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Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.4 n°2Mention de date : mars 2018Paru le : 01/03/2018 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLa commande centrale de la ventilation / Sébastien Campion in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] La commande centrale de la ventilation [revue] / Sébastien Campion, Auteur ; Suela Demiri, Auteur ; Mathieu Raux, Auteur . - 2018 . - p.130-133.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.130-133
Mots-clés : cortex cérébral
muscles respiratoires
tronc cérébral
ventilation mécaniqueRésumé : La ventilation constitue un acte physiologique vital, dont l’objectif est d’assurer l’élimination du CO2. Sa commande trouve son origine dans le tronc cérébral, au sein de deux générateurs couplés. Ainsi produite, elle est transmise aux muscles ventilatoires par un réseau d’interneurones du tronc cérébral. Cette commande automatique est « épaulée » par une commande supra-pontique trouvant son origine au sein de structures corticales et sous corticales. Les informations provenant de mécanorécepteurs et de chémorécepteurs renseignent le système ventilatoire sur son état d’activation et son objectif. La commande ventilatoire est augmentée par l’hypercapnie, la survenue d’une contrainte à l’écoulement de l’air ainsi que l’angoisse. Elle est inhibée par les médicaments de l’anesthésie et par la ventilation mécanique. D’un point de vue clinique, elle ne peut être dissociée de la notion de sensation ventilatoire, en particulier de confort. Le bon réglage de la ventilation mécanique doit tenir compte de ses effets sur la commande et le confort du patient. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.130-133
Titre : La commande centrale de la ventilation Type de document : revue Auteurs : Sébastien Campion, Auteur ; Suela Demiri, Auteur ; Mathieu Raux, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.130-133 Langues : Français Mots-clés : cortex cérébral
muscles respiratoires
tronc cérébral
ventilation mécaniqueRésumé : La ventilation constitue un acte physiologique vital, dont l’objectif est d’assurer l’élimination du CO2. Sa commande trouve son origine dans le tronc cérébral, au sein de deux générateurs couplés. Ainsi produite, elle est transmise aux muscles ventilatoires par un réseau d’interneurones du tronc cérébral. Cette commande automatique est « épaulée » par une commande supra-pontique trouvant son origine au sein de structures corticales et sous corticales. Les informations provenant de mécanorécepteurs et de chémorécepteurs renseignent le système ventilatoire sur son état d’activation et son objectif. La commande ventilatoire est augmentée par l’hypercapnie, la survenue d’une contrainte à l’écoulement de l’air ainsi que l’angoisse. Elle est inhibée par les médicaments de l’anesthésie et par la ventilation mécanique. D’un point de vue clinique, elle ne peut être dissociée de la notion de sensation ventilatoire, en particulier de confort. Le bon réglage de la ventilation mécanique doit tenir compte de ses effets sur la commande et le confort du patient. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hyperoxie : un réel enjeu ? / Didier Payen in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Hyperoxie : un réel enjeu ? [revue] / Didier Payen, Auteur . - 2018 . - p.134-137.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.134-137
Mots-clés : hyperoxie Résumé : L’application de l’hyperoxie en présence d’hypoxie est débattue dans la littérature. Des articles ont rapporté des effets délétères qui peuvent engendrer une aggravation pronostique, sans réelle preuve clinique. Après avoir revue les définitions et les voies essentielles impliquées dans la reperfusion tissulaire, il apparaît que l’oxygène dissout est le facteur essentiel sanguin augmenté par l’hyperoxie. Bien que non prouvé, il est le facteur majeur de la formation accrue de dérivé réactif de l’oxygène (ROS) au-delà de la production physiologique. Cette hyperproduction de ROS stimule des voies métaboliques couvrant la transduction d’enzymes impliqués dans le métabolisme des ROS ainsi que leur fonction. Bien qu’imparfaitement connu, le métabolisme des ROS est largement modifié par l’hyperoxie, changeant le métabolisme cellulaire. La circonstance la plus fréquemment discutée pour l’utilisation de l’hyperoxie concerne l’arrêt cardiaque réanimé avec succès. Les organes cibles de la surproduction de ROS les plus étudiés sont le cerveau, le poumon, et le système immunitaire. Il semble que les ROS induisent des dégâts cellulaires au niveau du ADN qui peuvent être réparés ou restent définitifs conduisant à la mort cellulaire, en fonction de la durée et de l’intensité de production. Après avoir intégré les résultats expérimentaux, cette revue mentionne les résultats cliniques. Aucune étude ne permet de tirer une conclusion du fait de la grande hétérogénéité des protocoles et des méthodes utilisés. À partir de ces observations, on peut proposer une attitude raisonnable, qui doit cependant être testée et prouvée. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.134-137
