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Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.3 n°2Mention de date : mars 2017Paru le : 01/03/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe point sur le bloc interscalénique / Philippe Cuvillon in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Le point sur le bloc interscalénique [revue] / Philippe Cuvillon, Auteur ; Gautier Buzancais, Auteur ; Cedric Folcher, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.147-155.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.147-155
Mots-clés : analgésie
bloc interscalénique
chirurgie
échographieRésumé : Le bloc interscalénique est recommandé après chirurgie de l’épaule et de l’extrémité supérieure du bras car il procure une qualité d’analgésie supérieure aux autres modalités. Le cathéter BIS prolonge la durée d’analgésie et est adapté à l’ambulatoire et aux procédures de réadaptation. L’approche échographique a permis de réduire l’incidence de nombreuses complications et augmenter le taux de succès tout en réduisant les volumes d’anesthésiques locaux utilisés. Cependant, la diffusion des AL dans l’espace interscalénique expose toujours au risque de parésie diaphragmatique unilatérale (bloc du nerf phrénique) dont les conséquences ventilatoires sont limitées chez le patient sans déficit préexistant. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.147-155
Titre : Le point sur le bloc interscalénique Type de document : revue Auteurs : Philippe Cuvillon, Auteur ; Gautier Buzancais, Auteur ; Cedric Folcher, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.147-155 Langues : Français Mots-clés : analgésie
bloc interscalénique
chirurgie
échographieRésumé : Le bloc interscalénique est recommandé après chirurgie de l’épaule et de l’extrémité supérieure du bras car il procure une qualité d’analgésie supérieure aux autres modalités. Le cathéter BIS prolonge la durée d’analgésie et est adapté à l’ambulatoire et aux procédures de réadaptation. L’approche échographique a permis de réduire l’incidence de nombreuses complications et augmenter le taux de succès tout en réduisant les volumes d’anesthésiques locaux utilisés. Cependant, la diffusion des AL dans l’espace interscalénique expose toujours au risque de parésie diaphragmatique unilatérale (bloc du nerf phrénique) dont les conséquences ventilatoires sont limitées chez le patient sans déficit préexistant. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Contrôle de la pression artérielle en rachianesthésie / Fabrice Ferré in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Contrôle de la pression artérielle en rachianesthésie [revue] / Fabrice Ferré, Auteur ; Charlotte Martin, Auteur ; Vincent Minville, Auteur . - 2017 . - p147-155.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p147-155
Mots-clés : hypotension artérielle
ondansétron
phényléphrine
rachianesthésieRésumé : L’hypotension artérielle induite par la rachianesthésie (RA) est fréquente, particulièrement chez le sujet âgé et la parturiente devant bénéficier d’une césarienne.
L’hypotension artérielle induite par la RA est liée à la vasodilatation artérielle et veineuse secondaire au bloc sympathique des territoires concernés. Une activation paradoxale des récepteurs cardio-inhibiteurs du réflexe de Bézold-Jarisch (RBJ) peut également être impliquée.
La bradycardie induite par la RA doit toujours être considérée comme le signe d’alerte d’une situation hémodynamique critique.
La RA latéralisée du côté à opérer ou la RA titrée permettent de minimiser ses conséquences hémodynamiques.
Le préremplissage (i.e. avant la RA) par cristalloïdes doit probablement être oublié.
Le préremplissage par colloïdes (HEA) diminue efficacement l’incidence et la sévérité de l’hypotension artérielle. Si la vitesse d’administration est adéquate (rapide, en 5 à 10minutes), le coremplissage par colloïdes ou cristalloïdes est aussi efficace que le préremplissage par HEA.
L’éphédrine a longtemps été considérée comme étant le vasoconstricteur de référence pour la majorité des RA. À cause de son passage placentaire, la dose d’éphédrine à utiliser en cas de césarienne programmée ne devrait pas dépasser 15mg. Son utilisation doit être considérée chez les patients victimes d’hypotension artérielle associée à une bradycardie (activation du RBJ).
La phényléphrine, un agoniste des récepteurs α1 adrénergiques d’action directe, a largement était utilisée pour traiter l’hypotension artérielle induite par la RA. Son injection prophylactique (i.e. dès la fin de l’injection intrathécale) en perfusion intraveineuse continue (à débit fixé ou variable) ou en bolus titrés et répétés permet de diminuer l’incidence de l’hypotension artérielle.
D’autres études sont nécessaires avant de considérer la noradrénaline préférable à la phényléphrine pour la prévention de l’hypotension induite par la RA.
