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AVC et trombectomie : les effectifs NRI 2015, les besoins en formation pour 2020 / Jérôme Berge in Revue des SAMU, tome XXXVIII n°spécial (avril 2016)
[article] AVC et trombectomie : les effectifs NRI 2015, les besoins en formation pour 2020 [revue] / Jérôme Berge, Auteur . - 2016 . - p.78-80.
Langues : Français
in Revue des SAMU > tome XXXVIII n°spécial (avril 2016) . - p.78-80
Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
neuroradiologie
thrombectomieNote de contenu : 43e Congrès annuel de la Société Française de Neuroradiologie (SFNR) [article]
in Revue des SAMU > tome XXXVIII n°spécial (avril 2016) . - p.78-80
Titre : AVC et trombectomie : les effectifs NRI 2015, les besoins en formation pour 2020 Type de document : revue Auteurs : Jérôme Berge, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.78-80 Langues : Français Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
neuroradiologie
thrombectomieNote de contenu : 43e Congrès annuel de la Société Française de Neuroradiologie (SFNR) Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00028907 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible AVC ischémique de la circulation antérieure : place de la thrombectomie. Quelle gestion anesthésique ? / Russell Chabanne in Anesthésie & réanimation, vol.6 n°1 (janvier 2020)
[article] AVC ischémique de la circulation antérieure : place de la thrombectomie. Quelle gestion anesthésique ? [revue] / Russell Chabanne, Auteur ; Marc Begard, Auteur ; Mikael Mazighi, Auteur ; Benjamin Maïer, Auteur . - 2020 . - p.96-102.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.96-102
Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
infarctus cérébral
sédation
thrombectomieRésumé : La thrombectomie mécanique (TM), si possible associée à la thrombolyse intraveineuse, est recommandée depuis 2015 dans la prise en charge des AVC ischémiques de la circulation antérieure proximale chez des patients sélectionnés. Le bénéfice est important quel que soit l’âge du patient, mais nécessite une prise en charge interventionnelle en extrême urgence, dans des centres de compétence. Une sélection stricte des patients par imagerie évaluant la pénombre ischémique récupérable permet de parfois repousser les délais jusqu’à 24 heures post-ictus. La prise en charge périopératoire, notamment anesthésique, apparaît importante. Elle permet de sécuriser la procédure pour le patient et l’opérateur par la gestion des voies aériennes, le confort, l’analgésie et le contrôle des possibles mouvements. Elle tente également de protéger la zone de pénombre ischémique en maintenant la pression artérielle, l’oxygénation et les autres déterminants du métabolisme cérébral. Elle peut se faire sous anesthésie générale (AG) ou sédation procédurale (sédation consciente SC), voire anesthésie locale. Pendant plusieurs années, une altération pronostique liée à l’AG était suspectée. Cependant, les résultats étaient fortement biaisés, en rapport notamment avec l’absence de randomisation sur la procédure anesthésique. Les données récentes montrent au moins une équivalence entre AG et SC. Certaines études randomisées et une méta-analyse de données individuelles retrouvent même un meilleur pronostic associé à l’AG. Des études multicentriques restent cependant nécessaires. L’organisation et la coordination de la filière de prise en charge associant médecine d’urgence, neurologie vasculaire, neuroradiologie interventionnelle et anesthésie-réanimation-médecine périopératoire est centrale. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.96-102
Titre : AVC ischémique de la circulation antérieure : place de la thrombectomie. Quelle gestion anesthésique ? Type de document : revue Auteurs : Russell Chabanne, Auteur ; Marc Begard, Auteur ; Mikael Mazighi, Auteur ; Benjamin Maïer, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.96-102 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
infarctus cérébral
sédation