Titre : Hyperoxie : un réel enjeu ? Type de document : revue Auteurs : Didier Payen, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.134-137 Langues : Français Mots-clés : hyperoxie Résumé : L’application de l’hyperoxie en présence d’hypoxie est débattue dans la littérature. Des articles ont rapporté des effets délétères qui peuvent engendrer une aggravation pronostique, sans réelle preuve clinique. Après avoir revue les définitions et les voies essentielles impliquées dans la reperfusion tissulaire, il apparaît que l’oxygène dissout est le facteur essentiel sanguin augmenté par l’hyperoxie. Bien que non prouvé, il est le facteur majeur de la formation accrue de dérivé réactif de l’oxygène (ROS) au-delà de la production physiologique. Cette hyperproduction de ROS stimule des voies métaboliques couvrant la transduction d’enzymes impliqués dans le métabolisme des ROS ainsi que leur fonction. Bien qu’imparfaitement connu, le métabolisme des ROS est largement modifié par l’hyperoxie, changeant le métabolisme cellulaire. La circonstance la plus fréquemment discutée pour l’utilisation de l’hyperoxie concerne l’arrêt cardiaque réanimé avec succès. Les organes cibles de la surproduction de ROS les plus étudiés sont le cerveau, le poumon, et le système immunitaire. Il semble que les ROS induisent des dégâts cellulaires au niveau du ADN qui peuvent être réparés ou restent définitifs conduisant à la mort cellulaire, en fonction de la durée et de l’intensité de production. Après avoir intégré les résultats expérimentaux, cette revue mentionne les résultats cliniques. Aucune étude ne permet de tirer une conclusion du fait de la grande hétérogénéité des protocoles et des méthodes utilisés. À partir de ces observations, on peut proposer une attitude raisonnable, qui doit cependant être testée et prouvée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible SDRA ou SDRAs / Jean Michel Constantin in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] SDRA ou SDRAs [revue] / Jean Michel Constantin, Auteur ; Matthieu Jabaudon, Auteur . - 2018 . - p.138-140.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.138-140
Mots-clés : phénotype
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
ventilation mécaniqueRésumé : En dépit des progrès faits dans la compréhension de la physiopathologie et des avancées en termes de stratégie ventilatoire, la mortalité inhérente au SDRA demeure très élevée. Un faisceau d’arguments cliniques et biologiques vient appuyer l’idée qu’il n’existe pas un SDRA mais des phénotypes distincts de SDRA. Ces phénotypes ont des mécanismes distincts qui leur confèrent des réponses différentes aux différentes stratégies thérapeutiques. L’avenir de la prise en charge de ces patients passe probablement par la prise en compte de ces différentes formes de SDRA. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.138-140
Titre : SDRA ou SDRAs Type de document : revue Auteurs : Jean Michel Constantin, Auteur ; Matthieu Jabaudon, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.138-140 Langues : Français Mots-clés : phénotype
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
ventilation mécaniqueRésumé : En dépit des progrès faits dans la compréhension de la physiopathologie et des avancées en termes de stratégie ventilatoire, la mortalité inhérente au SDRA demeure très élevée. Un faisceau d’arguments cliniques et biologiques vient appuyer l’idée qu’il n’existe pas un SDRA mais des phénotypes distincts de SDRA. Ces phénotypes ont des mécanismes distincts qui leur confèrent des réponses différentes aux différentes stratégies thérapeutiques. L’avenir de la prise en charge de ces patients passe probablement par la prise en compte de ces différentes formes de SDRA. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Ventilation protectrice pour tous ? (œdème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) / Christophe Quesnel in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Ventilation protectrice pour tous ? (œdème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) [revue] / Christophe Quesnel, Auteur ; El Mahdi Hafiani, Auteur ; Marc Garnier, Auteur . - 2018 . - p.141-146.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.141-146
Mots-clés : lésion
pression expiratoire
