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Auteur Patricia Licznar-Fajardo
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Les eaux en bouteille exposent-elles les patients immunodéprimés à un risque infectieux ? / Sophie Baranovsky in Hygiènes, vol.25 n°4 (septembre 2017)
[article] Les eaux en bouteille exposent-elles les patients immunodéprimés à un risque infectieux ? [revue] / Sophie Baranovsky, Auteur ; Yors Hicheri, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.221-225.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.25 n°4 (septembre 2017) . - p.221-225
Mots-clés : bouteille
patient immunodéprimé
risque infectieuxRésumé : Les services d’hématologie accueillent des patients immunodéprimés, dont l’environnement et l’alimentation sont contrôlés. Ils consomment de l’eau en bouteille, aux normes européennes pour la population générale. Nous étudions ici la microbiologie de ces eaux pour évaluer le risque infectieux chez les patients immunodéprimés. 144 bouteilles de marques françaises ont été analysées, eaux plates et gazeuses, durant deux périodes. Après filtration de 250 ml d’eau, les membranes étaient déposées sur milieux Cétrimide, MacConkey et plate count agar (PCA), puis incubées 72 h à 30 °C. Un dénombrement bactérien était réalisé. Tous les morphotypes étaient identifiés par spectrométrie de masse. La sensibilité aux antibiotiques des bactéries opportunistes était également testée. La flore mésophile totale variait entre 0 et 104 UFC/100 ml, selon les périodes, les lots et les marques. Trois bactéries pathogènes opportunistes ont été identifiées dans 13,2 % des eaux : Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia et Citrobacter freundii. Leur taux maximal était respectivement de 3,20 et 76 UFC/100 ml. Ces bactéries présentaient un phénotype de résistance sauvage. Deux marques présentaient un faible inoculum et l’absence de bactéries pathogènes opportunistes. La présence de ces dernières dans les eaux en bouteille suggère un risque d’infection chez des patients immunodéprimés et incite à réaliser des contrôles microbiologiques périodiques pour leur proposer l’eau la moins contaminée. [article]
in Hygiènes > vol.25 n°4 (septembre 2017) . - p.221-225
Titre : Les eaux en bouteille exposent-elles les patients immunodéprimés à un risque infectieux ? Type de document : revue Auteurs : Sophie Baranovsky, Auteur ; Yors Hicheri, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.221-225 Langues : Français Mots-clés : bouteille
patient immunodéprimé
risque infectieuxRésumé : Les services d’hématologie accueillent des patients immunodéprimés, dont l’environnement et l’alimentation sont contrôlés. Ils consomment de l’eau en bouteille, aux normes européennes pour la population générale. Nous étudions ici la microbiologie de ces eaux pour évaluer le risque infectieux chez les patients immunodéprimés. 144 bouteilles de marques françaises ont été analysées, eaux plates et gazeuses, durant deux périodes. Après filtration de 250 ml d’eau, les membranes étaient déposées sur milieux Cétrimide, MacConkey et plate count agar (PCA), puis incubées 72 h à 30 °C. Un dénombrement bactérien était réalisé. Tous les morphotypes étaient identifiés par spectrométrie de masse. La sensibilité aux antibiotiques des bactéries opportunistes était également testée. La flore mésophile totale variait entre 0 et 104 UFC/100 ml, selon les périodes, les lots et les marques. Trois bactéries pathogènes opportunistes ont été identifiées dans 13,2 % des eaux : Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia et Citrobacter freundii. Leur taux maximal était respectivement de 3,20 et 76 UFC/100 ml. Ces bactéries présentaient un phénotype de résistance sauvage. Deux marques présentaient un faible inoculum et l’absence de bactéries pathogènes opportunistes. La présence de ces dernières dans les eaux en bouteille suggère un risque d’infection chez des patients immunodéprimés et incite à réaliser des contrôles microbiologiques périodiques pour leur proposer l’eau la moins contaminée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031356 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Étudier les réservoirs de bactéries responsables d’infections associées aux soins pour mieux les détecter : le cas des bactéries productrices de carbapénèmases / Sophie Baranovsky in Hygiènes, vol.27 n°1 (mars 2019)
