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Ethique et santé . vol.14 n°4A l'épreuve de la pluralité des représentations professionnellesMention de date : décembre 2017 Paru le : 01/12/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe soin, une éthique de l’attention ? / J.-M. Baleyte in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Le soin, une éthique de l’attention ? [revue] / J.-M. Baleyte, Auteur ; S. Vannel, Auteur ; A.-M. Hennequin, Auteur . - 2017 . - p.194-199.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.194-199
Mots-clés : attention
enseignement
éthique
psychothérapie
soinRésumé : Porter attention à l’autre, comme méthode et comme éthique, mobilise réceptivité et mise en sens. C’est dans les liens, en référence à la métaphore des poupées russes, que la réceptivité est travaillée, aiguisée et restaurée. Elle implique disponibilité, sensibilité, écoute et est simultanément orientée vers l’extérieur et vers l’intérieur de soi-même, dans un double mouvement synergique ; presque un oxymore, l’attention aux processus inconscients serait paradoxale si elle ne suggérait le détour par soi-même pour porter attention à l’autre et le détour par l’autre, par les autres du groupe, pour élucider les processus en soi. La disponibilité et la vitalité des capacités d’attention imposent une capacité de « détoxification », garantie par les liens, travaillée en particulier dans le groupe de supervision. La réceptivité implique d’accepter, tenir sans les évacuer, émotions et pensées irreprésentables ou dérangeantes, sans mobilisation des systèmes de défense agis ou pensés. Elle recommande sobriété d’action et de parole. Chaque situation de soin saura construire les conditions d’une « contenance institutionnelle » garante de la qualité et de la régénération des processus d’attention par les liens, les compétences, les dispositifs et le temps nécessaires. L’attention apparaît ainsi comme une éthique ; elle ouvre simultanément le chemin de la rencontre de l’autre et de soi-même. [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.194-199
Titre : Le soin, une éthique de l’attention ? Type de document : revue Auteurs : J.-M. Baleyte, Auteur ; S. Vannel, Auteur ; A.-M. Hennequin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.194-199 Langues : Français Mots-clés : attention
enseignement
éthique
psychothérapie
soinRésumé : Porter attention à l’autre, comme méthode et comme éthique, mobilise réceptivité et mise en sens. C’est dans les liens, en référence à la métaphore des poupées russes, que la réceptivité est travaillée, aiguisée et restaurée. Elle implique disponibilité, sensibilité, écoute et est simultanément orientée vers l’extérieur et vers l’intérieur de soi-même, dans un double mouvement synergique ; presque un oxymore, l’attention aux processus inconscients serait paradoxale si elle ne suggérait le détour par soi-même pour porter attention à l’autre et le détour par l’autre, par les autres du groupe, pour élucider les processus en soi. La disponibilité et la vitalité des capacités d’attention imposent une capacité de « détoxification », garantie par les liens, travaillée en particulier dans le groupe de supervision. La réceptivité implique d’accepter, tenir sans les évacuer, émotions et pensées irreprésentables ou dérangeantes, sans mobilisation des systèmes de défense agis ou pensés. Elle recommande sobriété d’action et de parole. Chaque situation de soin saura construire les conditions d’une « contenance institutionnelle » garante de la qualité et de la régénération des processus d’attention par les liens, les compétences, les dispositifs et le temps nécessaires. L’attention apparaît ainsi comme une éthique ; elle ouvre simultanément le chemin de la rencontre de l’autre et de soi-même. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Du rapport entre la science et l’éthique / J. Sainton in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Du rapport entre la science et l’éthique [revue] / J. Sainton, Auteur . - 2017 . - p.200-204.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.200-204
Mots-clés : éthique
morale
science
subjectivité
techniqueRésumé : Dans l’un des derniers bulletins du comité Éthique & Cancer, le Pr. Philippe Chaumet s’est interrogé sur le rapport entre la science et l’éthique. Pour l’auteur, la vision optimiste de Socrate du lien nécessaire entre science et vérité aurait été celle des modernes, une vision que les horreurs du vingtième siècle et la crise écologique actuelle seraient venues détromper. Mais la science moderne n’est pas celle de Socrate. La science moderne, mathématique et opératoire, qui a permis un développement technique extraordinaire, implique un réductionnisme scientifique et une logique de maîtrise technicienne. De la même façon et en lien, l’éthique a évolué. Alors que pour les Anciens, le cœur de la morale était de connaître ses limites et de s’accorder à sa nature, il est devenu pour les modernes de construire un monde meilleur grâce à la technique. C’est, sur le plan collectif, l’idéal historique appelé progrès. Aussi la crise actuelle de la modernité traduit-elle non pas l’échec de Socrate, mais l’aporie de l’idéal collectif de la modernité que constitue l’accroissement invincible de l’individualisme, lequel s’explique là encore par la nature de la science des modernes – le subjectivisme de la conscience étant devenu le pendant nécessaire à l’objectivisme de la science et de la technique. Redisant toute l’importance de la question posée par le Pr. Chaumet, nous renvoyons donc à la nécessité de dépasser le cadre épistémologique technoscientifique actuel pour redécouvrir un sens objectif et commun à la réalité et donc à l’éthique. [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.200-204