ventilation protectriceRésumé :
La ventilation est une technique essentielle en réanimation dont les modalités peuvent conditionner l’évolution du patient. Diverses études animales et cliniques dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ont montré le rôle délétère de volume courant (Vt) ≥12mL/kg de poids idéal théorique (PIT). Ces travaux ont conduit au concept de lésions induites par le ventilateur (VILI), dont les principaux déterminants sont le volotrauma, le barotrauma et l’atélectrauma. Il semble que l’adéquation entre Vt administré et volume pulmonaire disponible traduite par la pression motrice soit un déterminant essentiel du VILI. Ces mécanismes d’agression se combinent et peuvent être assimilés à une énergie mécanique délivrée au poumon introduisant une notion dynamique au VILI. Au cours du SDRA, la ventilation protectrice associant réduction du Vt à 6mL/kg PIT et usage de la pression expiratoire positive (PEP) a été évaluée. Les résultats positifs de ces études, ont conduit à extrapoler ce concept en anesthésie et chez tous les patients critiques sans critères de SDRA recevant une ventilation. Des études de cohortes conduites chez des patients sans SDRA suggèrent qu’une diminution du Vt et des stratégies combinées de ventilation protectrice sont associées à une plus faible incidence de SDRA et pour certaines à une amélioration du pronostic. Cependant, les résultats de plusieurs essais randomisés en cours permettront de progresser sur les modalités de cette ventilation protectrice appliquée à tous les patients ventilés. La ventilation protectrice semble donc à privilégier en l’intégrant à la prise en charge de la pathologie concernée.
[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.141-146
Titre : Ventilation protectrice pour tous ? (œdème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) Type de document : revue Auteurs : Christophe Quesnel, Auteur ; El Mahdi Hafiani, Auteur ; Marc Garnier, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.141-146 Langues : Français Mots-clés : lésion
pression expiratoire
ventilation protectriceRésumé :
La ventilation est une technique essentielle en réanimation dont les modalités peuvent conditionner l’évolution du patient. Diverses études animales et cliniques dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ont montré le rôle délétère de volume courant (Vt) ≥12mL/kg de poids idéal théorique (PIT). Ces travaux ont conduit au concept de lésions induites par le ventilateur (VILI), dont les principaux déterminants sont le volotrauma, le barotrauma et l’atélectrauma. Il semble que l’adéquation entre Vt administré et volume pulmonaire disponible traduite par la pression motrice soit un déterminant essentiel du VILI. Ces mécanismes d’agression se combinent et peuvent être assimilés à une énergie mécanique délivrée au poumon introduisant une notion dynamique au VILI. Au cours du SDRA, la ventilation protectrice associant réduction du Vt à 6mL/kg PIT et usage de la pression expiratoire positive (PEP) a été évaluée. Les résultats positifs de ces études, ont conduit à extrapoler ce concept en anesthésie et chez tous les patients critiques sans critères de SDRA recevant une ventilation. Des études de cohortes conduites chez des patients sans SDRA suggèrent qu’une diminution du Vt et des stratégies combinées de ventilation protectrice sont associées à une plus faible incidence de SDRA et pour certaines à une amélioration du pronostic. Cependant, les résultats de plusieurs essais randomisés en cours permettront de progresser sur les modalités de cette ventilation protectrice appliquée à tous les patients ventilés. La ventilation protectrice semble donc à privilégier en l’intégrant à la prise en charge de la pathologie concernée.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Réglages « cachés » du ventilateur / Matthieu Jabaudon in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Réglages « cachés » du ventilateur [revue] / Matthieu Jabaudon, Auteur ; Raiko Blondonnet, Auteur ; Thomas Godet, Auteur ; Kevin Lagarde, Auteur ; Emmanuel Futier, Auteur ; Jean Etienne Bazin, Auteur ; Jean Michel Constantin, Auteur . - 2018 . - p.147-154.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.147-154
Mots-clés : assistance ventilatoire
débit
fréquence
réglage
respirateur
respiration
