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Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.4 n°4Mention de date : juillet 2018Paru le : 02/07/2018 |
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Ajouter le résultat dans votre panierRecommandations pour le fonctionnement des unités de surveillance continue (USC) dans les établissements de santé, 2018 / René Robert in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Recommandations pour le fonctionnement des unités de surveillance continue (USC) dans les établissements de santé, 2018 [revue] / René Robert (1955-....), Auteur ; Marc Beaussier, Auteur ; Dominique Pateron, Auteur ; Bertrand Guidet, Auteur ; Pierre-François Perrigault, Auteur ; Benoît Misset, Auteur ; Fanny Denys, Auteur ; Jean Reignier, Auteur ; Didier Honnart, Auteur ; Sébastien kerever, Auteur ; Philippe Guiot, Auteur ; Claude Ecoffey, Auteur . - 2018 . - p.265-279.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.265-279
Mots-clés : recommandation
unité de surveillance continueRésumé : Près de 20 ans après la mise en place des premières unités de surveillance continue (USC), des réflexions sur la typologie de patients à y admettre (seuls 60 à 65 % des patients admis), la densité de personnels nécessaire et le dimensionnement de ces unités sont apparues. Les conseils professionnels de la Médecine Intensive Réanimation, de l’Anesthésie Réanimation et de la médecine d’urgence ont constitué un groupe de travail afin d’analyser les conditions de fonctionnement des USC et de proposer des recommandations pour un fonctionnement optimisé de ces unités en adéquation avec les nouvelles organisations du système de santé. En utilisant une méthodologie de type recommandations formalisées d’experts (RFE), cinq champs de réflexion ont été définis : rypologie de patients, structure des USC, organisation et management paramédical, organisation et management médical, USC et groupements hospitaliers de territoire (GHT). Vingt-six recommandations ont été proposées, toutes assorties d’un accord fort après cotation collective établie selon une méthodologie dérivée de la RAND/UCLA (deux tours de cotation). [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.265-279
Titre : Recommandations pour le fonctionnement des unités de surveillance continue (USC) dans les établissements de santé, 2018 Type de document : revue Auteurs : René Robert (1955-....), Auteur ; Marc Beaussier, Auteur ; Dominique Pateron, Auteur ; Bertrand Guidet, Auteur ; Pierre-François Perrigault, Auteur ; Benoît Misset, Auteur ; Fanny Denys, Auteur ; Jean Reignier, Auteur ; Didier Honnart, Auteur ; Sébastien kerever, Auteur ; Philippe Guiot, Auteur ; Claude Ecoffey, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.265-279 Langues : Français Mots-clés : recommandation
unité de surveillance continueRésumé : Près de 20 ans après la mise en place des premières unités de surveillance continue (USC), des réflexions sur la typologie de patients à y admettre (seuls 60 à 65 % des patients admis), la densité de personnels nécessaire et le dimensionnement de ces unités sont apparues. Les conseils professionnels de la Médecine Intensive Réanimation, de l’Anesthésie Réanimation et de la médecine d’urgence ont constitué un groupe de travail afin d’analyser les conditions de fonctionnement des USC et de proposer des recommandations pour un fonctionnement optimisé de ces unités en adéquation avec les nouvelles organisations du système de santé. En utilisant une méthodologie de type recommandations formalisées d’experts (RFE), cinq champs de réflexion ont été définis : rypologie de patients, structure des USC, organisation et management paramédical, organisation et management médical, USC et groupements hospitaliers de territoire (GHT). Vingt-six recommandations ont été proposées, toutes assorties d’un accord fort après cotation collective établie selon une méthodologie dérivée de la RAND/UCLA (deux tours de cotation). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Bilan préopératoire en pédiatrie : pour qui et pourquoi ? / Corinne Lejus-Bourdeau in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Bilan préopératoire en pédiatrie : pour qui et pourquoi ? [revue] / Corinne Lejus-Bourdeau, Auteur ; Nicolas Grillot, Auteur ; Marjorie Azama, Auteur . - 2018 . - p.282-289.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.282-289
Mots-clés : coagulation
enfant
hémostase
nourrisson
nouveau né
