Cancers lobulaires infiltrants : imagerie conventionnelle et gestes interventionnels / Foucauld Chamming's in Imagerie de la Femme, vol.27 n°3 (octobre 2017)

ISBD Public [article] Cancers lobulaires infiltrants : imagerie conventionnelle et gestes interventionnels [revue] / Foucauld Chamming's, Auteur ; Mehdi Bouaboula, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.197-205. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.27 n°3 (octobre 2017) . - p.197-205 Mots-clés : biopsie cancer du sein échographie élastographie mammographie tomosynthèse Résumé : Du fait de leurs caractéristiques histologiques, les carcinomes lobulaires infiltrants ont des présentations particulières en imagerie conventionnelle. En mammographie, ils se présentent souvent sous forme d’images subtiles et ne donnent parfois aucune anomalie visible. L’échographie est donc un complément essentiel, en cas de seins denses, de discordance radioclinique ou d’anomalie radiologique douteuse. La bonne connaissance des différentes variantes des aspects des carcinomes lobulaires infiltrants en échographie permet d’en optimiser les résultats. En complément, de nouvelles techniques telles que l’élastographie et la tomosynthèse peuvent améliorer les performances de l’échographie et de la mammographie. Le risque de faux négatif étant plus élevé pour les carcinomes lobulaires infiltrants, les gestes interventionnels doivent être optimisés en adaptant le calibre de l’aiguille et le nombre de prélèvements. Élastographie et tomosynthèse sont de nouvelles solutions qui se développent et qui peuvent aider à optimiser les biopsies. [article]  in Imagerie de la Femme > vol.27 n°3 (octobre 2017) . - p.197-205 Titre : Cancers lobulaires infiltrants : imagerie conventionnelle et gestes interventionnels Type de document : revue Auteurs : Foucauld Chamming's, Auteur ; Mehdi Bouaboula, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.197-205 Langues : Français Mots-clés : biopsie cancer du sein échographie élastographie mammographie tomosynthèse Résumé : Du fait de leurs caractéristiques histologiques, les carcinomes lobulaires infiltrants ont des présentations particulières en imagerie conventionnelle. En mammographie, ils se présentent souvent sous forme d’images subtiles et ne donnent parfois aucune anomalie visible. L’échographie est donc un complément essentiel, en cas de seins denses, de discordance radioclinique ou d’anomalie radiologique douteuse. La bonne connaissance des différentes variantes des aspects des carcinomes lobulaires infiltrants en échographie permet d’en optimiser les résultats. En complément, de nouvelles techniques telles que l’élastographie et la tomosynthèse peuvent améliorer les performances de l’échographie et de la mammographie. Le risque de faux négatif étant plus élevé pour les carcinomes lobulaires infiltrants, les gestes interventionnels doivent être optimisés en adaptant le calibre de l’aiguille et le nombre de prélèvements. Élastographie et tomosynthèse sont de nouvelles solutions qui se développent et qui peuvent aider à optimiser les biopsies.

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Écoulements mamelonnaires : nouveaux standards ? / Martine Boisserie-Lacroix in Imagerie de la Femme, vol.29 n°2 (juin 2019)

ISBD Public [article] Écoulements mamelonnaires : nouveaux standards ? [revue] / Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Vittorio Catena, Auteur ; Foucauld Chamming's, Auteur . - 2019 . - p.75-81. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.29 n°2 (juin 2019) . - p.75-81 Mots-clés : échographie écoulement IRM imagerie par résonance magnétique mammographie recommandation Résumé : L’écoulement mammaire est assez fréquent et anxiogène. L’écoulement « pathologique » justifie une mammographie en première intention, ainsi qu’une échographie qui a l’avantage de visualiser une lésion intragalactophorique. L’IRM peut s’envisager lorsque le bilan conventionnel est normal. [article]  in Imagerie de la Femme > vol.29 n°2 (juin 2019) . - p.75-81 Titre : Écoulements mamelonnaires : nouveaux standards ? Type de document : revue Auteurs : Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Vittorio Catena, Auteur ; Foucauld Chamming's, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.75-81 Langues : Français Mots-clés : échographie écoulement IRM imagerie par résonance magnétique mammographie recommandation Résumé : L’écoulement mammaire est assez fréquent et anxiogène. L’écoulement « pathologique » justifie une mammographie en première intention, ainsi qu’une échographie qui a l’avantage de visualiser une lésion intragalactophorique. L’IRM peut s’envisager lorsque le bilan conventionnel est normal.

