La TEP au 68Ga-PSMA et autres traceurs TEP / Anne Laure Giraudet in Médecine nucléaire, vol.41 n°3 (mai juin 2017)

ISBD Public [article] La TEP au 68Ga-PSMA et autres traceurs TEP [revue] / Anne Laure Giraudet, Auteur ; D. Kryza, Auteur ; A. Flechon, Auteur . - 2017 . - p.223-227. Langues : Français in Médecine nucléaire > vol.41 n°3 (mai juin 2017) . - p.223-227 Mots-clés : cancer prostate glycoprotéine PSMA antigène membranaire spécifique de la prostate TEP tomographie par émission de positons Résumé : La TEP-PSMA sera dans un avenir proche un outil clef de la prise en charge en routine et à tous les stades des patients présentant un adénocarcinome prostatique. Elle sera complémentaire de l’IRM pour le bilan d’extension locorégional et pour la délinéation des volumes tumoraux pour la radiothérapie externe. Elle va supplanter la TEP-choline et l’imagerie standard par scanner et scintigraphie osseuse tant pour le bilan d’extension que pour le diagnostic de récidive des adénocarcinomes de prostate. Au stade métastatique, elle sélectionnera les patients pour la radiothérapie interne vectorisée utilisant les ligands du PSMA radiomarqués par des émetteurs d’électrons et pourra en évaluer l’efficacité. L’évaluation de l’efficacité du blocage androgénique par TEP-PSMA doit être faite avec précaution du fait d’un possible effet flare-up engendré par l’hormonothérapie. Les antagonistes ciblant les récepteurs de la bombésine sont en cours de développement clinique pour les mêmes applications. [article]  in Médecine nucléaire > vol.41 n°3 (mai juin 2017) . - p.223-227 Titre : La TEP au 68Ga-PSMA et autres traceurs TEP Type de document : revue Auteurs : Anne Laure Giraudet, Auteur ; D. Kryza, Auteur ; A. Flechon, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.223-227 Langues : Français Mots-clés : cancer prostate glycoprotéine PSMA antigène membranaire spécifique de la prostate TEP tomographie par émission de positons Résumé : La TEP-PSMA sera dans un avenir proche un outil clef de la prise en charge en routine et à tous les stades des patients présentant un adénocarcinome prostatique. Elle sera complémentaire de l’IRM pour le bilan d’extension locorégional et pour la délinéation des volumes tumoraux pour la radiothérapie externe. Elle va supplanter la TEP-choline et l’imagerie standard par scanner et scintigraphie osseuse tant pour le bilan d’extension que pour le diagnostic de récidive des adénocarcinomes de prostate. Au stade métastatique, elle sélectionnera les patients pour la radiothérapie interne vectorisée utilisant les ligands du PSMA radiomarqués par des émetteurs d’électrons et pourra en évaluer l’efficacité. L’évaluation de l’efficacité du blocage androgénique par TEP-PSMA doit être faite avec précaution du fait d’un possible effet flare-up engendré par l’hormonothérapie. Les antagonistes ciblant les récepteurs de la bombésine sont en cours de développement clinique pour les mêmes applications.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00030911	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Nécessité d’un nouveau test TSH pour le diagnostic précoce de l’hypothyroïdie / A.S Gauchez in Médecine nucléaire, vol.40 n°6 (novembre 2016)

ISBD Public [article] Nécessité d’un nouveau test TSH pour le diagnostic précoce de l’hypothyroïdie : a, ⁎, b, c , c, d, [revue] / A.S Gauchez, Auteur ; K. Chikh, Auteur ; E. Kuczewski, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.393-398. Langues : Français in Médecine nucléaire > vol.40 n°6 (novembre 2016) . - p.393-398 Mots-clés : diagnostic dosage radioimmunologique dysthyroïdie glycoprotéine hormone récepteur TSH Résumé : L’immunodosage de la TSH est l’examen biologique de première intention en cas de présomption de dysthyroïdie. Il est important de définir les limites de l’intervalle de référence qui correspond au taux dit « normal » de la molécule dosée. En effet, déterminer avec précision ces valeurs de référence est essentiel pour permettre de définir quels patients devront bénéficier d’une thérapie ou d’un suivi médical adapté. Même s’il existe aujourd’hui un consensus autour de l’intervalle 0,4–4 mIU/L de TSH, la limite supérieure est source d’avis divergents. Alors que plusieurs institutions pensent qu’il faut abaisser cette valeur, des études menées ces dix dernières années infirment cette idée. La TSH est une hormone glycoprotéique dont le taux circulant varie selon de nombreux critères. Il est aujourd’hui clairement établi que le taux de TSH évolue différemment selon l’environnement, les caractéristiques physiologiques et les habitudes des patients et que l’hormone dosée présente elle-même un polymorphisme qui peut influencer le résultat des dosages. Un appel d’offre de l’ANR nous a permis de constituer une sérothèque prospective et documentée à partir des hypothèses de travail basées sur la mise en place d’une nouvelle calibration de TSH et/ou l’utilisation de nouveaux formats (couple Ac de capture/Ac de révélation) pour reconnaître la TSH. [article]  in Médecine nucléaire > vol.40 n°6 (novembre 2016) . - p.393-398 Titre : Nécessité d’un nouveau test TSH pour le diagnostic précoce de l’hypothyroïdie : a, ⁎, b, c , c, d, Type de document : revue Auteurs : A.S Gauchez, Auteur ; K. Chikh, Auteur ; E. Kuczewski, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.393-398 Langues : Français Mots-clés : diagnostic dosage radioimmunologique dysthyroïdie glycoprotéine hormone récepteur TSH Résumé : L’immunodosage de la TSH est l’examen biologique de première intention en cas de présomption de dysthyroïdie. Il est important de définir les limites de l’intervalle de référence qui correspond au taux dit « normal » de la molécule dosée. En effet, déterminer avec précision ces valeurs de référence est essentiel pour permettre de définir quels patients devront bénéficier d’une thérapie ou d’un suivi médical adapté. Même s’il existe aujourd’hui un consensus autour de l’intervalle 0,4–4 mIU/L de TSH, la limite supérieure est source d’avis divergents. Alors que plusieurs institutions pensent qu’il faut abaisser cette valeur, des études menées ces dix dernières années infirment cette idée. La TSH est une hormone glycoprotéique dont le taux circulant varie selon de nombreux critères. Il est aujourd’hui clairement établi que le taux de TSH évolue différemment selon l’environnement, les caractéristiques physiologiques et les habitudes des patients et que l’hormone dosée présente elle-même un polymorphisme qui peut influencer le résultat des dosages. Un appel d’offre de l’ANR nous a permis de constituer une sérothèque prospective et documentée à partir des hypothèses de travail basées sur la mise en place d’une nouvelle calibration de TSH et/ou l’utilisation de nouveaux formats (couple Ac de capture/Ac de révélation) pour reconnaître la TSH.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00029886	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