pré-opératoireRésumé : L’incidence des comorbidités étant plus faible chez l’enfant, les indications des bilans préopératoires sont surtout focalisées sur le diagnostic des pathologies congénitales ou acquises de l’hémostase. Dans toutes circonstances, l’examen clinique et l’anamnèse des antécédents personnels et familiaux sont indispensables. Avant l’acquisition de la marche, cette évaluation clinique est néanmoins très limitée par la courte histoire de l’enfant. C’est donc la seule indication retenue par les recommandations formalisées d’expert pour la prescription d’un bilan systématique (TP, TCK, numération plaquettaire) avant un acte invasif. Cependant, la maturation physiologique de l’hémostase en complexifie sérieusement l’interprétation chez le nouveau-né et le très jeune nourrisson. Au-delà de l’acquisition de la marche, quelle que soit la nature de la chirurgie, les indications du bilan biologique sont comme chez l’adulte, exclusivement orientées par l’anamnèse et l’examen clinique. Aucune étude n’a pu en effet mettre en évidence une quelconque contribution d’un bilan biologique d’hémostase chez un enfant asymptomatique sans antécédent personnel ou familial. Il en est de même pour la numération, l’ionogramme, la créatininémie et la glycémie, en l’absence de signe d’appel. En revanche, un TCA normal n’élimine pas toutes les coagulopathies. Une histoire clinique significative nécessite l’exploration de l’hémostase primaire et un conseil spécialisé. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.282-289
Titre : Bilan préopératoire en pédiatrie : pour qui et pourquoi ? Type de document : revue Auteurs : Corinne Lejus-Bourdeau, Auteur ; Nicolas Grillot, Auteur ; Marjorie Azama, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.282-289 Langues : Français Mots-clés : coagulation
enfant
hémostase
nourrisson
nouveau né
pré-opératoireRésumé : L’incidence des comorbidités étant plus faible chez l’enfant, les indications des bilans préopératoires sont surtout focalisées sur le diagnostic des pathologies congénitales ou acquises de l’hémostase. Dans toutes circonstances, l’examen clinique et l’anamnèse des antécédents personnels et familiaux sont indispensables. Avant l’acquisition de la marche, cette évaluation clinique est néanmoins très limitée par la courte histoire de l’enfant. C’est donc la seule indication retenue par les recommandations formalisées d’expert pour la prescription d’un bilan systématique (TP, TCK, numération plaquettaire) avant un acte invasif. Cependant, la maturation physiologique de l’hémostase en complexifie sérieusement l’interprétation chez le nouveau-né et le très jeune nourrisson. Au-delà de l’acquisition de la marche, quelle que soit la nature de la chirurgie, les indications du bilan biologique sont comme chez l’adulte, exclusivement orientées par l’anamnèse et l’examen clinique. Aucune étude n’a pu en effet mettre en évidence une quelconque contribution d’un bilan biologique d’hémostase chez un enfant asymptomatique sans antécédent personnel ou familial. Il en est de même pour la numération, l’ionogramme, la créatininémie et la glycémie, en l’absence de signe d’appel. En revanche, un TCA normal n’élimine pas toutes les coagulopathies. Une histoire clinique significative nécessite l’exploration de l’hémostase primaire et un conseil spécialisé. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’hémostase en pédiatrie, ses particularités, les principales pathologies hémorragiques et leur gestion / Marie-Françoise Hurtaud-Roux in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] L’hémostase en pédiatrie, ses particularités, les principales pathologies hémorragiques et leur gestion [revue] / Marie-Françoise Hurtaud-Roux, Auteur ; Anne Vincenot, Auteur ; Dominique Lasne, Auteur . - 2018 . - p.290-299.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.290-299
Mots-clés : chirurgie
enfant
hémostase
maladie hémorragique
nouveau néRésumé : Chez l’enfant, et plus particulièrement chez le nouveau-né, les mécanismes complexes, qui permettent la prévention des hémorragies et des thromboses en associant l’action des plaquettes et de nombreuses protéines de la coagulation et de la fibrinolyse, présentent d’importantes particularités par rapport à l’adulte. Le système de l’hémostase est décrit comme « immature » et en développement, ce qui reflète les changements quantitatifs et qualitatifs présents dès la période fœtale, se poursuivant chez le nouveau-né et chez l’enfant. Néanmoins, l’hémostase du nouveau-né à terme reste équilibrée, sans saignements ni thromboses, mais cet équilibre est fragile. L’histoire clinique de l’enfant avant l’âge de la marche étant