Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Sexologies . vol.26 n°4Mention de date : octobre décembre 2017Paru le : 01/10/2017 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierIdentifications de genre trans et pratiques médicales en Italie : positionnement personnel envers les formes de chirurgie de confirmation de genre / R. Vitelli in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Identifications de genre trans et pratiques médicales en Italie : positionnement personnel envers les formes de chirurgie de confirmation de genre [revue] / R. Vitelli, Auteur ; C. Scandurra, Auteur ; R. Pacifico, Auteur . - 2017 . - p.199-204.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.199-204
Mots-clés : chirurgie
genre
identification
sexe
traitement hormonal
transsexualismeRésumé : Objectifs : Dans le cadre du projet international « Santé et citoyenneté des personnes Trans » réalisée en France, Italie, Brésil et Norvège, cette étude italienne vise à explorer les caractéristiques sociodémographiques, et la fonction des traitements hormonaux et chirurgicaux, par rapport aux identifications de genre dans le cadre des parcours de transition.
Méthode : Une enquête par questionnaire visant à identifier les informations sociodémographiques et évaluer le recours aux traitements hormonaux et chirurgicaux a été réalisée en Italie. Au total, 167 questionnaires ont été collectés auprès de 71 Female to Male (FtM) et de 96 Male to Female (MtF). Deux principaux indicateurs (le sexe attribué à la naissance et l’auto-identification de genre), ont été utilisés pour analyser les parcours médicaux, psychologiques et légaux.
Résultats : Une forte diversité interne à cette population, dont la définition ne peut être réduite aux catégorisations de genre binaires, a été mise en évidence. Différentes modalités de recours aux traitements psychologiques, hormonaux et chirurgicaux ont été observés. Une augmentation des formes d’identification de genre non binaires a été observée alors que la majorité des participants ont exprimé une demande de Chirurgie d’affirmation de genre (GAS).
Conclusions : Ces résultats éclairent la diversité des recours à la stabilisation des identités de genre en Italie. Si l’on observe une diminution de l’importance des Chirurgies d’affirmation de genre parmi ces personnes, le recours à ces mêmes opérations reste cependant élevé.[article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.199-204
Titre : Identifications de genre trans et pratiques médicales en Italie : positionnement personnel envers les formes de chirurgie de confirmation de genre Type de document : revue Auteurs : R. Vitelli, Auteur ; C. Scandurra, Auteur ; R. Pacifico, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.199-204 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
genre
identification
sexe
traitement hormonal
transsexualismeRésumé : Objectifs : Dans le cadre du projet international « Santé et citoyenneté des personnes Trans » réalisée en France, Italie, Brésil et Norvège, cette étude italienne vise à explorer les caractéristiques sociodémographiques, et la fonction des traitements hormonaux et chirurgicaux, par rapport aux identifications de genre dans le cadre des parcours de transition.
Méthode : Une enquête par questionnaire visant à identifier les informations sociodémographiques et évaluer le recours aux traitements hormonaux et chirurgicaux a été réalisée en Italie. Au total, 167 questionnaires ont été collectés auprès de 71 Female to Male (FtM) et de 96 Male to Female (MtF). Deux principaux indicateurs (le sexe attribué à la naissance et l’auto-identification de genre), ont été utilisés pour analyser les parcours médicaux, psychologiques et légaux.
Résultats : Une forte diversité interne à cette population, dont la définition ne peut être réduite aux catégorisations de genre binaires, a été mise en évidence. Différentes modalités de recours aux traitements psychologiques, hormonaux et chirurgicaux ont été observés. Une augmentation des formes d’identification de genre non binaires a été observée alors que la majorité des participants ont exprimé une demande de Chirurgie d’affirmation de genre (GAS).
