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Auteur F. Madhi
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Antibiothérapie des infections oto-rhino-laryngologiques / R. Cohen in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°3 (juin 2024)
[article] Antibiothérapie des infections oto-rhino-laryngologiques [revue] / R. Cohen, Auteur ; F. Madhi, Auteur ; F. Thollot, Auteur . - 2024 . - P.129-140.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.129-140
Résumé : Les infections oto-rhino-laryngologiques (ORL) sont les plus fréquentes des infections de l’enfant et les premières causes de prescriptions d’antibiotiques. Dans l’immense majorité des cas, ces infections sont dues à des virus et même quand elles sont d’origine bactérienne, elles guérissent spontanément le plus souvent : le premier message à retenir est l’abstention de prescription d’antibiotique dans de très nombreuses situations d’infections des voies aériennes supérieures : rhinopharyngites, angines érythémateuses ou érythémato-pultacées non streptococciques, laryngites, otites congestives, otites séreuses. La décision de traitement antibiotique des angines repose essentiellement sur la positivité des tests de diagnostic rapide du streptocoque du groupe A (SGA). Concernant les otites, seules les otites moyennes aiguës purulentes (OMAP) survenant chez les enfants de moins de 2 ans et les formes d’OMAP compliquées ou les plus symptomatiques chez les enfants plus grands doivent être traitées par antibiotiques. L’amoxicilline est le traitement de première intention dans l’immense majorité des cas. Les infections ORL graves (mastoïdites, épiglottites, abcès rétro- et para-pharyngés, ethmoïdites) sont des urgences thérapeutiques justifiant une hospitalisation et une antibiothérapie intraveineuse initiale. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.129-140
Titre : Antibiothérapie des infections oto-rhino-laryngologiques Type de document : revue Auteurs : R. Cohen, Auteur ; F. Madhi, Auteur ; F. Thollot, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P.129-140 Langues : Français Résumé : Les infections oto-rhino-laryngologiques (ORL) sont les plus fréquentes des infections de l’enfant et les premières causes de prescriptions d’antibiotiques. Dans l’immense majorité des cas, ces infections sont dues à des virus et même quand elles sont d’origine bactérienne, elles guérissent spontanément le plus souvent : le premier message à retenir est l’abstention de prescription d’antibiotique dans de très nombreuses situations d’infections des voies aériennes supérieures : rhinopharyngites, angines érythémateuses ou érythémato-pultacées non streptococciques, laryngites, otites congestives, otites séreuses. La décision de traitement antibiotique des angines repose essentiellement sur la positivité des tests de diagnostic rapide du streptocoque du groupe A (SGA). Concernant les otites, seules les otites moyennes aiguës purulentes (OMAP) survenant chez les enfants de moins de 2 ans et les formes d’OMAP compliquées ou les plus symptomatiques chez les enfants plus grands doivent être traitées par antibiotiques. L’amoxicilline est le traitement de première intention dans l’immense majorité des cas. Les infections ORL graves (mastoïdites, épiglottites, abcès rétro- et para-pharyngés, ethmoïdites) sont des urgences thérapeutiques justifiant une hospitalisation et une antibiothérapie intraveineuse initiale. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036852 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Antibiothérapie des infections respiratoires basses de l’enfant / F. Madhi in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°3 (juin 2024)
[article] Antibiothérapie des infections respiratoires basses de l’enfant [revue] / F. Madhi, Auteur ; L. Panetta, Auteur ; L. De Pontual, Auteur . - 2024 . - P.141-149.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.141-149
Résumé : Les infections des voies respiratoires inférieures recouvrent un large éventail de syndromes cliniques, notamment les bronchiolites, les bronchites et les pneumonies. Les infections des voies respiratoires inférieures sont la deuxième cause de prescription d’antibiotiques. La grande majorité de ces infections sont dues à des virus (ou déclenchées par eux) et/ou sont des maladies spontanément résolutives. Cependant, les pneumonies chez les enfants sont responsables d’une morbidité et d’une mortalité importantes dans le monde. Pour les cliniciens, l’une des principales difficultés est de poser le diagnostic de pneumonie chez les enfants fébriles avec (ou sans) toux. En effet, le diagnostic doit être posé sur la base de l’anamnèse, de l’examen clinique et parfois d’examens complémentaires, la radiographie ou l’échographie thoracique et les marqueurs biologiques étant importants. L’épidémiologie bactérienne de la pneumonie et de l’empyème a évolué ces dernières années depuis la mise en place du PCV13 : où l’on observe une diminution de l’implication du pneumocoque, ainsi qu’une diminution de la résistance aux pénicillines, qui reste extrêmement faible. En 2021, selon les données du Centre national de référence des pneumocoques, 6 % des souches isolées à partir d’hémocultures chez l’enfant sont résistantes à l’amoxicilline. Les choix thérapeutiques proposés dans cet article respectent les recommandations officielles françaises antérieures. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.141-149
