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Auteur Hervé Dupont
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Antibioprophylaxie en chirurgie et médecine interventionnelle (patients adultes). Actualisation 2017 / Claude Martin in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°6 (novembre 2019)
[article] Antibioprophylaxie en chirurgie et médecine interventionnelle (patients adultes). Actualisation 2017 [revue] / Claude Martin (1949-....), Auteur ; Christian Auboyer, Auteur ; Matthieu Boisson, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur ; Remy Gauzit, Auteur ; Michel Kitsis, Auteur ; Marc Leone, Auteur ; Alain Lepape, Auteur ; Olivier Mimoz, Auteur ; Philippe Montravers, Auteur ; Jean-Louis Pourriat (1947-....), Auteur . - 2019 . - p.544-566.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°6 (novembre 2019) . - p.544-566
Mots-clés : antibioprophylaxie
antibiotique
chirurgie
infection post-opératoire
radiologie interventionnelle
recommandationRésumé : L’infection est un risque pour toute intervention et, par exemple, en chirurgie l’on retrouve des bactéries pathogènes dans plus de 90 % des plaies opératoires, lors de la fermeture. Ceci existe quelle que soit la technique chirurgicale et quel que soit l’environnement (le flux laminaire ne supprime pas complètement ce risque). Ces bactéries sont peu nombreuses mais peuvent proliférer. Elles trouvent dans la plaie opératoire un milieu favorable (hématome, ischémie, modification du potentiel d’oxydoréduction…) et l’intervention induit des anomalies des défenses immunitaires. En cas d’implantation de matériel étranger le risque est majoré. L’objectif de l’antibioprophylaxie (ABP) est de s’opposer à la prolifération bactérienne afin de diminuer le risque d’infection du site de l’intervention. La consultation préopératoire représente un moment privilégié pour décider de la prescription d’une ABP. Il est possible d’y définir le type d’intervention prévu, le risque infectieux qui s’y rapporte (et donc la nécessité ou non d’une ABP), le moment de la prescription avant l’intervention et d’éventuels antécédents allergiques pouvant modifier le choix de la molécule antibiotique sélectionnée. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°6 (novembre 2019) . - p.544-566
Titre : Antibioprophylaxie en chirurgie et médecine interventionnelle (patients adultes). Actualisation 2017 Type de document : revue Auteurs : Claude Martin (1949-....), Auteur ; Christian Auboyer, Auteur ; Matthieu Boisson, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur ; Remy Gauzit, Auteur ; Michel Kitsis, Auteur ; Marc Leone, Auteur ; Alain Lepape, Auteur ; Olivier Mimoz, Auteur ; Philippe Montravers, Auteur ; Jean-Louis Pourriat (1947-....), Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.544-566 Langues : Français Mots-clés : antibioprophylaxie
antibiotique
chirurgie
infection post-opératoire
radiologie interventionnelle
recommandationRésumé : L’infection est un risque pour toute intervention et, par exemple, en chirurgie l’on retrouve des bactéries pathogènes dans plus de 90 % des plaies opératoires, lors de la fermeture. Ceci existe quelle que soit la technique chirurgicale et quel que soit l’environnement (le flux laminaire ne supprime pas complètement ce risque). Ces bactéries sont peu nombreuses mais peuvent proliférer. Elles trouvent dans la plaie opératoire un milieu favorable (hématome, ischémie, modification du potentiel d’oxydoréduction…) et l’intervention induit des anomalies des défenses immunitaires. En cas d’implantation de matériel étranger le risque est majoré. L’objectif de l’antibioprophylaxie (ABP) est de s’opposer à la prolifération bactérienne afin de diminuer le risque d’infection du site de l’intervention. La consultation préopératoire représente un moment privilégié pour décider de la prescription d’une ABP. Il est possible d’y définir le type d’intervention prévu, le risque infectieux qui s’y rapporte (et donc la nécessité ou non d’une ABP), le moment de la prescription avant l’intervention et d’éventuels antécédents allergiques pouvant modifier le choix de la molécule antibiotique sélectionnée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033322 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? / Pierre Huette in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°4 (juillet 2019)