Conclusions : Ces résultats éclairent la diversité des recours à la stabilisation des identités de genre en Italie. Si l’on observe une diminution de l’importance des Chirurgies d’affirmation de genre parmi ces personnes, le recours à ces mêmes opérations reste cependant élevé.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Homosexualité, migration : à propos d’une étude de cas / N. Scroccaro in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Homosexualité, migration : à propos d’une étude de cas [revue] / N. Scroccaro, Auteur . - 2017 . - p.205-207.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.205-207
Mots-clés : corps
droit d'asile
genre
homosexualité
migration
psychothérapieRésumé : Cet article aborde la situation très actuelle et particulière de personnes qui sont persécutées dans leur pays, notamment le cas de nombreux homosexuels qui vont vers l’Europe où l’on peut leur reconnaître un droit d’asile. En effet, une personne victime d’homophobie, que celle-ci soit pénalement condamnée, illégale, ou non tolérée dans un pays, peut demander l’asile pour des raisons des persécutions subies (ou des craintes de persécutions) du fait de son orientation sexuelle. Toutefois, outre la barrière de la langue, ils existent plusieurs obstacles qui peuvent empêcher le fait de convaincre les autorités administratives d’une pratique sexuelle. L’article évoque le cas d’un patient homosexuel qui a du mal à assumer ce choix du fait de sa morale. Son objectif est de poser les bases d’une réflexion qui tiendrait véritablement compte des spécificités d’accompagnement psychologique de ces migrants. Dans ce contexte, le clinicien est concerné à la fois par des discours liés à la santé, à la subjectivité et aux Droits de l’homme qui sont indéniablement liés dans ce type rencontre avec un patient. L’approche thérapeutique psychodynamique mobilisée interroge la façon dont le genre, se déploie pour une personne, à l’écart des normes et des stéréotypes sociaux. Elle propose tout simplement de partir à la rencontre de l’histoire d’un sujet. Pour cela, il est nécessaire qu’un minimum d’accueil soit proposé dans des conditions telles que ces personnes puissent les accepter. [article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.205-207
Titre : Homosexualité, migration : à propos d’une étude de cas Type de document : revue Auteurs : N. Scroccaro, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.205-207 Langues : Français Mots-clés : corps
droit d'asile
genre
homosexualité
migration
psychothérapieRésumé : Cet article aborde la situation très actuelle et particulière de personnes qui sont persécutées dans leur pays, notamment le cas de nombreux homosexuels qui vont vers l’Europe où l’on peut leur reconnaître un droit d’asile. En effet, une personne victime d’homophobie, que celle-ci soit pénalement condamnée, illégale, ou non tolérée dans un pays, peut demander l’asile pour des raisons des persécutions subies (ou des craintes de persécutions) du fait de son orientation sexuelle. Toutefois, outre la barrière de la langue, ils existent plusieurs obstacles qui peuvent empêcher le fait de convaincre les autorités administratives d’une pratique sexuelle. L’article évoque le cas d’un patient homosexuel qui a du mal à assumer ce choix du fait de sa morale. Son objectif est de poser les bases d’une réflexion qui tiendrait véritablement compte des spécificités d’accompagnement psychologique de ces migrants. Dans ce contexte, le clinicien est concerné à la fois par des discours liés à la santé, à la subjectivité et aux Droits de l’homme qui sont indéniablement liés dans ce type rencontre avec un patient. L’approche thérapeutique psychodynamique mobilisée interroge la façon dont le genre, se déploie pour une personne, à l’écart des normes et des stéréotypes sociaux. Elle propose tout simplement de partir à la rencontre de l’histoire d’un sujet. Pour cela, il est nécessaire qu’un minimum d’accueil soit proposé dans des conditions telles que ces personnes puissent les accepter. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le modèle du double contrôle dans la compréhension des comportements sexuels problématiques chez les hommes / K. Nolet in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Le modèle du double contrôle dans la compréhension des comportements sexuels problématiques chez les hommes [revue] / K. Nolet, Auteur ; A. Larouche Wilson, Auteur ; J.-L. Rouleau, Auteur . - 2017 . - p.208-212.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.208-212
Mots-clés : coercition sexuelle
comportement sexuel à risque
hypersexualité