Les antagonistes de la sérotonine comme l’ondansétron permettraient de limiter la chute de pression artérielle en inhibant le RBJ. Même si leur utilisation semble séduisante, d’autres données sont nécessaires avant de les recommander pour la prévention de l’hypotension artérielle induite par la RA.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p147-155
Titre : Contrôle de la pression artérielle en rachianesthésie Type de document : revue Auteurs : Fabrice Ferré, Auteur ; Charlotte Martin, Auteur ; Vincent Minville, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p147-155 Langues : Français Mots-clés : hypotension artérielle
ondansétron
phényléphrine
rachianesthésieRésumé : L’hypotension artérielle induite par la rachianesthésie (RA) est fréquente, particulièrement chez le sujet âgé et la parturiente devant bénéficier d’une césarienne.
L’hypotension artérielle induite par la RA est liée à la vasodilatation artérielle et veineuse secondaire au bloc sympathique des territoires concernés. Une activation paradoxale des récepteurs cardio-inhibiteurs du réflexe de Bézold-Jarisch (RBJ) peut également être impliquée.
La bradycardie induite par la RA doit toujours être considérée comme le signe d’alerte d’une situation hémodynamique critique.
La RA latéralisée du côté à opérer ou la RA titrée permettent de minimiser ses conséquences hémodynamiques.
Le préremplissage (i.e. avant la RA) par cristalloïdes doit probablement être oublié.
Le préremplissage par colloïdes (HEA) diminue efficacement l’incidence et la sévérité de l’hypotension artérielle. Si la vitesse d’administration est adéquate (rapide, en 5 à 10minutes), le coremplissage par colloïdes ou cristalloïdes est aussi efficace que le préremplissage par HEA.
L’éphédrine a longtemps été considérée comme étant le vasoconstricteur de référence pour la majorité des RA. À cause de son passage placentaire, la dose d’éphédrine à utiliser en cas de césarienne programmée ne devrait pas dépasser 15mg. Son utilisation doit être considérée chez les patients victimes d’hypotension artérielle associée à une bradycardie (activation du RBJ).
La phényléphrine, un agoniste des récepteurs α1 adrénergiques d’action directe, a largement était utilisée pour traiter l’hypotension artérielle induite par la RA. Son injection prophylactique (i.e. dès la fin de l’injection intrathécale) en perfusion intraveineuse continue (à débit fixé ou variable) ou en bolus titrés et répétés permet de diminuer l’incidence de l’hypotension artérielle.
D’autres études sont nécessaires avant de considérer la noradrénaline préférable à la phényléphrine pour la prévention de l’hypotension induite par la RA.
Les antagonistes de la sérotonine comme l’ondansétron permettraient de limiter la chute de pression artérielle en inhibant le RBJ. Même si leur utilisation semble séduisante, d’autres données sont nécessaires avant de les recommander pour la prévention de l’hypotension artérielle induite par la RA.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le point sur le bloc du nerf sciatique / Olivier Rontes in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Le point sur le bloc du nerf sciatique [revue] / Olivier Rontes, Auteur . - 2017 . - p.130-134.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.130-134
Mots-clés : exploration
nerf sciatique
sondeRésumé : À l’étage glutéal, le nerf sciatique comporte l’ensemble de ses collatérales, et chemine avec le nerf glutéal inférieur et le nerf cutané postérieur de la cuisse.
L’exploration transglutéale du nerf sciatique est améliorée par l’utilisation de sonde de nouvelles générations, qui permet l’exploration des structures profondes sans dégrader la qualité de l’image. Cela reste un bloc techniquement difficile.
À l’étage sous-glutéal, le nerf supérieur du muscle semi-tendineux est le plus souvent séparé du nerf sciatique.
Le para-nerve recouvre l’ensemble du nerf sciatique et délimite l’espace sous-paraneural dans lequel cheminent le nerf tibial et le nerf fibulaire commun.
L’injection sous-paraneurale augmente le taux de succès et diminue le délai d’installation du bloc, indépendamment du niveau de ponction. Elle augmente la zone de diffusion de l’anesthésique local le long du nerf.
L’utilisation d’anesthésique local dilué permet de diminuer la neurotoxicité sans dégrader la qualité du bloc nerveux.
Dix millilitres d’anesthésique local sont le volume minimal permettant d’avoir un taux de réussite élevé sans diminuer la durée d’action du bloc.