[article] Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? [revue] / Pierre Huette, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur . - 2019 . - p.300-309.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°4 (juillet 2019) . - p.300-309
Mots-clés : antifongique
candidose
EBM evidence based medicineRésumé : Les infections à levures sont de plus en plus fréquentes en réanimation. Par ailleurs, elles sont clairement associées à une augmentation de la morbimortalité. L’espèce Candida albicans est la plus fréquente dans les candidoses invasives en réanimation et en Europe. De nombreux facteurs de risques sont identifiés et un certain nombre de scores prédictifs de candidémies ont été développés mais ils ne sont pas très performants. Le retard de mise en route du traitement est un facteur indépendant de mortalité. Quatre classes d’antifongiques sont disponibles : les polyènes, les triazolés, les échinocandines et la flucytosine. Leurs mécanismes d’action cellulaire et spectres d’activité sont différents et doivent être connus. Au cours des candidémies chez les patients graves, le traitement de première intention doit comprendre une échinocandine pour une durée de 14jours après négativation des hémocultures. Un bilan d’extension doit systématiquement être réalisé en cas de candidémie (fond d’œil et échographie cardiaque trans-œsophagienne). Au cours des infections intra-abdominales, il faut probablement introduire un traitement antifongique avec une échinocandine si présence de 3 critères prédictifs (défaillance hémodynamique, sexe féminin, chirurgie sus-mésocolique, antibiothérapie depuis plus de 48heures) ou en cas d’examen direct positif à levure. Toutes les recommandations sur le traitement antifongique préventif sont des recommandations de très bas niveau de preuve et ne permettent pas de définir une stratégie thérapeutique. La désescalade thérapeutique doit être la plus précoce possible et semble sans impact sur la morbimortalité. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°4 (juillet 2019) . - p.300-309
Titre : Indication des traitements antifongiques (hors hématologie). Que montrent les données ? Type de document : revue Auteurs : Pierre Huette, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.300-309 Langues : Français Mots-clés : antifongique
candidose
EBM evidence based medicineRésumé : Les infections à levures sont de plus en plus fréquentes en réanimation. Par ailleurs, elles sont clairement associées à une augmentation de la morbimortalité. L’espèce Candida albicans est la plus fréquente dans les candidoses invasives en réanimation et en Europe. De nombreux facteurs de risques sont identifiés et un certain nombre de scores prédictifs de candidémies ont été développés mais ils ne sont pas très performants. Le retard de mise en route du traitement est un facteur indépendant de mortalité. Quatre classes d’antifongiques sont disponibles : les polyènes, les triazolés, les échinocandines et la flucytosine. Leurs mécanismes d’action cellulaire et spectres d’activité sont différents et doivent être connus. Au cours des candidémies chez les patients graves, le traitement de première intention doit comprendre une échinocandine pour une durée de 14jours après négativation des hémocultures. Un bilan d’extension doit systématiquement être réalisé en cas de candidémie (fond d’œil et échographie cardiaque trans-œsophagienne). Au cours des infections intra-abdominales, il faut probablement introduire un traitement antifongique avec une échinocandine si présence de 3 critères prédictifs (défaillance hémodynamique, sexe féminin, chirurgie sus-mésocolique, antibiothérapie depuis plus de 48heures) ou en cas d’examen direct positif à levure. Toutes les recommandations sur le traitement antifongique préventif sont des recommandations de très bas niveau de preuve et ne permettent pas de définir une stratégie thérapeutique. La désescalade thérapeutique doit être la plus précoce possible et semble sans impact sur la morbimortalité. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032735 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Sorti jusqu'au 14/10/2024 Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? / Stéphane Bar in Anesthésie & réanimation, vol.8 n°2 (mars 2022)
