Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Détail de l'auteur
Auteur Caroline Couchepin
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? / Christophe Dadure in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? [revue] / Christophe Dadure, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.362-367.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.362-367
Mots-clés : enfant
hydroélectrolytique
perfusion
période périopératoireRésumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.362-367
Titre : Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? Type de document : revue Auteurs : Christophe Dadure, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.362-367 Langues : Français Mots-clés : enfant
hydroélectrolytique
perfusion
période périopératoireRésumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? / Chrystelle Sola in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? [revue] / Chrystelle Sola, Auteur ; Anne-Charlotte Saour, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.343-348.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.343-348
Mots-clés : anesthésie
nouveau né
pédiatrie
rachianesthésieRésumé : Décrite pour la première fois chez l’enfant en 1898 par August Bier, la rachianesthésie reste aujourd’hui encore largement sous-utilisée chez l’enfant. Malgré les preuves de son efficacité et de sa sécurité, la place de la rachianesthésie en pédiatrie reste controversée et s’avère le plus souvent limitée aux centres spécialisés. Les bénéfices de la RA chez l’enfant sont pourtant nombreux, tant comme complément analgésique pour la chirurgie majeure que comme véritable alternative à l’anesthésie générale pour la chirurgie sous-ombilicale mineure ou chez l’enfant à risque élevé de complications peranesthésiques. Chez le nouveau-né, la diminution du risque d’apnée postopératoire et l’éviction de toutes expositions à la potentielle neurotoxicité des agents anesthésiques volatils et systémiques en font une alternative de choix. Une évaluation préclinique systématique des agents administrés par voie intrathécale, sur des modèles expérimentaux validés à tous les stades de développement postnatale précoce, ainsi que l’amélioration de la formation des opérateurs et le développement de l’utilisation de l’échographie restent essentielles pour accroître la sécurité et l’utilisation de la rachianesthésie en pédiatrie. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.343-348
Titre : Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? Type de document : revue Auteurs : Chrystelle Sola, Auteur ; Anne-Charlotte Saour, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.343-348 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
nouveau né
pédiatrie
rachianesthésieRésumé : Décrite pour la première fois chez l’enfant en 1898 par August Bier, la rachianesthésie reste aujourd’hui encore largement sous-utilisée chez l’enfant. Malgré les preuves de son efficacité et de sa sécurité, la place de la rachianesthésie en pédiatrie reste controversée et s’avère le plus souvent limitée aux centres spécialisés. Les bénéfices de la RA chez l’enfant sont pourtant nombreux, tant comme complément analgésique pour la chirurgie majeure que comme véritable alternative à l’anesthésie générale pour la chirurgie sous-ombilicale mineure ou chez l’enfant à risque élevé de complications peranesthésiques. Chez le nouveau-né, la diminution du risque d’apnée postopératoire et l’éviction de toutes expositions à la potentielle neurotoxicité des agents anesthésiques volatils et systémiques en font une alternative de choix. Une évaluation préclinique systématique des agents administrés par voie intrathécale, sur des modèles expérimentaux validés à tous les stades de développement postnatale précoce, ainsi que l’amélioration de la formation des opérateurs et le développement de l’utilisation de l’échographie restent essentielles pour accroître la sécurité et l’utilisation de la rachianesthésie en pédiatrie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact