Vivre vieux, mourir vivant [ouvrage] / Philippe Pitaud, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Institut de gérontologie sociale, Editeur scientifique ; Université de Provence, Editeur scientifique . - Toulouse : Érès, DL 2012 . - 1 vol. (216 p.) : graph., couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-7492-3670-4 : 20 EUR Issu du colloque qui s'est tenu les 28 et 29 avril 2011 à Marseille, à l'initiative de l'Institut de gérontologie sociale et du Master Action gérontologique et ingénierie sociale de l'Université d'Aix-Marseille Langues : Français | Index. décimale : | GG GERONTOLOGIE GERIATRIE | | Résumé : | Sommaire
Propos sur la mort et les mourants
Quelle attention au malade en fin de vie ? Ethique du care, sollicitude et soin
La fin de vie et le droit
Soigner et caresser l'esprit a travers et au-delà du corps
Spiritualité, quête de sens et dynamisme
Le sens ultime d'un accompagnement
Une "fin de vie", ça commence quand ?
Fin de vie et décès des personnes en situation de handicap
Fin de vie : émergence de la continuité de sens chez la personne âgée
| | Note de contenu : |
Cet ouvrage collectif ouvre une réflexion non seulement sur la mort elle-même mais aussi sur les circonstances en amont (accompagnement des mourants, soins palliatifs, question du sens de la vie/de la mort...) et en aval (travail de deuil, place des religions/finitude, l'acceptation de la mort par les équipes soignantes et/ou médico-sociales, etc.). Occultée, dissimulée, refoulée, la mort est devenue dans nos sociétés industrialisées, synonyme de solitude voire de non-accompagnement.
Mais les causes sociales et culturelles ne suffisent pas à expliquer la solitude de bien des mourants. Il faut également analyser nos résistances inconscientes pour tenter de comprendre nos fuites et nos dérobades. Il n'est pas uniquement question de domestiquer, d'apprivoiser voire de converser avec la mort mais il s'agit surtout d'humaniser et de dédramatiser le mourir, de lui rendre une dimension humaine totalement oubliée et laissée pour compte dans l'ère de l'industrialisation et de la technologie que nous vivons. |
| Titre : | Vivre vieux, mourir vivant | | Type de document : | ouvrage | | Auteurs : | Philippe Pitaud, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Institut de gérontologie sociale, Editeur scientifique ; Université de Provence, Editeur scientifique | | Editeur : | Toulouse : Érès | | Année de publication : | DL 2012 | | Importance : | 1 vol. (216 p.) | | Présentation : | graph., couv. ill. en coul. | | Format : | 21 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7492-3670-4 | | Prix : | 20 EUR | | Note générale : | Issu du colloque qui s'est tenu les 28 et 29 avril 2011 à Marseille, à l'initiative de l'Institut de gérontologie sociale et du Master Action gérontologique et ingénierie sociale de l'Université d'Aix-Marseille | | Langues : | Français | | Index. décimale : | GG GERONTOLOGIE GERIATRIE | | Résumé : | Sommaire
Propos sur la mort et les mourants
Quelle attention au malade en fin de vie ? Ethique du care, sollicitude et soin
La fin de vie et le droit
Soigner et caresser l'esprit a travers et au-delà du corps
Spiritualité, quête de sens et dynamisme
Le sens ultime d'un accompagnement
Une "fin de vie", ça commence quand ?
Fin de vie et décès des personnes en situation de handicap
Fin de vie : émergence de la continuité de sens chez la personne âgée
| | Note de contenu : |
Cet ouvrage collectif ouvre une réflexion non seulement sur la mort elle-même mais aussi sur les circonstances en amont (accompagnement des mourants, soins palliatifs, question du sens de la vie/de la mort...) et en aval (travail de deuil, place des religions/finitude, l'acceptation de la mort par les équipes soignantes et/ou médico-sociales, etc.). Occultée, dissimulée, refoulée, la mort est devenue dans nos sociétés industrialisées, synonyme de solitude voire de non-accompagnement.
Mais les causes sociales et culturelles ne suffisent pas à expliquer la solitude de bien des mourants. Il faut également analyser nos résistances inconscientes pour tenter de comprendre nos fuites et nos dérobades. Il n'est pas uniquement question de domestiquer, d'apprivoiser voire de converser avec la mort mais il s'agit surtout d'humaniser et de dédramatiser le mourir, de lui rendre une dimension humaine totalement oubliée et laissée pour compte dans l'ère de l'industrialisation et de la technologie que nous vivons. |
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