[article] Nécessité d’un nouveau test TSH pour le diagnostic précoce de l’hypothyroïdie : a, ⁎, b, c , c, d, [revue] / A.S Gauchez, Auteur ; K. Chikh, Auteur ; E. Kuczewski, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.393-398. Langues : Français in Médecine nucléaire > vol.40 n°6 (novembre 2016) . - p.393-398 Mots-clés : | diagnostic dosage radioimmunologique dysthyroïdie glycoprotéine hormone récepteur TSH
| Résumé : | L’immunodosage de la TSH est l’examen biologique de première intention en cas de présomption de dysthyroïdie. Il est important de définir les limites de l’intervalle de référence qui correspond au taux dit « normal » de la molécule dosée. En effet, déterminer avec précision ces valeurs de référence est essentiel pour permettre de définir quels patients devront bénéficier d’une thérapie ou d’un suivi médical adapté. Même s’il existe aujourd’hui un consensus autour de l’intervalle 0,4–4 mIU/L de TSH, la limite supérieure est source d’avis divergents. Alors que plusieurs institutions pensent qu’il faut abaisser cette valeur, des études menées ces dix dernières années infirment cette idée. La TSH est une hormone glycoprotéique dont le taux circulant varie selon de nombreux critères. Il est aujourd’hui clairement établi que le taux de TSH évolue différemment selon l’environnement, les caractéristiques physiologiques et les habitudes des patients et que l’hormone dosée présente elle-même un polymorphisme qui peut influencer le résultat des dosages. Un appel d’offre de l’ANR nous a permis de constituer une sérothèque prospective et documentée à partir des hypothèses de travail basées sur la mise en place d’une nouvelle calibration de TSH et/ou l’utilisation de nouveaux formats (couple Ac de capture/Ac de révélation) pour reconnaître la TSH. |
[article] in Médecine nucléaire > vol.40 n°6 (novembre 2016) . - p.393-398 Titre : | Nécessité d’un nouveau test TSH pour le diagnostic précoce de l’hypothyroïdie : a, ⁎, b, c , c, d, | Type de document : | revue | Auteurs : | A.S Gauchez, Auteur ; K. Chikh, Auteur ; E. Kuczewski, Auteur ; et al., Auteur | Année de publication : | 2016 | Article en page(s) : | p.393-398 | Langues : | Français | Mots-clés : | diagnostic dosage radioimmunologique dysthyroïdie glycoprotéine hormone récepteur TSH
| Résumé : | L’immunodosage de la TSH est l’examen biologique de première intention en cas de présomption de dysthyroïdie. Il est important de définir les limites de l’intervalle de référence qui correspond au taux dit « normal » de la molécule dosée. En effet, déterminer avec précision ces valeurs de référence est essentiel pour permettre de définir quels patients devront bénéficier d’une thérapie ou d’un suivi médical adapté. Même s’il existe aujourd’hui un consensus autour de l’intervalle 0,4–4 mIU/L de TSH, la limite supérieure est source d’avis divergents. Alors que plusieurs institutions pensent qu’il faut abaisser cette valeur, des études menées ces dix dernières années infirment cette idée. La TSH est une hormone glycoprotéique dont le taux circulant varie selon de nombreux critères. Il est aujourd’hui clairement établi que le taux de TSH évolue différemment selon l’environnement, les caractéristiques physiologiques et les habitudes des patients et que l’hormone dosée présente elle-même un polymorphisme qui peut influencer le résultat des dosages. Un appel d’offre de l’ANR nous a permis de constituer une sérothèque prospective et documentée à partir des hypothèses de travail basées sur la mise en place d’une nouvelle calibration de TSH et/ou l’utilisation de nouveaux formats (couple Ac de capture/Ac de révélation) pour reconnaître la TSH. |
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