sexualitéRésumé : Une réponse sexuelle trop forte chez l’homme est associée à différents comportements sexuels lourds de conséquences, comme l’hypersexualité, la prise de risques sexuels et l’utilisation de stratégies coercitives. Toutefois, considérer la réponse sexuelle comme étant une pulsion « hors de contrôle » néglige de considérer les facteurs de régulation et d’inhibition impliqués dans ces comportements. Le modèle du double contrôle propose que la force de la réponse sexuelle dépende de l’équilibre entre des systèmes d’excitation et d’inhibition. Le but de la présente recension des écrits est de montrer l’apport de ce modèle dans la compréhension des comportements sexuels problématiques chez les hommes, autant hétérosexuels qu’homosexuels. Les résultats issus des études empiriques permettent d’identifier trois grands processus associés aux trois systèmes de contrôle du modèle : une réponse sexuelle trop intense, un manque d’inhibition de cette réponse, ainsi qu’une inhibition provoquée par des préoccupations concernant la performance sexuelle. Autant les cliniciens que les chercheurs devraient ainsi considérer les facteurs d’excitation et d’inhibition dans le traitement et la recherche sur les comportements sexuels problématiques. [article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.208-212
Titre : Le modèle du double contrôle dans la compréhension des comportements sexuels problématiques chez les hommes Type de document : revue Auteurs : K. Nolet, Auteur ; A. Larouche Wilson, Auteur ; J.-L. Rouleau, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.208-212 Langues : Français Mots-clés : coercition sexuelle
comportement sexuel à risque
hypersexualité
sexualitéRésumé : Une réponse sexuelle trop forte chez l’homme est associée à différents comportements sexuels lourds de conséquences, comme l’hypersexualité, la prise de risques sexuels et l’utilisation de stratégies coercitives. Toutefois, considérer la réponse sexuelle comme étant une pulsion « hors de contrôle » néglige de considérer les facteurs de régulation et d’inhibition impliqués dans ces comportements. Le modèle du double contrôle propose que la force de la réponse sexuelle dépende de l’équilibre entre des systèmes d’excitation et d’inhibition. Le but de la présente recension des écrits est de montrer l’apport de ce modèle dans la compréhension des comportements sexuels problématiques chez les hommes, autant hétérosexuels qu’homosexuels. Les résultats issus des études empiriques permettent d’identifier trois grands processus associés aux trois systèmes de contrôle du modèle : une réponse sexuelle trop intense, un manque d’inhibition de cette réponse, ainsi qu’une inhibition provoquée par des préoccupations concernant la performance sexuelle. Autant les cliniciens que les chercheurs devraient ainsi considérer les facteurs d’excitation et d’inhibition dans le traitement et la recherche sur les comportements sexuels problématiques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Prise en charge sexologique des femmes excisées : expérience nantaise, France. Étude préliminaire / S. Dugast in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Prise en charge sexologique des femmes excisées : expérience nantaise, France. Étude préliminaire [revue] / S. Dugast, Auteur ; N. Winer, Auteur ; S. Wylomanski, Auteur . - 2017 . - p.213-221.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.213-221
Mots-clés : chirurgie
mutilation génitale
prise en charge
psychotraumatisme
qualité de vie
sexualité
verbalisationRésumé : Les répercussions des mutilations sexuelles féminines sur la santé des femmes sont nombreuses et impactent leur sexualité dans toute sa sphère multidimensionnelle. La réparation chirurgicale des mutilations sexuelles féminines pourrait améliorer la qualité de vie sexuelle, notamment au niveau fonctionnel, et diminuer la douleur mais les études sont peu nombreuses et ne permettent pas de la recommander en systématique. Cette étude préliminaire effectue un état des lieux de l’accompagnement sexologique auprès des femmes victimes de mutilation sexuelle dans le cadre d’une prise en charge pluridisciplinaire telle que nous la pratiquons au CHU de Nantes. Nous avons également souhaité savoir s’il existait une spécificité de l’apport sexologique dans le cadre d’une prise en charge pluridisciplinaire des mutilations sexuelles féminines. Cette évaluation a été réalisée auprès de 27 femmes ayant bénéficié d’une prise en charge chirurgicale et/ou sexologique d’une mutilation sexuelle entre 2011 et 2015 au CHU de Nantes. Les résultats obtenus, au moyen d’une évaluation multidimensionnelle de la sexualité, semblaient montrer un apport particulier de la chirurgie sur la fonctionnalité sexuelle, l’esthétisme et la symbolique de la réparation. La prise en charge sexologique semblait montrer un apport plus spécifique dans la verbalisation autour du vécu et des répercussions de l’excision, dans la maturation du projet chirurgical, dans l’information et l’éducation à la sexualité afin de permettre la restauration des fonctions sensuelles et sexuelles avec l’estime de soi. [article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.213-221