Le bloc à la cheville est un bloc des branches terminales du nerf sciatique. Il permet de réaliser l’anesthésie et l’analgésie de la chirurgie du pied, tout en préservant la motricité. Il autorise la déambulation immédiate du patient.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.130-134
Titre : Le point sur le bloc du nerf sciatique Type de document : revue Auteurs : Olivier Rontes, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.130-134 Langues : Français Mots-clés : exploration
nerf sciatique
sondeRésumé : À l’étage glutéal, le nerf sciatique comporte l’ensemble de ses collatérales, et chemine avec le nerf glutéal inférieur et le nerf cutané postérieur de la cuisse.
L’exploration transglutéale du nerf sciatique est améliorée par l’utilisation de sonde de nouvelles générations, qui permet l’exploration des structures profondes sans dégrader la qualité de l’image. Cela reste un bloc techniquement difficile.
À l’étage sous-glutéal, le nerf supérieur du muscle semi-tendineux est le plus souvent séparé du nerf sciatique.
Le para-nerve recouvre l’ensemble du nerf sciatique et délimite l’espace sous-paraneural dans lequel cheminent le nerf tibial et le nerf fibulaire commun.
L’injection sous-paraneurale augmente le taux de succès et diminue le délai d’installation du bloc, indépendamment du niveau de ponction. Elle augmente la zone de diffusion de l’anesthésique local le long du nerf.
L’utilisation d’anesthésique local dilué permet de diminuer la neurotoxicité sans dégrader la qualité du bloc nerveux.
Dix millilitres d’anesthésique local sont le volume minimal permettant d’avoir un taux de réussite élevé sans diminuer la durée d’action du bloc.
Le bloc à la cheville est un bloc des branches terminales du nerf sciatique. Il permet de réaliser l’anesthésie et l’analgésie de la chirurgie du pied, tout en préservant la motricité. Il autorise la déambulation immédiate du patient.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Place de l’analgésie péridurale en 2016 en dehors de l’obstétrique / Philippe Sitbon in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Place de l’analgésie péridurale en 2016 en dehors de l’obstétrique [revue] / Philippe Sitbon, Auteur . - 2017 . - p.135-146.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.135-146
Mots-clés : analgésie
chirurgie digestive
péridurale
thoraxRésumé : Il est recommandé d’utiliser l’analgésie périmédullaire thoracique (APDT) après chirurgie thoracique ou intra-abdominale majeure (gastrique, pancréatique, colique, chirurgie du grêle, œsophagectomie, cystectomie), afin d’améliorer l’analgésie, réduire la durée de l’iléus postopératoire et raccourcir le délai d’extubation.
L’abord péridural est plus difficile qu’en lombaire ; la voie paramédiane (ou voie latérale) peut faciliter sa réalisation.
Les anesthésiques locaux et les morphiniques seuls ou en associations sont utilisés pour l’analgésie péridurale. L’association des anesthésiques locaux et des morphiniques, améliore la qualité de l’analgésie notamment à la mobilisation pendant 72h et diminue les effets secondaires de chacun.
Le mode PCEA a prouvé sa supériorité, en permettant au patient d’ajuster les doses nécessaires à une bonne analgésie, ce qui au final les diminue d’environ 30 % et de ce fait, en réduit les effets indésirables.
L’APDT induit des bénéfices autres que l’analgésie. Elle améliore la fonction respiratoire comparée à la PCA IV et diminue ainsi le risque de pneumopathie dans le cadre de la chirurgie par laparotomie. Elle raccourcit le délai d’apparition des premiers gaz et raccourcit la reprise du transit. Elle pourrait diminuer l’incidence de la douleur chronique notamment lorsqu’elle est utilisée en peropératoire. Son éventuel rôle bénéfique sur le pronostic carcinologique est pour le moment hypothétique.
Les principaux risques de la péridurale thoracique sont l’hématome péridural souvent lié à un trouble de l’hémostase et l’abcès péridural dont l’incidence est minime. Les effets adverses sont le bloc moteur et l’hypotension qui sont modestes à l’étage thoracique, nécessitant titration et adaptation des doses.
L’APDT est un élément fondamental de la réhabilitation précoce après chirurgie abdominale majeure. Elle peut prolonger la durée d’hospitalisation, mais aucune technique analgésique ne lui est comparable en termes d’analgésie, tant au niveau statique, mais surtout dynamique lors de la toux et de la mobilisation. En cas d’impossibilité ou de contre-indication, TAP-block bilatéral, infiltration péricicatricielle ou surtout lidocaïne intraveineuse sont les solutions de remplacement proposées, supérieures à la morphine seule, mais inférieures à l’APDT. Le bloc paravertébral est équivalent en termes d’analgésie à l’APDT pour la chirurgie thoracique, mais avec une variabilité non négligeable.
