Comment je fais une IRM anopérinéale ? / M. Etancelin-Jamet in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle, vol.1 n°3 (juin 2018)

ISBD Public [article] Comment je fais une IRM anopérinéale ? [revue] / M. Etancelin-Jamet, Auteur ; M. Verdalle-Cazes, Auteur ; C. Charpentier, Auteur ; P. Roullée, Auteur ; C. Savoye-Collet, Auteur . - 2018 . - p.155-160. Langues : Français in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.1 n°3 (juin 2018) . - p.155-160 Mots-clés : diagnostic fistule anopérinéale IRM imagerie par résonance magnétique maladie de Crohn Résumé : Les fistules anopérinéales sont des trajets anormaux faisant communiquer la filière digestive anale avec d’autres structures périnéales et/ou la peau. La fistule est le moyen de drainage de l’infection qui a un point de départ digestif. Ces fistules peuvent être primitives ou secondaires à une pathologie sous-jacente. Les fistules primitives simples correspondent à la diffusion en regard de la ligne pectinée de l’infection d’une crypte anale, sans pathologie associée. Celles-ci sont prises en charge rapidement chirurgicalement, en général sans imagerie. Les fistules primitives complexes ou récidivantes, les fistules secondaires dominées par les atteintes de la maladie de Crohn (un tiers des patients atteints de maladie de Crohn) nécessitent un recours à l’imagerie car l’examen clinique est insuffisant. [article]  in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.1 n°3 (juin 2018) . - p.155-160 Titre : Comment je fais une IRM anopérinéale ? Type de document : revue Auteurs : M. Etancelin-Jamet, Auteur ; M. Verdalle-Cazes, Auteur ; C. Charpentier, Auteur ; P. Roullée, Auteur ; C. Savoye-Collet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.155-160 Langues : Français Mots-clés : diagnostic fistule anopérinéale IRM imagerie par résonance magnétique maladie de Crohn Résumé : Les fistules anopérinéales sont des trajets anormaux faisant communiquer la filière digestive anale avec d’autres structures périnéales et/ou la peau. La fistule est le moyen de drainage de l’infection qui a un point de départ digestif. Ces fistules peuvent être primitives ou secondaires à une pathologie sous-jacente. Les fistules primitives simples correspondent à la diffusion en regard de la ligne pectinée de l’infection d’une crypte anale, sans pathologie associée. Celles-ci sont prises en charge rapidement chirurgicalement, en général sans imagerie. Les fistules primitives complexes ou récidivantes, les fistules secondaires dominées par les atteintes de la maladie de Crohn (un tiers des patients atteints de maladie de Crohn) nécessitent un recours à l’imagerie car l’examen clinique est insuffisant.

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IRM du canal anal / M. Etancelin-Jamet in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle, vol.1 n°1 (février 2018)

ISBD Public [article] IRM du canal anal [revue] / M. Etancelin-Jamet, Auteur ; C. Charpentier, Auteur ; M. Verdalle-Cazes, Auteur ; E. Koning, Auteur ; C. Savoye-Collet, Auteur . - 2018 . - p.15-19. Langues : Français in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.1 n°1 (février 2018) . - p.15-19 Mots-clés : cancer anal Carcinome épidermoïde diagnostic IRM imagerie par résonance magnétique Résumé : Le cancer du canal anal est un cancer viro-induit en augmentation de type histologique essentiellement épidermoïde. L’IRM du canal anal est complémentaire de l’échographie endo-anale et l’examen clinique pour le staging initial du cancer anal. L’IRM est réalisée avec des séquences T2 et T1 injectées dans des plans propres à l’orientation du canal anal. La classification initiale des lésions s’effectue selon le système TNM : le staging T repose sur le degré d’infiltration tumorale avec la mesure précise de la tumeur et la description de ses rapports avec les éléments anatomiques de voisinage notamment l’envahissement des sphincters. Le staging N repose sur la visualisation d’adénopathies périrectales, iliaques internes, et inguinales. L’IRM a un intérêt pronostique initial mais est aussi utile pour suivre les patients après le traitement par radio-chimiothérapie. L’intérêt des séquences fonctionnelles (diffusion, perfusion) dans le bilan initial et dans le suivi est encore en cours d’évaluation. Les examens de suivi afin de détecter une éventuelle récidive seront réalisés selon un protocole identique au bilan initial. La réponse au traitement peut-être complète avec une diminution du volume tumoral qui perdure plusieurs mois après l’arrêt des traitements. [article]  in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.1 n°1 (février 2018) . - p.15-19 Titre : IRM du canal anal Type de document : revue Auteurs : M. Etancelin-Jamet, Auteur ; C. Charpentier, Auteur ; M. Verdalle-Cazes, Auteur ; E. Koning, Auteur ; C. Savoye-Collet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.15-19 Langues : Français Mots-clés : cancer anal Carcinome épidermoïde diagnostic IRM imagerie par résonance magnétique Résumé : Le cancer du canal anal est un cancer viro-induit en augmentation de type histologique essentiellement épidermoïde. L’IRM du canal anal est complémentaire de l’échographie endo-anale et l’examen clinique pour le staging initial du cancer anal. L’IRM est réalisée avec des séquences T2 et T1 injectées dans des plans propres à l’orientation du canal anal. La classification initiale des lésions s’effectue selon le système TNM : le staging T repose sur le degré d’infiltration tumorale avec la mesure précise de la tumeur et la description de ses rapports avec les éléments anatomiques de voisinage notamment l’envahissement des sphincters. Le staging N repose sur la visualisation d’adénopathies périrectales, iliaques internes, et inguinales. L’IRM a un intérêt pronostique initial mais est aussi utile pour suivre les patients après le traitement par radio-chimiothérapie. L’intérêt des séquences fonctionnelles (diffusion, perfusion) dans le bilan initial et dans le suivi est encore en cours d’évaluation. Les examens de suivi afin de détecter une éventuelle récidive seront réalisés selon un protocole identique au bilan initial. La réponse au traitement peut-être complète avec une diminution du volume tumoral qui perdure plusieurs mois après l’arrêt des traitements.

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