Titre : Prise en charge sexologique des femmes excisées : expérience nantaise, France. Étude préliminaire Type de document : revue Auteurs : S. Dugast, Auteur ; N. Winer, Auteur ; S. Wylomanski, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.213-221 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
mutilation génitale
prise en charge
psychotraumatisme
qualité de vie
sexualité
verbalisationRésumé : Les répercussions des mutilations sexuelles féminines sur la santé des femmes sont nombreuses et impactent leur sexualité dans toute sa sphère multidimensionnelle. La réparation chirurgicale des mutilations sexuelles féminines pourrait améliorer la qualité de vie sexuelle, notamment au niveau fonctionnel, et diminuer la douleur mais les études sont peu nombreuses et ne permettent pas de la recommander en systématique. Cette étude préliminaire effectue un état des lieux de l’accompagnement sexologique auprès des femmes victimes de mutilation sexuelle dans le cadre d’une prise en charge pluridisciplinaire telle que nous la pratiquons au CHU de Nantes. Nous avons également souhaité savoir s’il existait une spécificité de l’apport sexologique dans le cadre d’une prise en charge pluridisciplinaire des mutilations sexuelles féminines. Cette évaluation a été réalisée auprès de 27 femmes ayant bénéficié d’une prise en charge chirurgicale et/ou sexologique d’une mutilation sexuelle entre 2011 et 2015 au CHU de Nantes. Les résultats obtenus, au moyen d’une évaluation multidimensionnelle de la sexualité, semblaient montrer un apport particulier de la chirurgie sur la fonctionnalité sexuelle, l’esthétisme et la symbolique de la réparation. La prise en charge sexologique semblait montrer un apport plus spécifique dans la verbalisation autour du vécu et des répercussions de l’excision, dans la maturation du projet chirurgical, dans l’information et l’éducation à la sexualité afin de permettre la restauration des fonctions sensuelles et sexuelles avec l’estime de soi. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Relations entre sexualité, dépression et qualité de vie chez la femme Tunisienne enceinte / F. Ellouze in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Relations entre sexualité, dépression et qualité de vie chez la femme Tunisienne enceinte [revue] / F. Ellouze, Auteur ; I. Bouzouita, Auteur ; I. Chaari, Auteur . - 2017 . - p.222-227.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.222-227
Mots-clés : dépression
dysfonction sexuelle
femme enceinte
grossesse
qualité de vie
sexualitéRésumé :
Introduction : La grossesse, étape importante de la vie d’une femme, se caractérise par des changements importants, pouvant altérer l’humeur, la vie sexuelle et même la qualité de vie de la future mère.
Objectif : L’objectif de notre étude était d’explorer les liens de la sexualité de la femme enceinte avec la dépression d’une part et avec la qualité de vie d’autre part.
Méthodes : Nous avons réalisé une étude transversale et descriptive qui a concerné 100 femmes enceintes. Un hétéroquestionnaire semi-structuré a été passé pour explorer les données démographiques. Plusieurs échelles ont été aussi utilisées : l’index de la fonction sexuelle féminine : FSFI pour évaluer la fonction sexuelle, l’échelle de dépression du post-partum l’Edinburg pour mettre en évidence la dépression et l’échelle de la qualité de vie SF 12 pour évaluer la qualité de vie.
Résultats : Le score moyen du FSFI était de 23,1±5,8. Soixante-dix pour cent des patientes ont présenté une dysfonction sexuelle. La moyenne de l’échelle d’Edinburg était de 8,7±5,4. Vingt et huit pour cent des femmes présentaient les signes de dépression. Soixante et une pour cent avaient un score moyen de santé physique (PCS) de 50±10 et 65 % avaient un score moyen de santé mentale (MCS) de 50±10. Des liaisons statistiquement significatives ont été trouvées entre les items de la douleur, de la satisfaction sexuelle du FSFI et la dépression et entre l’item de la satisfaction du FSFI et le score de la santé mentale.
