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Sexologies . vol.26 n°2Mention de date : avril mai 2017Paru le : 01/04/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierL’implication des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux dans la compréhension de l’estime de soi sexuelle féminine / S. Hannier in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] L’implication des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux dans la compréhension de l’estime de soi sexuelle féminine [revue] / S. Hannier, Auteur ; A. Baltus, Auteur ; P. De sutter, Auteur . - 2017 . - p.65-73.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.65-73
Mots-clés : estime de soi
image corporelle
IMC indice de masse corporelle
minceur
sexualitéRésumé :
Objectifs : Jusqu’à ce jour, l’estime de soi sexuelle a essentiellement été étudiée auprès de populations touchées par des problématiques spécifiques. Bien qu’un lien semble évident, peu de chercheurs se sont penchés sur le rôle du BMI, de l’image corporelle et de l’influence des médias sur l’estime de soi sexuelle des femmes. En se basant sur l’analyse des facteurs pouvant améliorer ou limiter l’estime de soi sexuelle féminine, l’objectif principal de cet article est de proposer une meilleure compréhension des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux impliqués dans sa genèse et son maintien.
Matériel et méthode : Analyse de la littérature de 1996 à 2015 dans les bases de données suivantes : PsycInfo, PubMed, ScienceDirect, ProQuest, Google Scholar.
Résultats : Au travers des études qui font lien entre BMI, image corporelle et divers aspects de la sexualité féminine, cet article fait apparaître l’importance du regard subjectif que les femmes entretiennent vis-à-vis de leur corps, de l’impact de ce regard sur leur estime sexuelle, et ce, indépendamment de leur poids réel. Dans un second temps, la revue de la littérature met en évidence l’impact des médias de masse sur la construction de l’image corporelle, notamment via les processus d’internalisation de l’idéal de minceur, de comparaison sociale et d’objectalisation du corps de la femme.
Conclusion : Il serait intéressant, dans la recherche future, non seulement d’investiguer l’impact du rapport au corps sur l’estime de soi sexuelle des femmes mais également d’élaborer un outil visant à améliorer celle-ci. Cela inclut la promotion d’une image corporelle positive et une meilleure compréhension du rôle de la société et des médias dans la construction des standards de beauté et d’apparence.[article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.65-73
Titre : L’implication des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux dans la compréhension de l’estime de soi sexuelle féminine Type de document : revue Auteurs : S. Hannier, Auteur ; A. Baltus, Auteur ; P. De sutter, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.65-73 Langues : Français Mots-clés : estime de soi
image corporelle
IMC indice de masse corporelle
minceur
sexualitéRésumé :
Objectifs : Jusqu’à ce jour, l’estime de soi sexuelle a essentiellement été étudiée auprès de populations touchées par des problématiques spécifiques. Bien qu’un lien semble évident, peu de chercheurs se sont penchés sur le rôle du BMI, de l’image corporelle et de l’influence des médias sur l’estime de soi sexuelle des femmes. En se basant sur l’analyse des facteurs pouvant améliorer ou limiter l’estime de soi sexuelle féminine, l’objectif principal de cet article est de proposer une meilleure compréhension des facteurs cognitifs, corporels et sociétaux impliqués dans sa genèse et son maintien.
Matériel et méthode : Analyse de la littérature de 1996 à 2015 dans les bases de données suivantes : PsycInfo, PubMed, ScienceDirect, ProQuest, Google Scholar.
Résultats : Au travers des études qui font lien entre BMI, image corporelle et divers aspects de la sexualité féminine, cet article fait apparaître l’importance du regard subjectif que les femmes entretiennent vis-à-vis de leur corps, de l’impact de ce regard sur leur estime sexuelle, et ce, indépendamment de leur poids réel. Dans un second temps, la revue de la littérature met en évidence l’impact des médias de masse sur la construction de l’image corporelle, notamment via les processus d’internalisation de l’idéal de minceur, de comparaison sociale et d’objectalisation du corps de la femme.
