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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.35 n°5Mention de date : octobre 2022Paru le : 01/09/2022 |
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Ajouter le résultat dans votre panierProduits de protection solaire / J.C. Beani in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°5 (octobre 2022)
[article] Produits de protection solaire [revue] / J.C. Beani, Auteur . - 2022 . - P.213-233.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.213-233
Résumé : Les produits de protection solaire (PPS) composés de filtres chimiques et/ou de filtres minéraux occupent aujourd’hui une place importante en photoprotection. Ils ont été à l’origine de larges polémiques, dont certaines ne sont pas éteintes, sur leur efficacité réelle en prévention primaire des cancers cutanés (CC), ainsi que sur leurs risques sanitaire et écologique potentiels. Les filtres chimiques agissent en absorbant le rayonnement lumineux ; on distingue les filtres UVB purs et les filtres larges dont le spectre d’absorption s’étend à l’UVA. Les filtres minéraux diffractent ou réfléchissent le rayonnement ; les deux principaux sont le dioxyde de titane (TiO2 ) et l’oxyde de zinc (ZnO) ; pour des contingences cosmétiques la taille de leurs particules a été réduite aux nanoparticules. Un PPS doit répondre à des qualités de rémanence, de substantivité et de photostabilité. Deux types de méthodes sont proposés pour l’évaluation des coefficients de protection (CP) des PPS : des méthodes in vivo sur volontaires sains, et des méthodes in vitro utilisant des substrats variés et basés sur la spectrométrie. Le sun protective factor (SPF) in vivo est le CP UVB universellement admis ; pour le CP UVA, la méthode in vivo de la persistent pigment darkening (PPD), bien que non consensuelle, reste à ce jour la plus utilisée en Europe. La mesure de la longueur d’onde critique (Lc) a un intérêt majeur pour définir l’étendue de la protection dans les UVA longs les plus délétères. Les filtres chimiques sont connus pour être à l’origine de réactions locales ; un risque particulier pour l’octocrylène a été évoqué ces dernières années. Récemment, le débat s’est surtout centré sur le risque de perturbations endocriniennes (effet mimant l’estradiol après administration orale à très forte dose chez le rat) pouvant être induites par certains (mais pas les autres !) filtres chimiques, essentiellement le 4-méthylbenzylidène camphre et les benzophénones. Le risque humain paraît peu pertinent dans des conditions normales d’usage de PPS ; le risque environnemental de certains filtres, s’il était avéré, relèverait probablement de leur présence dans bien d’autres produits que les PPS. Les filtres minéraux, souvent prônés chez l’enfant, soulèvent la question du risque des nanoparticules. En tout état, dans le cadre du « Plan d’action national sur la fertilité » et d’une évaluation du risque des nanoparticules, l’Afssaps/ANSM a donné les recommandations adéquates concernant l’incorporation de ces filtres, chimiques et minéraux, dans les produits cosmétiques et le bon usage des PPS. Enfin, les données actuelles ne laissent pas à penser que les PPS puissent avoir un effet délétère en inhibant les effets bénéfiques du soleil, en particulier la synthèse de vitamine D. Les PPS ont démontré, sous couvert d’une utilisation correcte, une efficacité protectrice contre la plupart des effets délétères du soleil à condition d’être conçus en respectant le cahier des charges parfaitement identifié dans les recommandations européennes de 2006. En particulier, les études épidémiologiques démontrent leur efficacité dans la prévention primaire de tous les CC qu’il s’agisse des expositions environnementales ou intentionnelles, et des PPS de protection moyenne suffisent pour cela. Les risques plus que spéculatifs ne doivent certainement pas conduire à dissuader de les utiliser. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.213-233
Titre : Produits de protection solaire Type de document : revue Auteurs : J.C. Beani, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.213-233 Langues : Français Résumé : Les produits de protection solaire (PPS) composés de filtres chimiques et/ou de filtres minéraux occupent aujourd’hui une place importante en photoprotection. Ils ont été à l’origine de larges polémiques, dont certaines ne sont pas éteintes, sur leur efficacité réelle en prévention primaire des cancers cutanés (CC), ainsi que sur leurs risques sanitaire et écologique potentiels. Les filtres chimiques agissent en absorbant le rayonnement lumineux ; on distingue les filtres UVB purs et les filtres larges dont le spectre d’absorption s’étend à l’UVA. Les filtres minéraux diffractent ou réfléchissent le rayonnement ; les deux principaux sont le dioxyde de titane (TiO2 ) et l’oxyde de zinc (ZnO) ; pour des contingences cosmétiques la taille de leurs particules a été réduite aux nanoparticules. Un PPS doit répondre à des qualités de rémanence, de substantivité et de photostabilité. Deux types de méthodes sont proposés pour l’évaluation des coefficients