[article] Diffusion, cartographie ADC, effet T2 en IRM cérébrale : kézaco ? [revue] / M. Labriffe, Auteur ; L.-M. Leiber, Auteur . - 2019 . - p.289-293. Langues : Français in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.2 n°6 (décembre 2019) . - p.289-293 Mots-clés : | IRM imagerie par résonance magnétique neuroimagerie
| Résumé : | L’analyse de la diffusion moléculaire de l’eau correspond à l’analyse des mouvements microscopiques et aléatoires (mouvements browniens) de l’eau.
Une séquence de diffusion engendre la production de trois types d’images : une image en pondération T2 sans gradient de diffusion (b0), une image pondérée en diffusion avec des gradients dits de diffusion (b1000 par exemple) et une carte paramétrique calculée : le coefficient apparent de diffusion (ADC). L’utilisation de gradients de diffusion permet l’atténuation du signal T2 des protons mobiles entre l’image b0 et l’image pondérée en diffusion. La pente de la courbe d’atténuation du signal est représentée par le coefficient ADC. Des protons mobiles seront fortement atténués et apparaîtront en hyposignal sur l’image b1000 tandis que des protons immobiles subiront une faible atténuation du signal et apparaîtront en hypersignal sur l’image b1000, avec un coefficient ADC bas. Toutefois, une lésion peut apparaître en hypersignal b1000, sans réelle restriction de la diffusion, avec un coefficient ADC élevé : c’est l’« effet T2 ».
L’interprétation de la séquence de diffusion se fait sur la cartographie ADC, l’image b1000 n’étant utile que pour la détection des anomalies.
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[article] in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.2 n°6 (décembre 2019) . - p.289-293 Titre : | Diffusion, cartographie ADC, effet T2 en IRM cérébrale : kézaco ? | Type de document : | revue | Auteurs : | M. Labriffe, Auteur ; L.-M. Leiber, Auteur | Année de publication : | 2019 | Article en page(s) : | p.289-293 | Langues : | Français | Mots-clés : | IRM imagerie par résonance magnétique neuroimagerie
| Résumé : | L’analyse de la diffusion moléculaire de l’eau correspond à l’analyse des mouvements microscopiques et aléatoires (mouvements browniens) de l’eau.
Une séquence de diffusion engendre la production de trois types d’images : une image en pondération T2 sans gradient de diffusion (b0), une image pondérée en diffusion avec des gradients dits de diffusion (b1000 par exemple) et une carte paramétrique calculée : le coefficient apparent de diffusion (ADC). L’utilisation de gradients de diffusion permet l’atténuation du signal T2 des protons mobiles entre l’image b0 et l’image pondérée en diffusion. La pente de la courbe d’atténuation du signal est représentée par le coefficient ADC. Des protons mobiles seront fortement atténués et apparaîtront en hyposignal sur l’image b1000 tandis que des protons immobiles subiront une faible atténuation du signal et apparaîtront en hypersignal sur l’image b1000, avec un coefficient ADC bas. Toutefois, une lésion peut apparaître en hypersignal b1000, sans réelle restriction de la diffusion, avec un coefficient ADC élevé : c’est l’« effet T2 ».
L’interprétation de la séquence de diffusion se fait sur la cartographie ADC, l’image b1000 n’étant utile que pour la détection des anomalies.
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