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Auteur Anne Laffargue
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Gestion des voies aeriennes de l’enfant / Christophe Dadure in Anesthésie & réanimation, vol.5 n°5 (septembre 2019)
[article] Gestion des voies aeriennes de l’enfant [revue] / Christophe Dadure, Auteur ; Nada Sabourdin, Auteur ; Francis Veyckemans, Auteur ; Florence Babre, Auteur ; Nathalie Bourdaud, Auteur ; Souhayl Dahmani, Auteur ; Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur ; Jean-Michel Devys, Auteur ; Marie-Claude Dubois, Auteur ; Delphine Kern, Auteur ; Anne Laffargue, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Corinne Lejus-Bourdeau, Auteur ; Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Gilles Orliaguet, Auteur ; Etienne Gayat, Auteur ; Lionel Velly, Auteur ; Nadège Salvi, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur . - 2019 . - p.408-426.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°5 (septembre 2019) . - p.408-426
Mots-clés : enfant
recommandation
voie aérienneRésumé : À ce jour, plus de 50 % des événements critiques périopératoires de l’enfant sont d’origine respiratoire. La bonne gestion des voies aériennes de l’enfant lors d’une anesthésie générale fait partie des préoccupations majeures des anesthésistes-réanimateurs. Les objectifs de ces recommandations formalisées d’experts étaient d’apporter une modification ou amélioration des pratiques cliniques répondant aux évolutions techniques dans la gestion des voies aériennes supérieures de tout enfant, mais également de valider au niveau national des connaissances reconnues dans la littérature ou auprès de sociétés savantes internationales. Par ailleurs, un point particulier a abordé la gestion des VAS de l’enfant enrhumé, potentiel facteur de risque en anesthésie pédiatrique. Parmi les recommandations, les experts recommandent l’utilisation préférentielle des dispositifs supraglottiques lors des interventions superficielles de courte durée avec monitorage de la pression du coussinet si possible. L’utilisation de sonde à ballonnet est préférable lors de l’intubation trachéale avec monitorage de la pression du ballonnet. L’intubation doit être systématique pour une chirurgie d’amygdalectomie chez l’enfant. La place des vidéolaryngoscopes est précisée lors de l’intubation difficile. L’utilisation des curares est redéfinie que ce soit durant l’induction à séquence rapide ou lors d’une anesthésie classique avec intubation orotrachéale. Pour l’enfant enrhumé, les experts recommandent l’utilisation préférentielle, si possible, du masque facial comparé à la sonde d’intubation ou dispositif supraglottique et, pour l’enfant de moins de 6 ans, la nébulisation de salbutamol avant l’anesthésie générale. Le but final de ces recommandations est d’envisager une diminution de la morbi-mortalité respiratoire de l’anesthésie des enfants par une amélioration des pratiques cliniques quotidiennes. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.5 n°5 (septembre 2019) . - p.408-426
Titre : Gestion des voies aeriennes de l’enfant Type de document : revue Auteurs : Christophe Dadure, Auteur ; Nada Sabourdin, Auteur ; Francis Veyckemans, Auteur ; Florence Babre, Auteur ; Nathalie Bourdaud, Auteur ; Souhayl Dahmani, Auteur ; Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur ; Jean-Michel Devys, Auteur ; Marie-Claude Dubois, Auteur ; Delphine Kern, Auteur ; Anne Laffargue, Auteur ; Marc Laffon, Auteur ; Corinne Lejus-Bourdeau, Auteur ; Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Gilles Orliaguet, Auteur ; Etienne Gayat, Auteur ; Lionel Velly, Auteur ; Nadège Salvi, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.408-426 Langues : Français Mots-clés : enfant
recommandation
voie aérienneRésumé : À ce jour, plus de 50 % des événements critiques périopératoires de l’enfant sont d’origine respiratoire. La bonne gestion des voies aériennes de l’enfant lors d’une anesthésie générale fait partie des préoccupations majeures des anesthésistes-réanimateurs. Les objectifs de ces recommandations formalisées d’experts étaient d’apporter une modification ou amélioration des pratiques cliniques répondant aux évolutions techniques dans la gestion des voies aériennes supérieures de tout enfant, mais également de valider au niveau national des connaissances reconnues dans la littérature ou auprès de sociétés savantes internationales. Par ailleurs, un point particulier a abordé la gestion des VAS de l’enfant enrhumé, potentiel facteur de risque en anesthésie pédiatrique. Parmi les recommandations, les experts recommandent l’utilisation préférentielle des dispositifs supraglottiques lors des interventions superficielles de courte durée avec monitorage de la pression du coussinet si possible. L’utilisation de sonde à ballonnet est préférable lors de l’intubation trachéale avec monitorage de la pression du ballonnet. L’intubation doit être systématique pour une chirurgie d’amygdalectomie chez l’enfant. La place des vidéolaryngoscopes est précisée lors de l’intubation difficile. L’utilisation des curares est redéfinie que ce soit durant l’induction à séquence rapide ou lors d’une anesthésie classique avec intubation orotrachéale. Pour l’enfant enrhumé, les experts recommandent l’utilisation préférentielle, si possible, du masque facial comparé à la sonde d’intubation ou dispositif supraglottique et, pour l’enfant de moins de 6 ans, la nébulisation de salbutamol avant l’anesthésie générale. Le but final de ces recommandations est d’envisager une diminution de la morbi-mortalité respiratoire de l’anesthésie des enfants par une amélioration des pratiques cliniques quotidiennes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032805 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Prise en charge anesthésique du prématuré pour chirurgie lourde : quelles particularités ? / Julien Corouge in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°6 (novembre 2017)