ventilation en pression positiveRésumé : Certains réglages du respirateur comme la fraction inspirée en oxygène, le débit d’insufflation, le réglage d’une pause télé-inspiratoire, le rapport entre le temps inspiratoire et le temps expiratoire, ainsi que d’autres réglages spécifiques aux modes ventilatoires assistés ont moins fait l’objet d’études cliniques que le réglage du volume courant ou de la pression télé-expiratoire positive par exemple. Pourtant, ces réglages, dits « cachés », peuvent avoir un impact majeur sur l’efficacité de la ventilation ainsi que sur le confort et le travail respiratoire du patient. L’intérêt principal de bien connaître ses réglages est de toujours chercher, lorsque cela est possible, d’adapter le respirateur au patient et non d’adapter le patient au respirateur. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.147-154
Titre : Réglages « cachés » du ventilateur Type de document : revue Auteurs : Matthieu Jabaudon, Auteur ; Raiko Blondonnet, Auteur ; Thomas Godet, Auteur ; Kevin Lagarde, Auteur ; Emmanuel Futier, Auteur ; Jean Etienne Bazin, Auteur ; Jean Michel Constantin, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.147-154 Langues : Français Mots-clés : assistance ventilatoire
débit
fréquence
réglage
respirateur
respiration
ventilation en pression positiveRésumé : Certains réglages du respirateur comme la fraction inspirée en oxygène, le débit d’insufflation, le réglage d’une pause télé-inspiratoire, le rapport entre le temps inspiratoire et le temps expiratoire, ainsi que d’autres réglages spécifiques aux modes ventilatoires assistés ont moins fait l’objet d’études cliniques que le réglage du volume courant ou de la pression télé-expiratoire positive par exemple. Pourtant, ces réglages, dits « cachés », peuvent avoir un impact majeur sur l’efficacité de la ventilation ainsi que sur le confort et le travail respiratoire du patient. L’intérêt principal de bien connaître ses réglages est de toujours chercher, lorsque cela est possible, d’adapter le respirateur au patient et non d’adapter le patient au respirateur. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Ventilation : particularités pédiatriques / Christophe Milesi in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Ventilation : particularités pédiatriques [revue] / Christophe Milesi, Auteur ; Julien Frédéric Baleine, Auteur ; Gilles Cambonie, Auteur . - 2018 . - p.155-160.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.155-160
Mots-clés : bronchiolite
pédiatrie
physiologie
ventilationRésumé : La ventilation chez l’enfant a de grandes similarités avec celle de l’adulte. Il existe néanmoins quelques spécificités à prendre en compte. Sur un plan physiologique, le poumon de l’enfant est son « talon d’Achille » avec des valeurs de compliance et de résistance très différentes de celles de l’adulte. Le recours à la VNI est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le SDRA. La ventilation de l’enfant prématuré nécessite d’adapter toutes les valeurs aux données anthropométriques de l’enfant et d’éviter un certain nombre de pièges. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.155-160
Titre : Ventilation : particularités pédiatriques Type de document : revue Auteurs : Christophe Milesi, Auteur ; Julien Frédéric Baleine, Auteur ; Gilles Cambonie, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.155-160 Langues : Français Mots-clés : bronchiolite
pédiatrie
physiologie
ventilationRésumé : La ventilation chez l’enfant a de grandes similarités avec celle de l’adulte. Il existe néanmoins quelques spécificités à prendre en compte. Sur un plan physiologique, le poumon de l’enfant est son « talon d’Achille » avec des valeurs de compliance et de résistance très différentes de celles de l’adulte. Le recours à la VNI est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le SDRA. La ventilation de l’enfant prématuré nécessite d’adapter toutes les valeurs aux données anthropométriques de l’enfant et d’éviter un certain nombre de pièges. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation / Antoine Sannini in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation [revue] / Antoine Sannini, Auteur ; Luca Servan, Auteur ; Djamel Mokart, Auteur . - 2018 . - p.161-168.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.161-168
Mots-clés : oxygénothérapie
réanimation
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
VNI ventilation non invasiveRésumé : La ventilation non invasive (VNI) est utilisée avec succès depuis près de deux décennies dans le contexte de décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et d’œdème aigu du poumon (OAP). La VNI a également été utilisée dans d’autres cadres nosologiques, avec des résultats discordants dans la littérature concernant le pronostic et la diminution de l’intubation oro-trachéale. Afin de définir plus clairement les champs d’application optimaux de la VNI, les études tendent à analyser des populations de patients moins hétérogènes, notamment dans le cadre des insuffisances respiratoires aiguës hypoxémiques dites « de novo ». Dans ce contexte, l’oxygénothérapie à haut débit (OHD) semble permettre l'obtention d'une oxygénation bien supérieure aux dispositifs standards avec un bien meilleur confort, sans reposer sur une ventilation en pression positive, à l’inverse de la VNI. Le but de cette revue de la littérature est de comparer l’efficacité de la VNI et de l’OHD dans les différents contextes de détresse respiratoire rencontrés en réanimation. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.161-168