Titre : Du rapport entre la science et l’éthique Type de document : revue Auteurs : J. Sainton, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.200-204 Langues : Français Mots-clés : éthique
morale
science
subjectivité
techniqueRésumé : Dans l’un des derniers bulletins du comité Éthique & Cancer, le Pr. Philippe Chaumet s’est interrogé sur le rapport entre la science et l’éthique. Pour l’auteur, la vision optimiste de Socrate du lien nécessaire entre science et vérité aurait été celle des modernes, une vision que les horreurs du vingtième siècle et la crise écologique actuelle seraient venues détromper. Mais la science moderne n’est pas celle de Socrate. La science moderne, mathématique et opératoire, qui a permis un développement technique extraordinaire, implique un réductionnisme scientifique et une logique de maîtrise technicienne. De la même façon et en lien, l’éthique a évolué. Alors que pour les Anciens, le cœur de la morale était de connaître ses limites et de s’accorder à sa nature, il est devenu pour les modernes de construire un monde meilleur grâce à la technique. C’est, sur le plan collectif, l’idéal historique appelé progrès. Aussi la crise actuelle de la modernité traduit-elle non pas l’échec de Socrate, mais l’aporie de l’idéal collectif de la modernité que constitue l’accroissement invincible de l’individualisme, lequel s’explique là encore par la nature de la science des modernes – le subjectivisme de la conscience étant devenu le pendant nécessaire à l’objectivisme de la science et de la technique. Redisant toute l’importance de la question posée par le Pr. Chaumet, nous renvoyons donc à la nécessité de dépasser le cadre épistémologique technoscientifique actuel pour redécouvrir un sens objectif et commun à la réalité et donc à l’éthique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? / Béatrice Birmelé in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? [revue] / Béatrice Birmelé, Auteur ; Murielle François, Auteur . - 2017 . - p.205-212.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.205-212
Mots-clés : décision médicale partagée
dialyse
insuffisance rénale
LAT limitation ou arrêt de traitement
procédure collégiale
soins palliatifsRésumé : Le traitement par dialyse chez un patient ayant une insuffisance rénale est une suppléance vitale. Cependant, avec l’évolution des technologies, la prise en charge des patients aux nombreuses comorbidités, la dialyse peut devenir une obstination déraisonnable. Avant les lois sur la fin de vie, de telles décisions étaient prises, parfois de manière non explicite. La question restait difficile, a-t-on le droit, peut-on arrêter un traitement vital ? Et si oui, comment procéder, qui prend la décision ? L’objectif de cet article est de montrer comment les lois sur la fin de vie permettent de poser un cadre à ces décisions : l’arrêt du traitement par dialyse est un droit pour le patient, un devoir pour les professionnels lorsque celle-ci est obstination déraisonnable. La procédure collégiale est obligatoire lorsque le patient n’est pas conscient, avec la consultation de la personne de confiance et des directives anticipées (rédaction à laquelle on peut encourager les patients). Enfin l’intervention des professionnels de soins palliatifs est une aide précieuse pour la prise de décision et pour l’accompagnement des patients et de leurs proches. L’expérience présentée montre que même si le patient est conscient, la délibération pluridisciplinaire est systématique. Cependant, il reste des problématiques ; celle de la temporalité de chacun, patient, proches, équipe soignante/médecin, comment concilier les différents vécus ? Et celle du lieu de fin de vie, d’une durée indéterminée, entre domicile, EHPAD, hospitalisation : comment organiser en amont cet accompagnement ? Finalement cette fin de vie n’est pas toujours prévisible… [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.205-212
Titre : La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? Type de document : revue Auteurs : Béatrice Birmelé, Auteur ; Murielle François, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.205-212 Langues : Français Mots-clés : décision médicale partagée
dialyse
insuffisance rénale
LAT limitation ou arrêt de traitement
procédure collégiale