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00032703	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Élastographie shear wave en sénologie : faux négatifs, faux positifs, comment optimiser l’examen ? / Foucauld Chamming's in Imagerie de la Femme, vol.28 n°4 (décembre 2018)

ISBD Public [article] Élastographie shear wave en sénologie : faux négatifs, faux positifs, comment optimiser l’examen ? [revue] / Foucauld Chamming's, Auteur ; Caroline Rousseau, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur . - 2018 . - p.226-236. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.28 n°4 (décembre 2018) . - p.226-236 Mots-clés : échographie élastographie limite optimisation sein Résumé : L’élastographie shear wave est une technique récente qui, en évaluant la dureté des tissus permet d’améliorer la caractérisation des lésions mammaires. Elle est parfois considérée en raison de ses spécificités techniques, comme automatisée et indépendante de l’opérateur. Pourtant, en pratique clinique il existe, comme pour toute technique d’imagerie, des faux négatifs, des faux positifs et des artefacts. L’image d’élastographie shear wave est aussi dépendante des conditions d’acquisition (degré de compression, position de la sonde, etc.). La bonne connaissance des limites et la maîtrise des conditions d’acquisition sont des éléments essentiels à la bonne utilisation de l’élastographie shear wave en sénologie. Il est donc important pour le radiologue d’être conscient des facteurs histologiques, radiologiques et anatomiques qui favorisent les faux négatifs et les faux positifs, de savoir qu’il existe une variabilité inter-observateurs des mesures quantitatives et que les conditions d’acquisition peuvent avoir un impact sur les résultats. Des solutions pratiques proposées dans cet article, permettent de limiter les erreurs, d’améliorer la fiabilité de l’image et d’optimiser les performances de l’élastographie shear wave : donner la priorité aux critères morphologiques, privilégier l’interprétation à partir de l’analyse visuelle de la cartographie couleur ou encore maîtriser les conditions d’acquisition en particulier en apprenant à gérer la compression. Il y a donc une courbe d’apprentissage, ce qui rappelle l’importance de la formation théorique et pratique à l’élastographie shear wave du sein, nécessaire pour apporter aux utilisateurs une bonne maîtrise de la technique, et ainsi optimiser les performances d’un examen encore trop souvent mal maîtrisé. [article]  in Imagerie de la Femme > vol.28 n°4 (décembre 2018) . - p.226-236 Titre : Élastographie shear wave en sénologie : faux négatifs, faux positifs, comment optimiser l’examen ? Type de document : revue Auteurs : Foucauld Chamming's, Auteur ; Caroline Rousseau, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.226-236 Langues : Français Mots-clés : échographie élastographie limite optimisation sein Résumé : L’élastographie shear wave est une technique récente qui, en évaluant la dureté des tissus permet d’améliorer la caractérisation des lésions mammaires. Elle est parfois considérée en raison de ses spécificités techniques, comme automatisée et indépendante de l’opérateur. Pourtant, en pratique clinique il existe, comme pour toute technique d’imagerie, des faux négatifs, des faux positifs et des artefacts. L’image d’élastographie shear wave est aussi dépendante des conditions d’acquisition (degré de compression, position de la sonde, etc.). La bonne connaissance des limites et la maîtrise des conditions d’acquisition sont des éléments essentiels à la bonne utilisation de l’élastographie shear wave en sénologie. Il est donc important pour le radiologue d’être conscient des facteurs histologiques, radiologiques et anatomiques qui favorisent les faux négatifs et les faux positifs, de savoir qu’il existe une variabilité inter-observateurs des mesures quantitatives et que les conditions d’acquisition peuvent avoir un impact sur les résultats. Des solutions pratiques proposées dans cet article, permettent de limiter les erreurs, d’améliorer la fiabilité de l’image et d’optimiser les performances de l’élastographie shear wave : donner la priorité aux critères morphologiques, privilégier l’interprétation à partir de l’analyse visuelle de la cartographie couleur ou encore maîtriser les conditions d’acquisition en particulier en apprenant à gérer la compression. Il y a donc une courbe d’apprentissage, ce qui rappelle l’importance de la formation théorique et pratique à l’élastographie shear wave du sein, nécessaire pour apporter aux utilisateurs une bonne maîtrise de la technique, et ainsi optimiser les performances d’un examen encore trop souvent mal maîtrisé.