Titre : Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation Type de document : revue Auteurs : Antoine Sannini, Auteur ; Luca Servan, Auteur ; Djamel Mokart, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.161-168 Langues : Français Mots-clés : oxygénothérapie
réanimation
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
VNI ventilation non invasiveRésumé : La ventilation non invasive (VNI) est utilisée avec succès depuis près de deux décennies dans le contexte de décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et d’œdème aigu du poumon (OAP). La VNI a également été utilisée dans d’autres cadres nosologiques, avec des résultats discordants dans la littérature concernant le pronostic et la diminution de l’intubation oro-trachéale. Afin de définir plus clairement les champs d’application optimaux de la VNI, les études tendent à analyser des populations de patients moins hétérogènes, notamment dans le cadre des insuffisances respiratoires aiguës hypoxémiques dites « de novo ». Dans ce contexte, l’oxygénothérapie à haut débit (OHD) semble permettre l'obtention d'une oxygénation bien supérieure aux dispositifs standards avec un bien meilleur confort, sans reposer sur une ventilation en pression positive, à l’inverse de la VNI. Le but de cette revue de la littérature est de comparer l’efficacité de la VNI et de l’OHD dans les différents contextes de détresse respiratoire rencontrés en réanimation. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Pré-habilitation, réhabilitation ? / Anne Freynet in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Pré-habilitation, réhabilitation ? [revue] / Anne Freynet, Auteur ; Pierre* Grandet, Auteur ; Olivier Joannes-Boyau, Auteur ; Alexandre Ouattara, Auteur . - 2018 . - p.169-174.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.169-174
Mots-clés : kinésithérapie
neuromyopathie
réanimation
réhabilitationRésumé : La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.169-174
Titre : Pré-habilitation, réhabilitation ? Type de document : revue Auteurs : Anne Freynet, Auteur ; Pierre* Grandet, Auteur ; Olivier Joannes-Boyau, Auteur ; Alexandre Ouattara, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.169-174 Langues : Français Mots-clés : kinésithérapie
neuromyopathie
réanimation
réhabilitationRésumé : La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation / Arnaud W. Thille in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation [revue] / Arnaud W. Thille, Auteur . - 2018 . - p.175-179.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.175-179
Mots-clés : extubation
réanimation
sevrage ventilatoire
ventilation mécaniqueRésumé : En réanimation, le taux de réintubation après extubation programmée est d’environ 15 %. Afin de réduire le risque d’échec, les sociétés savantes (SFAR-SRLF) recommandent la réalisation systématique d’une épreuve de sevrage chez tous les patients intubés plus de 48h. L’épreuve de sevrage a pour but de simuler les conditions physiologiques de la respiration spontanée après l’extubation. Elle peut être réalisée soit en ventilation spontanée sur pièce en T, soit avec en aide inspiratoire sur le ventilateur (AI entre 5 à 8cm H2O). Le travail respiratoire après extubation est identique au travail respiratoire lors d’une pièce en T. En effet, les résistances des voies aériennes supérieures restent élevées même après l’extubation, et le travail respiratoire n’est pas diminué malgré l’ablation de la sonde d’intubation. L’épreuve de pièce en T reflète donc parfaitement les conditions physiologiques de la respiration spontanée. Par comparaison, le travail respiratoire est plus faible lors d’une épreuve en AI que lors d’une pièce en T et certaines études suggèrent que l’épreuve en AI pourrait accélérer l’extubation. Dans ces études, le taux de réintubation n’était pas augmenté malgré une épreuve en AI plus facile que l’épreuve de pièce en T ou la respiration spontanée. Les recommandations américaines proposent donc de réaliser la première épreuve de sevrage en AI plutôt qu’en pièce en T afin de favoriser l’extubation précoce. Cependant, aucune étude n’a comparé le taux de réintubation selon l’épreuve de sevrage chez les patients à haut risque, et les résultats actuels devraient être interprétés avec prudence chez ces patients. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.175-179
