rencontrent des patients, des proches et des professionnels de santé confrontés à des dilemmes éthiques. Par leurs regards citoyens et l’utilisation des principes communs de l’éthique, ils apportent une réponse singulière éclairant ces situations difficiles. Les soignants de premiers recours pourraient-ils bénéficier de dispositifs similaires ? L’objectif de cette étude est d’explorer les apports d’une consultation d’éthique clinique en soins primaires.
Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été réalisée entre mai et juin 2022 auprès de professionnels de santé d’une maison de santé pluriprofessionnelle du Loiret.
Treize professionnels de huit professions différentes ont été entendus. Ils expriment des difficultés lors de tensions entre le respect de l’autonomie et la bienfaisance, particulièrement si l’évaluation de l’autonomie est difficile, comme dans les troubles psychiatriques. Le travail en équipe coordonnée au sein de leur structure est un atout pour gérer ces situations, notamment par le partage de valeurs communes et l’inclusion des usagers. Ils sont favorables au développement d’une consultation d’éthique clinique de proximité s’intégrant à leur pratique actuelle qui permet le développement d’un langage commun.
Les professionnels de soins primaires sont confrontés à des dilemmes éthiques non identifiés et pouvant les mettre en difficulté. Les consultations d’éthique clinique constituent un outil citoyen d’ouverture et de réflexion pour mieux appréhender ces situations. L’émergence d’une activité collective coordonnée sur les territoires renforce le développement d’une culture d’éthique clinique en soins primaires.[article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.260-266
Titre : Consultations d’éthique clinique : quels apports pour la pratique des soins primaires ? Type de document : revue Auteurs : A. Labrunie, Auteur ; L. Wittke, Auteur ; G. Durand, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.260-266 Langues : Français Mots-clés : éthique
éthique clinique
interprofessionnalité
médecine générale
soins primairesRésumé : Dans certains hôpitaux français, des personnes soignantes et non soignantes, membres de consultations d’éthiques cliniques, rencontrent des patients, des proches et des professionnels de santé confrontés à des dilemmes éthiques. Par leurs regards citoyens et l’utilisation des principes communs de l’éthique, ils apportent une réponse singulière éclairant ces situations difficiles. Les soignants de premiers recours pourraient-ils bénéficier de dispositifs similaires ? L’objectif de cette étude est d’explorer les apports d’une consultation d’éthique clinique en soins primaires.
Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été réalisée entre mai et juin 2022 auprès de professionnels de santé d’une maison de santé pluriprofessionnelle du Loiret.
Treize professionnels de huit professions différentes ont été entendus. Ils expriment des difficultés lors de tensions entre le respect de l’autonomie et la bienfaisance, particulièrement si l’évaluation de l’autonomie est difficile, comme dans les troubles psychiatriques. Le travail en équipe coordonnée au sein de leur structure est un atout pour gérer ces situations, notamment par le partage de valeurs communes et l’inclusion des usagers. Ils sont favorables au développement d’une consultation d’éthique clinique de proximité s’intégrant à leur pratique actuelle qui permet le développement d’un langage commun.
Les professionnels de soins primaires sont confrontés à des dilemmes éthiques non identifiés et pouvant les mettre en difficulté. Les consultations d’éthique clinique constituent un outil citoyen d’ouverture et de réflexion pour mieux appréhender ces situations. L’émergence d’une activité collective coordonnée sur les territoires renforce le développement d’une culture d’éthique clinique en soins primaires.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Prise de décision dans le centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal : le changement est permis / S. Missonnier in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Prise de décision dans le centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal : le changement est permis [revue] / S. Missonnier, Auteur ; S. Moutier, Auteur ; M. Gargiulo, Auteur . - 2023 . - p.267-277.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.267-277
Mots-clés : décision
diagnostic prénatalRésumé : La réalisation d’un diagnostic prénatal et par conséquent une possible interruption médicale de grossesse pour motif fœtal est réglementairement soumise à une décision collégiale, lié au Centre pluridisciplinaires de diagnostic prénatal, sous la forme de réunion pluridisciplinaire (RCP). Pour certaines maladies génétiques, l’incertitude quant à l’expression clinique individuelle ne permet pas de prendre une décision binaire d’emblée, acceptation ou refus de la demande. L’équipe de la Pitié a mis en place un staff dédié aux maladies génétiques depuis 2023 au sein du CPDPN de l’est parisien de Trousseau.