insuffisante, l’exploration biologique de l’hémostase va être capitale pour apprécier un éventuel risque hémorragique avant un geste invasif. L’interprétation des examens biologiques d’hémostase devra tenir compte des particularités physiologiques, les valeurs de référence étant spécifiques à chaque tranche d’âge, mais aussi d’éventuels antécédents hémorragiques personnels et/ou familiaux. Elle devra également prendre en compte les possibles interférences pré-analytiques, en particulier liées aux difficultés de prélèvement, pouvant interférer sur les résultats. Cette revue abordera également les principales pathologies de l’hémostase susceptibles d’être découvertes lors d’un bilan préopératoire en pédiatrie. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.290-299
Titre : L’hémostase en pédiatrie, ses particularités, les principales pathologies hémorragiques et leur gestion Type de document : revue Auteurs : Marie-Françoise Hurtaud-Roux, Auteur ; Anne Vincenot, Auteur ; Dominique Lasne, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.290-299 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
enfant
hémostase
maladie hémorragique
nouveau néRésumé : Chez l’enfant, et plus particulièrement chez le nouveau-né, les mécanismes complexes, qui permettent la prévention des hémorragies et des thromboses en associant l’action des plaquettes et de nombreuses protéines de la coagulation et de la fibrinolyse, présentent d’importantes particularités par rapport à l’adulte. Le système de l’hémostase est décrit comme « immature » et en développement, ce qui reflète les changements quantitatifs et qualitatifs présents dès la période fœtale, se poursuivant chez le nouveau-né et chez l’enfant. Néanmoins, l’hémostase du nouveau-né à terme reste équilibrée, sans saignements ni thromboses, mais cet équilibre est fragile. L’histoire clinique de l’enfant avant l’âge de la marche étant insuffisante, l’exploration biologique de l’hémostase va être capitale pour apprécier un éventuel risque hémorragique avant un geste invasif. L’interprétation des examens biologiques d’hémostase devra tenir compte des particularités physiologiques, les valeurs de référence étant spécifiques à chaque tranche d’âge, mais aussi d’éventuels antécédents hémorragiques personnels et/ou familiaux. Elle devra également prendre en compte les possibles interférences pré-analytiques, en particulier liées aux difficultés de prélèvement, pouvant interférer sur les résultats. Cette revue abordera également les principales pathologies de l’hémostase susceptibles d’être découvertes lors d’un bilan préopératoire en pédiatrie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant / Anne Laffargue in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant [revue] / Anne Laffargue, Auteur . - 2018 . - p.300-307.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.300-307
Mots-clés : anesthésie
enfant
polysomnographie
SAOS syndrome d'apnée obstructive du sommeilRésumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.300-307
Titre : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant Type de document : revue Auteurs : Anne Laffargue, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.300-307 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
enfant
polysomnographie
SAOS syndrome d'apnée obstructive du sommeilRésumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Organisation de l’anesthésie pédiatrique : qui peut faire quoi et où peut-il le faire ? / Gilles Orliaguet in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Organisation de l’anesthésie pédiatrique : qui peut faire quoi et où peut-il le faire ? [revue] / Gilles Orliaguet, Auteur . - 2018 . - p.308-314.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.308-314
Mots-clés : anesthésie
complication
pédiatrie
risqueRésumé : L’enfant présente certaines particularités physiologiques et pharmacologiques, et des pathologies propres qui nécessitent d’avoir des connaissances et des compétences spécifiques. La morbi-mortalité des enfants les plus jeunes, en particulier des moins de 1 an, et ASA>3 est supérieure à celle des autres enfants. Un des autres facteurs de risque important de complications per-anesthésique est le défaut d’expérience et le manque de pratique en anesthésie pédiatrique. Cependant, contrairement à ce que l’on observe dans d’autres pays, comme les États-Unis, l’anesthésie pédiatrique n’est pas une sur-spécialité et il n’existe pas de qualification ordinale en anesthésie pédiatrique pour l’exercer, contrairement à la chirurgie pédiatrique. Par contre, chaque année d’expérience supplémentaire de l’anesthésiste diminue de plus de 2 % les risques de complications cardiorespiratoires per- et postopératoires. L’entretien des compétences passe par un exercice hebdomadaire régulier. Selon l’âge, la lourdeur de l’acte et les comorbidités de l’enfant, on distingue plusieurs niveaux et donc lieux de prise en charge, qui correspondent aux centres spécialisés ou de proximité. Ces établissements ont des missions, des compétences médicales (notamment anesthésiques), un environnement hospitalier et une permanence des soins différents. En l’absence de structure spécifique pédiatrique, il faut : (1) individualiser un secteur du bloc opératoire et de salle de réveil, (2) prévoir un chariot spécifique regroupant tout le matériel, qui doit être adapté à l’âge des enfants et au poids, (3) identifier au moins un anesthésiste référent, qui a acquis l’expérience et pratique régulièrement l’anesthésie pédiatrique. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.308-314
Titre : Organisation de l’anesthésie pédiatrique : qui peut faire quoi et où peut-il le faire ? Type de document : revue Auteurs : Gilles Orliaguet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.308-314 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
complication
pédiatrie
risqueRésumé : L’enfant présente certaines particularités physiologiques et pharmacologiques, et des pathologies propres qui nécessitent d’avoir des connaissances et des compétences spécifiques. La morbi-mortalité des enfants les plus jeunes, en particulier des moins de 1 an, et ASA>3 est supérieure à celle des autres enfants. Un des autres facteurs de risque important de complications per-anesthésique est le défaut d’expérience et le manque de pratique en anesthésie pédiatrique. Cependant, contrairement à ce que l’on observe dans d’autres pays, comme les États-Unis, l’anesthésie pédiatrique n’est pas une sur-spécialité et il n’existe pas de qualification ordinale en anesthésie pédiatrique pour l’exercer, contrairement à la chirurgie pédiatrique. Par contre, chaque année d’expérience supplémentaire de l’anesthésiste diminue de plus de 2 % les risques de complications cardiorespiratoires per- et postopératoires. L’entretien des compétences passe par un exercice hebdomadaire régulier. Selon l’âge, la lourdeur de l’acte et les comorbidités de l’enfant, on distingue plusieurs niveaux et donc lieux de prise en charge, qui correspondent aux centres spécialisés ou de proximité. Ces établissements ont des missions, des compétences médicales (notamment anesthésiques), un environnement hospitalier et une permanence des soins différents. En l’absence de structure spécifique pédiatrique, il faut : (1) individualiser un secteur du bloc opératoire et de salle de réveil, (2) prévoir un chariot spécifique regroupant tout le matériel, qui doit être adapté à l’âge des enfants et au poids, (3) identifier au moins un anesthésiste référent, qui a acquis l’expérience et pratique régulièrement l’anesthésie pédiatrique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anesthésie pédiatrique : une affaire de famille / Mathilde de Queiroz Siqueira in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Anesthésie pédiatrique : une affaire de famille [revue] / Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur . - 2018 . - p.315-318.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.315-318
Mots-clés : anxiété
communication
famille
information
pré-opératoire
préparationRésumé :
L’enfant constitue une famille avec ses parents ou toute personne responsable de lui. Ils forment un « couple » indissociable. L’anxiété périopératoire de l’enfant et ses conséquences est désormais bien documentée. Notamment un de ses facteurs de risque est l’anxiété propre des parents. La prise en charge de l’enfant par un anesthésiste doit également tenir compte des parents/responsables. Elle débute lors de la consultation d’anesthésie par une évaluation de l’anxiété parentale. La délivrance d’une information adaptée à chaque famille est essentielle. Celle-ci se fait au travers de différents supports : à l’oral, par brochure, vidéo. La présence parentale aux différents stades de la prise en charge anesthésique est débattue et doit probablement être adaptée au cas par cas et à l’organisation de chaque structure. Enfin les professionnels ont un rôle majeur à jouer dans la diffusion de l’information et la préparation des familles via internet. La communication est le mot-clé de la prise en charge de la famille lors des différentes étapes d’une anesthésie dite pédiatrique.