[article] Étudier les réservoirs de bactéries responsables d’infections associées aux soins pour mieux les détecter : le cas des bactéries productrices de carbapénèmases [revue] / Sophie Baranovsky, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur . - 2019 . - p.27-32.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°1 (mars 2019) . - p.27-32
Mots-clés : BMR bactérie multirésistante
carbapénémase
décontamination
environnementRésumé : Objectif. L’objectif de cette étude était d’identifier les réservoirs environnementaux de persistance des bactéries productrices de carbapénémases (BPC) dans l’environnement proche du patient. Méthodes. Les surfaces de la chambre de patients porteurs ou infectés par des BPC ont été prélevées par écouvillonnage, 24 heures après l’entretien de la chambre. Après enrichissement puis isolement sélectif, chaque souche a été identifiée avec un instrument de type Matrix Assisted Laser Desorption Ionisation - Time of Flight (Maldi-Tof). Les pratiques d’hygiène ont été auditées et améliorées si besoin dans les 19 services accueillant ces patients. Résultats. 2 677 prélèvements ont été réalisés dans les chambres de 32 patients. Au total 238 souches ont été isolées dans les chambres des patients, et se répartissaient en : Klebsiella pneumoniae (n=100), Enterobacter cloacae (n=57), Escherichia coli (n=22) et Acinetobacter baumannii (n=59). Le taux de contamination des chambres variait de 0 % à 31,1 %. Il n’était lié ni aux espèces de BPC, ni au statut porteur ou infecté des patients, ni au type de service. Les catégories de surfaces présentant les plus forts taux de contamination étaient le mobilier (30 %) et les points d’eau (26 %). Conclusion. Ces résultats révèlent des surfaces à risque, formant des réservoirs privilégiés de transmission de bactéries responsables d’infections associées aux soins. Ces surfaces sont donc à cibler en priorité lors de l’entretien d’une chambre et lors des contrôles microbiologiques dans celle-ci, par exemple lors d’épidémies. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°1 (mars 2019) . - p.27-32
Titre : Étudier les réservoirs de bactéries responsables d’infections associées aux soins pour mieux les détecter : le cas des bactéries productrices de carbapénèmases Type de document : revue Auteurs : Sophie Baranovsky, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.27-32 Langues : Français Mots-clés : BMR bactérie multirésistante
carbapénémase
décontamination
environnementRésumé : Objectif. L’objectif de cette étude était d’identifier les réservoirs environnementaux de persistance des bactéries productrices de carbapénémases (BPC) dans l’environnement proche du patient. Méthodes. Les surfaces de la chambre de patients porteurs ou infectés par des BPC ont été prélevées par écouvillonnage, 24 heures après l’entretien de la chambre. Après enrichissement puis isolement sélectif, chaque souche a été identifiée avec un instrument de type Matrix Assisted Laser Desorption Ionisation - Time of Flight (Maldi-Tof). Les pratiques d’hygiène ont été auditées et améliorées si besoin dans les 19 services accueillant ces patients. Résultats. 2 677 prélèvements ont été réalisés dans les chambres de 32 patients. Au total 238 souches ont été isolées dans les chambres des patients, et se répartissaient en : Klebsiella pneumoniae (n=100), Enterobacter cloacae (n=57), Escherichia coli (n=22) et Acinetobacter baumannii (n=59). Le taux de contamination des chambres variait de 0 % à 31,1 %. Il n’était lié ni aux espèces de BPC, ni au statut porteur ou infecté des patients, ni au type de service. Les catégories de surfaces présentant les plus forts taux de contamination étaient le mobilier (30 %) et les points d’eau (26 %). Conclusion. Ces résultats révèlent des surfaces à risque, formant des réservoirs privilégiés de transmission de bactéries responsables d’infections associées aux soins. Ces surfaces sont donc à cibler en priorité lors de l’entretien d’une chambre et lors des contrôles microbiologiques dans celle-ci, par exemple lors d’épidémies. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032572 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier / Sophie Baranovsky in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier [revue] / Sophie Baranovsky, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; C. Dupont, Auteur ; Sylvie Parer, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur . - 2019 . - p.277-284.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.277-284
