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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.34 n°4Mention de date : août 2021Paru le : 01/07/2021 |
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Ajouter le résultat dans votre panierDiagnostic de l’amblyopie / C. Orssaud in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°4 (août 2021)
[article] Diagnostic de l’amblyopie [revue] / C. Orssaud, Auteur . - 2021 . - p.194-203.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.194-203
Mots-clés : amblyopie
anisométropie
dépistage
enfant
occlusion
rééducation
strabismeRésumé : L’amblyopie est un trouble du développement qui intéresse l’ensemble du système visuel et du cortex visuel au-delà du cortex extra-strié. Le principal retentissement fonctionnel est une altération de l’acuité visuelle de l’œil dominé. Mais, tous les paramètres de la fonction visuelle sont perturbés puisqu’il peut être mis en évidence un déficit de la sensibilité aux contrastes ou de la vision stéréoscopique et une hyperacuité visuelle Vernier au niveau de l’œil « sain ». Ce trouble du développement ne peut s’installer qu’au cours de la période critique du développement cérébral, période de maturation et de plus grande plasticité cérébrale, et plus volontiers lors du pic de celle-ci, avant l’âge de 3 ans. Cette période est également celle au cours de laquelle la rééducation est la plus efficace. L’amblyopie est due soit à une privation visuelle, soit à un strabisme soit enfin à une anisométropie. Elle peut également s’associer à des troubles organiques lors de formes dites « mixtes ». L’amblyopie est définie par une différence d’acuité visuelle d’au moins une ligne d’acuité visuelle LogMAR. Hormis lorsqu’il existe un strabisme franc, ce déficit visuel reste souvent méconnu chez un enfant qui ne se plaint pas et voit bien d’un œil. C’est dire l’importance du dépistage, cherchant toutes les situations à risques telles qu’une différence de réfraction entre les deux yeux ou des facteurs héréditaires. Dans tous les cas, la confirmation de sa présence est indispensable avant la mise en route de la rééducation. Cette mise en évidence repose sur la mesure de la réfraction sous cycloplégie, le bilan ophtalmologique et orthoptique. L’acuité visuelle ou l’acuité de résolution peuvent être mesurées, avec des contraintes liées à l’âge. La rééducation nécessite pour être efficace la coopération active des parents. Elle repose ensuite sur la prescription de la correction optique totale déterminée sous cycloplégie qui peut parfois suffire à corriger cette amblyopie. La rééducation en elle-même est basée sur l’occlusion ou la pénalisation de l’œil sain permettant à l’œil dominé de développer sa vision et doit être complétée par un traitement d’entretien jusqu’à la fin de la période critique. En son absence, il existe un risque de récidive. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.194-203
Titre : Diagnostic de l’amblyopie Type de document : revue Auteurs : C. Orssaud, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.194-203 Langues : Français Mots-clés : amblyopie
anisométropie
dépistage
enfant
occlusion
rééducation
strabismeRésumé : L’amblyopie est un trouble du développement qui intéresse l’ensemble du système visuel et du cortex visuel au-delà du cortex extra-strié. Le principal retentissement fonctionnel est une altération de l’acuité visuelle de l’œil dominé. Mais, tous les paramètres de la fonction visuelle sont perturbés puisqu’il peut être mis en évidence un déficit de la sensibilité aux contrastes ou de la vision stéréoscopique et une hyperacuité visuelle Vernier au niveau de l’œil « sain ». Ce trouble du développement ne peut s’installer qu’au cours de la période critique du développement cérébral, période de maturation et de plus grande plasticité cérébrale, et plus volontiers lors du pic de celle-ci, avant l’âge de 3 ans. Cette période est également celle au cours de laquelle la rééducation est la plus efficace. L’amblyopie est due soit à une privation visuelle, soit à un strabisme soit enfin à une anisométropie. Elle peut également s’associer à des troubles organiques lors de formes dites « mixtes ». L’amblyopie est définie par une différence d’acuité visuelle d’au moins une ligne d’acuité visuelle LogMAR. Hormis lorsqu’il existe un strabisme franc, ce déficit visuel reste souvent méconnu chez un enfant qui ne se plaint pas et voit bien d’un œil. C’est dire l’importance du dépistage, cherchant toutes les situations à risques telles qu’une différence de réfraction entre les deux yeux ou des facteurs héréditaires. Dans tous les cas, la confirmation de sa présence est indispensable avant la mise en route de la rééducation. Cette mise en évidence repose sur la mesure de la réfraction sous cycloplégie, le bilan ophtalmologique et orthoptique. L’acuité visuelle ou l’acuité de résolution peuvent être mesurées, avec des contraintes liées à l’âge. La rééducation nécessite pour être efficace la coopération active des parents. Elle repose ensuite sur la prescription de la correction optique totale déterminée sous cycloplégie qui peut parfois suffire à corriger cette amblyopie. La rééducation en elle-même est basée sur l’occlusion ou la pénalisation de l’œil sain permettant à l’œil dominé de développer sa vision et doit être complétée par un traitement d’entretien jusqu’à la fin de la période critique. En son absence, il existe un risque de récidive. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035366 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Scabiose, pédiculoses et piqûres d’arthropodes / L. de Gentile in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°4 (août 2021)
[article] Scabiose, pédiculoses et piqûres d’arthropodes [revue] / L. de Gentile, Auteur ; F. Carsuzaa, Auteur . - 2021 . - p.204-222.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.204-222
Mots-clés : gale
pédiculose
piqûreRésumé : Les arthropodes appartiennent au règne animal, ils sont caractérisés par un squelette externe imposant une croissance par mues successives. Un grand nombre d’arthropodes sont impliqués en pathologie humaine en raison, soit de leur rôle de vecteurs d’un agent pathogène, soit de leur comportement parasitaire. Parmi les acariens, Sarcoptes scabiei est l’agent responsable de la gale. Cette maladie dermatologique prurigineuse est connue de très longue date. Les lésions caractéristiques sont composées de la triade prurit-vésicules-sillons, témoin de la présence du parasite. Sur le plan nosologique, on reconnaît deux grandes formes cliniques : d’une part la gale commune, banale et peu contagieuse en dehors d’un contact cutané étroit et prolongé, elle est parfois intégrée dans le spectre des infections sexuellement transmises, et d’autre part la gale hyperkératosique survenant chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Cette forme est particulièrement contagieuse en raison du grand nombre de parasites présents dans l’épiderme. Entre ces deux entités, il existe de nombreuses présentations cliniques atypiques qui peuvent en imposer pour une autre affection dermatologique et faire errer le diagnostic. Ces formes cliniques hyperkératosiques ou atypiques peuvent être à l’origine d’épidémies intrafamiliales ou dans les établissements de soins ou les collectivités. La prise en charge de la gale nécessite toujours un diagnostic de certitude précoce et la prise en charge du patient implique le traitement du linge et la recherche des sujets contacts. Les agents des démodécies (Demodex folliculorum et Demodex brevis) ont une niche écologique très étroite, colonisant le follicule pilaire et les glandes sébacées. Leur rôle pathogène est discuté par certains auteurs. Parmi les insectes, pou et morpion représentent des nuisances importantes. À côté de ces arthropodes, il en existe de nombreux autres qui peuvent piquer l’homme et être à l’origine de lésions maculopapuleuses plus ou moins nombreuses et étendues, associées à un prurit. L’origine des lésions est difficile à retrouver si on omet l’enquête épidémiologique incluant l’analyse de l’environnement du patient. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.204-222
Titre : Scabiose, pédiculoses et piqûres d’arthropodes Type de document : revue Auteurs : L. de Gentile, Auteur ; F. Carsuzaa, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.204-222 Langues : Français Mots-clés : gale
pédiculose
piqûreRésumé : Les arthropodes appartiennent au règne animal, ils sont caractérisés par un squelette externe imposant une croissance par mues successives. Un grand nombre d’arthropodes sont impliqués en pathologie humaine en raison, soit de leur rôle de vecteurs d’un agent pathogène, soit de leur comportement parasitaire. Parmi les acariens, Sarcoptes scabiei est l’agent responsable de la gale. Cette maladie dermatologique prurigineuse est connue de très longue date. Les lésions caractéristiques sont composées de la triade prurit-vésicules-sillons, témoin de la présence du parasite. Sur le plan nosologique, on reconnaît deux grandes formes cliniques : d’une part la gale commune, banale et peu contagieuse en dehors d’un contact cutané étroit et prolongé, elle est parfois intégrée dans le spectre des infections sexuellement transmises, et d’autre part la gale hyperkératosique survenant chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Cette forme est particulièrement contagieuse en raison du grand nombre de parasites présents dans l’épiderme. Entre ces deux entités, il existe de nombreuses présentations cliniques atypiques qui peuvent en imposer pour une autre affection dermatologique et faire errer le diagnostic. Ces formes