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Auteur Bertrand Rozec
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Anémie préopératoire. Organisation d’une clinique spécialisée / Jean-Christophe Rigal in Gestions hospitalières, n°585 (avril 2019)
[article] Anémie préopératoire. Organisation d’une clinique spécialisée [revue] / Jean-Christophe Rigal, Auteur ; Bertrand Rozec, Auteur ; Elodie Boissier, Auteur . - 2019 . - p.249-253.
Langues : Français
in Gestions hospitalières > n°585 (avril 2019) . - p.249-253
Mots-clés : anémie
économie
organisation des soins
stratégieRésumé : L’anémie préopératoire est une pathologie fréquente, facteur de mauvais pronostic et de risque de transfusion. Elle peut être corrigée par une prise en charge orientée sur sa détection et son traitement préopératoire. Cela constitue le premier pilier de la gestion sanguine périopératoire. L’organisation d’une clinique d’anémie associée aux consultations préopératoires, combinaison de changements de pratiques et d’une équipe dédiée, permet d’améliorer la prise en charge des anémies par carences martiales accessibles à un traitement ambulatoire préopératoire. Et donc de réduire le recours à la transfusion sanguine, et les risques liés à celle-ci. L’évaluation économique, du point de vue d’un établissement de soins, en l’occurrence ici le CHU de Nantes, permet de clarifier les enjeux liés à la mise en place d’une telle organisation. Note de contenu : [Dossier] Initiatives hospitalières [article]
in Gestions hospitalières > n°585 (avril 2019) . - p.249-253
Titre : Anémie préopératoire. Organisation d’une clinique spécialisée Type de document : revue Auteurs : Jean-Christophe Rigal, Auteur ; Bertrand Rozec, Auteur ; Elodie Boissier, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.249-253 Langues : Français Mots-clés : anémie
économie
organisation des soins
stratégieRésumé : L’anémie préopératoire est une pathologie fréquente, facteur de mauvais pronostic et de risque de transfusion. Elle peut être corrigée par une prise en charge orientée sur sa détection et son traitement préopératoire. Cela constitue le premier pilier de la gestion sanguine périopératoire. L’organisation d’une clinique d’anémie associée aux consultations préopératoires, combinaison de changements de pratiques et d’une équipe dédiée, permet d’améliorer la prise en charge des anémies par carences martiales accessibles à un traitement ambulatoire préopératoire. Et donc de réduire le recours à la transfusion sanguine, et les risques liés à celle-ci. L’évaluation économique, du point de vue d’un établissement de soins, en l’occurrence ici le CHU de Nantes, permet de clarifier les enjeux liés à la mise en place d’une telle organisation. Note de contenu : [Dossier] Initiatives hospitalières Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032601 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les B-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie / Bertrand Rozec in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°4 (juillet 2017)
[article] Les B-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie [revue] / Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur . - 2017 . - p.325-331.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°4 (juillet 2017) . - p.325-331
Mots-clés : chirurgie
CPO complications postopératoires
ischémie myocardique
maladie des artères coronairesRésumé : Les -bloquants par leurs actions pharmacologiques sont largement indiqués dans la prise en charge de la pathologie coronarienne.
L’étude de l’intérêt des -bloquants en périopératoire a fait l’objet de nombreux scandales et controverses.
Il existe de multiples recommandations internationales qui sont régulièrement mises à jour en fonction du résultat des dernières études. Les dernières datent de 2014.
Lorsqu’un traitement par -bloquant est indiqué chez un patient (en dehors de toute considération de prévention du risque cardiaque périopératoire), il faut discuter l’intérêt de son instauration.
Il est admis qu’il convient de poursuivre les -bloquants en préopératoire chez les patients traités de manière chronique.
Débuter sans précaution (titration) en préopératoire un traitement par β-bloquants expose les patients à des effets secondaires cardiovasculaires (hypotension, bradycardie et accident vasculaire cérébral) et à une augmentation de la mortalité.
En préopératoire, chez les patients à haut risque, il convient d’envisager l’introduction de -bloquants. Il n’est en revanche pas recommandé de les débuter avant une chirurgie à faible risque.
Tous les β-bloquants utilisés dans les études sur le sujet ne sont pas tous équivalents pharmacologiquement. Il faut probablement privilégier l’aténolol et le bisoprolol au métoprolol.