Titre : Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation Type de document : revue Auteurs : Arnaud W. Thille, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.175-179 Langues : Français Mots-clés : extubation
réanimation
sevrage ventilatoire
ventilation mécaniqueRésumé : En réanimation, le taux de réintubation après extubation programmée est d’environ 15 %. Afin de réduire le risque d’échec, les sociétés savantes (SFAR-SRLF) recommandent la réalisation systématique d’une épreuve de sevrage chez tous les patients intubés plus de 48h. L’épreuve de sevrage a pour but de simuler les conditions physiologiques de la respiration spontanée après l’extubation. Elle peut être réalisée soit en ventilation spontanée sur pièce en T, soit avec en aide inspiratoire sur le ventilateur (AI entre 5 à 8cm H2O). Le travail respiratoire après extubation est identique au travail respiratoire lors d’une pièce en T. En effet, les résistances des voies aériennes supérieures restent élevées même après l’extubation, et le travail respiratoire n’est pas diminué malgré l’ablation de la sonde d’intubation. L’épreuve de pièce en T reflète donc parfaitement les conditions physiologiques de la respiration spontanée. Par comparaison, le travail respiratoire est plus faible lors d’une épreuve en AI que lors d’une pièce en T et certaines études suggèrent que l’épreuve en AI pourrait accélérer l’extubation. Dans ces études, le taux de réintubation n’était pas augmenté malgré une épreuve en AI plus facile que l’épreuve de pièce en T ou la respiration spontanée. Les recommandations américaines proposent donc de réaliser la première épreuve de sevrage en AI plutôt qu’en pièce en T afin de favoriser l’extubation précoce. Cependant, aucune étude n’a comparé le taux de réintubation selon l’épreuve de sevrage chez les patients à haut risque, et les résultats actuels devraient être interprétés avec prudence chez ces patients. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible « La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique » : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? / Antoine Monsel in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] « La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique » : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? [revue] / Antoine Monsel, Auteur ; Marine Le Corre, Auteur ; Romain Deransy, Auteur ; Hélène Brisson, Auteur ; Charlotte Arbelot, Auteur ; Corinne Vézinet, Auteur ; Qin Lu, Auteur ; Olivier Langeron, Auteur . - 2018 . - p.180-189.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.180-189
Mots-clés : ballonnet
intubation endotrachéale
réanimation
respirateur
ventilation mécaniqueRésumé : L’usage de sondes d’intubation endotrachéale avec ballonnet en polyvinyle chloride de type cylindrique, ajouté au contrôle rigoureux de la pression ajustée entre 20 et 30 cmH2O, éventuellement aidé par des dispositifs de régulation continue, doit être associé à l’aspiration régulière des sécrétions sous-glottiques dont les modalités optimales restent encore à définir. L’association de ces différents éléments constitue probablement une combinaison synergique nécessaire pour réduire au maximum l’incidence des pneumonies acquises en réanimation. Les circuits double branche avec filtres échangeurs de chaleur et d’humidité couplé à un raccord annelé restent adaptés à la grande majorité des patients, faisant réserver les humidificateurs chauffants à des situations spécifiques et minoritaires (sécrétions abondantes, risque majeur d’obstruction de sonde). L’hétérogénéité importante des performances des filtres commercialisés rend essentiel d’en vérifier les caractéristiques (capacité d’humidification, espace mort) qui orienteront le choix définitif du matériel utilisé. Le choix du ventilateur de réanimation repose essentiellement sur un cahier des charges ciblant le type de pathologie respiratoire, les modes ventilatoires et les outils de monitorages utilisés par l’équipe en charge. Les ventilateurs polyvalents de réanimation présentent des performances médiocres concernant la gestion des asynchronies, cependant, ils restent les plus adaptés aux patients de réanimation bénéficiant de ventilation invasive. La grande hétérogénéité de leurs performances impose un examen rigoureux de leurs capacités à délivrer les paramètres demandés, et à pressuriser les voies aériennes, afin de choisir au mieux un ventilateur garantissant le meilleur niveau de soin. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.180-189
