vol.35 n°1 février 2022 vol.35 n°2 avril 2022 vol.35 n°3 juin 2022 vol.35 n°4 août 2022 vol.35 n°5 octobre 2022 vol.35 n°6 décembre 2022 vol.36 n°1 février 2023 journal de pédiatrie et de puériculture . vol.35 n°4 Mention de date :  août 2022 Paru le :  01/07/2022

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Les troubles obsessionnels compulsifs de l’enfant et de l’adolescent : quoi faire en pratique ? / A. Hubert in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°4 (août 2022)

ISBD Public [article] Les troubles obsessionnels compulsifs de l’enfant et de l’adolescent : quoi faire en pratique ? [revue] / A. Hubert, Auteur . - 2022 . - P.157-161. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.157-161 Résumé : Les troubles obsessionnel-compulsif (TOC) sont une pathologie qui peut être relativement fréquente chez l’enfant et qui non pris en charge est à risque de se chroniciser voire d’entraîner des complications secondaires. Cet article a pour but de présenter ce trouble, l’épidémiologie de ce dernier ainsi que les stratégies de prises en charges en se basant sur les recommandations internationales. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.157-161 Titre : Les troubles obsessionnels compulsifs de l’enfant et de l’adolescent : quoi faire en pratique ? Type de document : revue Auteurs : A. Hubert, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.157-161 Langues : Français Résumé : Les troubles obsessionnel-compulsif (TOC) sont une pathologie qui peut être relativement fréquente chez l’enfant et qui non pris en charge est à risque de se chroniciser voire d’entraîner des complications secondaires. Cet article a pour but de présenter ce trouble, l’épidémiologie de ce dernier ainsi que les stratégies de prises en charges en se basant sur les recommandations internationales.

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Prise en charge pédiatrique d’un enfant adopté / F. Sorge in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°4 (août 2022)

ISBD Public [article] Prise en charge pédiatrique d’un enfant adopté [revue] / F. Sorge, Auteur ; L.C. Miller, Auteur . - 2022 . - P.162-178. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.162-178 Résumé : Le nombre d’enfants adoptés en France ou à l’international diminue depuis 2004, avec des enfants caractérisés par un âge plus élevé, des fratries, un vécu de ruptures plus nombreuses et des pathologies physiques, développementales, comportementales et/ou psychologiques nécessitant des soins plus ou moins durables, qui préoccupent les parents adoptants. Les médecins peuvent être sollicités en préadoption sur un dossier d’enfant ou pour des conseils de pédiatrie générale. Ils peuvent aussi évaluer cliniquement et par des examens complémentaires un enfant récemment arrivé. Ils sont également interrogés par des parents dont l’enfant adopté présente des troubles somatiques et/ou psychosociaux pendant ou après la période de transition, et en particulier lors des questionnements identitaires de l’adolescence. Cet article a pour but de donner des moyens de compréhension et de prise en charge des situations de consultations d’enfant adopté que le praticien peut rencontrer. Les pathologies le plus fréquemment observées à l’arrivée sont des infections intestinales et cutanées, des malnutritions et des troubles psychocomportementaux. Certaines infections et intoxications potentiellement graves et rares sont dépistées systématiquement (tuberculose, hépatites virales, syphilis, virus de l’immunodéficience humaine, etc.) ou selon les facteurs d’exposition au risque (paludisme, alcoolisation fœtale, saturnisme, etc.). Une évaluation de l’immunité vaccinale et un rattrapage éventuel sont nécessaires précocement. Au cours du suivi, les motifs fréquents de consultation sont la dynamique de croissance, l’incertitude de l’âge, des troubles développementaux (motricité, langage, sommeil et/ou alimentation), des troubles psychoaffectifs et de l’attachement et la puberté avancée. La connaissance des problématiques actuelles de l’adoption est nécessaire et permet d’éviter d’attribuer n’importe quel symptôme à l’adoption. Il existe des consultations d’adoption multidisciplinaires (pédiatres, pédopsychiatres, psychologue en lien avec un réseau de spécialistes) dans la plupart des régions de France et des pays d’adoption qui sont des centres de référence pour répondre aux situations complexes. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.162-178 Titre : Prise en charge pédiatrique d’un enfant adopté Type de document : revue Auteurs : F. Sorge, Auteur ; L.C. Miller, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.162-178 Langues : Français Résumé : Le nombre d’enfants adoptés en France ou à l’international diminue depuis 2004, avec des enfants caractérisés par un âge plus élevé, des fratries, un vécu de ruptures plus nombreuses et des pathologies physiques, développementales, comportementales et/ou psychologiques nécessitant des soins plus ou moins durables, qui préoccupent les parents adoptants. Les médecins peuvent être sollicités en préadoption sur un dossier d’enfant ou pour des conseils de pédiatrie générale. Ils peuvent aussi évaluer cliniquement et par des examens complémentaires un enfant récemment arrivé. Ils sont également interrogés par des parents dont l’enfant adopté présente des troubles somatiques et/ou psychosociaux pendant ou après la période de transition, et en particulier lors des questionnements identitaires de l’adolescence. Cet article a pour but de donner des moyens de compréhension et de prise en charge des situations de consultations d’enfant adopté que le praticien peut rencontrer. Les pathologies le plus fréquemment observées à l’arrivée sont des infections intestinales et cutanées, des malnutritions et des troubles psychocomportementaux. Certaines infections et intoxications potentiellement graves et rares sont dépistées systématiquement (tuberculose, hépatites virales, syphilis, virus de l’immunodéficience humaine, etc.) ou selon les facteurs d’exposition au risque (paludisme, alcoolisation fœtale, saturnisme, etc.). Une évaluation de l’immunité vaccinale et un rattrapage éventuel sont nécessaires précocement. Au cours du suivi, les motifs fréquents de consultation sont la dynamique de croissance, l’incertitude de l’âge, des troubles développementaux (motricité, langage, sommeil et/ou alimentation), des troubles psychoaffectifs et de l’attachement et la puberté avancée. La connaissance des problématiques actuelles de l’adoption est nécessaire et permet d’éviter d’attribuer n’importe quel symptôme à l’adoption. Il existe des consultations d’adoption multidisciplinaires (pédiatres, pédopsychiatres, psychologue en lien avec un réseau de spécialistes) dans la plupart des régions de France et des pays d’adoption qui sont des centres de référence pour répondre aux situations complexes.