De nouveaux -bloquants dits de 3e génération ont été développés pour la prise en charge de l’insuffisance cardiaque. Mieux tolérés selon certains travaux, ils n’ont pas été testés en périopératoire.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°4 (juillet 2017) . - p.325-331
Titre : Les B-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie Type de document : revue Auteurs : Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.325-331 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
CPO complications postopératoires
ischémie myocardique
maladie des artères coronairesRésumé : Les -bloquants par leurs actions pharmacologiques sont largement indiqués dans la prise en charge de la pathologie coronarienne.
L’étude de l’intérêt des -bloquants en périopératoire a fait l’objet de nombreux scandales et controverses.
Il existe de multiples recommandations internationales qui sont régulièrement mises à jour en fonction du résultat des dernières études. Les dernières datent de 2014.
Lorsqu’un traitement par -bloquant est indiqué chez un patient (en dehors de toute considération de prévention du risque cardiaque périopératoire), il faut discuter l’intérêt de son instauration.
Il est admis qu’il convient de poursuivre les -bloquants en préopératoire chez les patients traités de manière chronique.
Débuter sans précaution (titration) en préopératoire un traitement par β-bloquants expose les patients à des effets secondaires cardiovasculaires (hypotension, bradycardie et accident vasculaire cérébral) et à une augmentation de la mortalité.
En préopératoire, chez les patients à haut risque, il convient d’envisager l’introduction de -bloquants. Il n’est en revanche pas recommandé de les débuter avant une chirurgie à faible risque.
Tous les β-bloquants utilisés dans les études sur le sujet ne sont pas tous équivalents pharmacologiquement. Il faut probablement privilégier l’aténolol et le bisoprolol au métoprolol.
De nouveaux -bloquants dits de 3e génération ont été développés pour la prise en charge de l’insuffisance cardiaque. Mieux tolérés selon certains travaux, ils n’ont pas été testés en périopératoire.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031081 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Chirurgie carotidienne « consensus et controverses » / Julien Cadiet in Le praticien en anesthésie réanimation, vol.24 n°2 (avril 2020)
[article] Chirurgie carotidienne « consensus et controverses » [revue] / Julien Cadiet, Auteur ; Bertrand Rozec, Auteur . - 2020 . - p.91-97.
Langues : Français
in Le praticien en anesthésie réanimation > vol.24 n°2 (avril 2020) . - p.91-97
Mots-clés : anesthésie
anesthésie locorégionale
AVC accident vasculaire cérébral
endartériectomie
monitorage
stentingRésumé : Plus de 140 000 patients sont victimes d’AVC chaque année en France ce qui représente la 3e cause de mortalité ; 80 % sont d’origine ischémique dont 10 à 15 % sont secondaires à une sténose carotidienne. La chirurgie est recommandée pour les patients symptomatiques ayant une sténose >50 % et pour les asymptomatiques avec sténose >60% avec une espérance de vie >5 ans. Quinze mille endartériectomies carotidienne sont pratiquées par an en France. La morbimortalité postopératoire est d’environ 3 %. L’endartériectomie reste la technique de référence par rapport au stenting carotidien qui est réservé aux patients à haut risque. Cette chirurgie est réalisée sous anesthésie générale (AG) (2/3 des cas) et/ou sous anesthésie locorégionale (ALR) sans argument pour privilégier l’une ou l’autre approche. Il manque une technique de monitorage neurologique peropératoire fiable et simple qui prévienne le risque d’AVC, actuellement de 3 %. Dans les suites opératoires, les patients nécessitent au moins 6heures de surveillance en SSPI pour dépister les complications neurologiques, hémodynamique et hémorragique (hématome cervical) précoces. [article]
in Le praticien en anesthésie réanimation > vol.24 n°2 (avril 2020) . - p.91-97
Titre : Chirurgie carotidienne « consensus et controverses » Type de document : revue Auteurs : Julien Cadiet, Auteur ; Bertrand Rozec, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.91-97 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
anesthésie locorégionale
AVC accident vasculaire cérébral
endartériectomie
monitorage
stentingRésumé : Plus de 140 000 patients sont victimes d’AVC chaque année en France ce qui représente la 3e cause de mortalité ; 80 % sont d’origine ischémique dont 10 à 15 % sont secondaires à une sténose carotidienne. La chirurgie est recommandée pour les patients symptomatiques ayant une sténose >50 % et pour les asymptomatiques avec sténose >60% avec une espérance de vie >5 ans. Quinze mille endartériectomies carotidienne sont pratiquées par an en France. La morbimortalité postopératoire est d’environ 3 %. L’endartériectomie reste la technique de référence par rapport au stenting carotidien qui est réservé aux patients à haut risque. Cette chirurgie est réalisée sous anesthésie générale (AG) (2/3 des cas) et/ou sous anesthésie locorégionale (ALR) sans argument pour privilégier l’une ou l’autre approche. Il manque une technique de monitorage neurologique peropératoire fiable et simple qui prévienne le risque d’AVC, actuellement de 3 %. Dans les suites opératoires, les patients nécessitent au moins 6heures de surveillance en SSPI pour dépister les complications neurologiques, hémodynamique et hémorragique (hématome cervical) précoces. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034361 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? / Bertrand Rozec in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°4 (juillet 2017)
[article] Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? [revue] / Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur . - 2017 . - p.370-375.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°4 (juillet 2017) . - p.370-375
Mots-clés : chirurgie
chirurgie ambulatoire
maladie des artères coronaires
monitorage
parcours de soin
réhabilitation
troponineRésumé : Il existe peu d’évaluation de l’impact du parcours de soin sur la morbidité et la mortalité postopératoire des patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque.