Conclusion : Il serait intéressant, dans la recherche future, non seulement d’investiguer l’impact du rapport au corps sur l’estime de soi sexuelle des femmes mais également d’élaborer un outil visant à améliorer celle-ci. Cela inclut la promotion d’une image corporelle positive et une meilleure compréhension du rôle de la société et des médias dans la construction des standards de beauté et d’apparence.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Sexualité des adolescents tunisiens / R. Khemakhem in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] Sexualité des adolescents tunisiens [revue] / R. Khemakhem, Auteur ; W. Homri, Auteur ; N. Bram, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.74-78.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.74-78
Mots-clés : adolescent
éducation sexuelle
protection
sexualitéRésumé : L’objectif de notre travail était d’explorer la sexualité de 104 adolescents tunisiens. La moyenne d’âge était de 15,9ans. Un total de 87,5 % des adolescents (n=91) ont rapporté ne pas avoir eu d’éducation sexuelle à l’école et 74 % (n=77) ont déjà recouru aux sites Internet pour s’informer au sujet de la sexualité. Quatre-vingt-six (82,7 %) jeunes préféraient discuter de sexualité entre ami(e)s. Les préoccupations sur l’acte sexuel lui-même étaient prédominantes dans la population interrogée dans 48 % (n=50) des cas. La masturbation était pratiquée par 82,7 % (n=43) des adolescents et 67,3 % (n=35) des adolescentes, avec une moyenne d’âge de début de 15,02ans pour les garçons et de 14,43ans pour les filles. Une activité hétérosexuelle a été rapportée chez 46,2 % (n=24) des adolescents et 44,2 % des adolescentes. L’âge moyen du 1er rapport sexuel était de 16,15ans pour les garçons et de 15,83ans pour les filles. Aucun moyen de protection n’a été utilisé par les garçons lors du 1er rapport sexuel dans 91,7 % (n=22) des cas et 6 filles (26,1 %) ont eu un 1er rapport protégé. Une activité homosexuelle avec ou sans pénétration a été retrouvée chez 11,5 % (n=6) des garçons et 15,4 % (n=8) des filles, avec une moyenne d’âge lors de la première expérience homosexuelle de 15,17ans pour les garçons et 16ans pour les filles. Tous les participants affirmaient connaître les moyens de protection et les ont déjà vus au moins une fois dans leur vie. La nécessité d’une éducation sexuelle pour les plus jeunes s’impose pour prévenir les conséquences néfastes du phénomène d’acculturation, mais un changement plus en profondeur des mentalités reste l’atout majeur pour mener à bien ce projet. [article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.74-78
Titre : Sexualité des adolescents tunisiens Type de document : revue Auteurs : R. Khemakhem, Auteur ; W. Homri, Auteur ; N. Bram, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.74-78 Langues : Français Mots-clés : adolescent
éducation sexuelle
protection
sexualitéRésumé : L’objectif de notre travail était d’explorer la sexualité de 104 adolescents tunisiens. La moyenne d’âge était de 15,9ans. Un total de 87,5 % des adolescents (n=91) ont rapporté ne pas avoir eu d’éducation sexuelle à l’école et 74 % (n=77) ont déjà recouru aux sites Internet pour s’informer au sujet de la sexualité. Quatre-vingt-six (82,7 %) jeunes préféraient discuter de sexualité entre ami(e)s. Les préoccupations sur l’acte sexuel lui-même étaient prédominantes dans la population interrogée dans 48 % (n=50) des cas. La masturbation était pratiquée par 82,7 % (n=43) des adolescents et 67,3 % (n=35) des adolescentes, avec une moyenne d’âge de début de 15,02ans pour les garçons et de 14,43ans pour les filles. Une activité hétérosexuelle a été rapportée chez 46,2 % (n=24) des adolescents et 44,2 % des adolescentes. L’âge moyen du 1er rapport sexuel était de 16,15ans pour les garçons et de 15,83ans pour les filles. Aucun moyen de protection n’a été utilisé par les garçons lors du 1er rapport sexuel dans 91,7 % (n=22) des cas et 6 filles (26,1 %) ont eu un 1er rapport protégé. Une activité homosexuelle avec ou sans pénétration a été retrouvée chez 11,5 % (n=6) des garçons et 15,4 % (n=8) des filles, avec une moyenne d’âge lors de la première expérience homosexuelle de 15,17ans pour les garçons et 16ans pour les filles. Tous les participants affirmaient connaître les moyens de protection et les ont déjà vus au moins une fois dans leur vie. La nécessité d’une éducation sexuelle pour les plus jeunes s’impose pour prévenir les conséquences néfastes du phénomène d’acculturation, mais un changement plus en profondeur des mentalités reste l’atout majeur pour mener à bien ce projet. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Discussion autour du traumatisme complexe : émergence du concept, étiologie et critères diagnostiques / C. Tarquinio in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] Discussion autour du traumatisme complexe : émergence du concept, étiologie et critères diagnostiques [revue] / C. Tarquinio, Auteur ; W.A. Houllé, Auteur ; P. Tarquinio, Auteur . - 2017 . - p.76-86.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.76-86
Mots-clés : abus sexuel
enfant
ESPT état de stress post traumatique
traumatisme
victimologie
violenceRésumé :
Objectifs : Les visées de cet article sont d’engager une réflexion théorique et clinique sur la notion de trauma complexe tel qu’elle est considérée actuellement dans la littérature, de mettre en exergue les facteurs singuliers à l’origine de son émergence chez les individus et de susciter une réflexion clinique sur la symptomatologie de ce trouble psychique.
Méthode : Les critères diagnostiques du trauma complexe ont été analysés et discutés au travers de la comparaison rigoureuse des deux tableaux cliniques considérés comme des références dans le domaine du trauma complexe, à savoir les tableaux de Herman (1992) et de Roth et al. (1997), complétée par de nombreuses recherches issues du champ de la traumatologie.
Résultats : Les facteurs favorisant une plus grande probabilité de développer un trouble de stress post-traumatique complexe sont la répétition d’une expérience vécue comme traumatique durant la période de l’enfance, essentiellement des violences physiques et/ou sexuelles. Les deux modèles présentés sont parfaitement complémentaires et rendent compte de la complexité des situations cliniques sous-jacentes. Quant aux symptômes de honte, de culpabilité, d’auto- et d’hétéro-agressivité, ils répondent au besoin du sujet d’externaliser une souffrance interne profonde et de reprendre activement le contrôle d’une réalité qui s’est imposée à lui.
Discussion : Les résultats des études présentées ont souligné la diversité et la gravité des conséquences psychiques inhérentes au trauma complexe, ainsi que le caractère défensif et adaptatif des sentiments éprouvés et des comportements mis en place à l’adolescence et à l’âge adulte par les victimes de traumatismes durant l’enfance.
Conclusions : Il convient d’approfondir la question de l’évaluation du trauma complexe, d’appréhender la relation entre le trauma complexe et le trouble de la personnalité borderline, ou encore la relation entre trauma complexe et les théories de l’attachement pour continuer à améliorer la prise en charge psychothérapeutique de ce trouble psychiatrique.[article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.76-86
Titre : Discussion autour du traumatisme complexe : émergence du concept, étiologie et critères diagnostiques Type de document : revue Auteurs : C. Tarquinio, Auteur ; W.A. Houllé, Auteur ; P. Tarquinio, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.76-86 Langues : Français Mots-clés : abus sexuel
enfant
ESPT état de stress post traumatique
traumatisme
victimologie
violenceRésumé :
Objectifs : Les visées de cet article sont d’engager une réflexion théorique et clinique sur la notion de trauma complexe tel qu’elle est considérée actuellement dans la littérature, de mettre en exergue les facteurs singuliers à l’origine de son émergence chez les individus et de susciter une réflexion clinique sur la symptomatologie de ce trouble psychique.
