[article] Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux [revue] / Hélène Cullin, Auteur . - 2020 . - p.5-17. Langues : Français in KS kinésithérapie scientifique > n°618 (mars 2020) . - p.5-17 Mots-clés : | biopsychosocial diagnostic douleur neuroplasticité
| Résumé : | La douleur a beaucoup évolué ces dernières années, rendant le modèle biomédical obsolète au profit du modèle biopsychosocial, déjà intégré dans le diagnostic masso-kinésithérapique (DMK). Celui-ci se doit d'intégrer les trois mécanismes à l'origine de la douleur (par excès de nociception, neuropathique et/ou neuroplastique), le profil évolutif de la douleur (aigues ou chroniques) ainsi que son caractère primaire ou secondaire (cancer, post-traumatique ou post-chirurgical, neuropathique, migraineux ou oro-faciale, viscéral ou musculo-squelettique).
Le premier entretien avec la personne douloureuse est fondamental pour le reste de la prise en charge. Il permettra dans un premier temps d'établir une alliance thérapeutique. Cette posture d'écoute active permettra d'évaluer les quatre composantes de la douleur (sensori-discriminative, affectivo-émotionnelle, cognitive et comportementale) en lien avec l'examen clinique.
Cette démarche aboutit à la formulation du DMK , ce qui va permettre de cibler au mieux les actions à mener de façon concomitante ou non sur l'ensemble des composantes de la douleur. |
[article] in KS kinésithérapie scientifique > n°618 (mars 2020) . - p.5-17 Titre : | Le diagnostic masso-kinésithérapique comme élément de simplexité dans la prise en charge des patients douloureux | Type de document : | revue | Auteurs : | Hélène Cullin, Auteur | Année de publication : | 2020 | Article en page(s) : | p.5-17 | Langues : | Français | Mots-clés : | biopsychosocial diagnostic douleur neuroplasticité
| Résumé : | La douleur a beaucoup évolué ces dernières années, rendant le modèle biomédical obsolète au profit du modèle biopsychosocial, déjà intégré dans le diagnostic masso-kinésithérapique (DMK). Celui-ci se doit d'intégrer les trois mécanismes à l'origine de la douleur (par excès de nociception, neuropathique et/ou neuroplastique), le profil évolutif de la douleur (aigues ou chroniques) ainsi que son caractère primaire ou secondaire (cancer, post-traumatique ou post-chirurgical, neuropathique, migraineux ou oro-faciale, viscéral ou musculo-squelettique).
Le premier entretien avec la personne douloureuse est fondamental pour le reste de la prise en charge. Il permettra dans un premier temps d'établir une alliance thérapeutique. Cette posture d'écoute active permettra d'évaluer les quatre composantes de la douleur (sensori-discriminative, affectivo-émotionnelle, cognitive et comportementale) en lien avec l'examen clinique.
Cette démarche aboutit à la formulation du DMK , ce qui va permettre de cibler au mieux les actions à mener de façon concomitante ou non sur l'ensemble des composantes de la douleur. |
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