Titre : Antibiothérapie des infections respiratoires basses de l’enfant Type de document : revue Auteurs : F. Madhi, Auteur ; L. Panetta, Auteur ; L. De Pontual, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P.141-149 Langues : Français Résumé : Les infections des voies respiratoires inférieures recouvrent un large éventail de syndromes cliniques, notamment les bronchiolites, les bronchites et les pneumonies. Les infections des voies respiratoires inférieures sont la deuxième cause de prescription d’antibiotiques. La grande majorité de ces infections sont dues à des virus (ou déclenchées par eux) et/ou sont des maladies spontanément résolutives. Cependant, les pneumonies chez les enfants sont responsables d’une morbidité et d’une mortalité importantes dans le monde. Pour les cliniciens, l’une des principales difficultés est de poser le diagnostic de pneumonie chez les enfants fébriles avec (ou sans) toux. En effet, le diagnostic doit être posé sur la base de l’anamnèse, de l’examen clinique et parfois d’examens complémentaires, la radiographie ou l’échographie thoracique et les marqueurs biologiques étant importants. L’épidémiologie bactérienne de la pneumonie et de l’empyème a évolué ces dernières années depuis la mise en place du PCV13 : où l’on observe une diminution de l’implication du pneumocoque, ainsi qu’une diminution de la résistance aux pénicillines, qui reste extrêmement faible. En 2021, selon les données du Centre national de référence des pneumocoques, 6 % des souches isolées à partir d’hémocultures chez l’enfant sont résistantes à l’amoxicilline. Les choix thérapeutiques proposés dans cet article respectent les recommandations officielles françaises antérieures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036852 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Antibiothérapies curatives des infections urinaires de l’enfant / F. Madhi in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°3 (juin 2024)
[article] Antibiothérapies curatives des infections urinaires de l’enfant [revue] / F. Madhi, Auteur ; A. Rybak, Auteur ; R. Basmaci, Auteur . - 2024 . - P.150-157.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.150-157
Résumé : Les infections urinaires représentent les infections bactériennes les plus fréquemment documentées en pédiatrie. Les choix thérapeutiques proposés dans ce guide sont issus des recommandations publiées par le Groupe de pathologie infectieuse pédiatrique (GPIP), la Société française de pédiatrie (SFP) et la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF). En dehors de situations particulières (nouveau-né, neutropénie, sepsis), une bandelette urinaire positive pour les leucocytes ou les nitrites doit précéder la réalisation d’un examen cytobactériologique des urines et toute antibiothérapie. Après avoir augmenté régulièrement entre 2000 et 2012, la proportion de souches de Escherichia coli résistantes par production de ß-lactamases à spectre étendu (E-BLSE) est stable ces dix dernières années, entre 7 et 10 % en pédiatrie. Cependant, il n’est pas exceptionnel qu’aucun antibiotique administrable par voie orale ne soit actif, conduisant soit à prolonger le traitement parentéral, soit à utiliser une association non-orthodoxe comme céfixime+acide-clavulanique. Dans l’objectif d’épargner les antibiotiques de la classe des pénèmes et de favoriser la prise en charge ambulatoire, ce guide privilégie un traitement initial des infections urinaires fébriles en cas de suspicion ou d’infection à E-BLSE, par l’amikacine. Celle-ci reste active sur la majorité des souches d’enterobacterales productrices de ß-lactamases à spectre étendu. Elle est donnée en monothérapie pour les patients pris en charge aux urgences pédiatriques ou hospitalisés. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.150-157
Titre : Antibiothérapies curatives des infections urinaires de l’enfant Type de document : revue Auteurs : F. Madhi, Auteur ; A. Rybak, Auteur ; R. Basmaci, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P.150-157 Langues : Français Résumé : Les infections urinaires représentent les infections bactériennes les plus fréquemment documentées en pédiatrie. Les choix thérapeutiques proposés dans ce guide sont issus des recommandations publiées par le Groupe de pathologie infectieuse pédiatrique (GPIP), la Société française de pédiatrie (SFP) et la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF). En dehors de situations particulières (nouveau-né, neutropénie, sepsis), une bandelette urinaire positive pour les leucocytes ou les nitrites doit précéder la réalisation d’un examen cytobactériologique des urines et toute antibiothérapie. Après avoir augmenté régulièrement entre 2000 et 2012, la proportion de souches de Escherichia coli résistantes par production de ß-lactamases à spectre étendu (E-BLSE) est stable ces dix dernières années, entre 7 et 10 % en pédiatrie. Cependant, il n’est pas exceptionnel qu’aucun antibiotique administrable par voie orale ne soit actif, conduisant soit à prolonger le traitement parentéral, soit à utiliser une association non-orthodoxe comme céfixime+acide-clavulanique. Dans l’objectif d’épargner les antibiotiques de la classe des pénèmes et de favoriser la prise en charge ambulatoire, ce guide privilégie un traitement initial des infections urinaires fébriles en cas de suspicion ou d’infection à E-BLSE, par l’amikacine. Celle-ci reste active sur la majorité des souches d’enterobacterales productrices de ß-lactamases à spectre étendu. Elle est donnée en monothérapie pour les patients pris en charge aux urgences pédiatriques ou hospitalisés. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036852 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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