cliniques hyperkératosiques ou atypiques peuvent être à l’origine d’épidémies intrafamiliales ou dans les établissements de soins ou les collectivités. La prise en charge de la gale nécessite toujours un diagnostic de certitude précoce et la prise en charge du patient implique le traitement du linge et la recherche des sujets contacts. Les agents des démodécies (Demodex folliculorum et Demodex brevis) ont une niche écologique très étroite, colonisant le follicule pilaire et les glandes sébacées. Leur rôle pathogène est discuté par certains auteurs. Parmi les insectes, pou et morpion représentent des nuisances importantes. À côté de ces arthropodes, il en existe de nombreux autres qui peuvent piquer l’homme et être à l’origine de lésions maculopapuleuses plus ou moins nombreuses et étendues, associées à un prurit. L’origine des lésions est difficile à retrouver si on omet l’enquête épidémiologique incluant l’analyse de l’environnement du patient. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035366 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Infections urinaires à entérobactéries productrices de bêtalactamases à spectre élargi chez l’enfant : fréquence, facteurs de risque et alternatives thérapeutiques / F.Z. Henniche in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°4 (août 2021)
[article] Infections urinaires à entérobactéries productrices de bêtalactamases à spectre élargi chez l’enfant : fréquence, facteurs de risque et alternatives thérapeutiques [revue] / F.Z. Henniche, Auteur ; F. Yamouni, Auteur ; D. Bensersa, Auteur . - 2021 . - p.223-228.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.223-228
Mots-clés : bêtalactamase
enfant
entérobactérie
infection urinaireRésumé : Les infections urinaires à entérobactéries sécrétrices de bêtalactamases à spectre élargi (EBLSE) sont de plus en plus fréquentes en milieu pédiatrique. Ceci engendre un sérieux problème de prise en charge et de traitement antibiotique. Dans notre série, le taux d’infection urinaire due aux entérobactéries chez l’enfant est estimé à 89 %, celles sécrétrices de BLSE (nombre=113) constituent 10 % de l’ensemble des entérobactéries. L’espèce bactérienne prédominante est Escherichia coli avec 63,71 %. L’étude des résultats obtenus montre une légère prédominance chez le sexe féminin (53 %) et une fréquence plus élevée chez le nourrisson. L’étude de la résistance aux antibiotiques montre des résistances associées élevées vis-à-vis du cotrimoxazole, la gentamicine et la ciprofloxacine. D’autres molécules demeurent actives ; la nitrofurantoine, la fosfomycine et l’amikacine. Les résultats montrent aussi que l’acquisition des EBLSE est liée à certains facteurs de risque notamment, la notion d’hospitalisation à 30,97 %, notion d’infection urinaire à répétition et prise d’antibiotiques à 20,35 %, existence de pathologie rénale ou urologique à 17,69 % et notion de chirurgie et infection postopératoire à 14,15 %. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°4 (août 2021) . - p.223-228
Titre : Infections urinaires à entérobactéries productrices de bêtalactamases à spectre élargi chez l’enfant : fréquence, facteurs de risque et alternatives thérapeutiques Type de document : revue Auteurs : F.Z. Henniche, Auteur ; F. Yamouni, Auteur ; D. Bensersa, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.223-228 Langues : Français Mots-clés : bêtalactamase
enfant
entérobactérie
infection urinaireRésumé : Les infections urinaires à entérobactéries sécrétrices de bêtalactamases à spectre élargi (EBLSE) sont de plus en plus fréquentes en milieu pédiatrique. Ceci engendre un sérieux problème de prise en charge et de traitement antibiotique. Dans notre série, le taux d’infection urinaire due aux entérobactéries chez l’enfant est estimé à 89 %, celles sécrétrices de BLSE (nombre=113) constituent 10 % de l’ensemble des entérobactéries. L’espèce bactérienne prédominante est Escherichia coli avec 63,71 %. L’étude des résultats obtenus montre une légère prédominance chez le sexe féminin (53 %) et une fréquence plus élevée chez le nourrisson. L’étude de la résistance aux antibiotiques montre des résistances associées élevées vis-à-vis du cotrimoxazole, la gentamicine et la ciprofloxacine. D’autres molécules demeurent actives ; la nitrofurantoine, la fosfomycine et l’amikacine. Les résultats montrent aussi que l’acquisition des EBLSE est liée à certains facteurs de risque notamment, la notion d’hospitalisation à 30,97 %, notion d’infection urinaire à répétition et prise d’antibiotiques à 20,35 %, existence de pathologie rénale ou urologique à 17,69 % et notion de chirurgie et infection postopératoire à 14,15 %. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035366 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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