[article] Prise en charge anesthésique du prématuré pour chirurgie lourde : quelles particularités ? [revue] / Julien Corouge, Auteur ; Anne Laffargue, Auteur ; Francis Veyckemans, Auteur . - 2017 . - p.494-500.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°6 (novembre 2017) . - p.494-500
Mots-clés : anesthésie
chirurgie
ENN entérocolite nécrosante néonatale
néonatalogie
prématuré
prématuritéRésumé : La chirurgie lourde du prématuré concerne les complications de la prématurité et la chirurgie des malformations congénitales. Au cours de ces interventions sous anesthésie générale, l’hypoxie, l’hypercapnie, l’acidose, et les modifications de pression artérielle systémique ou pulmonaire peuvent modifier le shunt dans un canal artériel perméable. Sur le plan respiratoire, la ventilation par oscillations à haute fréquence (High Frequency Oscillation Ventilation) est souvent nécessaire. L’apport d’oxygène doit être maîtrisé pour diminuer l’incidence des complications de l’hyperoxie, notamment la rétinopathie. Les caractéristiques pharmacologiques du prématuré sont l’augmentation des volumes de distribution et l’immaturité des éliminations hépatique et rénale. La pharmacocinétique des produits anesthésiques est cependant peu étudiée, et leur influence sur le développement neuropsychique reste débattu. La surveillance de l’oxygénation tissulaire cérébrale (NIRS) semble intéressante en complément du monitorage habituel. Enfin, ces interventions doivent être réalisées par une équipe multidisciplinaire et expérimentée, dans un environnement adapté. Note de contenu : ☆ 37e Congrès de l’Adarpef (Association des anesthésistes réanimateurs pédiatriques d’expression française), Paris, 24–25 mars 2017. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°6 (novembre 2017) . - p.494-500
Titre : Prise en charge anesthésique du prématuré pour chirurgie lourde : quelles particularités ? Type de document : revue Auteurs : Julien Corouge, Auteur ; Anne Laffargue, Auteur ; Francis Veyckemans, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.494-500 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
chirurgie
ENN entérocolite nécrosante néonatale
néonatalogie
prématuré
prématuritéRésumé : La chirurgie lourde du prématuré concerne les complications de la prématurité et la chirurgie des malformations congénitales. Au cours de ces interventions sous anesthésie générale, l’hypoxie, l’hypercapnie, l’acidose, et les modifications de pression artérielle systémique ou pulmonaire peuvent modifier le shunt dans un canal artériel perméable. Sur le plan respiratoire, la ventilation par oscillations à haute fréquence (High Frequency Oscillation Ventilation) est souvent nécessaire. L’apport d’oxygène doit être maîtrisé pour diminuer l’incidence des complications de l’hyperoxie, notamment la rétinopathie. Les caractéristiques pharmacologiques du prématuré sont l’augmentation des volumes de distribution et l’immaturité des éliminations hépatique et rénale. La pharmacocinétique des produits anesthésiques est cependant peu étudiée, et leur influence sur le développement neuropsychique reste débattu. La surveillance de l’oxygénation tissulaire cérébrale (NIRS) semble intéressante en complément du monitorage habituel. Enfin, ces interventions doivent être réalisées par une équipe multidisciplinaire et expérimentée, dans un environnement adapté. Note de contenu : ☆ 37e Congrès de l’Adarpef (Association des anesthésistes réanimateurs pédiatriques d’expression française), Paris, 24–25 mars 2017. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031548 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant / Anne Laffargue in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°4 (juillet 2018)
[article] Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant [revue] / Anne Laffargue, Auteur . - 2018 . - p.300-307.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.300-307
Mots-clés : anesthésie
enfant
polysomnographie
SAOS syndrome d'apnée obstructive du sommeilRésumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°4 (juillet 2018) . - p.300-307
Titre : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant Type de document : revue Auteurs : Anne Laffargue, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.300-307 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
enfant
polysomnographie
SAOS syndrome d'apnée obstructive du sommeilRésumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032053 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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