soins palliatifsRésumé : Le traitement par dialyse chez un patient ayant une insuffisance rénale est une suppléance vitale. Cependant, avec l’évolution des technologies, la prise en charge des patients aux nombreuses comorbidités, la dialyse peut devenir une obstination déraisonnable. Avant les lois sur la fin de vie, de telles décisions étaient prises, parfois de manière non explicite. La question restait difficile, a-t-on le droit, peut-on arrêter un traitement vital ? Et si oui, comment procéder, qui prend la décision ? L’objectif de cet article est de montrer comment les lois sur la fin de vie permettent de poser un cadre à ces décisions : l’arrêt du traitement par dialyse est un droit pour le patient, un devoir pour les professionnels lorsque celle-ci est obstination déraisonnable. La procédure collégiale est obligatoire lorsque le patient n’est pas conscient, avec la consultation de la personne de confiance et des directives anticipées (rédaction à laquelle on peut encourager les patients). Enfin l’intervention des professionnels de soins palliatifs est une aide précieuse pour la prise de décision et pour l’accompagnement des patients et de leurs proches. L’expérience présentée montre que même si le patient est conscient, la délibération pluridisciplinaire est systématique. Cependant, il reste des problématiques ; celle de la temporalité de chacun, patient, proches, équipe soignante/médecin, comment concilier les différents vécus ? Et celle du lieu de fin de vie, d’une durée indéterminée, entre domicile, EHPAD, hospitalisation : comment organiser en amont cet accompagnement ? Finalement cette fin de vie n’est pas toujours prévisible… Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les espaces d’échanges pluri-professionnels : condition d’une pratique réflexive à dimension éthique dans les institutions médico-sociales ? / S. Leroy in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Les espaces d’échanges pluri-professionnels : condition d’une pratique réflexive à dimension éthique dans les institutions médico-sociales ? [revue] / S. Leroy, Auteur . - 2017 . - p.213-217.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.213-217
Mots-clés : échange
EMS établissement médico-social
éthique
pluridisciplinarité
pratique réflexiveRésumé : L’approche pluridisciplinaire, incontournable en institution médico-sociale, perd aujourd’hui sa vocation initiale de rapprochement des disciplines, en lien avec l’intensification des rythmes de travail. En effet, la tentative de rentabilisation des moyens alloués au secteur de la santé marque davantage le cloisonnement entre les professionnels en limitant notamment les espaces d’échanges informels. À partir d’une enquête ethnographique menée auprès de professionnels soignants, cet article propose d’étudier ce que peuvent apporter les espaces d’échanges pluri-professionnels au sein d’une institution médico-sociale, en particulier en dégageant la dimension éthique sous-jacente de la pratique réflexive des soignants. Les espaces d’élaboration des pratiques peuvent permettre l’émergence d’un rhizome soignant interdisciplinaire, symbolisant une « communauté éthique » qui veille sur la personne vulnérable dont elle est responsable. [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.213-217
Titre : Les espaces d’échanges pluri-professionnels : condition d’une pratique réflexive à dimension éthique dans les institutions médico-sociales ? Type de document : revue Auteurs : S. Leroy, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.213-217 Langues : Français Mots-clés : échange
EMS établissement médico-social
éthique
pluridisciplinarité
pratique réflexiveRésumé : L’approche pluridisciplinaire, incontournable en institution médico-sociale, perd aujourd’hui sa vocation initiale de rapprochement des disciplines, en lien avec l’intensification des rythmes de travail. En effet, la tentative de rentabilisation des moyens alloués au secteur de la santé marque davantage le cloisonnement entre les professionnels en limitant notamment les espaces d’échanges informels. À partir d’une enquête ethnographique menée auprès de professionnels soignants, cet article propose d’étudier ce que peuvent apporter les espaces d’échanges pluri-professionnels au sein d’une institution médico-sociale, en particulier en dégageant la dimension éthique sous-jacente de la pratique réflexive des soignants. Les espaces d’élaboration des pratiques peuvent permettre l’émergence d’un rhizome soignant interdisciplinaire, symbolisant une « communauté éthique » qui veille sur la personne vulnérable dont elle est responsable. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Appréhender le toucher : vers une éthique du soin ? Analyse des représentations par profession sur un territoire de santé / S. Lecomte in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Appréhender le toucher : vers une éthique du soin ? Analyse des représentations par profession sur un territoire de santé [revue] / S. Lecomte, Auteur ; R. Juvin, Auteur ; V. Vion-Genovese, Auteur . - 2017 . - p.218-224.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.218-224
Mots-clés : éthique
formation
soin
toucherRésumé :
Introduction : Le toucher dans le soin est incontournable. L’interprétation qui peut en être faite porte à s’interroger sur ce que les soignants ont mis en place comme réflexion ou stratégie pour l’appréhender dans leur pratique quotidienne. Notre enquête, sur un territoire de santé, cherchait à préciser ce qui pousse les professionnels de santé à toucher les patients et en quoi l’interprétation qu’ils en font du ressenti du patient impacte sur leur posture.