L’APDT ne doit pas être proposée en routine pour la cœliochirurgie abdominale ; infiltration des trocarts et analgésiques IV, dont la lidocaïne donnent des résultats comparables en termes d’analgésie avec moins d’effets adverses et une durée d’hospitalisation raccourcie.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.135-146
Titre : Place de l’analgésie péridurale en 2016 en dehors de l’obstétrique Type de document : revue Auteurs : Philippe Sitbon, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.135-146 Langues : Français Mots-clés : analgésie
chirurgie digestive
péridurale
thoraxRésumé : Il est recommandé d’utiliser l’analgésie périmédullaire thoracique (APDT) après chirurgie thoracique ou intra-abdominale majeure (gastrique, pancréatique, colique, chirurgie du grêle, œsophagectomie, cystectomie), afin d’améliorer l’analgésie, réduire la durée de l’iléus postopératoire et raccourcir le délai d’extubation.
L’abord péridural est plus difficile qu’en lombaire ; la voie paramédiane (ou voie latérale) peut faciliter sa réalisation.
Les anesthésiques locaux et les morphiniques seuls ou en associations sont utilisés pour l’analgésie péridurale. L’association des anesthésiques locaux et des morphiniques, améliore la qualité de l’analgésie notamment à la mobilisation pendant 72h et diminue les effets secondaires de chacun.
Le mode PCEA a prouvé sa supériorité, en permettant au patient d’ajuster les doses nécessaires à une bonne analgésie, ce qui au final les diminue d’environ 30 % et de ce fait, en réduit les effets indésirables.
L’APDT induit des bénéfices autres que l’analgésie. Elle améliore la fonction respiratoire comparée à la PCA IV et diminue ainsi le risque de pneumopathie dans le cadre de la chirurgie par laparotomie. Elle raccourcit le délai d’apparition des premiers gaz et raccourcit la reprise du transit. Elle pourrait diminuer l’incidence de la douleur chronique notamment lorsqu’elle est utilisée en peropératoire. Son éventuel rôle bénéfique sur le pronostic carcinologique est pour le moment hypothétique.
Les principaux risques de la péridurale thoracique sont l’hématome péridural souvent lié à un trouble de l’hémostase et l’abcès péridural dont l’incidence est minime. Les effets adverses sont le bloc moteur et l’hypotension qui sont modestes à l’étage thoracique, nécessitant titration et adaptation des doses.
L’APDT est un élément fondamental de la réhabilitation précoce après chirurgie abdominale majeure. Elle peut prolonger la durée d’hospitalisation, mais aucune technique analgésique ne lui est comparable en termes d’analgésie, tant au niveau statique, mais surtout dynamique lors de la toux et de la mobilisation. En cas d’impossibilité ou de contre-indication, TAP-block bilatéral, infiltration péricicatricielle ou surtout lidocaïne intraveineuse sont les solutions de remplacement proposées, supérieures à la morphine seule, mais inférieures à l’APDT. Le bloc paravertébral est équivalent en termes d’analgésie à l’APDT pour la chirurgie thoracique, mais avec une variabilité non négligeable.
L’APDT ne doit pas être proposée en routine pour la cœliochirurgie abdominale ; infiltration des trocarts et analgésiques IV, dont la lidocaïne donnent des résultats comparables en termes d’analgésie avec moins d’effets adverses et une durée d’hospitalisation raccourcie.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Toxicité des anesthésiques locaux / Karine Nouette-Gaulain in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Toxicité des anesthésiques locaux [revue] / Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Florian Robin, Auteur . - 2017 . - p.156-167.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.156-167
Mots-clés : anesthésie locorégionale
anesthésique
bloc nerveux
toxicitéRésumé : La toxicité systémique des anesthésiques locaux (AL) représente un événement rare mais bien souvent grave. Les cas cliniques rapportés dans la littérature permettent de comprendre que son expression clinique peut être très polymorphe.
La réalisation d’un bloc périphérique avec un guidage échographique permet de diminuer l’incidence d’une ponction vasculaire et d’une toxicité systémique.
La toxicité systémique est bien souvent retardée après injection des AL. De fait, une surveillance rapprochée durant les 30 premières minutes après réalisation d’une ALR (notamment avec échoguidage) semble recommandée.
En cas d’accident systémique, l’administration d’une émulsion lipidique intraveineuse (ELI) fait aujourd’hui partie des recommandations à suivre lors d’un arrêt cardiorespiratoire induit par un surdosage systémique en anesthésique local.
Les mécanismes des ELI sont complexes et probablement multiples. Leur usage ne doit donc pas se substituer aux autres moyens de réanimation, mais apparaît comme un élément supplémentaire efficace. Des études expérimentales complémentaires et un registre de cas cliniques permettront probablement de mieux caractériser les effets d’une association ELI-AL et de mieux connaître les éléments qui, aujourd’hui, entretiennent la controverse de leur utilisation.
De même, des travaux complémentaires permettront de mieux définir la place des ELI au cours de surdosages avec d’autres agents liposolubles.
Au plan local, l’injection d’AL s’accompagne d’une cytotoxicité sur les structures de voisinage, avec tout particulièrement une atteinte des cellules musculaires et nerveuses. Cette cytotoxicité met en jeu des mécanismes complexes et nécessite d’autres études expérimentales pour les appréhender plus finement.
La clé de voûte de la prise en charge de la toxicité des AL, systémique ou locale, réside surtout dans sa prévention. Elle implique un choix judicieux des AL, en privilégiant les moins cardiotoxiques. L’utilisation d’un guidage échographique lors de la réalisation de l’ALR doit nous inciter à diminuer les doses et les concentrations d’AL utilisées.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.156-167
Titre : Toxicité des anesthésiques locaux Type de document : revue Auteurs : Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Florian Robin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.156-167 Langues : Français Mots-clés : anesthésie locorégionale
anesthésique
bloc nerveux
toxicitéRésumé : La toxicité systémique des anesthésiques locaux (AL) représente un événement rare mais bien souvent grave. Les cas cliniques rapportés dans la littérature permettent de comprendre que son expression clinique peut être très polymorphe.
La réalisation d’un bloc périphérique avec un guidage échographique permet de diminuer l’incidence d’une ponction vasculaire et d’une toxicité systémique.
La toxicité systémique est bien souvent retardée après injection des AL. De fait, une surveillance rapprochée durant les 30 premières minutes après réalisation d’une ALR (notamment avec échoguidage) semble recommandée.
En cas d’accident systémique, l’administration d’une émulsion lipidique intraveineuse (ELI) fait aujourd’hui partie des recommandations à suivre lors d’un arrêt cardiorespiratoire induit par un surdosage systémique en anesthésique local.
Les mécanismes des ELI sont complexes et probablement multiples. Leur usage ne doit donc pas se substituer aux autres moyens de réanimation, mais apparaît comme un élément supplémentaire efficace. Des études expérimentales complémentaires et un registre de cas cliniques permettront probablement de mieux caractériser les effets d’une association ELI-AL et de mieux connaître les éléments qui, aujourd’hui, entretiennent la controverse de leur utilisation.
De même, des travaux complémentaires permettront de mieux définir la place des ELI au cours de surdosages avec d’autres agents liposolubles.
Au plan local, l’injection d’AL s’accompagne d’une cytotoxicité sur les structures de voisinage, avec tout particulièrement une atteinte des cellules musculaires et nerveuses. Cette cytotoxicité met en jeu des mécanismes complexes et nécessite d’autres études expérimentales pour les appréhender plus finement.
La clé de voûte de la prise en charge de la toxicité des AL, systémique ou locale, réside surtout dans sa prévention. Elle implique un choix judicieux des AL, en privilégiant les moins cardiotoxiques. L’utilisation d’un guidage échographique lors de la réalisation de l’ALR doit nous inciter à diminuer les doses et les concentrations d’AL utilisées.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Exercice de l’anesthésie-réanimation en vol spatial : projections théoriques à partir d’une revue de la littérature / Séamus Thierry in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Exercice de l’anesthésie-réanimation en vol spatial : projections théoriques à partir d’une revue de la littérature [revue] / Séamus Thierry, Auteur ; Véronique Vermeersch, Auteur ; Jean-Christophe Favier, Auteur . - 2017 . - p.168-177.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.168-177
Mots-clés : anesthésie
apesanteur
espace
médecineRésumé : Les programmes de voyages spatiaux à destination de Mars sont fixés à moyen terme vers 2030. Les participants seront isolés pendant des mois dans un environnement extrême sans ravitaillement ni évacuation sanitaire possible. En cas d’accident ou de pathologie aiguë, la réalisation de gestes d’anesthésie et de réanimation, ainsi que le déroulement de procédures chirurgicales semblent possible dans l’espace, sous réserve d’une bonne connaissance des modifications physiologiques entraînées par l’impesanteur. Le médecin de bord sera également soumis à des contraintes psychologiques et logistiques qui risquent d’impacter la qualité des soins. Cette revue de la littérature centrée sur la médecine spatiale a pour objectif de proposer des protocoles d’anesthésie et de réanimation adaptés à l’impesanteur. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.168-177
Titre : Exercice de l’anesthésie-réanimation en vol spatial : projections théoriques à partir d’une revue de la littérature Type de document : revue Auteurs : Séamus Thierry, Auteur ; Véronique Vermeersch, Auteur ; Jean-Christophe Favier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.168-177 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
apesanteur
espace
médecineRésumé : Les programmes de voyages spatiaux à destination de Mars sont fixés à moyen terme vers 2030. Les participants seront isolés pendant des mois dans un environnement extrême sans ravitaillement ni évacuation sanitaire possible. En cas d’accident ou de pathologie aiguë, la réalisation de gestes d’anesthésie et de réanimation, ainsi que le déroulement de procédures chirurgicales semblent possible dans l’espace, sous réserve d’une bonne connaissance des modifications physiologiques entraînées par l’impesanteur. Le médecin de bord sera également soumis à des contraintes psychologiques et logistiques qui risquent d’impacter la qualité des soins. Cette revue de la littérature centrée sur la médecine spatiale a pour objectif de proposer des protocoles d’anesthésie et de réanimation adaptés à l’impesanteur. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anesthésie pédiatrique ambulatoire : évaluation des pratiques par un appel téléphonique à j1 / Corentin Bonnet in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Anesthésie pédiatrique ambulatoire : évaluation des pratiques par un appel téléphonique à j1 [revue] / Corentin Bonnet, Auteur ; Béatrice Bruneau, Auteur ; Thierry Van Den Abbeele, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.178-185.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.178-185
Mots-clés : anesthésie
chirurgie ambulatoire
douleur
enfant
pédiatrie
vomissementRésumé : La pratique de l’anesthésie pédiatrique ambulatoire est en pleine expansion. Ce mode singulier d’hospitalisation, source de satisfaction du patient, comporte cependant un certain nombre de défis. L’objectif de ce travail était d’évaluer les pratiques au sein de l’unité de chirurgie ambulatoire pédiatrique de l’hôpital Robert-Debré (AP–HP) par l’analyse des données issues de l’appel à j1 de la chirurgie. Tous les patients bénéficiant d’une prise en charge ambulatoire de mai à juillet 2015 étaient éligibles à cette étude prospective, observationnelle. La prise en charge anesthésique périopératoire était protocolisée. Un appel à j1 par une infirmière permettait de recueillir les scores de douleur, la survenue de NVPO, le recours à un service médical d’urgence postopératoire. Des données étaient recueillies chez 478 (39 % des séjours de chirurgie ambulatoire sur la période considérée) patients âgés de 5 ans et 6 mois en médiane. Parmi eux, 7 (1,5 %) ont eu recours à un service médical d’urgence. Quatre-vingt-un (16,9 %) patients ont fait l’expérience d’une douleur modérée à intense. Huit pour cent des patients ont présenté des vomissements postopératoires. Cette enquête a permis d’identifier la douleur postopératoire comme étant le principal axe d’amélioration des pratiques et de proposer des actions correctrices pour pallier à certaines insuffisances du circuit du patient. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.178-185
Titre : Anesthésie pédiatrique ambulatoire : évaluation des pratiques par un appel téléphonique à j1 Type de document : revue Auteurs : Corentin Bonnet, Auteur ; Béatrice Bruneau, Auteur ; Thierry Van Den Abbeele, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.178-185 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