(1) Déterminer quelle était la fonction du staff pour les professionnels qui participent ; (2) Évaluer l’évolution des positionnements individuels et collectifs avant et après un staff ; (3) Détailler les mécanismes psychologiques impliqués qui sous-tendent la prise de décision collégiale finale.
L’étude comporte trois temps distincts. T1. Nous avons accueilli au sein du staff composé d’environ 30 soignants deux chercheurs en psychologie comme des observateurs durant une période d’un an. T2. Nous avons évalué par le biais d’un questionnaire la fonction du staff selon les participants et nous l’avons analysé selon les catégories professionnelles. T3. À partir d’une situation clinique, présentée par l’une des généticiennes, nous avons demandé aux participants de se positionner favorablement ou défavorablement par rapport à une demande de diagnostic prénatal en cours de grossesse pour un couple à risque de transmettre le syndrome de l’X fragile et le syndrome FXTAS. Leur positionnement a été évalué a priori (avant les discussions au sein du staff) et a posteriori (à la suite des discussions pluridisciplinaires au sein du staff).
(1) La phase d’observation des chercheurs a permis d’identifier 2 facteurs facilitateurs à la prise de décision : bienveillance didactique et animation productive. Un facteur de résistance à la prise de décision : le degré d’incertitude clinique ; (2) Un élément de communication essentiel a été identifié : nommer explicitement le questionnement spécifique avant de présenter le cas ; (3) La fonction du staff de diagnostic prénatal selon les participants est de favoriser la pluridisciplinarité (83 %), la collégialité (60 %), la réflexivité et complexification (46 %), la transmission des connaissances participant à la formation (46 %), le dégagement de la solitude dans le groupe (46 %), l’aide et la guidance (33 %), le partage et la mise à distance (16 %), l’approfondissement des cas (3 %) et le bénéfice pour les familles (26 %) ; (4) Après la discussion de la situation clinique, 18/30 modifient leur opinion après le staff (59 %).
Le staff de diagnostic prénatal est un lieu qui ne se résume pas à la juxtaposition ou coordination d’avis et de connaissances techniques. L’avis favorable ou défavorable pour un diagnostic prénatal ou pour accéder à une interruption médicale de grossesse implique une décision relevant tout autant de compétitions de jugements psychologiques et moraux que de compétitions de connaissances strictement médicales. Cette étude révèle que l’intérêt du staff est de faciliter la prise de conscience des conflits émotionnels de ses membres en vue de faciliter une prise de décision réflexive et consciente ainsi que de s’ajuster au mieux aux incertitudes médicales liées aux maladies génétiques. Le staff (en miroir de ce qui se passe en consultation pour les professionnels) confronte à des opinions différentes des siennes et illustrent que le changement d’opinion est permis.[article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.267-277
Titre : Prise de décision dans le centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal : le changement est permis Type de document : revue Auteurs : S. Missonnier, Auteur ; S. Moutier, Auteur ; M. Gargiulo, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.267-277 Langues : Français Mots-clés : décision
diagnostic prénatalRésumé : La réalisation d’un diagnostic prénatal et par conséquent une possible interruption médicale de grossesse pour motif fœtal est réglementairement soumise à une décision collégiale, lié au Centre pluridisciplinaires de diagnostic prénatal, sous la forme de réunion pluridisciplinaire (RCP). Pour certaines maladies génétiques, l’incertitude quant à l’expression clinique individuelle ne permet pas de prendre une décision binaire d’emblée, acceptation ou refus de la demande. L’équipe de la Pitié a mis en place un staff dédié aux maladies génétiques depuis 2023 au sein du CPDPN de l’est parisien de Trousseau.
(1) Déterminer quelle était la fonction du staff pour les professionnels qui participent ; (2) Évaluer l’évolution des positionnements individuels et collectifs avant et après un staff ; (3) Détailler les mécanismes psychologiques impliqués qui sous-tendent la prise de décision collégiale finale.