Méthode : Les critères diagnostiques du trauma complexe ont été analysés et discutés au travers de la comparaison rigoureuse des deux tableaux cliniques considérés comme des références dans le domaine du trauma complexe, à savoir les tableaux de Herman (1992) et de Roth et al. (1997), complétée par de nombreuses recherches issues du champ de la traumatologie.
Résultats : Les facteurs favorisant une plus grande probabilité de développer un trouble de stress post-traumatique complexe sont la répétition d’une expérience vécue comme traumatique durant la période de l’enfance, essentiellement des violences physiques et/ou sexuelles. Les deux modèles présentés sont parfaitement complémentaires et rendent compte de la complexité des situations cliniques sous-jacentes. Quant aux symptômes de honte, de culpabilité, d’auto- et d’hétéro-agressivité, ils répondent au besoin du sujet d’externaliser une souffrance interne profonde et de reprendre activement le contrôle d’une réalité qui s’est imposée à lui.
Discussion : Les résultats des études présentées ont souligné la diversité et la gravité des conséquences psychiques inhérentes au trauma complexe, ainsi que le caractère défensif et adaptatif des sentiments éprouvés et des comportements mis en place à l’adolescence et à l’âge adulte par les victimes de traumatismes durant l’enfance.
Conclusions : Il convient d’approfondir la question de l’évaluation du trauma complexe, d’appréhender la relation entre le trauma complexe et le trouble de la personnalité borderline, ou encore la relation entre trauma complexe et les théories de l’attachement pour continuer à améliorer la prise en charge psychothérapeutique de ce trouble psychiatrique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les conséquences psychosexuelles et leurs traitements dans le champ du cancer : une revue systématique d’interventions psychothérapeutiques / J. Siles in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] Les conséquences psychosexuelles et leurs traitements dans le champ du cancer : une revue systématique d’interventions psychothérapeutiques [revue] / J. Siles, Auteur ; C. Tarquinio, Auteur . - 2017 . - p.87-95.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.87-95
Mots-clés : cancer
développement psycho-sexuel
sexualitéRésumé :
Introduction : La dimension de la sexualité est largement affectée dans le champ du cancer, que ce soit avant, pendant ou après son traitement. En 2011, on estime qu’environ 35 à 50 % des patients atteints de cancer font l’objet de troubles ou d’affections de la sexualité en lien avec leur cancer et son traitement. Néanmoins, de grands tabous sont présents dans l’abord de ces difficultés par les patients mais aussi les professionnels de santé.
Objectif : Réaliser une revue systématique des interventions psychothérapeutiques existantes dans la littérature scientifique, afin d’éclairer en quoi celles-ci sont susceptibles de réduire les conséquences psychosexuelles dans la survenue du cancer.
Méthode : Quatre bases de données ont été utilisées pour la recherche d’articles en fonction des critères d’inclusions et d’exclusions. À la suite de plusieurs étapes, douze interventions psychothérapeutiques ont été analysées dans cette revue.
Résultats : Les cancers qui ont bénéficié d’une intervention sont majoritairement les cancers de la prostate, du sein et gynécologique. Deux grandes formes d’intervention se dégagent de cette revue, des interventions cognitivo-comportementales et des interventions centrées sur l’information. Au travers des résultats obtenus, il est souvent pris en compte la fonction et satisfaction sexuelle, ainsi que la communication, dans l’efficience du traitement de troubles psychosexuelles.