de protection (CP) des PPS : des méthodes in vivo sur volontaires sains, et des méthodes in vitro utilisant des substrats variés et basés sur la spectrométrie. Le sun protective factor (SPF) in vivo est le CP UVB universellement admis ; pour le CP UVA, la méthode in vivo de la persistent pigment darkening (PPD), bien que non consensuelle, reste à ce jour la plus utilisée en Europe. La mesure de la longueur d’onde critique (Lc) a un intérêt majeur pour définir l’étendue de la protection dans les UVA longs les plus délétères. Les filtres chimiques sont connus pour être à l’origine de réactions locales ; un risque particulier pour l’octocrylène a été évoqué ces dernières années. Récemment, le débat s’est surtout centré sur le risque de perturbations endocriniennes (effet mimant l’estradiol après administration orale à très forte dose chez le rat) pouvant être induites par certains (mais pas les autres !) filtres chimiques, essentiellement le 4-méthylbenzylidène camphre et les benzophénones. Le risque humain paraît peu pertinent dans des conditions normales d’usage de PPS ; le risque environnemental de certains filtres, s’il était avéré, relèverait probablement de leur présence dans bien d’autres produits que les PPS. Les filtres minéraux, souvent prônés chez l’enfant, soulèvent la question du risque des nanoparticules. En tout état, dans le cadre du « Plan d’action national sur la fertilité » et d’une évaluation du risque des nanoparticules, l’Afssaps/ANSM a donné les recommandations adéquates concernant l’incorporation de ces filtres, chimiques et minéraux, dans les produits cosmétiques et le bon usage des PPS. Enfin, les données actuelles ne laissent pas à penser que les PPS puissent avoir un effet délétère en inhibant les effets bénéfiques du soleil, en particulier la synthèse de vitamine D. Les PPS ont démontré, sous couvert d’une utilisation correcte, une efficacité protectrice contre la plupart des effets délétères du soleil à condition d’être conçus en respectant le cahier des charges parfaitement identifié dans les recommandations européennes de 2006. En particulier, les études épidémiologiques démontrent leur efficacité dans la prévention primaire de tous les CC qu’il s’agisse des expositions environnementales ou intentionnelles, et des PPS de protection moyenne suffisent pour cela. Les risques plus que spéculatifs ne doivent certainement pas conduire à dissuader de les utiliser. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035935 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Douleurs abdominales / M.Ruiz in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°5 (octobre 2022)
[article] Douleurs abdominales [revue] / M.Ruiz, Auteur ; R. Duclaux-Loras, Auteur . - 2022 . - P.234-243.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.234-243
Résumé : Les douleurs abdominales sont un motif fréquent de consultation de pédiatrie, souvent en urgence, et tout médecin prenant en charge des enfants est concerné par ce symptôme. Un interrogatoire complet et un examen clinique minutieux permettent souvent une orientation diagnostique. Bien que les causes digestives soient largement représentées, de nombreuses étiologies extradigestives sont responsables de douleurs abdominales. Il est important de repérer les signes d’alerte évocateurs d’une origine organique aux douleurs, pouvant nécessiter la réalisation d’examens complémentaires biologiques, d’imagerie, voire endoscopiques. Les douleurs abdominales aiguës doivent, en premier lieu, faire rechercher une cause chirurgicale pouvant nécessiter une intervention urgente, et un examen clinique complet doit s’attarder à rechercher une cause médicale digestive ou extradigestive. Les douleurs chroniques sont un challenge également car bien que fréquemment fonctionnelles, il est important de repérer les signes d’organicité, tels que des signes généraux, un retentissement staturopondéral ou des signes extradigestifs, évocateurs de certaines étiologies. En plus des traitements étiologiques spécifiques, les traitements antalgiques et antispasmodiques sont généralement indiqués et efficaces, et dans certains cas de douleurs abdominales récurrentes fonctionnelles, les prises en charge psychologiques et alternatives peuvent être utiles. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.234-243
Titre : Douleurs abdominales Type de document : revue Auteurs : M.Ruiz, Auteur ; R. Duclaux-Loras, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.234-243 Langues : Français Résumé : Les douleurs abdominales sont un motif fréquent de consultation de pédiatrie, souvent en urgence, et tout médecin prenant en charge des enfants est concerné par ce symptôme. Un interrogatoire complet et un examen clinique minutieux permettent souvent une orientation diagnostique. Bien que les causes digestives soient largement représentées, de nombreuses étiologies extradigestives sont responsables de douleurs abdominales. Il est important de repérer les signes d’alerte évocateurs d’une origine organique aux douleurs, pouvant nécessiter la réalisation d’examens complémentaires biologiques, d’imagerie, voire