[article] Élastographie shear wave en sénologie : faux négatifs, faux positifs, comment optimiser l’examen ? [revue] / Foucauld Chamming's, Auteur ; Caroline Rousseau, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur . - 2018 . - p.226-236. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.28 n°4 (décembre 2018) . - p.226-236 Mots-clés : | échographie élastographie limite optimisation sein
| Résumé : | L’élastographie shear wave est une technique récente qui, en évaluant la dureté des tissus permet d’améliorer la caractérisation des lésions mammaires. Elle est parfois considérée en raison de ses spécificités techniques, comme automatisée et indépendante de l’opérateur. Pourtant, en pratique clinique il existe, comme pour toute technique d’imagerie, des faux négatifs, des faux positifs et des artefacts. L’image d’élastographie shear wave est aussi dépendante des conditions d’acquisition (degré de compression, position de la sonde, etc.). La bonne connaissance des limites et la maîtrise des conditions d’acquisition sont des éléments essentiels à la bonne utilisation de l’élastographie shear wave en sénologie. Il est donc important pour le radiologue d’être conscient des facteurs histologiques, radiologiques et anatomiques qui favorisent les faux négatifs et les faux positifs, de savoir qu’il existe une variabilité inter-observateurs des mesures quantitatives et que les conditions d’acquisition peuvent avoir un impact sur les résultats. Des solutions pratiques proposées dans cet article, permettent de limiter les erreurs, d’améliorer la fiabilité de l’image et d’optimiser les performances de l’élastographie shear wave : donner la priorité aux critères morphologiques, privilégier l’interprétation à partir de l’analyse visuelle de la cartographie couleur ou encore maîtriser les conditions d’acquisition en particulier en apprenant à gérer la compression. Il y a donc une courbe d’apprentissage, ce qui rappelle l’importance de la formation théorique et pratique à l’élastographie shear wave du sein, nécessaire pour apporter aux utilisateurs une bonne maîtrise de la technique, et ainsi optimiser les performances d’un examen encore trop souvent mal maîtrisé. |
[article] in Imagerie de la Femme > vol.28 n°4 (décembre 2018) . - p.226-236 Titre : | Élastographie shear wave en sénologie : faux négatifs, faux positifs, comment optimiser l’examen ? | Type de document : | revue | Auteurs : | Foucauld Chamming's, Auteur ; Caroline Rousseau, Auteur ; Marie-Pierre Depetiteville, Auteur | Année de publication : | 2018 | Article en page(s) : | p.226-236 | Langues : | Français | Mots-clés : | échographie élastographie limite optimisation sein
| Résumé : | L’élastographie shear wave est une technique récente qui, en évaluant la dureté des tissus permet d’améliorer la caractérisation des lésions mammaires. Elle est parfois considérée en raison de ses spécificités techniques, comme automatisée et indépendante de l’opérateur. Pourtant, en pratique clinique il existe, comme pour toute technique d’imagerie, des faux négatifs, des faux positifs et des artefacts. L’image d’élastographie shear wave est aussi dépendante des conditions d’acquisition (degré de compression, position de la sonde, etc.). La bonne connaissance des limites et la maîtrise des conditions d’acquisition sont des éléments essentiels à la bonne utilisation de l’élastographie shear wave en sénologie. Il est donc important pour le radiologue d’être conscient des facteurs histologiques, radiologiques et anatomiques qui favorisent les faux négatifs et les faux positifs, de savoir qu’il existe une variabilité inter-observateurs des mesures quantitatives et que les conditions d’acquisition peuvent avoir un impact sur les résultats. Des solutions pratiques proposées dans cet article, permettent de limiter les erreurs, d’améliorer la fiabilité de l’image et d’optimiser les performances de l’élastographie shear wave : donner la priorité aux critères morphologiques, privilégier l’interprétation à partir de l’analyse visuelle de la cartographie couleur ou encore maîtriser les conditions d’acquisition en particulier en apprenant à gérer la compression. Il y a donc une courbe d’apprentissage, ce qui rappelle l’importance de la formation théorique et pratique à l’élastographie shear wave du sein, nécessaire pour apporter aux utilisateurs une bonne maîtrise de la technique, et ainsi optimiser les performances d’un examen encore trop souvent mal maîtrisé. |
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