[article] Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? [revue] / Stéphane Bar, Auteur ; Ottilie Trocheris-Fumery, Auteur ; Pierre Huette, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur . - 2022 . - p.141-151.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.8 n°2 (mars 2022) . - p.141-151
Mots-clés : autorégulation
CPO complications postopératoires
état de choc
hypertension
hypotension artérielle
individualisationRésumé : La pression artérielle fait l’objet d’une autorégulation constante afin de maintenir des valeurs « adaptées » aux besoins de l’organisme. Celle-ci dépend de différents mécanismes agissant à des niveaux et dans une temporalité différente. Les cibles de pression artérielle sont variées du fait du terrain du patient, du type de chirurgie considéré en anesthésie et de l’étiologie du choc en réanimation. En chirurgie non cardiaque, un seuil « absolu » de PAM inférieure à 60–70mmHg, de PAS inférieure à 90mmHg et supérieure à 160mmHg serait associé aux complications postopératoires. L’individualisation des objectifs de pression artérielle en ciblant une valeur de référence préopératoire semble être une pratique pertinente d’un point de vue physiopathologique mais doit faire l’objet d’études complémentaires. En chirurgie cardiaque, il ne semble pas judicieux de maintenir une cible de PAM haute durant la circulation extra-corporelle, tout en ne dépassant pas une PAS de 140mmHg. Au cours du choc cardiogénique, l’ensemble des travaux à notre disposition nous permet de se positionner sur une utilisation précoce des catécholamines avec un objectif de PAM≥70mmHg. Au cours du choc septique, il est conseillé de cibler une PAM≥65mmHg selon les dernières recommandations. Au cours du choc hémorragique, il faut limiter le remplissage vasculaire avec si besoin l’utilisation précoce de vasopresseurs en cas d’hypotension artérielle menaçante (PAS<80mmHg et/ou PAM<60mmHg). En cas de traumatisme crânien grave, une pression de perfusion cérébrale supérieure à 60–70mmHg doit être maintenue. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.8 n°2 (mars 2022) . - p.141-151
Titre : Quelle cible de pression artérielle en anesthésie-réanimation ? Type de document : revue Auteurs : Stéphane Bar, Auteur ; Ottilie Trocheris-Fumery, Auteur ; Pierre Huette, Auteur ; Hervé Dupont, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.141-151 Langues : Français Mots-clés : autorégulation
CPO complications postopératoires
état de choc
hypertension
hypotension artérielle
individualisationRésumé : La pression artérielle fait l’objet d’une autorégulation constante afin de maintenir des valeurs « adaptées » aux besoins de l’organisme. Celle-ci dépend de différents mécanismes agissant à des niveaux et dans une temporalité différente. Les cibles de pression artérielle sont variées du fait du terrain du patient, du type de chirurgie considéré en anesthésie et de l’étiologie du choc en réanimation. En chirurgie non cardiaque, un seuil « absolu » de PAM inférieure à 60–70mmHg, de PAS inférieure à 90mmHg et supérieure à 160mmHg serait associé aux complications postopératoires. L’individualisation des objectifs de pression artérielle en ciblant une valeur de référence préopératoire semble être une pratique pertinente d’un point de vue physiopathologique mais doit faire l’objet d’études complémentaires. En chirurgie cardiaque, il ne semble pas judicieux de maintenir une cible de PAM haute durant la circulation extra-corporelle, tout en ne dépassant pas une PAS de 140mmHg. Au cours du choc cardiogénique, l’ensemble des travaux à notre disposition nous permet de se positionner sur une utilisation précoce des catécholamines avec un objectif de PAM≥70mmHg. Au cours du choc septique, il est conseillé de cibler une PAM≥65mmHg selon les dernières recommandations. Au cours du choc hémorragique, il faut limiter le remplissage vasculaire avec si besoin l’utilisation précoce de vasopresseurs en cas d’hypotension artérielle menaçante (PAS<80mmHg et/ou PAM<60mmHg). En cas de traumatisme crânien grave, une pression de perfusion cérébrale supérieure à 60–70mmHg doit être maintenue. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035687 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Sorti jusqu'au 14/01/2023
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