L'hormone anti-mullerienne in Vocation sage femme, vol.9 nº78 (janvier 2010)

ISBD Public [article] L'hormone anti-mullerienne [revue] . - 2010 . - p.30.32. Langues : Français in Vocation sage femme > vol.9 nº78 (janvier 2010) . - p.30.32 Mots-clés : antimullérienne glycoprotéine hormone [article]  in Vocation sage femme > vol.9 nº78 (janvier 2010) . - p.30.32 Titre : L'hormone anti-mullerienne Type de document : revue Année de publication : 2010 Article en page(s) : p.30.32 Langues : Français Mots-clés : antimullérienne glycoprotéine hormone

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00027693	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

LES FACTEURS DE CROISSANCE in Revue de l'infirmière le mensuel de toutes les infirmières, nº19 (décembre 1991)

ISBD Public [article] LES FACTEURS DE CROISSANCE [revue] . - 1991 . - P.36.37. in Revue de l'infirmière le mensuel de toutes les infirmières > nº19 (décembre 1991) . - P.36.37 Mots-clés : croissance facteur glycoprotéine [article]  in Revue de l'infirmière le mensuel de toutes les infirmières > nº19 (décembre 1991) . - P.36.37 Titre : LES FACTEURS DE CROISSANCE Type de document : revue Année de publication : 1991 Article en page(s) : P.36.37 Mots-clés : croissance facteur glycoprotéine

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00028576	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Le cancer de prostate métastatique. Une cible : le PSMA – un traitement : la radioimmunothérapie / Caroline Rousseau in Médecine nucléaire, vol.41 n°3 (mai juin 2017)

ISBD Public [article] Le cancer de prostate métastatique. Une cible : le PSMA – un traitement : la radioimmunothérapie [revue] / Caroline Rousseau, Auteur ; M. Le Thiec, Auteur ; V. Fleury, Auteur . - 2017 . - p.228-231. Langues : Français in Médecine nucléaire > vol.41 n°3 (mai juin 2017) . - p.228-231 Mots-clés : cancer prostate glycoprotéine PSMA antigène membranaire spécifique de la prostate radioimmunothérapie Résumé : Le cancer de la prostate métastatique n’est que sensible transitoirement à la chimiothérapie actuelle. La thérapie par des anticorps monoclonaux radiomarqués qui cible l’antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) est prometteuse et constitue un domaine de recherche. Le J591 est un anticorps monoclonal IgG dé-immunisé, développé pour cibler le domaine extracellulaire du PSMA. Des études cliniques en phase I/II utilisant le J591 radiomarqué ont démontré leur efficacité dans le ciblage des cellules tumorales et la diminution des taux de PSA. Le J591 radiomarqué est bien toléré, non immunogène et peut être administré en doses fractionnées. La toxicité limitant la dose est une myélosuppression réversible. Les études actuelles comprennent des approches visant à initier de nouvelles stratégies d’association pour améliorer le succès de la radioimmunothérapie anti-PSMA. [article]  in Médecine nucléaire > vol.41 n°3 (mai juin 2017) . - p.228-231 Titre : Le cancer de prostate métastatique. Une cible : le PSMA – un traitement : la radioimmunothérapie Type de document : revue Auteurs : Caroline Rousseau, Auteur ; M. Le Thiec, Auteur ; V. Fleury, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.228-231 Langues : Français Mots-clés : cancer prostate glycoprotéine PSMA antigène membranaire spécifique de la prostate radioimmunothérapie Résumé : Le cancer de la prostate métastatique n’est que sensible transitoirement à la chimiothérapie actuelle. La thérapie par des anticorps monoclonaux radiomarqués qui cible l’antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) est prometteuse et constitue un domaine de recherche. Le J591 est un anticorps monoclonal IgG dé-immunisé, développé pour cibler le domaine extracellulaire du PSMA. Des études cliniques en phase I/II utilisant le J591 radiomarqué ont démontré leur efficacité dans le ciblage des cellules tumorales et la diminution des taux de PSA. Le J591 radiomarqué est bien toléré, non immunogène et peut être administré en doses fractionnées. La toxicité limitant la dose est une myélosuppression réversible. Les études actuelles comprennent des approches visant à initier de nouvelles stratégies d’association pour améliorer le succès de la radioimmunothérapie anti-PSMA.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00030911	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

---

page 1/1