[article] Impact de l’imagerie sur le classement TNM : le N [revue] / A. Jalaguier-Coudray, Auteur ; G. Houvenaeghel, Auteur ; B. Delarbre, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.41-49. Langues : Français in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°1 2 (mars 2017) . - p.41-49 Mots-clés : | biopsie cancer du sein cytoponction échographie ganglion
| Résumé : | Le prélèvement du ganglion sentinelle reste en 2017 la technique de référence chez les patientes présentant un carcinome mammaire stade T0, T1 ou T2, N– clinique et échographique. L’exploration pré-thérapeutique des aires ganglionnaires est indispensable avant chirurgie. L’échographie est le meilleur outil pour détecter des ganglions anormaux. Les signes évocateurs de ganglion suspect sont un cortex épaissi focalement ou de façon diffuse, de plus de 3mm, la disparition du hile graisseux, la forme ronde du ganglion et l’irrégularité du cortex en rapport avec une rupture capsulaire. Le creux axillaire et plus particulièrement l’étage I de Berg doivent être explorés en premier lieu car c’est majoritairement le premier site d’atteinte ganglionnaire. Les vaisseaux axillaires doivent être suivis, puis les vaisseaux mammaires externes jusqu’au niveau de l’union des quadrants externes du sein. L’atteinte ganglionnaire peut se propager aux espaces de Berg II, III puis à la région sus-claviculaire. La chaîne mammaire interne doit être explorée, notamment en cas d’atteinte axillaire, de lésion mammaire profonde ou des quadrants internes et devant un cancer du sein localement avancé. Une preuve histologique par cytoponction ou microbiopsie doit être systématiquement réalisée devant un ganglion axillaire suspect avant d’indiquer un curage axillaire. |
[article] in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°1 2 (mars 2017) . - p.41-49 Titre : | Impact de l’imagerie sur le classement TNM : le N | Type de document : | revue | Auteurs : | A. Jalaguier-Coudray, Auteur ; G. Houvenaeghel, Auteur ; B. Delarbre, Auteur ; et al., Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p.41-49 | Langues : | Français | Mots-clés : | biopsie cancer du sein cytoponction échographie ganglion
| Résumé : | Le prélèvement du ganglion sentinelle reste en 2017 la technique de référence chez les patientes présentant un carcinome mammaire stade T0, T1 ou T2, N– clinique et échographique. L’exploration pré-thérapeutique des aires ganglionnaires est indispensable avant chirurgie. L’échographie est le meilleur outil pour détecter des ganglions anormaux. Les signes évocateurs de ganglion suspect sont un cortex épaissi focalement ou de façon diffuse, de plus de 3mm, la disparition du hile graisseux, la forme ronde du ganglion et l’irrégularité du cortex en rapport avec une rupture capsulaire. Le creux axillaire et plus particulièrement l’étage I de Berg doivent être explorés en premier lieu car c’est majoritairement le premier site d’atteinte ganglionnaire. Les vaisseaux axillaires doivent être suivis, puis les vaisseaux mammaires externes jusqu’au niveau de l’union des quadrants externes du sein. L’atteinte ganglionnaire peut se propager aux espaces de Berg II, III puis à la région sus-claviculaire. La chaîne mammaire interne doit être explorée, notamment en cas d’atteinte axillaire, de lésion mammaire profonde ou des quadrants internes et devant un cancer du sein localement avancé. Une preuve histologique par cytoponction ou microbiopsie doit être systématiquement réalisée devant un ganglion axillaire suspect avant d’indiquer un curage axillaire. |
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