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Auteur P. Minodier
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Antibiothérapie des infections cutanées / Y. Gillet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°3 (juin 2024)
[article] Antibiothérapie des infections cutanées [revue] / Y. Gillet, Auteur ; M. Lorrot, Auteur ; P. Minodier, Auteur . - 2024 . - P.166-173.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.166-173
Résumé : Les infections cutanées bactériennes sont fréquentes chez l’enfant et ne nécessitent pas toujours une antibiothérapie par voie générale notamment pour les formes superficielles. Le lavage (à l’eau et au savon) et le rinçage soigneux de la lésion sont alors les points clés du traitement. Une analyse sémiologique doit précéder toute décision thérapeutique pour évaluer la pertinence de l’antibiothérapie, la nécessité ou non d’un drainage qui peut être spontané ou chirurgical et l’existence éventuelle de signes toxiniques qui constituent toujours des signes de gravité. Les germes les plus fréquemment en cause chez l’enfant sont Staphylococcus aureus et Streptococcus pyogenes . En raison de la faible incidence des S. aureus résistants à la méthicilline en France (<10 %), l’antibiothérapie de première intention est l’amoxicilline-acide clavulanique à laquelle on pourra ajouter un traitement anti-toxinique comme la clindamycine pour les patients présentant des signes toxiniques manifestes. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.166-173
Titre : Antibiothérapie des infections cutanées Type de document : revue Auteurs : Y. Gillet, Auteur ; M. Lorrot, Auteur ; P. Minodier, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P.166-173 Langues : Français Résumé : Les infections cutanées bactériennes sont fréquentes chez l’enfant et ne nécessitent pas toujours une antibiothérapie par voie générale notamment pour les formes superficielles. Le lavage (à l’eau et au savon) et le rinçage soigneux de la lésion sont alors les points clés du traitement. Une analyse sémiologique doit précéder toute décision thérapeutique pour évaluer la pertinence de l’antibiothérapie, la nécessité ou non d’un drainage qui peut être spontané ou chirurgical et l’existence éventuelle de signes toxiniques qui constituent toujours des signes de gravité. Les germes les plus fréquemment en cause chez l’enfant sont Staphylococcus aureus et Streptococcus pyogenes . En raison de la faible incidence des S. aureus résistants à la méthicilline en France (<10 %), l’antibiothérapie de première intention est l’amoxicilline-acide clavulanique à laquelle on pourra ajouter un traitement anti-toxinique comme la clindamycine pour les patients présentant des signes toxiniques manifestes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036852 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Conduite à tenir devant un enfant fébrile au retour de voyage / P. Minodier in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°3 (juin 2020)
[article] Conduite à tenir devant un enfant fébrile au retour de voyage [revue] / P. Minodier, Auteur ; P. Imbert, Auteur . - 2020 . - p.118-145.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°3 (juin 2020) . - p.118-145
Mots-clés : chikungunya
DENGUE
enfant
paludisme
THYPHOIDE
ZikaRésumé : Les pathologies le plus fréquentes au retour de voyage à l’étranger sont les infections gastro-intestinales, les maladies fébriles et les problèmes dermatologiques. L’évaluation d’un enfant fébrile de retour de voyage est clinique : vérification des antécédents et des vaccinations, recherche d’autres cas au contact, signes fonctionnels et physiques, caractéristiques du voyage. Un bilan paraclinique de débrouillage complète souvent l’évaluation pour une orientation syndromique. Si les causes de fièvre sont surtout cosmopolites, la gravité des pathologies exotiques doit les faire rechercher en priorité. Le paludisme doit être évoqué devant toute fièvre en provenance d’Afrique subsaharienne. Le diagnostic repose sur l’association d’un frottis sanguin et d’un test sensible (goutte épaisse, polymerase chain reaction [PCR]) ou d’un test de diagnostic rapide (pour Plasmodium [P]. falciparum). Les critères clinicobiologiques de gravité sont essentiels pour orienter et traiter le patient. En cas d’accès non compliqué à P. falciparum, le traitement repose sur une thérapie combinée à base d’artémisinine (ACT), artéméther-luméfantrine ou arténimol-pipéraquine. Les accès graves sont traités par l’artésunate intraveineux, puis un ACT oral. Dengue, chikungunya et infection à virus Zika ont des caractéristiques cliniques communes (association fièvre-éruption-arthralgies, traitement symptomatique). En cas de dengue, il faut surveiller l’apparition de signes d’alerte qui pourraient faire craindre une évolution péjorative. Le chikungunya est grave en cas de transmission per partum, avec un risque d’encéphalite néonatale. Chez l’enfant, le Zika est a- ou peu symptomatique. Mais en cas d’infection pendant une grossesse, le risque est celui d’une embryofœtopathie. Le diagnostic de ces arboviroses repose sur la PCR à la phase aiguë et la sérologie secondairement. La symptomatologie de la typhoïde est peu spécifique, justifiant la pratique d’hémocultures systématiques devant une fièvre du retour. Son traitement repose sur les céphalosporines de troisième génération ou la ciprofloxacine, mais les résistances augmentent. Au total, la diversité des étiologies d’une fièvre de retour et la gravité potentielle des infections importées imposent une réflexion sur le parcours de soins de ces patients, en particulier vis-à-vis du risque de fièvre hémorragique. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°3 (juin 2020) . - p.118-145
Titre : Conduite à tenir devant un enfant fébrile au retour de voyage Type de document : revue Auteurs : P. Minodier, Auteur ; P. Imbert, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.118-145 Langues : Français Mots-clés : chikungunya
DENGUE
enfant
paludisme
THYPHOIDE
ZikaRésumé : Les pathologies le plus fréquentes au retour de voyage à l’étranger sont les infections gastro-intestinales, les maladies fébriles et les problèmes dermatologiques. L’évaluation d’un enfant fébrile de retour de voyage est clinique : vérification des antécédents et des vaccinations, recherche d’autres cas au contact, signes fonctionnels et physiques, caractéristiques du voyage. Un bilan paraclinique de débrouillage complète souvent l’évaluation pour une orientation syndromique. Si les causes de fièvre sont surtout cosmopolites, la gravité des pathologies exotiques doit les faire rechercher en priorité. Le paludisme doit être évoqué devant toute fièvre en provenance d’Afrique subsaharienne. Le diagnostic repose sur l’association d’un frottis sanguin et d’un test sensible (goutte épaisse, polymerase chain reaction [PCR]) ou d’un test de diagnostic rapide (pour Plasmodium [P]. falciparum). Les critères clinicobiologiques de gravité sont essentiels pour orienter et traiter le patient. En cas d’accès non compliqué à P. falciparum, le traitement repose sur une thérapie combinée à base d’artémisinine (ACT), artéméther-luméfantrine ou arténimol-pipéraquine. Les accès graves sont traités par l’artésunate intraveineux, puis un ACT oral. Dengue, chikungunya et infection à virus Zika ont des caractéristiques cliniques communes (association fièvre-éruption-arthralgies, traitement symptomatique). En cas de dengue, il faut surveiller l’apparition de signes d’alerte qui pourraient faire craindre une évolution péjorative. Le chikungunya est grave en cas de transmission per partum, avec un risque d’encéphalite néonatale. Chez l’enfant, le Zika est a- ou peu symptomatique. Mais en cas d’infection pendant une grossesse, le risque est celui d’une embryofœtopathie. Le diagnostic de ces arboviroses repose sur la PCR à la phase aiguë et la sérologie secondairement. La symptomatologie de la typhoïde est peu spécifique, justifiant la pratique d’hémocultures systématiques devant une fièvre du retour. Son traitement repose sur les céphalosporines de troisième génération ou la ciprofloxacine, mais les résistances augmentent. Au total, la diversité des étiologies d’une fièvre de retour et la gravité potentielle des infections importées imposent une réflexion sur le parcours de soins de ces patients, en particulier vis-à-vis du risque de fièvre hémorragique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034378 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Traitement anti-infectieux des infections digestives chez l’enfant / R. Cohen in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°3 (juin 2024)