chirurgie ambulatoire
douleur
enfant
pédiatrie
vomissementRésumé : La pratique de l’anesthésie pédiatrique ambulatoire est en pleine expansion. Ce mode singulier d’hospitalisation, source de satisfaction du patient, comporte cependant un certain nombre de défis. L’objectif de ce travail était d’évaluer les pratiques au sein de l’unité de chirurgie ambulatoire pédiatrique de l’hôpital Robert-Debré (AP–HP) par l’analyse des données issues de l’appel à j1 de la chirurgie. Tous les patients bénéficiant d’une prise en charge ambulatoire de mai à juillet 2015 étaient éligibles à cette étude prospective, observationnelle. La prise en charge anesthésique périopératoire était protocolisée. Un appel à j1 par une infirmière permettait de recueillir les scores de douleur, la survenue de NVPO, le recours à un service médical d’urgence postopératoire. Des données étaient recueillies chez 478 (39 % des séjours de chirurgie ambulatoire sur la période considérée) patients âgés de 5 ans et 6 mois en médiane. Parmi eux, 7 (1,5 %) ont eu recours à un service médical d’urgence. Quatre-vingt-un (16,9 %) patients ont fait l’expérience d’une douleur modérée à intense. Huit pour cent des patients ont présenté des vomissements postopératoires. Cette enquête a permis d’identifier la douleur postopératoire comme étant le principal axe d’amélioration des pratiques et de proposer des actions correctrices pour pallier à certaines insuffisances du circuit du patient. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Intoxication à l’éthylène-glycol et ivresse aiguë : la prise concomitante d’un poison et de son antidote / Adrien Chétioui in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Intoxication à l’éthylène-glycol et ivresse aiguë : la prise concomitante d’un poison et de son antidote [revue] / Adrien Chétioui, Auteur ; Alexis Pillant, Auteur ; Patricia Rullier, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.186-188.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.186-188
Mots-clés : acidose
antidote
éthanol
éthylene
intoxication
lactateRésumé : Les intoxications à l’éthylène-glycol sont rares et souvent graves. Le diagnostic doit être établi rapidement afin d’instaurer précocement un antidote. Les auteurs rapportent le cas d’un patient admis pour ivresse aiguë suite à l’absorption massive d’alcool fort, et chez qui a été détecté une acidose avec hyperglycémie attribuée d’abord par erreur à un diabète inaugural puis finalement à une intoxication à l’éthylène-glycol. Le patient n’avait fourni aucun élément pouvant faire suspecter ce diagnostic. Le rôle de l’éthanol est discuté, agissant sans doute chez le patient comme un antidote de l’éthylène glycol, retardant ainsi ses effets délétères, ce qui a permis une évolution favorable malgré l’administration tardive de 4-methylpyrazol. Une co-intoxication à l’éthylène-glycol, non décelée à l’interrogatoire, doit toujours et rapidement être évoquée devant une acidose à trou anionique augmenté avec hyperlactatémie dans un contexte d’alcoolisation aiguë. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.186-188
Titre : Intoxication à l’éthylène-glycol et ivresse aiguë : la prise concomitante d’un poison et de son antidote Type de document : revue Auteurs : Adrien Chétioui, Auteur ; Alexis Pillant, Auteur ; Patricia Rullier, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.186-188 Langues : Français Mots-clés : acidose
antidote
éthanol
éthylene
intoxication
lactateRésumé : Les intoxications à l’éthylène-glycol sont rares et souvent graves. Le diagnostic doit être établi rapidement afin d’instaurer précocement un antidote. Les auteurs rapportent le cas d’un patient admis pour ivresse aiguë suite à l’absorption massive d’alcool fort, et chez qui a été détecté une acidose avec hyperglycémie attribuée d’abord par erreur à un diabète inaugural puis finalement à une intoxication à l’éthylène-glycol. Le patient n’avait fourni aucun élément pouvant faire suspecter ce diagnostic. Le rôle de l’éthanol est discuté, agissant sans doute chez le patient comme un antidote de l’éthylène glycol, retardant ainsi ses effets délétères, ce qui a permis une évolution favorable malgré l’administration tardive de 4-methylpyrazol. Une co-intoxication à l’éthylène-glycol, non décelée à l’interrogatoire, doit toujours et rapidement être évoquée devant une acidose à trou anionique augmenté avec hyperlactatémie dans un contexte d’alcoolisation aiguë. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Résistance à l’atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d’un cas clinique / Jérémy Allary in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Résistance à l’atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d’un cas clinique [revue] / Jérémy Allary, Auteur ; Didier Fressard, Auteur ; Guy Malgras, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.189-192.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.189-192
Mots-clés : curare
monitorage