Méthodologie : Des questionnaires et entretiens semi-dirigés ont été réalisés auprès de quatorze professionnels de santé, libéraux et salariés. Ce groupe était pluri-professionnel. Les verbatim ont été analysés et classés selon les thématiques, analysés séparément puis profession par profession.
Résultats : Les professionnels de santé ont exprimé leurs interrogations et fait part de leurs expériences et stratégies mises en œuvre lors des soins. Que ce soit à visée diagnostique, thérapeutique ou de confort, le toucher ne laisse personne indifférent. De ce matériau, nous proposons une chronologie visant à aider les soignants dans le repérage de l’impact que le toucher peut avoir auprès de leurs patients.
Conclusion : Bien que réalisé sur un petit échantillon, ce travail a mis en lumière le manque de formation initiale sur l’impact du toucher au cœur du soin, la nécessité de reconnaître l’expérience concrète pluri-professionnelle et d’avoir une réflexion éthique commune sur le toucher. Il ne doit pas y avoir d’opposition entre la science et le toucher affectif, l’un et l’autre se complétant pour servir l’humanité.[article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.218-224
Titre : Appréhender le toucher : vers une éthique du soin ? Analyse des représentations par profession sur un territoire de santé Type de document : revue Auteurs : S. Lecomte, Auteur ; R. Juvin, Auteur ; V. Vion-Genovese, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.218-224 Langues : Français Mots-clés : éthique
formation
soin
toucherRésumé :
Introduction : Le toucher dans le soin est incontournable. L’interprétation qui peut en être faite porte à s’interroger sur ce que les soignants ont mis en place comme réflexion ou stratégie pour l’appréhender dans leur pratique quotidienne. Notre enquête, sur un territoire de santé, cherchait à préciser ce qui pousse les professionnels de santé à toucher les patients et en quoi l’interprétation qu’ils en font du ressenti du patient impacte sur leur posture.
Méthodologie : Des questionnaires et entretiens semi-dirigés ont été réalisés auprès de quatorze professionnels de santé, libéraux et salariés. Ce groupe était pluri-professionnel. Les verbatim ont été analysés et classés selon les thématiques, analysés séparément puis profession par profession.
Résultats : Les professionnels de santé ont exprimé leurs interrogations et fait part de leurs expériences et stratégies mises en œuvre lors des soins. Que ce soit à visée diagnostique, thérapeutique ou de confort, le toucher ne laisse personne indifférent. De ce matériau, nous proposons une chronologie visant à aider les soignants dans le repérage de l’impact que le toucher peut avoir auprès de leurs patients.