[article] Traitement anti-infectieux des infections digestives chez l’enfant [revue] / R. Cohen, Auteur ; P. Minodier, Auteur ; I. Hau, Auteur . - 2024 . - P.158-165.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.158-165
Résumé : Les gastro-entérites sont le plus souvent d’origine virale, rotavirus et norovirus étant les virus les plus fréquemment en cause chez les jeunes enfants. Les PCR multiplex effectuées à partir des selles permettent de détecter des bactéries, des virus ou des parasites responsables ou non de la gastro-entérite. Si le profil étiologique de ces infections digestives a grandement bénéficié de la PCR, la présence de pathogènes potentiels ne justifie pas de traitement anti-infectieux en dehors de pathologies sous-jacentes. En effet, parmi les causes bactériennes, très peu nécessitent un traitement antibiotique en dehors des shigelloses, des formes graves de salmonellose et une partie des infections à Campylobacter sp . L’évolution de la résistance aux antibiotiques des salmonelles, shigelles et campylobacter est préoccupante dans le monde, limitant les options thérapeutiques. Les antibiotiques proposés dans ce guide sont en accord avec les recommandations communes de l’European Society of Pediatric Infectious Diseases et l’European Society of Pediatric Gastroenterology and Nutrition. L’azithromycine est préférentiellement utilisée pour traiter les infections à Shigella sp . ou à Campylobacter sp . La ceftriaxone et la ciprofloxacine sont recommandées pour traiter les salmonelloses nécessitant une antibiothérapie. Les traitements empiriques, sans identification bactérienne, ne sont pas indiqués en dehors d’un sepsis sévère ou chez des sujets à risque (drépanocytose par exemple). La prescription de métronidazole pour une amibiase intestinale aiguë ne doit être faite qu’après confirmation microbiologique. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°3 (juin 2024) . - P.158-165
Titre : Traitement anti-infectieux des infections digestives chez l’enfant Type de document : revue Auteurs : R. Cohen, Auteur ; P. Minodier, Auteur ; I. Hau, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : P.158-165 Langues : Français Résumé : Les gastro-entérites sont le plus souvent d’origine virale, rotavirus et norovirus étant les virus les plus fréquemment en cause chez les jeunes enfants. Les PCR multiplex effectuées à partir des selles permettent de détecter des bactéries, des virus ou des parasites responsables ou non de la gastro-entérite. Si le profil étiologique de ces infections digestives a grandement bénéficié de la PCR, la présence de pathogènes potentiels ne justifie pas de traitement anti-infectieux en dehors de pathologies sous-jacentes. En effet, parmi les causes bactériennes, très peu nécessitent un traitement antibiotique en dehors des shigelloses, des formes graves de salmonellose et une partie des infections à Campylobacter sp . L’évolution de la résistance aux antibiotiques des salmonelles, shigelles et campylobacter est préoccupante dans le monde, limitant les options thérapeutiques. Les antibiotiques proposés dans ce guide sont en accord avec les recommandations communes de l’European Society of Pediatric Infectious Diseases et l’European Society of Pediatric Gastroenterology and Nutrition. L’azithromycine est préférentiellement utilisée pour traiter les infections à Shigella sp . ou à Campylobacter sp . La ceftriaxone et la ciprofloxacine sont recommandées pour traiter les salmonelloses nécessitant une antibiothérapie. Les traitements empiriques, sans identification bactérienne, ne sont pas indiqués en dehors d’un sepsis sévère ou chez des sujets à risque (drépanocytose par exemple). La prescription de métronidazole pour une amibiase intestinale aiguë ne doit être faite qu’après confirmation microbiologique. Exemplaires
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