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Harcèlement entre pairs en milieu scolaire / V. Fougeret-Linlaud in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°4 (août 2022)

ISBD Public [article] Harcèlement entre pairs en milieu scolaire [revue] / V. Fougeret-Linlaud, Auteur . - 2022 . - P.179-188. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.179-188 Résumé : La notion de harcèlement scolaire, qui est la traduction de school-bullying , est un concept récent. On parle de harcèlement scolaire lorsqu’un élève est soumis, de manière répétée et à long terme, à des comportements intentionnellement agressifs visant à lui porter préjudice, le blesser, le mettre en difficulté et établir une relation dominant-dominé de la part d’un ou plusieurs élèves. L’échec de la dynamique de groupe, l’incapacité à verbaliser ses émotions, la difficulté à se mettre à la place de l’autre sont des éléments clés dans le harcèlement scolaire. Ce phénomène touche 15 à 20 % des élèves en incluant victimes et harceleurs. Les conséquences psychologiques sont dramatiques avec, à court terme, des symptômes de stress post-traumatiques, des syndromes anxiodépressifs, un retrait scolaire anxieux et, à plus long terme, les séquelles psychologiques se manifestent par des dépressions pouvant aller jusqu’au suicide. Les répercussions du harcèlement scolaire sont très sérieuses, car il survient à un âge où le jeune est en pleine construction identitaire au sein d’un groupe de pairs. La prévention se développe de plus en plus dans les établissements scolaires et permet de limiter le phénomène, mais sa reconnaissance doit se poursuivre. L’intervention précoce et la mise en place d’un suivi adapté sont nécessaires pour accompagner tant les victimes que les agresseurs. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.179-188 Titre : Harcèlement entre pairs en milieu scolaire Type de document : revue Auteurs : V. Fougeret-Linlaud, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.179-188 Langues : Français Résumé : La notion de harcèlement scolaire, qui est la traduction de school-bullying , est un concept récent. On parle de harcèlement scolaire lorsqu’un élève est soumis, de manière répétée et à long terme, à des comportements intentionnellement agressifs visant à lui porter préjudice, le blesser, le mettre en difficulté et établir une relation dominant-dominé de la part d’un ou plusieurs élèves. L’échec de la dynamique de groupe, l’incapacité à verbaliser ses émotions, la difficulté à se mettre à la place de l’autre sont des éléments clés dans le harcèlement scolaire. Ce phénomène touche 15 à 20 % des élèves en incluant victimes et harceleurs. Les conséquences psychologiques sont dramatiques avec, à court terme, des symptômes de stress post-traumatiques, des syndromes anxiodépressifs, un retrait scolaire anxieux et, à plus long terme, les séquelles psychologiques se manifestent par des dépressions pouvant aller jusqu’au suicide. Les répercussions du harcèlement scolaire sont très sérieuses, car il survient à un âge où le jeune est en pleine construction identitaire au sein d’un groupe de pairs. La prévention se développe de plus en plus dans les établissements scolaires et permet de limiter le phénomène, mais sa reconnaissance doit se poursuivre. L’intervention précoce et la mise en place d’un suivi adapté sont nécessaires pour accompagner tant les victimes que les agresseurs.

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Œdème aigu hémorragique du nourrisson, encore un défi pour le pédiatre : à propos de deux cas / A. Elouali in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.35 n°4 (août 2022)

ISBD Public [article] Œdème aigu hémorragique du nourrisson, encore un défi pour le pédiatre : à propos de deux cas [revue] / A. Elouali, Auteur ; M. Azizi, Auteur ; A. Babakhouya, Auteur . - 2022 . - P.189-192. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.189-192 Résumé : L’œdème aigu hémorragique (OAH) est une forme bénigne de vascularite leucocytoclasique cutanée qui touche le nourrisson entre 4 et 24mois. Il est caractérisé cliniquement par l’association d’un purpura, d’un œdème et d’une fièvre. Son pronostic est spontanément favorable. L’objectif de notre travail est de rapporter deux nouvelles observations d’un OAH colligées au sein de notre service, tout en mettant le point sur cette pathologie bénigne qui reste un défi pour les pédiatres. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.35 n°4 (août 2022) . - P.189-192 Titre : Œdème aigu hémorragique du nourrisson, encore un défi pour le pédiatre : à propos de deux cas Type de document : revue Auteurs : A. Elouali, Auteur ; M. Azizi, Auteur ; A. Babakhouya, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P.189-192 Langues : Français Résumé : L’œdème aigu hémorragique (OAH) est une forme bénigne de vascularite leucocytoclasique cutanée qui touche le nourrisson entre 4 et 24mois. Il est caractérisé cliniquement par l’association d’un purpura, d’un œdème et d’une fièvre. Son pronostic est spontanément favorable. L’objectif de notre travail est de rapporter deux nouvelles observations d’un OAH colligées au sein de notre service, tout en mettant le point sur cette pathologie bénigne qui reste un défi pour les pédiatres.

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