Discussion : Il existe de nombreuses formes d’interventions possibles dans le traitement des difficultés sexuelles. Celles-ci rendent cependant plus souvent compte d’un traitement de la sexualité d’un point de vue biologique en diminuant les dimensions psychologiques, environnementales, sociales et culturelles dans le traitement des atteintes sexuelles dans le vécu du cancer. Une réflexion sur une intégration plus systématique de communication et de distribution d’informations autour de la sexualité dans toutes les formes de cancer, ainsi qu’une réflexion autour d’interventions plus intégratives serait à étudier.[article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.87-95
Titre : Les conséquences psychosexuelles et leurs traitements dans le champ du cancer : une revue systématique d’interventions psychothérapeutiques Type de document : revue Auteurs : J. Siles, Auteur ; C. Tarquinio, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.87-95 Langues : Français Mots-clés : cancer
développement psycho-sexuel
sexualitéRésumé :
Introduction : La dimension de la sexualité est largement affectée dans le champ du cancer, que ce soit avant, pendant ou après son traitement. En 2011, on estime qu’environ 35 à 50 % des patients atteints de cancer font l’objet de troubles ou d’affections de la sexualité en lien avec leur cancer et son traitement. Néanmoins, de grands tabous sont présents dans l’abord de ces difficultés par les patients mais aussi les professionnels de santé.
Objectif : Réaliser une revue systématique des interventions psychothérapeutiques existantes dans la littérature scientifique, afin d’éclairer en quoi celles-ci sont susceptibles de réduire les conséquences psychosexuelles dans la survenue du cancer.
Méthode : Quatre bases de données ont été utilisées pour la recherche d’articles en fonction des critères d’inclusions et d’exclusions. À la suite de plusieurs étapes, douze interventions psychothérapeutiques ont été analysées dans cette revue.
Résultats : Les cancers qui ont bénéficié d’une intervention sont majoritairement les cancers de la prostate, du sein et gynécologique. Deux grandes formes d’intervention se dégagent de cette revue, des interventions cognitivo-comportementales et des interventions centrées sur l’information. Au travers des résultats obtenus, il est souvent pris en compte la fonction et satisfaction sexuelle, ainsi que la communication, dans l’efficience du traitement de troubles psychosexuelles.
Discussion : Il existe de nombreuses formes d’interventions possibles dans le traitement des difficultés sexuelles. Celles-ci rendent cependant plus souvent compte d’un traitement de la sexualité d’un point de vue biologique en diminuant les dimensions psychologiques, environnementales, sociales et culturelles dans le traitement des atteintes sexuelles dans le vécu du cancer. Une réflexion sur une intégration plus systématique de communication et de distribution d’informations autour de la sexualité dans toutes les formes de cancer, ainsi qu’une réflexion autour d’interventions plus intégratives serait à étudier.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les dysfonctions sexuelles chez les patients tunisiens vivant avec le VIH a , a, ⁎ , / S. Bouhlel in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] Les dysfonctions sexuelles chez les patients tunisiens vivant avec le VIH a , a, ⁎ , [revue] / S. Bouhlel, Auteur ; C.H. Derbel, Auteur ; J. Nakhli, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.96-102.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.96-102
Mots-clés : dysfonction sexuelle
sexualité
Tunisie
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé :
Introduction : L’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) demeure une priorité sanitaire mondiale majeure. Elle constitue une source de souffrance physique et psychologique ainsi que de difficultés relationnelles et de détérioration de la santé sexuelle. Les objectifs de notre étude étaient d’évaluer les différentes dysfonctions sexuelles chez les Tunisiens vivants avec le VIH et de déterminer les relations de ces dysfonctions avec les caractéristiques sociodémographiques, l’évolution de l’infection, la présence de dépression et la qualité d’estime de soi.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude transversale descriptive et comparative ayant porté sur 74 patients tunisiens suivis pour une infection par le VIH. Les données ont été recueillies à l’aide d’un entretien semi-structuré et de trois échelles : l’échelle de Rosenberg pour déterminer la qualité d’estime de soi, l’échelle de Hamilton pour l’évaluation de la dépression, l’index international de la fonction érectile pour les hommes (IIEF) et l’index de la fonction sexuelle féminine pour évaluer la fonction sexuelle (FSFI).