thrombectomieRésumé : La thrombectomie mécanique (TM), si possible associée à la thrombolyse intraveineuse, est recommandée depuis 2015 dans la prise en charge des AVC ischémiques de la circulation antérieure proximale chez des patients sélectionnés. Le bénéfice est important quel que soit l’âge du patient, mais nécessite une prise en charge interventionnelle en extrême urgence, dans des centres de compétence. Une sélection stricte des patients par imagerie évaluant la pénombre ischémique récupérable permet de parfois repousser les délais jusqu’à 24 heures post-ictus. La prise en charge périopératoire, notamment anesthésique, apparaît importante. Elle permet de sécuriser la procédure pour le patient et l’opérateur par la gestion des voies aériennes, le confort, l’analgésie et le contrôle des possibles mouvements. Elle tente également de protéger la zone de pénombre ischémique en maintenant la pression artérielle, l’oxygénation et les autres déterminants du métabolisme cérébral. Elle peut se faire sous anesthésie générale (AG) ou sédation procédurale (sédation consciente SC), voire anesthésie locale. Pendant plusieurs années, une altération pronostique liée à l’AG était suspectée. Cependant, les résultats étaient fortement biaisés, en rapport notamment avec l’absence de randomisation sur la procédure anesthésique. Les données récentes montrent au moins une équivalence entre AG et SC. Certaines études randomisées et une méta-analyse de données individuelles retrouvent même un meilleur pronostic associé à l’AG. Des études multicentriques restent cependant nécessaires. L’organisation et la coordination de la filière de prise en charge associant médecine d’urgence, neurologie vasculaire, neuroradiologie interventionnelle et anesthésie-réanimation-médecine périopératoire est centrale. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034006 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Anesthésie pour thrombectomie cérébrale / François Bart in Oxymag, n°162 (septembre octobre 2018)
[article] Anesthésie pour thrombectomie cérébrale [revue] / François Bart, Auteur ; Mathieu Kessler, Auteur ; Fabrice Rabechault, Auteur . - 2018 . - p.6-11.
Langues : Français
in Oxymag > n°162 (septembre octobre 2018) . - p.6-11
Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
neuroradiologie
thrombectomieRésumé : L'accident vasculaire cérébral (AVC) est une pathologie fréquente et grave par sa mortalité et les séquelles neurologiques qu'il provoque. Les trois quarts des AVC sont d'origine ischémiques. Depuis 2015, date où la preuve a été faite de l'intérêt de la thrombectomie mécanique pour traiter l'AVC ischémique, cette technique est de plus en plus souvent proposée. Elle nécessite une organisation et une prise en charge proactives de l'ensemble des acteurs pour perdre le moins de temps possible. plus que le choix d'une technique anesthésique, il semble qu'un contrôle strict des valeurs tensionnelles soit l'élément pronostique essentiel. Note de contenu : [Dossier) L'anesthésie hors bloc opératoire [article]
in Oxymag > n°162 (septembre octobre 2018) . - p.6-11
Titre : Anesthésie pour thrombectomie cérébrale Type de document : revue Auteurs : François Bart, Auteur ; Mathieu Kessler, Auteur ; Fabrice Rabechault, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.6-11 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
neuroradiologie
thrombectomieRésumé : L'accident vasculaire cérébral (AVC) est une pathologie fréquente et grave par sa mortalité et les séquelles neurologiques qu'il provoque. Les trois quarts des AVC sont d'origine ischémiques. Depuis 2015, date où la preuve a été faite de l'intérêt de la thrombectomie mécanique pour traiter l'AVC ischémique, cette technique est de plus en plus souvent proposée. Elle nécessite une organisation et une prise en charge proactives de l'ensemble des acteurs pour perdre le moins de temps possible. plus que le choix d'une technique anesthésique, il semble qu'un contrôle strict des valeurs tensionnelles soit l'élément pronostique essentiel. Note de contenu : [Dossier) L'anesthésie hors bloc opératoire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032246 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Accidents vasculaires cérébraux périopératoires / Alice Jacquens in Anesthésie & réanimation, vol.6 n°3 (mai 2020)
[article] Accidents vasculaires cérébraux périopératoires [revue] / Alice Jacquens, Auteur ; Romain Pasqualotto, Auteur ; Samuel Latreille, Auteur ; Marie-Hélène Pari, Auteur ; Laura Fitoussi, Auteur ; Vincent Degos, Auteur . - 2020 . - p.337-349.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°3 (mai 2020) . - p.337-349
Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
IRM imagerie par résonance magnétique
thrombectomieRésumé : La période périopératoire est une période à risque de complications vasculaires cérébrales et notamment ischémiques. L’inflammation systémique liée au stress chirurgical et anesthésique est responsable d’un état d’hypercoagulabilité, favorisant la complication thromboembolique. L’âge, l’insuffisance rénale et l’antécédent d’AVC ou d’AIT sont des facteurs de risques d’accident vasculaire cérébral postopératoire. Le diagnostic d’AVC est suspecté devant tout retard de réveil ou signe de localisation neurologique. Différentes échelles sont disponibles telles que l’échelle de ROSIER ou le NIHSS pour guider le praticien. Tous les patients suspects d’AVC doivent bénéficier d’une imagerie cérébrale en extrême urgence, afin tout d’abord de préciser la nature ischémique ou hémorragique de l’AVC, et l’imagerie de choix est l’IRM. En l’absence d’accès à l’IRM, un scanner sans injection sera réalisé. En cas de mise en évidence d’AVC ischémique à l’imagerie demandée en urgence, un avis neurovasculaire sera nécessaire. Dans un deuxième temps, une thrombectomie en urgence devra être proposée avec si besoin transfert vers le centre responsable du secteur. Cette prise en charge nécessite une organisation multidisciplinaire et la mise en place en amont d’une filière de soins dédiée. On associe à la thrombectomie des mesures d’optimisation du débit sanguin cérébral. Une stratégie de prévention doit être mise en place dès que possible afin d’identifier les patients à risque dès la consultation d’anesthésie, avec gestion des traitements antiagrégants, anticoagulants et antiarythmiques. En peropératoire, on adoptera des stratégies de neuroprotection afin de favoriser la perfusion cérébrale via la gestion de l’hémodynamique, de la douleur, de la ventilation et de la glycémie. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°3 (mai 2020) . - p.337-349
Titre : Accidents vasculaires cérébraux périopératoires Type de document : revue Auteurs : Alice Jacquens, Auteur ; Romain Pasqualotto, Auteur ; Samuel Latreille, Auteur ; Marie-Hélène Pari, Auteur ; Laura Fitoussi, Auteur ; Vincent Degos, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.337-349 Langues : Français Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
IRM imagerie par résonance magnétique
thrombectomieRésumé : La période périopératoire est une période à risque de complications vasculaires cérébrales et notamment ischémiques. L’inflammation systémique liée au stress chirurgical et anesthésique est responsable d’un état d’hypercoagulabilité, favorisant la complication thromboembolique. L’âge, l’insuffisance rénale et l’antécédent d’AVC ou d’AIT sont des facteurs de risques d’accident vasculaire cérébral postopératoire. Le diagnostic d’AVC est suspecté devant tout retard de réveil ou signe de localisation neurologique. Différentes échelles sont disponibles telles que l’échelle de ROSIER ou le NIHSS pour guider le praticien. Tous les patients suspects d’AVC doivent bénéficier d’une imagerie cérébrale en extrême urgence, afin tout d’abord de préciser la nature ischémique ou hémorragique de l’AVC, et l’imagerie de choix est l’IRM. En l’absence d’accès à l’IRM, un scanner sans injection sera réalisé. En cas de mise en évidence d’AVC ischémique à l’imagerie demandée en urgence, un avis neurovasculaire sera nécessaire. Dans un deuxième temps, une thrombectomie en urgence devra être proposée avec si besoin transfert vers le centre responsable du secteur. Cette prise en charge nécessite une organisation multidisciplinaire et la mise en place en amont d’une filière de soins dédiée. On associe à la thrombectomie des mesures d’optimisation du débit sanguin cérébral. Une stratégie de prévention doit être mise en place dès que possible afin d’identifier les patients à risque dès la consultation d’anesthésie, avec gestion des traitements antiagrégants, anticoagulants et antiarythmiques. En peropératoire, on adoptera des stratégies de neuroprotection afin de favoriser la perfusion cérébrale via la gestion de l’hémodynamique, de la douleur, de la ventilation et de la glycémie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034372 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Accident vasculaire cérébral ischémique / Nicolas Bruder in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°1 (janvier 2017)