Titre : « La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique » : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? Type de document : revue Auteurs : Antoine Monsel, Auteur ; Marine Le Corre, Auteur ; Romain Deransy, Auteur ; Hélène Brisson, Auteur ; Charlotte Arbelot, Auteur ; Corinne Vézinet, Auteur ; Qin Lu, Auteur ; Olivier Langeron, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.180-189 Langues : Français Mots-clés : ballonnet
intubation endotrachéale
réanimation
respirateur
ventilation mécaniqueRésumé : L’usage de sondes d’intubation endotrachéale avec ballonnet en polyvinyle chloride de type cylindrique, ajouté au contrôle rigoureux de la pression ajustée entre 20 et 30 cmH2O, éventuellement aidé par des dispositifs de régulation continue, doit être associé à l’aspiration régulière des sécrétions sous-glottiques dont les modalités optimales restent encore à définir. L’association de ces différents éléments constitue probablement une combinaison synergique nécessaire pour réduire au maximum l’incidence des pneumonies acquises en réanimation. Les circuits double branche avec filtres échangeurs de chaleur et d’humidité couplé à un raccord annelé restent adaptés à la grande majorité des patients, faisant réserver les humidificateurs chauffants à des situations spécifiques et minoritaires (sécrétions abondantes, risque majeur d’obstruction de sonde). L’hétérogénéité importante des performances des filtres commercialisés rend essentiel d’en vérifier les caractéristiques (capacité d’humidification, espace mort) qui orienteront le choix définitif du matériel utilisé. Le choix du ventilateur de réanimation repose essentiellement sur un cahier des charges ciblant le type de pathologie respiratoire, les modes ventilatoires et les outils de monitorages utilisés par l’équipe en charge. Les ventilateurs polyvalents de réanimation présentent des performances médiocres concernant la gestion des asynchronies, cependant, ils restent les plus adaptés aux patients de réanimation bénéficiant de ventilation invasive. La grande hétérogénéité de leurs performances impose un examen rigoureux de leurs capacités à délivrer les paramètres demandés, et à pressuriser les voies aériennes, afin de choisir au mieux un ventilateur garantissant le meilleur niveau de soin. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Intubation et extubation du patient de réanimation / Matthieu Truc in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°2 (mars 2018)
[article] Intubation et extubation du patient de réanimation [revue] / Matthieu Truc, Auteur ; Hervé Quintard, Auteur . - 2018 . - p.190-197.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.190-197
Mots-clés : extubation
intubation
préoxygénationRésumé : L’intubation et l’extubation sont des périodes considérées comme à risque chez nos patients de réanimation. Les conditions d’intubation en contexte d’urgence associées à un état hémodynamique et respiratoire précaires font que celle-ci doit être considérée systématiquement comme compliquée et doit nous conduire à une préparation stricte dans sa réalisation. Il en va de même pour la période d’extubation car l’échec de celle-ci conduit à une aggravation du pronostique. Nous rapportons et discutons dans ce texte les principaux points de la dernière recommandation formalisée d’expert organisée conjointement par la SFAR et la SRLF, afin d’optimiser la réalisation de ces deux procedures chez nos patients de réanimation. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°2 (mars 2018) . - p.190-197
Titre : Intubation et extubation du patient de réanimation Type de document : revue Auteurs : Matthieu Truc, Auteur ; Hervé Quintard, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.190-197 Langues : Français Mots-clés : extubation
intubation
préoxygénationRésumé : L’intubation et l’extubation sont des périodes considérées comme à risque chez nos patients de réanimation. Les conditions d’intubation en contexte d’urgence associées à un état hémodynamique et respiratoire précaires font que celle-ci doit être considérée systématiquement comme compliquée et doit nous conduire à une préparation stricte dans sa réalisation. Il en va de même pour la période d’extubation car l’échec de celle-ci conduit à une aggravation du pronostique. Nous rapportons et discutons dans ce texte les principaux points de la dernière recommandation formalisée d’expert organisée conjointement par la SFAR et la SRLF, afin d’optimiser la réalisation de ces deux procedures chez nos patients de réanimation. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031778 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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00031778 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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