[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.315-318
Titre : Anesthésie pédiatrique : une affaire de famille Type de document : revue Auteurs : Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.315-318 Langues : Français Mots-clés : anxiété
communication
famille
information
pré-opératoire
préparationRésumé :
L’enfant constitue une famille avec ses parents ou toute personne responsable de lui. Ils forment un « couple » indissociable. L’anxiété périopératoire de l’enfant et ses conséquences est désormais bien documentée. Notamment un de ses facteurs de risque est l’anxiété propre des parents. La prise en charge de l’enfant par un anesthésiste doit également tenir compte des parents/responsables. Elle débute lors de la consultation d’anesthésie par une évaluation de l’anxiété parentale. La délivrance d’une information adaptée à chaque famille est essentielle. Celle-ci se fait au travers de différents supports : à l’oral, par brochure, vidéo. La présence parentale aux différents stades de la prise en charge anesthésique est débattue et doit probablement être adaptée au cas par cas et à l’organisation de chaque structure. Enfin les professionnels ont un rôle majeur à jouer dans la diffusion de l’information et la préparation des familles via internet. La communication est le mot-clé de la prise en charge de la famille lors des différentes étapes d’une anesthésie dite pédiatrique.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’enfant enrhumé : je récuse ? J’endors ? / Souhayl Dahmani in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] L’enfant enrhumé : je récuse ? J’endors ? [revue] / Souhayl Dahmani, Auteur . - 2018 . - p.319-323.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.319-323
Mots-clés : complication
infection
pédiatrie
péri opératoire
VAS voie aérienne supérieureRésumé : L’enfant enrhumé est probablement l’un des plus grands « challenge » en anesthésie pédiatrique. En effet, la fréquence de cet événement avant la chirurgie, la diversité des symptômes, les risques de complications périopératoires et les enjeux organisationnels et humains conséquents à la décision d’annuler l’intervention rendent le management de ces patients très difficiles en associant un aspect médical à des considérations émotionnelles. Bien que la question de la réalisation ou non de l’anesthésie dans un contexte d’infection des voies aériennes supérieure reste non tranchée, il semble que les pratiques dans ce domaine soient relativement homogènes en France. En cas de décision de réaliser l’anesthésie, il est important de connaître les éléments à mettre en place pendant la période périopératoire afin de diminuer ou d’atténuer les complications respiratoires, quand l’anesthésie est décidée. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.319-323
Titre : L’enfant enrhumé : je récuse ? J’endors ? Type de document : revue Auteurs : Souhayl Dahmani, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.319-323 Langues : Français Mots-clés : complication
infection
pédiatrie
péri opératoire
VAS voie aérienne supérieureRésumé : L’enfant enrhumé est probablement l’un des plus grands « challenge » en anesthésie pédiatrique. En effet, la fréquence de cet événement avant la chirurgie, la diversité des symptômes, les risques de complications périopératoires et les enjeux organisationnels et humains conséquents à la décision d’annuler l’intervention rendent le management de ces patients très difficiles en associant un aspect médical à des considérations émotionnelles. Bien que la question de la réalisation ou non de l’anesthésie dans un contexte d’infection des voies aériennes supérieure reste non tranchée, il semble que les pratiques dans ce domaine soient relativement homogènes en France. En cas de décision de réaliser l’anesthésie, il est important de connaître les éléments à mettre en place pendant la période périopératoire afin de diminuer ou d’atténuer les complications respiratoires, quand l’anesthésie est décidée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les voies aériennes en pédiatrie / Jean-Michel Devys in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Les voies aériennes en pédiatrie [revue] / Jean-Michel Devys, Auteur . - 2018 . - p.324-330.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.324-330
Mots-clés : anesthésie
infection respiratoire
intubation endotrachéale
masque laryngé
pédiatrie