endoscopiques. Les douleurs abdominales aiguës doivent, en premier lieu, faire rechercher une cause chirurgicale pouvant nécessiter une intervention urgente, et un examen clinique complet doit s’attarder à rechercher une cause médicale digestive ou extradigestive. Les douleurs chroniques sont un challenge également car bien que fréquemment fonctionnelles, il est important de repérer les signes d’organicité, tels que des signes généraux, un retentissement staturopondéral ou des signes extradigestifs, évocateurs de certaines étiologies. En plus des traitements étiologiques spécifiques, les traitements antalgiques et antispasmodiques sont généralement indiqués et efficaces, et dans certains cas de douleurs abdominales récurrentes fonctionnelles, les prises en charge psychologiques et alternatives peuvent être utiles. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035935 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Les intoxications aiguës aux urgences pédiatriques / I. Tadmori in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°5 (octobre 2022)
[article] Les intoxications aiguës aux urgences pédiatriques [revue] / I. Tadmori, Auteur ; S. Seddiki, Auteur ; I. Querrach, Auteur . - 2022 . - P.244-251.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.244-251
Résumé : L’objectif de ce travail était d’étudier les caractéristiques clinico-épidémiologiques des intoxications aiguës chez l’enfant afin de préciser la fréquence, identifier les produits en cause et déterminer le devenir immédiat des enfants victimes d’intoxication, en rapportant l’expérience de notre service. Une étude rétrospective des dossiers médicaux d’enfants, dont l’âge varie entre 5 mois et 15 ans admis pour intoxication aiguë sur une période de 3 ans, avec un sex-ratio (G/F) de 0,95. Les produits incriminés étaient les pesticides et les ingestions de produits caustiques (30,89 %) chacun, suivis des médicaments (24,39 %), des plantes (4,87 %). La symptomatologie clinique est dominée par les signes digestifs chez 42,27 %, suivis des signes neurologiques dans 21,95 %. Le délai moyen de consultation était de quatre heures post intoxication et la durée moyenne d’admission aux urgences était de 24±10heures. L’évolution était favorable dans 97,56 % des cas. Les intoxications aiguës chez l’enfant représentent un pourcentage non négligeable d’admission aux urgences pédiatriques. Une sensibilisation de la population sur les risques d’accidents domestiques chez l’enfant et les conditions de stockage des produits industriels à domicile permettront de réduire la morbidité et la mortalité liées aux intoxications. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.244-251
Titre : Les intoxications aiguës aux urgences pédiatriques Type de document : revue Auteurs : I. Tadmori, Auteur ; S. Seddiki, Auteur ; I. Querrach, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.244-251 Langues : Français Résumé : L’objectif de ce travail était d’étudier les caractéristiques clinico-épidémiologiques des intoxications aiguës chez l’enfant afin de préciser la fréquence, identifier les produits en cause et déterminer le devenir immédiat des enfants victimes d’intoxication, en rapportant l’expérience de notre service. Une étude rétrospective des dossiers médicaux d’enfants, dont l’âge varie entre 5 mois et 15 ans admis pour intoxication aiguë sur une période de 3 ans, avec un sex-ratio (G/F) de 0,95. Les produits incriminés étaient les pesticides et les ingestions de produits caustiques (30,89 %) chacun, suivis des médicaments (24,39 %), des plantes (4,87 %). La symptomatologie clinique est dominée par les signes digestifs chez 42,27 %, suivis des signes neurologiques dans 21,95 %. Le délai moyen de consultation était de quatre heures post intoxication et la durée moyenne d’admission aux urgences était de 24±10heures. L’évolution était favorable dans 97,56 % des cas. Les intoxications aiguës chez l’enfant représentent un pourcentage non négligeable d’admission aux urgences pédiatriques. Une sensibilisation de la population sur les risques d’accidents domestiques chez l’enfant et les conditions de stockage des produits industriels à domicile permettront de réduire la morbidité et la mortalité liées aux intoxications. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035935 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Accident vasculaire cérébral de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor/Sénégal / L. Thiam in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°5 (octobre 2022)
[article] Accident vasculaire cérébral de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor/Sénégal [revue] / L. Thiam, Auteur ; D. Boiro, Auteur ; I. Basse, Auteur . - 2022 . - P.252-258.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.252-258
Résumé : Les publications sur l’accident vasculaire cérébral (AVC) sont rares au Sénégal, en particulier au niveau régional. Le but de l’étude était de déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques, tomodensitométriques et évolutives de l’AVC de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor.