Mots-clés : bactérie
diffusion
environnement
hôpital
microbiologie
risque infectieuxRésumé : Malgré des publications récentes très significatives, les démarches pour établir des recommandations basées sur la preuve et les méta-analyses dans le domaine du risque environnemental hospitalier se heurtent à la faiblesse des liens de causalité. Dans cet article, nous posons et discutons l’hypothèse qu’une microbiologie de l’environnement hospitalier intégrant peu à peu la complexité de l’écologie microbienne pourrait permettre une meilleure compréhension des mécanismes de transmission des infections associées aux soins (IAS) impliquant l’environnement, et donc une meilleure argumentation sur les mesures à mettre en œuvre. Cette mise au point, non exhaustive, pose les questions 1) de l’existence, au sein des espèces de bactéries responsables d’IAS, d’écotypes bactériens spécialisés dans l’écosystème hospitalier incluant le patient ; 2) du rôle de la variabilité et de la biodiversité des pathogènes hospitaliers dans leur succès épidémique et leur succès d’implantation grâce à une « assurance collective » ; 3) d’un changement de paradigme, en considérant comme unité de transmission nosocomiale non pas la souche pathogène isolée mais l’ensemble des génotypes à risque chez le patient et dans son environnement hospitalier ; 4) par conséquent, de la pertinence de la surveillance microbiologique de l’environnement telle qu’elle est réalisée aujourd’hui. Le challenge est aujourd’hui la confrontation des données microbiologiques aux situations clinico-épidémiques, afin de déterminer des indicateurs clinico-environnementaux permettant d’évaluer précisément le risque infectieux. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.277-284
Titre : Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier Type de document : revue Auteurs : Sophie Baranovsky, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; C. Dupont, Auteur ; Sylvie Parer, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.277-284 Langues : Français Mots-clés : bactérie
diffusion
environnement
hôpital
microbiologie
risque infectieuxRésumé : Malgré des publications récentes très significatives, les démarches pour établir des recommandations basées sur la preuve et les méta-analyses dans le domaine du risque environnemental hospitalier se heurtent à la faiblesse des liens de causalité. Dans cet article, nous posons et discutons l’hypothèse qu’une microbiologie de l’environnement hospitalier intégrant peu à peu la complexité de l’écologie microbienne pourrait permettre une meilleure compréhension des mécanismes de transmission des infections associées aux soins (IAS) impliquant l’environnement, et donc une meilleure argumentation sur les mesures à mettre en œuvre. Cette mise au point, non exhaustive, pose les questions 1) de l’existence, au sein des espèces de bactéries responsables d’IAS, d’écotypes bactériens spécialisés dans l’écosystème hospitalier incluant le patient ; 2) du rôle de la variabilité et de la biodiversité des pathogènes hospitaliers dans leur succès épidémique et leur succès d’implantation grâce à une « assurance collective » ; 3) d’un changement de paradigme, en considérant comme unité de transmission nosocomiale non pas la souche pathogène isolée mais l’ensemble des génotypes à risque chez le patient et dans son environnement hospitalier ; 4) par conséquent, de la pertinence de la surveillance microbiologique de l’environnement telle qu’elle est réalisée aujourd’hui. Le challenge est aujourd’hui la confrontation des données microbiologiques aux situations clinico-épidémiques, afin de déterminer des indicateurs clinico-environnementaux permettant d’évaluer précisément le risque infectieux. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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