[article] Accident vasculaire cérébral ischémique [revue] / Nicolas Bruder, Auteur ; Salah Boussen, Auteur . - 2017 . - p.25-36.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°1 (janvier 2017) . - p.25-36
Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
réanimation
thrombectomie
thrombolyseRésumé : L’accident vasculaire cérébral ischémique (AVCi) est la première cause de handicap dans les pays développés. Le bénéfice de la réanimation est évident dans certaines indications comme le traitement de l’épilepsie, la prise en charge des complications infectieuses, une aggravation de l’état de conscience du fait de l’œdème ischémique chez des patients ayant un bon potentiel de récupération. À l’inverse, la réanimation est inutile dans la plupart des cas de patients âgés dans un coma profond du fait de l’AVC. Depuis environ 10 ans, des traitements agressifs ont montré une efficacité pour réduire la mortalité et le handicap. La revascularisation par la thrombolyse et, depuis 2015, par la thrombectomie est devenue un traitement bien codifié, dont les indications augmentent. L’anesthésie générale dans ce contexte peut être une cause d’aggravation, nécessitant de bien connaître les impératifs de la prise en charge de l’AVCi à la phase aiguë. Avec un protocole bien codifié, l’anesthésie n’est pas délétère et pourrait même améliorer le devenir des patients. Des traitements chirurgicaux efficaces (dérivation du liquide céphalorachidien, craniectomie décompressive) nécessitent de créer des réseaux avec les centres neurochirurgicaux pour sélectionner les bonnes indications de ces traitements. L’amélioration des traitements pose des questions éthiques difficiles à l’anesthésiste-réanimateur. Il faut éviter le fatalisme responsable de prophéties auto-réalisatrices d’évolution défavorable, mais aussi l’acharnement thérapeutique source de handicap très sévère et de souffrance des familles. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°1 (janvier 2017) . - p.25-36
Titre : Accident vasculaire cérébral ischémique Type de document : revue Auteurs : Nicolas Bruder, Auteur ; Salah Boussen, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.25-36 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
AVC accident vasculaire cérébral
réanimation
thrombectomie
thrombolyseRésumé : L’accident vasculaire cérébral ischémique (AVCi) est la première cause de handicap dans les pays développés. Le bénéfice de la réanimation est évident dans certaines indications comme le traitement de l’épilepsie, la prise en charge des complications infectieuses, une aggravation de l’état de conscience du fait de l’œdème ischémique chez des patients ayant un bon potentiel de récupération. À l’inverse, la réanimation est inutile dans la plupart des cas de patients âgés dans un coma profond du fait de l’AVC. Depuis environ 10 ans, des traitements agressifs ont montré une efficacité pour réduire la mortalité et le handicap. La revascularisation par la thrombolyse et, depuis 2015, par la thrombectomie est devenue un traitement bien codifié, dont les indications augmentent. L’anesthésie générale dans ce contexte peut être une cause d’aggravation, nécessitant de bien connaître les impératifs de la prise en charge de l’AVCi à la phase aiguë. Avec un protocole bien codifié, l’anesthésie n’est pas délétère et pourrait même améliorer le devenir des patients. Des traitements chirurgicaux efficaces (dérivation du liquide céphalorachidien, craniectomie décompressive) nécessitent de créer des réseaux avec les centres neurochirurgicaux pour sélectionner les bonnes indications de ces traitements. L’amélioration des traitements pose des questions éthiques difficiles à l’anesthésiste-réanimateur. Il faut éviter le fatalisme responsable de prophéties auto-réalisatrices d’évolution défavorable, mais aussi l’acharnement thérapeutique source de handicap très sévère et de souffrance des familles. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030996 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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