Résultats : Pour les hommes, nous avons noté une dysfonction érectile sévère dans 33,3 % des cas, un trouble sévère de l’orgasme dans le même pourcentage et un trouble du désir de léger à sévère dans 85,7 % des cas. La sévérité de la dysfonction sexuelle masculine était en relation avec la présence de dépression et la consommation d’alcool. Pour les femmes, la majorité d’entre elles (n=19 ; 59,4 %) avaient une abstinence sexuelle totale depuis l’annonce de l’infection par le VIH. Seuls l’origine géographique et le faible niveau d’instruction étaient des facteurs influençant de façon significative la fonction sexuelle féminine. La dépression n’avait pas d’influence sur la fonction sexuelle de ces patientes.
Conclusion : La vie sexuelle des Tunisiens vivants avec le VIH est altérée. La collaboration entre les médecins infectiologues et les sexologues est nécessaire pour améliorer la qualité de vie sexuelle de ces patients.[article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.96-102
Titre : Les dysfonctions sexuelles chez les patients tunisiens vivant avec le VIH a , a, ⁎ , Type de document : revue Auteurs : S. Bouhlel, Auteur ; C.H. Derbel, Auteur ; J. Nakhli, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.96-102 Langues : Français Mots-clés : dysfonction sexuelle
sexualité
Tunisie
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé :
Introduction : L’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) demeure une priorité sanitaire mondiale majeure. Elle constitue une source de souffrance physique et psychologique ainsi que de difficultés relationnelles et de détérioration de la santé sexuelle. Les objectifs de notre étude étaient d’évaluer les différentes dysfonctions sexuelles chez les Tunisiens vivants avec le VIH et de déterminer les relations de ces dysfonctions avec les caractéristiques sociodémographiques, l’évolution de l’infection, la présence de dépression et la qualité d’estime de soi.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude transversale descriptive et comparative ayant porté sur 74 patients tunisiens suivis pour une infection par le VIH. Les données ont été recueillies à l’aide d’un entretien semi-structuré et de trois échelles : l’échelle de Rosenberg pour déterminer la qualité d’estime de soi, l’échelle de Hamilton pour l’évaluation de la dépression, l’index international de la fonction érectile pour les hommes (IIEF) et l’index de la fonction sexuelle féminine pour évaluer la fonction sexuelle (FSFI).
Résultats : Pour les hommes, nous avons noté une dysfonction érectile sévère dans 33,3 % des cas, un trouble sévère de l’orgasme dans le même pourcentage et un trouble du désir de léger à sévère dans 85,7 % des cas. La sévérité de la dysfonction sexuelle masculine était en relation avec la présence de dépression et la consommation d’alcool. Pour les femmes, la majorité d’entre elles (n=19 ; 59,4 %) avaient une abstinence sexuelle totale depuis l’annonce de l’infection par le VIH. Seuls l’origine géographique et le faible niveau d’instruction étaient des facteurs influençant de façon significative la fonction sexuelle féminine. La dépression n’avait pas d’influence sur la fonction sexuelle de ces patientes.
