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Auteur Delphine Garrigue
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Gestion des agents antiplaquettaires en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) / Anne Godier in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°3 (mars 2019)
[article] Gestion des agents antiplaquettaires en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) [revue] / Anne Godier, Auteur ; Delphine Garrigue, Auteur ; Dominique Lasne, Auteur . - 2019 . - p.218-237.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°3 (mars 2019) . - p.218-237
Mots-clés : agent antiplaquettaire
chirurgie
hémorragie
plaquette
thrombose
transfusionRésumé : Le Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et le Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) ont fait des propositions sur la gestion des agents antiplaquettaires (AAP) en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Ces propositions ont été discutées puis validées par un vote, elles font toutes l’objet d’un accord fort. La gestion des AAP en urgence nécessite de prendre en compte leurs caractéristiques pharmacocinétiques et pharmacodynamiques, d’évaluer l’affaiblissement de la compétence hémostatique liée aux AAP et le risque hémorragique qu’il entraîne. Les tests fonctionnels plaquettaires peuvent aider à cette évaluation. Lorsque le risque hémorragique lié aux AAP est susceptible d’aggraver le pronostic, la neutralisation des AAP doit être envisagée, en prenant en compte l’efficacité des moyens de neutralisation (qui sont limités pour le prasugrel et le ticagrelor) mais aussi les risques associés à ces moyens. Ceux-ci incluent la transfusion plaquettaire, à des doses adaptées à l’AAP considéré, et les agents hémostatiques (facteur VII activé recombinant et acide tranexamique). Pour les procédures invasives non programmées, le report de quelques jours, voire de quelques heures, doit être envisagé lorsqu’il ne compromet pas le pronostic vital ou fonctionnel du patient, jusqu’à élimination ou diminution suffisante de l’effet de l’AAP ou de son métabolite actif. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°3 (mars 2019) . - p.218-237
Titre : Gestion des agents antiplaquettaires en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) Type de document : revue Auteurs : Anne Godier, Auteur ; Delphine Garrigue, Auteur ; Dominique Lasne, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.218-237 Langues : Français Mots-clés : agent antiplaquettaire
chirurgie
hémorragie
plaquette
thrombose
transfusionRésumé : Le Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et le Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) ont fait des propositions sur la gestion des agents antiplaquettaires (AAP) en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Ces propositions ont été discutées puis validées par un vote, elles font toutes l’objet d’un accord fort. La gestion des AAP en urgence nécessite de prendre en compte leurs caractéristiques pharmacocinétiques et pharmacodynamiques, d’évaluer l’affaiblissement de la compétence hémostatique liée aux AAP et le risque hémorragique qu’il entraîne. Les tests fonctionnels plaquettaires peuvent aider à cette évaluation. Lorsque le risque hémorragique lié aux AAP est susceptible d’aggraver le pronostic, la neutralisation des AAP doit être envisagée, en prenant en compte l’efficacité des moyens de neutralisation (qui sont limités pour le prasugrel et le ticagrelor) mais aussi les risques associés à ces moyens. Ceux-ci incluent la transfusion plaquettaire, à des doses adaptées à l’AAP considéré, et les agents hémostatiques (facteur VII activé recombinant et acide tranexamique). Pour les procédures invasives non programmées, le report de quelques jours, voire de quelques heures, doit être envisagé lorsqu’il ne compromet pas le pronostic vital ou fonctionnel du patient, jusqu’à élimination ou diminution suffisante de l’effet de l’AAP ou de son métabolite actif. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032619 Rev Ouvrage Centre de documentation Présentoir Disponible Prise en charge des traumatisés pelviens graves à la phase précoce (24 premières heures) / Pascal Incagnoli in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°5 (septembre 2019)
[article] Prise en charge des traumatisés pelviens graves à la phase précoce (24 premières heures) [revue] / Pascal Incagnoli, Auteur ; Alain Puidupin, Auteur ; Sylvain Ausset, Auteur ; Jean-Paul Beregi, Auteur ; Jacques Bessereau, Auteur ; Xavier Bobbia, Auteur ; Julien Brun, Auteur ; Elodie Brunel, Auteur ; Jacques Choukroun, Auteur ; Xavier Combes, Auteur ; Jean Stéphane David, Auteur ; Francçois-Régis Desfemmes, Auteur ; Delphine Garrigue, Auteur ; Jean-Luc Hanouz, Auteur ; Eric Kipnis, Auteur ; Isabelle Plénier, Auteur ; Frédéric Rongieras, Auteur ; Benoit Vivien, Auteur . - 2019 . - p.427-442.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°5 (septembre 2019) . - p.427-442