Conclusion : Des liens sont trouvés entre sexualité, dépression et qualité de vie. Ces relations peuvent être dues aux changements survenus au cours de la grossesse. D’autres recherches pour améliorer les connaissances de ces liens sont nécessaires.[article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.222-227
Titre : Relations entre sexualité, dépression et qualité de vie chez la femme Tunisienne enceinte Type de document : revue Auteurs : F. Ellouze, Auteur ; I. Bouzouita, Auteur ; I. Chaari, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.222-227 Langues : Français Mots-clés : dépression
dysfonction sexuelle
femme enceinte
grossesse
qualité de vie
sexualitéRésumé :
Introduction : La grossesse, étape importante de la vie d’une femme, se caractérise par des changements importants, pouvant altérer l’humeur, la vie sexuelle et même la qualité de vie de la future mère.
Objectif : L’objectif de notre étude était d’explorer les liens de la sexualité de la femme enceinte avec la dépression d’une part et avec la qualité de vie d’autre part.
Méthodes : Nous avons réalisé une étude transversale et descriptive qui a concerné 100 femmes enceintes. Un hétéroquestionnaire semi-structuré a été passé pour explorer les données démographiques. Plusieurs échelles ont été aussi utilisées : l’index de la fonction sexuelle féminine : FSFI pour évaluer la fonction sexuelle, l’échelle de dépression du post-partum l’Edinburg pour mettre en évidence la dépression et l’échelle de la qualité de vie SF 12 pour évaluer la qualité de vie.
Résultats : Le score moyen du FSFI était de 23,1±5,8. Soixante-dix pour cent des patientes ont présenté une dysfonction sexuelle. La moyenne de l’échelle d’Edinburg était de 8,7±5,4. Vingt et huit pour cent des femmes présentaient les signes de dépression. Soixante et une pour cent avaient un score moyen de santé physique (PCS) de 50±10 et 65 % avaient un score moyen de santé mentale (MCS) de 50±10. Des liaisons statistiquement significatives ont été trouvées entre les items de la douleur, de la satisfaction sexuelle du FSFI et la dépression et entre l’item de la satisfaction du FSFI et le score de la santé mentale.
Conclusion : Des liens sont trouvés entre sexualité, dépression et qualité de vie. Ces relations peuvent être dues aux changements survenus au cours de la grossesse. D’autres recherches pour améliorer les connaissances de ces liens sont nécessaires.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les facteurs qui influencent la faible utilisation des préservatifs par la population sexuellement active du Burundi / E. Ntirampeba in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] Les facteurs qui influencent la faible utilisation des préservatifs par la population sexuellement active du Burundi [revue] / E. Ntirampeba, Auteur ; P. De sutter, Auteur . - 2017 . - p.228-235.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.228-235
Mots-clés : préservatif
prévention
santé sexuelle
sexualité
SIDA syndrome d'immunodéficience acquiseRésumé :
Objectifs : Face à l’épidémie du sida et de nombreuses infections sexuellement transmissibles, les préservatifs constituent une meilleure et durable stratégie de prévention. Cependant, la population sexuellement active du Burundi utilise beaucoup moins ce mode de prévention. Ce qui explique en partie pourquoi la prévalence de ces maladies reste plus élevée au sein de cette population. L’objectif de cet article est de relever les raisons de la faible utilisation du préservatif par la population du Burundi.
Méthode : Analyse de la revue de la littérature locale et internationale sur le VIH et l’usage des préservatifs.