Conclusion : La vie sexuelle des Tunisiens vivants avec le VIH est altérée. La collaboration entre les médecins infectiologues et les sexologues est nécessaire pour améliorer la qualité de vie sexuelle de ces patients.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Quelles mesures pour évaluer la baisse du désir sexuel chez la femme ? / M. Géonet in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] Quelles mesures pour évaluer la baisse du désir sexuel chez la femme ? [revue] / M. Géonet, Auteur ; P. De sutter, Auteur ; E. Zech, Auteur . - 2017 . - p.103-109.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.103-109
Mots-clés : désir
femme
sexualitéRésumé : Le concept de désir sexuel n’est pas aisé à définir et encore moins à évaluer. Pourtant, un nombre important de femmes souffrent d’une baisse de libido, constituant ainsi une des plaintes principales reçue en consultation sexologique. Conséquence de cette difficulté de conceptualisation du désir, de nombreux questionnaires sont proposés aux praticiens. Il n’est donc pas aisé de déterminer quelle mesure choisir pour l’évaluation du désir. L’objectif de cet article est de développer 4 questionnaires traduits en français et mis en place pour évaluer la sévérité des symptômes du trouble du désir sexuel, le niveau de désir ou les réactions psychologiques qui lui sont consécutives. Les propriétés psychométriques, les forces ainsi que les limites de 4 échelles seront présentés : l’Échelle du Désir Sexuel (Tremblay et Roussy, 2000), le Derogatis Sexual Functioning Inventory (Derogatis et Meliseratos, 1979), l’histoire sexuelle du système multiaxial d’évaluation des dysfonctions sexuelles (Schover et al., 1982) et le Female Sexual Function Index (Meston, 2003). Cette brève analyse amène à conclure que le Female Sexual Function Index semble être un outil de mesure pertinent pour l’évaluation globale du fonctionnement sexuel féminin. En ce qui concerne la dimension spécifique du désir sexuel, l’échelle du désir sexuel paraît offrir la mesure la plus satisfaisante. Cependant, il apparaît également que les questionnaires francophones actuellement développés pour l’évaluation du désir sexuel chez la femme souffrent d’un manque de validation empirique. Ce domaine de recherche offre donc beaucoup de perspectives futures. [article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.103-109
Titre : Quelles mesures pour évaluer la baisse du désir sexuel chez la femme ? Type de document : revue Auteurs : M. Géonet, Auteur ; P. De sutter, Auteur ; E. Zech, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.103-109 Langues : Français Mots-clés : désir
femme
sexualitéRésumé : Le concept de désir sexuel n’est pas aisé à définir et encore moins à évaluer. Pourtant, un nombre important de femmes souffrent d’une baisse de libido, constituant ainsi une des plaintes principales reçue en consultation sexologique. Conséquence de cette difficulté de conceptualisation du désir, de nombreux questionnaires sont proposés aux praticiens. Il n’est donc pas aisé de déterminer quelle mesure choisir pour l’évaluation du désir. L’objectif de cet article est de développer 4 questionnaires traduits en français et mis en place pour évaluer la sévérité des symptômes du trouble du désir sexuel, le niveau de désir ou les réactions psychologiques qui lui sont consécutives. Les propriétés psychométriques, les forces ainsi que les limites de 4 échelles seront présentés : l’Échelle du Désir Sexuel (Tremblay et Roussy, 2000), le Derogatis Sexual Functioning Inventory (Derogatis et Meliseratos, 1979), l’histoire sexuelle du système multiaxial d’évaluation des dysfonctions sexuelles (Schover et al., 1982) et le Female Sexual Function Index (Meston, 2003). Cette brève analyse amène à conclure que le Female Sexual Function Index semble être un outil de mesure pertinent pour l’évaluation globale du fonctionnement sexuel féminin. En ce qui concerne la dimension spécifique du désir sexuel, l’échelle du désir sexuel paraît offrir la mesure la plus satisfaisante. Cependant, il apparaît également que les questionnaires francophones actuellement développés pour l’évaluation du désir sexuel chez la femme souffrent d’un manque de validation empirique. Ce domaine de recherche offre donc beaucoup de perspectives futures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030916 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’acte de torture et de barbarie : « une incrimination criminelle trop souvent oubliée en cas de violences policières, de viol ou d’actes de sodomie » / J. Delga in Sexologies, vol.26 n°2 (avril mai 2017)
[article] L’acte de torture et de barbarie : « une incrimination criminelle trop souvent oubliée en cas de violences policières, de viol ou d’actes de sodomie » [revue] / J. Delga, Auteur . - 2017 . - p.103-113.