La recherche d’une situation cardiaque instable (angor instable, insuffisance cardiaque aiguë, arythmie cardiaque significative, valvulopathie symptomatique, infarctus du myocarde récent et ischémie résiduelle) doit être systématique en préopératoire.
L’évaluation du risque cardiaque dans le contexte d’une chirurgie non cardiaque doit être réalisée en préopératoire.
Le score d’APGAR chirurgical permettrait de stratifier le risque de complications postopératoires en tenant compte de la fréquence cardiaque, la pression artérielle moyenne et la perte sanguine peropératoire.
Les parcours de soins de type ambulatoire ou la réhabilitation améliorée après chirurgie ne sont probablement pas à contre indiqués, mais à adapter au patient.
En postopératoire, la détection d’ischémie myocardique par un dosage de la troponine plasmatique précoce et pendant 48h est à recommander en particulier dans les situations à plus haut risque.
La détection de dommage myocardique associée à de faibles élévations de troponine doit conduire à un électrocardiogramme et si besoin un renforcement du traitement médical.
Le monitorage postopératoire doit également permettre de rechercher et traiter une instabilité hémodynamique, une anémie ou une hypoxémie.
Il faut disposer d’évaluations des effets de protocoles de surveillance et de prise en charge de ces patients pour en améliorer la survie.
Il est difficile de transposer les parcours de soins proposés pour ces patients d’un pays/d’une structure à l’autre.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°4 (juillet 2017) . - p.370-375
Titre : Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? Type de document : revue Auteurs : Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.370-375 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
chirurgie ambulatoire
maladie des artères coronaires
monitorage
parcours de soin
réhabilitation
troponineRésumé : Il existe peu d’évaluation de l’impact du parcours de soin sur la morbidité et la mortalité postopératoire des patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque.
La recherche d’une situation cardiaque instable (angor instable, insuffisance cardiaque aiguë, arythmie cardiaque significative, valvulopathie symptomatique, infarctus du myocarde récent et ischémie résiduelle) doit être systématique en préopératoire.
L’évaluation du risque cardiaque dans le contexte d’une chirurgie non cardiaque doit être réalisée en préopératoire.
Le score d’APGAR chirurgical permettrait de stratifier le risque de complications postopératoires en tenant compte de la fréquence cardiaque, la pression artérielle moyenne et la perte sanguine peropératoire.
Les parcours de soins de type ambulatoire ou la réhabilitation améliorée après chirurgie ne sont probablement pas à contre indiqués, mais à adapter au patient.
En postopératoire, la détection d’ischémie myocardique par un dosage de la troponine plasmatique précoce et pendant 48h est à recommander en particulier dans les situations à plus haut risque.
La détection de dommage myocardique associée à de faibles élévations de troponine doit conduire à un électrocardiogramme et si besoin un renforcement du traitement médical.
Le monitorage postopératoire doit également permettre de rechercher et traiter une instabilité hémodynamique, une anémie ou une hypoxémie.
Il faut disposer d’évaluations des effets de protocoles de surveillance et de prise en charge de ces patients pour en améliorer la survie.
Il est difficile de transposer les parcours de soins proposés pour ces patients d’un pays/d’une structure à l’autre.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031081 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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