VAS voie aérienne supérieureRésumé : Les voies aériennes se modifient considérablement avec l’âge. Le nourrisson et le nouveau-né constituent une population à fort risque d’évènement respiratoire du fait de leurs caractéristiques anatomiques et physiologiques. Chez ces jeunes enfants, l’infection des voies aériennes supérieures, l’inexpérience de l’anesthésiste et l’intubation trachéale sont les principales causes d’évènements respiratoires. La prise en compte de ces risques et la connaissance des traitements des évènements respiratoires sont déterminants pour diminuer la morbidité respiratoire en anesthésie pédiatrique. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.324-330
Titre : Les voies aériennes en pédiatrie Type de document : revue Auteurs : Jean-Michel Devys, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.324-330 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
infection respiratoire
intubation endotrachéale
masque laryngé
pédiatrie
VAS voie aérienne supérieureRésumé : Les voies aériennes se modifient considérablement avec l’âge. Le nourrisson et le nouveau-né constituent une population à fort risque d’évènement respiratoire du fait de leurs caractéristiques anatomiques et physiologiques. Chez ces jeunes enfants, l’infection des voies aériennes supérieures, l’inexpérience de l’anesthésiste et l’intubation trachéale sont les principales causes d’évènements respiratoires. La prise en compte de ces risques et la connaissance des traitements des évènements respiratoires sont déterminants pour diminuer la morbidité respiratoire en anesthésie pédiatrique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Ventilation peropératoire en pédiatrie / Karine Nouette-Gaulain in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Ventilation peropératoire en pédiatrie [revue] / Karine Nouette-Gaulain, Auteur . - 2018 . - p.331-337.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.331-337
Mots-clés : enfant
MRA manoeuvre de recrutement alvéolaire
peropératoire
ventilationRésumé : Une ventilation mécanique invasive est nécessaire chez les enfants bénéficiant d’une anesthésie générale. Les complications respiratoires et des voies aériennes supérieures sont les causes les plus fréquentes de morbi-mortalité chez l’enfant. Les différents facteurs de risque qui rendent les enfants vulnérables à l’hypoxie lors des anesthésies sont associés à une altération de la mécanique ventilatoire et se traduisent par une diminution de la capacité fonctionnelle respiratoire et la formation d’atélectasie. L’ensemble de ces données suggère qu’une ventilation protectrice doit être proposée chez les enfants au cours d’une anesthésie générale. Au cours de l’induction de l’anesthésie, l’aide inspiratoire permet d’éviter la survenue d’hypoventilation. Au cours de l’entretien, cette stratégie associe un volume courant à 6–9mL/kg (un volume courant supérieur à 10mL/kg de poids réel est à éviter), des manœuvres de recrutement et une pression expiratoire positive (≥5cmH2O) afin de prévenir la formation des atélectasies. Un mode en pression contrôlée avec un débit décélérant est à préférer chez les nourrissons et nouveau-nés. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.331-337
Titre : Ventilation peropératoire en pédiatrie Type de document : revue Auteurs : Karine Nouette-Gaulain, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.331-337 Langues : Français Mots-clés : enfant
MRA manoeuvre de recrutement alvéolaire
peropératoire
ventilationRésumé : Une ventilation mécanique invasive est nécessaire chez les enfants bénéficiant d’une anesthésie générale. Les complications respiratoires et des voies aériennes supérieures sont les causes les plus fréquentes de morbi-mortalité chez l’enfant. Les différents facteurs de risque qui rendent les enfants vulnérables à l’hypoxie lors des anesthésies sont associés à une altération de la mécanique ventilatoire et se traduisent par une diminution de la capacité fonctionnelle respiratoire et la formation d’atélectasie. L’ensemble de ces données suggère qu’une ventilation protectrice doit être proposée chez les enfants au cours d’une anesthésie générale. Au cours de l’induction de l’anesthésie, l’aide inspiratoire permet d’éviter la survenue d’hypoventilation. Au cours de l’entretien, cette stratégie associe un volume courant à 6–9mL/kg (un volume courant supérieur à 10mL/kg de poids réel est à éviter), des manœuvres de recrutement et une pression expiratoire positive (≥5cmH2O) afin de prévenir la formation des atélectasies. Un mode en pression contrôlée avec un débit décélérant est à préférer chez les nourrissons et nouveau-nés. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Comment gérer l’analgésie postopératoire de l’enfant et en fonction de quoi ? / Francis Veyckemans in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Comment gérer l’analgésie postopératoire de l’enfant et en fonction de quoi ? [revue] / Francis Veyckemans, Auteur . - 2018 . - p.338-344.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.338-344