Conclusion : Bien que réalisé sur un petit échantillon, ce travail a mis en lumière le manque de formation initiale sur l’impact du toucher au cœur du soin, la nécessité de reconnaître l’expérience concrète pluri-professionnelle et d’avoir une réflexion éthique commune sur le toucher. Il ne doit pas y avoir d’opposition entre la science et le toucher affectif, l’un et l’autre se complétant pour servir l’humanité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Apports de l’amitié aristotélicienne pour l’éthique de la relation entre internes et médecins séniors / R. Pougnet in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Apports de l’amitié aristotélicienne pour l’éthique de la relation entre internes et médecins séniors [revue] / R. Pougnet, Auteur ; L. Pougnet, Auteur . - 2017 . - p.225-230.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.225-230
Mots-clés : confraternité
éthique
formation
relation professionnelleRésumé : L’exercice de la médecine suppose d’entrer en relation intersubjective avec de nombreuses personnes ; et en premier lieu avec les patients et leurs familles. Toutefois, les médecins sont de plus en plus amenés à travailler ensemble et cela est particulièrement vrai au sein des hôpitaux et des universités pour les médecins terminant leur formation, que l’on appelle les internes, et les médecins amenés à les encadrer, que l’on appelle communément médecins séniors. Cette relation peut être source de développement personnel et professionnel, mais aussi être un des facteurs de risque de troubles réactionnels de types anxieux et dépressifs. Dès lors se pose la question de savoir ce que je dois faire dans mon agir relationnel pour réaliser cette relation dans sa finalité de soins et de formation, sans pour autant favoriser l’émergence de ces dits troubles. Nous proposons ici une piste de réflexion à partir de la philosophie d’Aristote, et plus précisément, de la notion d’amitié. [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.225-230
Titre : Apports de l’amitié aristotélicienne pour l’éthique de la relation entre internes et médecins séniors Type de document : revue Auteurs : R. Pougnet, Auteur ; L. Pougnet, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.225-230 Langues : Français Mots-clés : confraternité
éthique
formation
relation professionnelleRésumé : L’exercice de la médecine suppose d’entrer en relation intersubjective avec de nombreuses personnes ; et en premier lieu avec les patients et leurs familles. Toutefois, les médecins sont de plus en plus amenés à travailler ensemble et cela est particulièrement vrai au sein des hôpitaux et des universités pour les médecins terminant leur formation, que l’on appelle les internes, et les médecins amenés à les encadrer, que l’on appelle communément médecins séniors. Cette relation peut être source de développement personnel et professionnel, mais aussi être un des facteurs de risque de troubles réactionnels de types anxieux et dépressifs. Dès lors se pose la question de savoir ce que je dois faire dans mon agir relationnel pour réaliser cette relation dans sa finalité de soins et de formation, sans pour autant favoriser l’émergence de ces dits troubles. Nous proposons ici une piste de réflexion à partir de la philosophie d’Aristote, et plus précisément, de la notion d’amitié. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Représentations : pour une indispensable rigueur méthodologique en éthique médicale / M. Tomczyk in Ethique et santé, vol.14 n°4 (décembre 2017)
[article] Représentations : pour une indispensable rigueur méthodologique en éthique médicale [revue] / M. Tomczyk, Auteur ; M.-L. Viallard, Auteur ; S. Beloucif, Auteur . - 2017 . - p.231-237.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.231-237
Mots-clés : éthique
méthodologie
relation de soinRésumé : Des études sur le terrain ayant pour but d’explorer les représentations de participants à une relation de soin se multiplient en éthique médicale, sans que la notion de représentation soit définie ; diverses confusions conceptuelles émergent. Or, une bonne compréhension de cette notion est indispensable, pour circonscrire correctement le champ de l’étude et, par la suite, développer une réflexion éthique adéquate. Une clarification de la notion de représentation paraît donc nécessaire, afin de favoriser la rigueur méthodologique des travaux à venir. Ainsi, en premier lieu, la notion de représentation, et plus précisément celle de représentation sociale, est explicitée. Considérée comme un système d’interactions, trois types de relation sont exposés et discutés. Leurs implications méthodologiques sont mises en relief et accompagnées d’exemples. Par ailleurs, une attention particulière est portée à l’analyse des représentations. [article]
in Ethique et santé > vol.14 n°4 (décembre 2017) . - p.231-237
Titre : Représentations : pour une indispensable rigueur méthodologique en éthique médicale Type de document : revue Auteurs : M. Tomczyk, Auteur ; M.-L. Viallard, Auteur ; S. Beloucif, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.231-237 Langues : Français Mots-clés : éthique
méthodologie
relation de soinRésumé : Des études sur le terrain ayant pour but d’explorer les représentations de participants à une relation de soin se multiplient en éthique médicale, sans que la notion de représentation soit définie ; diverses confusions conceptuelles émergent. Or, une bonne compréhension de cette notion est indispensable, pour circonscrire correctement le champ de l’étude et, par la suite, développer une réflexion éthique adéquate. Une clarification de la notion de représentation paraît donc nécessaire, afin de favoriser la rigueur méthodologique des travaux à venir. Ainsi, en premier lieu, la notion de représentation, et plus précisément celle de représentation sociale, est explicitée. Considérée comme un système d’interactions, trois types de relation sont exposés et discutés. Leurs implications méthodologiques sont mises en relief et accompagnées d’exemples. Par ailleurs, une attention particulière est portée à l’analyse des représentations. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031622 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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00031622 | rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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