Résultats : Les principaux facteurs de non-usage des préservatifs sont les suivants : les préservatifs diminuent le plaisir sexuel, ils sont gênants, ils créent des suspicions entre partenaires connus et ne sont pas fiables. Aussi, lorsque les relations sexuelles ont lieu au gré des rencontres, souvent le préservatif ne trouve pas sa place. Par ailleurs, pour une majorité de Burundais, les préservatifs ne seraient éventuellement utiles que lorsqu’il s’agit des partenaires occasionnels. Mais s’il s’agit d’une liaison plus ou moins durable, il n’est pas utilisé. Des gens enfin, se sachant infectés n’utilisent pas les préservatifs pour contaminer sciemment les jeunes partenaires. En effet, il existe des croyances que le soi-disant « sang sain » pourrait guérir. Ou alors, il s’agit de partager une souffrance psychologique causée par leur état de séropositivité.
Conclusion : Envisager une éducation à la santé sexuelle de masse, sensibiliser les hommes qui utilisent divers moyens pour avoir des rapports sexuels non protégés avec les jeunes serait une bonne stratégie de prévention.[article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.228-235
Titre : Les facteurs qui influencent la faible utilisation des préservatifs par la population sexuellement active du Burundi Type de document : revue Auteurs : E. Ntirampeba, Auteur ; P. De sutter, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.228-235 Langues : Français Mots-clés : préservatif
prévention
santé sexuelle
sexualité
SIDA syndrome d'immunodéficience acquiseRésumé :
Objectifs : Face à l’épidémie du sida et de nombreuses infections sexuellement transmissibles, les préservatifs constituent une meilleure et durable stratégie de prévention. Cependant, la population sexuellement active du Burundi utilise beaucoup moins ce mode de prévention. Ce qui explique en partie pourquoi la prévalence de ces maladies reste plus élevée au sein de cette population. L’objectif de cet article est de relever les raisons de la faible utilisation du préservatif par la population du Burundi.
Méthode : Analyse de la revue de la littérature locale et internationale sur le VIH et l’usage des préservatifs.
Résultats : Les principaux facteurs de non-usage des préservatifs sont les suivants : les préservatifs diminuent le plaisir sexuel, ils sont gênants, ils créent des suspicions entre partenaires connus et ne sont pas fiables. Aussi, lorsque les relations sexuelles ont lieu au gré des rencontres, souvent le préservatif ne trouve pas sa place. Par ailleurs, pour une majorité de Burundais, les préservatifs ne seraient éventuellement utiles que lorsqu’il s’agit des partenaires occasionnels. Mais s’il s’agit d’une liaison plus ou moins durable, il n’est pas utilisé. Des gens enfin, se sachant infectés n’utilisent pas les préservatifs pour contaminer sciemment les jeunes partenaires. En effet, il existe des croyances que le soi-disant « sang sain » pourrait guérir. Ou alors, il s’agit de partager une souffrance psychologique causée par leur état de séropositivité.
Conclusion : Envisager une éducation à la santé sexuelle de masse, sensibiliser les hommes qui utilisent divers moyens pour avoir des rapports sexuels non protégés avec les jeunes serait une bonne stratégie de prévention.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible La pratique de la masturbation chez les femmes : la fin d’un tabou ? / F. Kraus in Sexologies, vol.26 n°4 (octobre décembre 2017)
[article] La pratique de la masturbation chez les femmes : la fin d’un tabou ? [revue] / F. Kraus, Auteur . - 2017 . - p.191-198.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.191-198
Mots-clés : couple
femme
masturbation
sexualitéRésumé :
Objectifs : Longtemps taboue, la pratique de la masturbation féminine tend à se banaliser sous l’effet d’un changement des représentations culturelles et des discours publics sur le sujet – par exemple dans le cinéma, la musique ou les séries TV – mais aussi d’un accès plus large des femmes à des supports d’excitation (ex : pornographie en ligne, livres érotiques) ou à des objets d’autostimulation plus adaptés aux attentes du public féminin (sex toys). Symptomatique d’une évolution des normes culturelles pesant sur la sexualité féminine, cette capacité des femmes à assumer la part purement individuelle et auto-érotique de leur sexualité met en évidence leur plus grande aisance à admettre des pratiques ne se situant pas dans le cadre socialement acceptable du couple. Malgré un net rapprochement des comportements des deux sexes en la matière, la masturbation est toutefois encore loin de devenir une composante de leur répertoire sexuel aussi ordinaire que dans celui des hommes, ni une pratique admissible facilement à leur conjoint.