Mots-clés : embolisation
indice de gravité médicale
pelvis
traumatisme
traumatologieRésumé : Les fractures du bassin représentent 5% de l’ensemble des fractures en traumatologie, 30% de ces fractures sont isolées. Elles sont présentes chez 10 à 20% des patients traumatisés graves et il existe une corrélation étroite entre la présence d’une fracture du bassin et l’augmentation du score de gravité du traumatisme. La mortalité élevée des traumatismes pelviens de l’ordre de 8 à 15% est à la fois liée à la gravité des lésions hémorragiques pelviennes mais également aux lésions extra-pelviennes associées qu’elles soient crâniennes, thoraciques ou abdominales. Quelle que soit la gravité du traumatisme pelvien, il est essentiel qu’une stratégie diagnostique et thérapeutique soit adoptée afin de ne pas retarder la prise en charge des patients les plus graves. À ce jour, il n’existe en France aucune recommandation issue du travail d’analyse d’une société savante. L’objectif de cette recommandation formalisée d’experts a donc été d’établir des recommandations pour la prise en charge extrahospitalière et intrahospitalière durant les 24 premières heures suivant le traumatisme grave du bassin. La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) et la Société Française de Médecine d’Urgence (SFMU) se sont associées et ont collaboré avec la Société Française de Radiologie (SFR), le Service de Santé des Armées (SSA), l’Association Française d’Urologie (AFU), la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique (SOCFCOT) et la Société Française de Chirurgie Digestive (SFCD) pour étudier deux grandes problématiques de la prise en charge des traumatismes pelviens graves : la problématique de la prise en charge préhospitalière comportant en particulier les modalités de l’immobilisation pelvienne , ainsi que la problématique de la prise en charge intrahospitalière en termes diagnostique et thérapeutique, avec un chapitre concernant les particularités de la prise en charge d’un traumatisme pelvien ouvert. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°5 (septembre 2019) . - p.427-442
Titre : Prise en charge des traumatisés pelviens graves à la phase précoce (24 premières heures) Type de document : revue Auteurs : Pascal Incagnoli, Auteur ; Alain Puidupin, Auteur ; Sylvain Ausset, Auteur ; Jean-Paul Beregi, Auteur ; Jacques Bessereau, Auteur ; Xavier Bobbia, Auteur ; Julien Brun, Auteur ; Elodie Brunel, Auteur ; Jacques Choukroun, Auteur ; Xavier Combes, Auteur ; Jean Stéphane David, Auteur ; Francçois-Régis Desfemmes, Auteur ; Delphine Garrigue, Auteur ; Jean-Luc Hanouz, Auteur ; Eric Kipnis, Auteur ; Isabelle Plénier, Auteur ; Frédéric Rongieras, Auteur ; Benoit Vivien, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.427-442 Langues : Français Mots-clés : embolisation
indice de gravité médicale
pelvis
traumatisme
traumatologieRésumé : Les fractures du bassin représentent 5% de l’ensemble des fractures en traumatologie, 30% de ces fractures sont isolées. Elles sont présentes chez 10 à 20% des patients traumatisés graves et il existe une corrélation étroite entre la présence d’une fracture du bassin et l’augmentation du score de gravité du traumatisme. La mortalité élevée des traumatismes pelviens de l’ordre de 8 à 15% est à la fois liée à la gravité des lésions hémorragiques pelviennes mais également aux lésions extra-pelviennes associées qu’elles soient crâniennes, thoraciques ou abdominales. Quelle que soit la gravité du traumatisme pelvien, il est essentiel qu’une stratégie diagnostique et thérapeutique soit adoptée afin de ne pas retarder la prise en charge des patients les plus graves. À ce jour, il n’existe en France aucune recommandation issue du travail d’analyse d’une société savante. L’objectif de cette recommandation formalisée d’experts a donc été d’établir des recommandations pour la prise en charge extrahospitalière et intrahospitalière durant les 24 premières heures suivant le traumatisme grave du bassin. La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) et la Société Française de Médecine d’Urgence (SFMU) se sont associées et ont collaboré avec la Société Française de Radiologie (SFR), le Service de Santé des Armées (SSA), l’Association Française d’Urologie (AFU), la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique (SOCFCOT) et la Société Française de Chirurgie Digestive (SFCD) pour étudier deux grandes problématiques de la prise en charge des traumatismes pelviens graves : la problématique de la prise en charge préhospitalière comportant en particulier les modalités de l’immobilisation pelvienne , ainsi que la problématique de la prise en charge intrahospitalière en termes diagnostique et thérapeutique, avec un chapitre concernant les particularités de la prise en charge d’un traumatisme pelvien ouvert. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032805 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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