Langues : Français
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.103-113
Mots-clés : barbarie
droit pénal
international
torture
viol
violenceRésumé : Les incriminations criminelles d’agents de la force publique pour actes de torture ou de barbarie en cas de violences policières sont rares. Deux affaires distinctes très récentes (affaire Alexandre et affaire Theo) datant de 2016/2017 qui ont défrayé la chronique en France en témoignent. Dans chacun de ces cas il était reproché à des fonctionnaires d’avoir introduit lors de l’arrestation ou de la garde à vue une matraque dans le rectum de jeunes hommes occasionnant des plaies à l’anus générant de ce fait une incapacité temporaire de travail. Dans les deux cas le tribunal correctionnel de Bobigny, banlieue proche de Paris, a été saisi. Mais les magistrats ont requalifié les faits. Ils ont considéré que de tels agissements étaient des crimes et non des délits. Ils ont estimé que la cour d’assises était seule compétente. La notion de viol fut invoquée. Les deux affaires n’ont pas été encore tranchées définitivement. On peut comprendre l’incrimination de violences, de violences aggravées ou même de viol. Sur ce dernier point toutefois des justifications précises doivent être fournies tant cette qualification de « viol » en cas d’intromission d’un bâton est complexe. Mais pourquoi oublier un autre fondement de poursuites qui semblerait mieux adapté tel « l’acte de torture ou de barbarie ». Cette notion distincte de l’acte de torture et barbarie concernant les crimes imprescriptibles nazis est certes mal définie sur le plan législatif national. Mais rien n’empêche les références à la jurisprudence ou même aux conventions internationales, notamment celle des États-Unis. L’omission est-elle dès lors véritablement involontaire ? Comment la justifier ? N’existerait-il pas une réticence voulue à l’application d’une telle incrimination ? En cette période troublée ou la crainte d’attentats terroristes existe on ne peut faire abstraction d’une telle incrimination sauf à mettre en péril nos valeurs et notre démocratie. [article]
in Sexologies > vol.26 n°2 (avril mai 2017) . - p.103-113
Titre : L’acte de torture et de barbarie : « une incrimination criminelle trop souvent oubliée en cas de violences policières, de viol ou d’actes de sodomie » Type de document : revue Auteurs : J. Delga, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.103-113 Langues : Français Mots-clés : barbarie
droit pénal
international
torture
viol
violenceRésumé : Les incriminations criminelles d’agents de la force publique pour actes de torture ou de barbarie en cas de violences policières sont rares. Deux affaires distinctes très récentes (affaire Alexandre et affaire Theo) datant de 2016/2017 qui ont défrayé la chronique en France en témoignent. Dans chacun de ces cas il était reproché à des fonctionnaires d’avoir introduit lors de l’arrestation ou de la garde à vue une matraque dans le rectum de jeunes hommes occasionnant des plaies à l’anus générant de ce fait une incapacité temporaire de travail. Dans les deux cas le tribunal correctionnel de Bobigny, banlieue proche de Paris, a été saisi. Mais les magistrats ont requalifié les faits. Ils ont considéré que de tels agissements étaient des crimes et non des délits. Ils ont estimé que la cour d’assises était seule compétente. La notion de viol fut invoquée. Les deux affaires n’ont pas été encore tranchées définitivement. On peut comprendre l’incrimination de violences, de violences aggravées ou même de viol. Sur ce dernier point toutefois des justifications précises doivent être fournies tant cette qualification de « viol » en cas d’intromission d’un bâton est complexe. Mais pourquoi oublier un autre fondement de poursuites qui semblerait mieux adapté tel « l’acte de torture ou de barbarie ». Cette notion distincte de l’acte de torture et barbarie concernant les crimes imprescriptibles nazis est certes mal définie sur le plan législatif national. Mais rien n’empêche les références à la jurisprudence ou même aux conventions internationales, notamment celle des États-Unis. L’omission est-elle dès lors véritablement involontaire ? Comment la justifier ? N’existerait-il pas une réticence voulue à l’application d’une telle incrimination ? En cette période troublée ou la crainte d’attentats terroristes existe on ne peut faire abstraction d’une telle incrimination sauf à mettre en péril nos valeurs et notre démocratie. Exemplaires
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