Il s’agissait d’une étude rétrospective de dossiers de patients pédiatriques hospitalisés pour AVC à Ziguinchor, du 1er octobre 2015 au 31 octobre 2020.
Nous avons collecté 16 cas (9 garçons et 7 filles). L’âge moyen des patients était de 7,7 ans avec des extrêmes allant de 7 mois à 18 ans [7 mois–18 ans]. Onze enfants étaient issus de famille ayant un niveau socioéconomique bas. Le tableau clinique était dominé par l’hémiplégie/l’hémiparésie 13 cas ; les convulsions 13 cas ; l’hyperthermie 8 cas. Le délai moyen de réalisation du scanner cérébral était de 61,5heures [28,5–160]. Les AVC ischémiques et hémorragiques représentaient respectivement 13 cas (81,3 %) et 03 cas (18,7 %). Les principaux facteurs étiologiques étaient la drépanocytose (37,6 %), la cardiopathie congénitale (18,8 %). La durée moyenne d’hospitalisation était de 11,1jours [5–23]. Deux décès ont été déplorés. Après un recul d’au moins trois mois, nous avons enregistré 2 enfants avec une récupération satisfaisante ; 9 enfants avec une récupération insatisfaisante et 3 enfants perdus de vus.
L’AVC représente une pathologie grave de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor et se présente sous forme de déficit moteur, de convulsions, d’hyperthermie. L’ischémie cérébrale est la forme la plus fréquente et les principaux facteurs étiologiques sont la drépanocytose et la cardiopathie congénitale.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°5 (octobre 2022) . - P.252-258
Titre : Accident vasculaire cérébral de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor/Sénégal Type de document : revue Auteurs : L. Thiam, Auteur ; D. Boiro, Auteur ; I. Basse, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.252-258 Langues : Français Résumé : Les publications sur l’accident vasculaire cérébral (AVC) sont rares au Sénégal, en particulier au niveau régional. Le but de l’étude était de déterminer les aspects épidémiologiques, cliniques, tomodensitométriques et évolutives de l’AVC de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor.
Il s’agissait d’une étude rétrospective de dossiers de patients pédiatriques hospitalisés pour AVC à Ziguinchor, du 1er octobre 2015 au 31 octobre 2020.
Nous avons collecté 16 cas (9 garçons et 7 filles). L’âge moyen des patients était de 7,7 ans avec des extrêmes allant de 7 mois à 18 ans [7 mois–18 ans]. Onze enfants étaient issus de famille ayant un niveau socioéconomique bas. Le tableau clinique était dominé par l’hémiplégie/l’hémiparésie 13 cas ; les convulsions 13 cas ; l’hyperthermie 8 cas. Le délai moyen de réalisation du scanner cérébral était de 61,5heures [28,5–160]. Les AVC ischémiques et hémorragiques représentaient respectivement 13 cas (81,3 %) et 03 cas (18,7 %). Les principaux facteurs étiologiques étaient la drépanocytose (37,6 %), la cardiopathie congénitale (18,8 %). La durée moyenne d’hospitalisation était de 11,1jours [5–23]. Deux décès ont été déplorés. Après un recul d’au moins trois mois, nous avons enregistré 2 enfants avec une récupération satisfaisante ; 9 enfants avec une récupération insatisfaisante et 3 enfants perdus de vus.
L’AVC représente une pathologie grave de l’enfant et de l’adolescent à Ziguinchor et se présente sous forme de déficit moteur, de convulsions, d’hyperthermie. L’ischémie cérébrale est la forme la plus fréquente et les principaux facteurs étiologiques sont la drépanocytose et la cardiopathie congénitale.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035935 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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