Mots-clés : douleur postopératoire
enfant
qualité des soinsRésumé : La gestion de l’analgésie postopératoire doit être préparée lors de la consultation d’anesthésie en tenant compte de son intensité et de sa durée habituelles, de l’état de santé de l’enfant et après avoir obtenu le consentement informé des parents. Elle doit être initiée durant l’intervention chirurgicale. En cas d’hospitalisation, la prescription d’analgésiques doit être basée sur un protocole d’analgésie établi avec l’ensemble de l’équipe soignante ; il doit inclure la conduite à tenir en cas d’analgésie insuffisante, d’effet secondaire ou de complication. De plus, les parents doivent être intégrés dans la prise en charge de leur enfant. En cas de chirurgie ambulatoire, la communication d’instructions précises aux parents est essentielle pour éviter à la fois une analgésie insuffisante et des complications. Un appel téléphonique le lendemain de l’intervention permet d’évaluer la prise en charge parentale et de donner des conseils utiles. Quel que soit le lieu où la douleur postopératoire est prise en charge, l’efficience du traitement doit faire l’objet d’une démarche d’évaluation de la qualité des soins. Celle-ci représente un processus énergivore et chronophage qui demande du leadership, un esprit d’équipe et un soutien institutionnel pour atteindre ses objectifs. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.338-344
Titre : Comment gérer l’analgésie postopératoire de l’enfant et en fonction de quoi ? Type de document : revue Auteurs : Francis Veyckemans, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.338-344 Langues : Français Mots-clés : douleur postopératoire
enfant
qualité des soinsRésumé : La gestion de l’analgésie postopératoire doit être préparée lors de la consultation d’anesthésie en tenant compte de son intensité et de sa durée habituelles, de l’état de santé de l’enfant et après avoir obtenu le consentement informé des parents. Elle doit être initiée durant l’intervention chirurgicale. En cas d’hospitalisation, la prescription d’analgésiques doit être basée sur un protocole d’analgésie établi avec l’ensemble de l’équipe soignante ; il doit inclure la conduite à tenir en cas d’analgésie insuffisante, d’effet secondaire ou de complication. De plus, les parents doivent être intégrés dans la prise en charge de leur enfant. En cas de chirurgie ambulatoire, la communication d’instructions précises aux parents est essentielle pour éviter à la fois une analgésie insuffisante et des complications. Un appel téléphonique le lendemain de l’intervention permet d’évaluer la prise en charge parentale et de donner des conseils utiles. Quel que soit le lieu où la douleur postopératoire est prise en charge, l’efficience du traitement doit faire l’objet d’une démarche d’évaluation de la qualité des soins. Celle-ci représente un processus énergivore et chronophage qui demande du leadership, un esprit d’équipe et un soutien institutionnel pour atteindre ses objectifs. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Indicateurs de complications postopératoires en anesthésie pédiatrique / Fabrice Michel in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Indicateurs de complications postopératoires en anesthésie pédiatrique [revue] / Fabrice Michel, Auteur . - 2018 . - p.345-353.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.345-353
Mots-clés : anesthésie
CPO complications postopératoires
facteur de risque
pédiatrie
scoreRésumé : Les complications postopératoires les plus fréquentes en pédiatrie sont les troubles respiratoires, la douleur, les nausées et vomissements et l’agitation au réveil. Elles sont responsables d’inconfort, d’inquiétude des familles, d’une augmentation des durées de séjour en salle de surveillance post-interventionnelle, ou engendrent des hospitalisations non prévues, augmentant les coûts de prise en charge. Elles ont été largement étudiées et plusieurs outils ont été proposés pour les anticiper et tenter de les prévenir. La connaissance de ces facteurs de risque permet également d’éviter de mettre en place des traitements inutiles. Des complications plus graves et plus rares sont aussi possibles, pouvant conduire à des hospitalisations en réanimation ou des décès. Bien que plus difficile à anticiper, des études rétrospectives de grande ampleur ont pu permettre d’identifier des facteurs de risque. L’existence de comorbidités, le score ASA, la prématurité et le jeune âge sont parmi les facteurs de risque le plus souvent rapportés. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.345-353