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00032391	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Gestion des images additionnelles en IRM : le bilan de second-look / Martine Boisserie-Lacroix in Imagerie de la Femme, vol.27 n°3 (octobre 2017)

ISBD Public [article] Gestion des images additionnelles en IRM : le bilan de second-look [revue] / Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Vittorio Catena, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.216-227. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.27 n°3 (octobre 2017) . - p.216-227 Mots-clés : cancer du sein échographie IRM imagerie par résonance magnétique sein Résumé : Le bilan de « second-look », réalisé après l’IRM mammaire, cherche à trouver une traduction aux rehaussements mis en évidence en IRM et à pratiquer des biopsies en cas de suspicion. Pour optimiser cette détection en échographie, il est nécessaire de relire l’IRM, de connaître les variations de position d’une lésion lors des différentes modalités, et de savoir repérer des images subtiles. Il peut être intéressant devant un rehaussement non-masse de pratiquer des clichés mammographiques complémentaires, notamment des agrandissements à la recherche de microcalcifications. La tomosynthèse peut aider à révéler des distorsions architecturales subtiles. Le taux de détection lors du bilan de second-look est très hétérogène dans la littérature ; les lésions malignes et à type de masses sont plus souvent détectées ; l’absence de détection d’une lésion n’exclut pas la malignité. Lorsqu’une biopsie percutanée a été réalisée, il est indispensable de placer un repère métallique dans le site de la biopsie afin de s’assurer de la bonne corrélation multimodalités. [article]  in Imagerie de la Femme > vol.27 n°3 (octobre 2017) . - p.216-227 Titre : Gestion des images additionnelles en IRM : le bilan de second-look Type de document : revue Auteurs : Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Vittorio Catena, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.216-227 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein échographie IRM imagerie par résonance magnétique sein Résumé : Le bilan de « second-look », réalisé après l’IRM mammaire, cherche à trouver une traduction aux rehaussements mis en évidence en IRM et à pratiquer des biopsies en cas de suspicion. Pour optimiser cette détection en échographie, il est nécessaire de relire l’IRM, de connaître les variations de position d’une lésion lors des différentes modalités, et de savoir repérer des images subtiles. Il peut être intéressant devant un rehaussement non-masse de pratiquer des clichés mammographiques complémentaires, notamment des agrandissements à la recherche de microcalcifications. La tomosynthèse peut aider à révéler des distorsions architecturales subtiles. Le taux de détection lors du bilan de second-look est très hétérogène dans la littérature ; les lésions malignes et à type de masses sont plus souvent détectées ; l’absence de détection d’une lésion n’exclut pas la malignité. Lorsqu’une biopsie percutanée a été réalisée, il est indispensable de placer un repère métallique dans le site de la biopsie afin de s’assurer de la bonne corrélation multimodalités.

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Interprétation en échographie mammaire : images hyperéchogènes / Martine Boisserie-Lacroix in Imagerie de la Femme, vol.29 n°1 (mars 2019)

ISBD Public [article] Interprétation en échographie mammaire : images hyperéchogènes [revue] / Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Foucauld Chamming's, Auteur . - 2019 . - p.34-42. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.29 n°1 (mars 2019) . - p.34-42 Mots-clés : cancer du sein échographie histologie hyperéchogénicité Résumé : Les images mammaires hyperéchogènes sont connues pour avoir une valeur prédictive très élevée de bénignité. Néanmoins, en pratique quotidienne, on rencontre des lésions malignes entièrement ou en partie hyperéchogènes. Nous faisons le point ici sur les lésions mammaires bénignes et malignes, en insistant sur les signes qui peuvent faire évoquer une pathologie maligne sous-jacente. [article]  in Imagerie de la Femme > vol.29 n°1 (mars 2019) . - p.34-42 Titre : Interprétation en échographie mammaire : images hyperéchogènes Type de document : revue Auteurs : Martine Boisserie-Lacroix, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur ; Foucauld Chamming's, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.34-42 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein échographie histologie hyperéchogénicité Résumé : Les images mammaires hyperéchogènes sont connues pour avoir une valeur prédictive très élevée de bénignité. Néanmoins, en pratique quotidienne, on rencontre des lésions malignes entièrement ou en partie hyperéchogènes. Nous faisons le point ici sur les lésions mammaires bénignes et malignes, en insistant sur les signes qui peuvent faire évoquer une pathologie maligne sous-jacente.

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