néostigmineRésumé : Nous rapportons le cas d’un patient, aux antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin et d’accident vasculaire cérébral, admis au bloc opératoire pour une chirurgie abdominale en urgence pour syndrome occlusif, et ayant présenté un défaut de curarisation par atracurium. Le monitorage instrumental de la curarisation a par ailleurs montré un bloc neuromusculaire transitoire après antagonisation du curare par néostigmine. Une revue de la littérature nous a permis d’émettre plusieurs hypothèses sur l’origine d’une telle résistance à la curarisation par l’atracurium : majoration du nombre de récepteurs à l’acétylcholine, majoration du volume de distribution, augmentation de la fraction d’atracurium liée aux protéines plasmatiques. Des cas de blocs neuromusculaires suite à l’injection de néostigmine ont été déjà décrits. Notre rapport illustre la nécessité de monitorer la curarisation en prenant garde à la calibration des kinémyographes et à la poursuite de la surveillance après administration des antidotes. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.189-192
Titre : Résistance à l’atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d’un cas clinique Type de document : revue Auteurs : Jérémy Allary, Auteur ; Didier Fressard, Auteur ; Guy Malgras, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.189-192 Langues : Français Mots-clés : curare
monitorage
néostigmineRésumé : Nous rapportons le cas d’un patient, aux antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin et d’accident vasculaire cérébral, admis au bloc opératoire pour une chirurgie abdominale en urgence pour syndrome occlusif, et ayant présenté un défaut de curarisation par atracurium. Le monitorage instrumental de la curarisation a par ailleurs montré un bloc neuromusculaire transitoire après antagonisation du curare par néostigmine. Une revue de la littérature nous a permis d’émettre plusieurs hypothèses sur l’origine d’une telle résistance à la curarisation par l’atracurium : majoration du nombre de récepteurs à l’acétylcholine, majoration du volume de distribution, augmentation de la fraction d’atracurium liée aux protéines plasmatiques. Des cas de blocs neuromusculaires suite à l’injection de néostigmine ont été déjà décrits. Notre rapport illustre la nécessité de monitorer la curarisation en prenant garde à la calibration des kinémyographes et à la poursuite de la surveillance après administration des antidotes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hyperkaliémie menaçante suite à une injection de succinylcholine orientant le diagnostic vers une sclérose latérale amyotrophique / Manon Thourot in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Hyperkaliémie menaçante suite à une injection de succinylcholine orientant le diagnostic vers une sclérose latérale amyotrophique [revue] / Manon Thourot, Auteur ; Benoit Cornillon, Auteur ; Raphaël Robert, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.193-197.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.193-197
Mots-clés : hyperkaliémie
réanimation
SLA sclérose latérale amyotrophique
succinylcholineRésumé : Nous rapportons le cas de la découverte d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) à début bulbaire évoquée à la suite d’une hyperkaliémie menaçante après une injection de succinylcholine. Le patient était admis en réanimation dans un contexte de pneumopathie aiguë grave. Il présentait par ailleurs une altération de l’état général, associée à une dysphonie et dysphagie évoluant depuis plusieurs mois. L’hyperkalièmie sévère secondaire à l’injection de curare dépolarisant nous orientait alors vers une pathologie neuromusculaire sous-jacente. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.193-197
Titre : Hyperkaliémie menaçante suite à une injection de succinylcholine orientant le diagnostic vers une sclérose latérale amyotrophique Type de document : revue Auteurs : Manon Thourot, Auteur ; Benoit Cornillon, Auteur ; Raphaël Robert, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.193-197 Langues : Français Mots-clés : hyperkaliémie
réanimation
SLA sclérose latérale amyotrophique
succinylcholineRésumé : Nous rapportons le cas de la découverte d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) à début bulbaire évoquée à la suite d’une hyperkaliémie menaçante après une injection de succinylcholine. Le patient était admis en réanimation dans un contexte de pneumopathie aiguë grave. Il présentait par ailleurs une altération de l’état général, associée à une dysphonie et dysphagie évoluant depuis plusieurs mois. L’hyperkalièmie sévère secondaire à l’injection de curare dépolarisant nous orientait alors vers une pathologie neuromusculaire sous-jacente. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anesthésie locorégionale périnerveuse / Michel Carles in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°2 (mars 2017)
[article] Anesthésie locorégionale périnerveuse [revue] / Michel Carles, Auteur ; Hélène Beloeil, Auteur ; Sébastien Bloc, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.198-206.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.198-206
Mots-clés : anesthésie locorégionale
recommandation
RPC recommandation pour la pratique clinique[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°2 (mars 2017) . - p.198-206
Titre : Anesthésie locorégionale périnerveuse Type de document : revue Auteurs : Michel Carles, Auteur ; Hélène Beloeil, Auteur ; Sébastien Bloc, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.198-206 Langues : Français Mots-clés : anesthésie locorégionale
recommandation
RPC recommandation pour la pratique cliniqueExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030997 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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