Titre : Indicateurs de complications postopératoires en anesthésie pédiatrique Type de document : revue Auteurs : Fabrice Michel, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.345-353 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
CPO complications postopératoires
facteur de risque
pédiatrie
scoreRésumé : Les complications postopératoires les plus fréquentes en pédiatrie sont les troubles respiratoires, la douleur, les nausées et vomissements et l’agitation au réveil. Elles sont responsables d’inconfort, d’inquiétude des familles, d’une augmentation des durées de séjour en salle de surveillance post-interventionnelle, ou engendrent des hospitalisations non prévues, augmentant les coûts de prise en charge. Elles ont été largement étudiées et plusieurs outils ont été proposés pour les anticiper et tenter de les prévenir. La connaissance de ces facteurs de risque permet également d’éviter de mettre en place des traitements inutiles. Des complications plus graves et plus rares sont aussi possibles, pouvant conduire à des hospitalisations en réanimation ou des décès. Bien que plus difficile à anticiper, des études rétrospectives de grande ampleur ont pu permettre d’identifier des facteurs de risque. L’existence de comorbidités, le score ASA, la prématurité et le jeune âge sont parmi les facteurs de risque le plus souvent rapportés. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’urgence hémorragique postopératoire : algorithme de gestion / Nadège Salvi in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] L’urgence hémorragique postopératoire : algorithme de gestion [revue] / Nadège Salvi, Auteur ; Nicolas Leboulanger, Auteur ; Gilles Orliaguet, Auteur . - 2018 . - p.354-358.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.354-358
Mots-clés : amygdalectomie
hémorragie
induction séquence rapide
urgence vitaleRésumé : L’amygdalectomie est une intervention chirurgicale fréquente et banalisée mais parfois associée à des complications potentiellement graves comme l’hémorragie post-amygdalectomie (HPA). Celle-ci peut être précoce, survenant dans les 6 premières heures postopératoires, ou tardive, survenant principalement entre le 5e et le 15e jour postopératoire. Les principaux facteurs de risque de HPA sont l’âge, le sexe et la technique chirurgicale alors que l’utilisation d’anti-inflammatoires ne majore pas ce risque. Devant le diagnostic de HPA, tardive dans la majorité des cas, la reprise chirurgicale est indiquée dans la moitié des cas. La prise en charge anesthésique de cette hémostase chirurgicale doit prendre en compte l’anémie potentielle plus ou moins hypovolémique du patient et impose une induction en séquence rapide. Cette complication est encore de nos jours susceptible de mettre en jeu le pronostic vital. Une optimisation des nouvelles techniques chirurgicales et une bonne coopération anesthésiste – chirurgien permettent d’en limiter la morbi-mortalité. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.354-358
Titre : L’urgence hémorragique postopératoire : algorithme de gestion Type de document : revue Auteurs : Nadège Salvi, Auteur ; Nicolas Leboulanger, Auteur ; Gilles Orliaguet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.354-358 Langues : Français Mots-clés : amygdalectomie
hémorragie
induction séquence rapide
urgence vitaleRésumé : L’amygdalectomie est une intervention chirurgicale fréquente et banalisée mais parfois associée à des complications potentiellement graves comme l’hémorragie post-amygdalectomie (HPA). Celle-ci peut être précoce, survenant dans les 6 premières heures postopératoires, ou tardive, survenant principalement entre le 5e et le 15e jour postopératoire. Les principaux facteurs de risque de HPA sont l’âge, le sexe et la technique chirurgicale alors que l’utilisation d’anti-inflammatoires ne majore pas ce risque. Devant le diagnostic de HPA, tardive dans la majorité des cas, la reprise chirurgicale est indiquée dans la moitié des cas. La prise en charge anesthésique de cette hémostase chirurgicale doit prendre en compte l’anémie potentielle plus ou moins hypovolémique du patient et impose une induction en séquence rapide. Cette complication est encore de nos jours susceptible de mettre en jeu le pronostic vital. Une optimisation des nouvelles techniques chirurgicales et une bonne coopération anesthésiste – chirurgien permettent d’en limiter la morbi-mortalité. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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