L’étude comporte trois temps distincts. T1. Nous avons accueilli au sein du staff composé d’environ 30 soignants deux chercheurs en psychologie comme des observateurs durant une période d’un an. T2. Nous avons évalué par le biais d’un questionnaire la fonction du staff selon les participants et nous l’avons analysé selon les catégories professionnelles. T3. À partir d’une situation clinique, présentée par l’une des généticiennes, nous avons demandé aux participants de se positionner favorablement ou défavorablement par rapport à une demande de diagnostic prénatal en cours de grossesse pour un couple à risque de transmettre le syndrome de l’X fragile et le syndrome FXTAS. Leur positionnement a été évalué a priori (avant les discussions au sein du staff) et a posteriori (à la suite des discussions pluridisciplinaires au sein du staff).
(1) La phase d’observation des chercheurs a permis d’identifier 2 facteurs facilitateurs à la prise de décision : bienveillance didactique et animation productive. Un facteur de résistance à la prise de décision : le degré d’incertitude clinique ; (2) Un élément de communication essentiel a été identifié : nommer explicitement le questionnement spécifique avant de présenter le cas ; (3) La fonction du staff de diagnostic prénatal selon les participants est de favoriser la pluridisciplinarité (83 %), la collégialité (60 %), la réflexivité et complexification (46 %), la transmission des connaissances participant à la formation (46 %), le dégagement de la solitude dans le groupe (46 %), l’aide et la guidance (33 %), le partage et la mise à distance (16 %), l’approfondissement des cas (3 %) et le bénéfice pour les familles (26 %) ; (4) Après la discussion de la situation clinique, 18/30 modifient leur opinion après le staff (59 %).
Le staff de diagnostic prénatal est un lieu qui ne se résume pas à la juxtaposition ou coordination d’avis et de connaissances techniques. L’avis favorable ou défavorable pour un diagnostic prénatal ou pour accéder à une interruption médicale de grossesse implique une décision relevant tout autant de compétitions de jugements psychologiques et moraux que de compétitions de connaissances strictement médicales. Cette étude révèle que l’intérêt du staff est de faciliter la prise de conscience des conflits émotionnels de ses membres en vue de faciliter une prise de décision réflexive et consciente ainsi que de s’ajuster au mieux aux incertitudes médicales liées aux maladies génétiques. Le staff (en miroir de ce qui se passe en consultation pour les professionnels) confronte à des opinions différentes des siennes et illustrent que le changement d’opinion est permis.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Embryons humains génétiquement modifiés : entre progrès scientifique et dilemmes éthiques / A. Ouzaid in Ethique et santé, vol.20 n°4 (décembre 2023)
[article] Embryons humains génétiquement modifiés : entre progrès scientifique et dilemmes éthiques [revue] / A. Ouzaid, Auteur ; V.G. Oancea, Auteur ; C. Ravel, Auteur . - 2023 . - p.278-284.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.278-284
Mots-clés : embryon
éthique
génétique
génome
humainRésumé : Les premiers êtres humains dont le génome a été modifié sont nés en Chine en 2018. Le développement vertigineux des outils de manipulation génétique nous amène à nous questionner sur les risques potentiels pour ces enfants. Si les conséquences à long terme sont encore inconnues, on sait déjà que leur génome germinal génétiquement modifié sera transmis de façon irréversible à leur descendance. Le but de cet article est de comprendre et analyser les enjeux éthiques de la modification du génome humain. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°4 (décembre 2023) . - p.278-284
Titre : Embryons humains génétiquement modifiés : entre progrès scientifique et dilemmes éthiques Type de document : revue Auteurs : A. Ouzaid, Auteur ; V.G. Oancea, Auteur ; C. Ravel, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.278-284 Langues : Français Mots-clés : embryon
éthique
génétique
génome
humainRésumé : Les premiers êtres humains dont le génome a été modifié sont nés en Chine en 2018. Le développement vertigineux des outils de manipulation génétique nous amène à nous questionner sur les risques potentiels pour ces enfants. Si les conséquences à long terme sont encore inconnues, on sait déjà que leur génome germinal génétiquement modifié sera transmis de façon irréversible à leur descendance. Le but de cet article est de comprendre et analyser les enjeux éthiques de la modification du génome humain. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036466 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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