Méthode : L’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré en ligne auprès d’un échantillon de 913 femmes de 18 à 69 ans, extrait d’un échantillon de 2011 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, en juin 2017. La représentativité de l’échantillon global a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession, région, taille d’unité urbaine, statut marital).
Résultats : La comparaison de ces données avec celles mesurées en 2012 selon des modalités identiques montre un rapprochement sans précédent des comportements onanistes des femmes sur ceux des hommes. De même, la comparaison des activités auto-érotiques des femmes en couple avec celles des femmes célibataires révèle que l’onanisme se poursuit en couple pour nombre de femmes, comme substitut ou en parallèle des rapports sexuels conjugaux. Mais cette forme de plaisir solitaire est loin d’être assumée au sein du couple, en particulier par les femmes insatisfaites de la qualité et de la quantité de leurs rapports conjugaux.
Conclusion : Pour beaucoup de femmes en couple (45 %), la masturbation reste un sujet tabou, sans doute parce qu’elles craignent que cette pratique soit interprétée comme le signe de l’incapacité de leur partenaire à satisfaire leurs besoins. Le tabou autour de la masturbation féminine reste donc prégnant, non seulement chez les femmes qui peinent à dissocier sexualité et conjugalité mais aussi chez celles dont le couple donne des signes d’une sexualité défaillante.[article]
in Sexologies > vol.26 n°4 (octobre décembre 2017) . - p.191-198
Titre : La pratique de la masturbation chez les femmes : la fin d’un tabou ? Type de document : revue Auteurs : F. Kraus, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.191-198 Langues : Français Mots-clés : couple
femme
masturbation
sexualitéRésumé :
Objectifs : Longtemps taboue, la pratique de la masturbation féminine tend à se banaliser sous l’effet d’un changement des représentations culturelles et des discours publics sur le sujet – par exemple dans le cinéma, la musique ou les séries TV – mais aussi d’un accès plus large des femmes à des supports d’excitation (ex : pornographie en ligne, livres érotiques) ou à des objets d’autostimulation plus adaptés aux attentes du public féminin (sex toys). Symptomatique d’une évolution des normes culturelles pesant sur la sexualité féminine, cette capacité des femmes à assumer la part purement individuelle et auto-érotique de leur sexualité met en évidence leur plus grande aisance à admettre des pratiques ne se situant pas dans le cadre socialement acceptable du couple. Malgré un net rapprochement des comportements des deux sexes en la matière, la masturbation est toutefois encore loin de devenir une composante de leur répertoire sexuel aussi ordinaire que dans celui des hommes, ni une pratique admissible facilement à leur conjoint.
Méthode : L’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré en ligne auprès d’un échantillon de 913 femmes de 18 à 69 ans, extrait d’un échantillon de 2011 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, en juin 2017. La représentativité de l’échantillon global a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession, région, taille d’unité urbaine, statut marital).
Résultats : La comparaison de ces données avec celles mesurées en 2012 selon des modalités identiques montre un rapprochement sans précédent des comportements onanistes des femmes sur ceux des hommes. De même, la comparaison des activités auto-érotiques des femmes en couple avec celles des femmes célibataires révèle que l’onanisme se poursuit en couple pour nombre de femmes, comme substitut ou en parallèle des rapports sexuels conjugaux. Mais cette forme de plaisir solitaire est loin d’être assumée au sein du couple, en particulier par les femmes insatisfaites de la qualité et de la quantité de leurs rapports conjugaux.
Conclusion : Pour beaucoup de femmes en couple (45 %), la masturbation reste un sujet tabou, sans doute parce qu’elles craignent que cette pratique soit interprétée comme le signe de l’incapacité de leur partenaire à satisfaire leurs besoins. Le tabou autour de la masturbation féminine reste donc prégnant, non seulement chez les femmes qui peinent à dissocier sexualité et conjugalité mais aussi chez celles dont le couple donne des signes d’une sexualité défaillante.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031531 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00031531 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact