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Auteur I. Claudet
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Gestion de la pandémie à Sars-Cov2 en France – Balance bénéfice-risque à l’échelle collective versus à l’échelle individuelle chez les enfants / I. Claudet in Ethique et santé, vol.20 n°1 (mars 2023)
[article] Gestion de la pandémie à Sars-Cov2 en France – Balance bénéfice-risque à l’échelle collective versus à l’échelle individuelle chez les enfants [revue] / I. Claudet, Auteur ; C. Bréhin, Auteur . - 2023 . - p.39-46.
Langues : Français
in Ethique et santé > vol.20 n°1 (mars 2023) . - p.39-46
Mots-clés : autonomie
Covid-19
enfant
principe de précaution
PROPORTIONNALITERésumé : Selon le principe de précaution et face à l’incertitude initiale de la gravité potentielle de la Covid-19, la France a adopté des mesures collectives comprises comme acceptables malgré la privation de liberté et les risques connus d’un confinement long sur la santé mentale des individus. De telles mesures devraient être appliquées de façon proportionnelle et causer le moins de tort possible. Parmi celles-ci, la fermeture des écoles a été décidée par déclinaison de celles figurant dans des plans de réponse à des pandémies virales où les enfants jouent un rôle majeur dans la transmission de la maladie (ex. grippe). De façon inédite, des mesures et contraintes ont été prises à l’encontre de l’intérêt des enfants et pour protéger un autre groupe vulnérable que les enfants eux-mêmes. Du point de vue de la santé des enfants, le rapport entre gains de santé liés à ces mesures et conséquences négatives a été déséquilibré. La diminution du temps d’instruction a réduit le rendement scolaire général et a eu des conséquences défavorables sur la socialisation et le développement des enfants. Le confinement a généré une accidentologie domestique plus grave, une majoration des violences intrafamiliales et des effets collatéraux marqués en termes de santé mentale des adolescents. Très tôt, les différentes publications ont montré que les enfants n’étaient pas moteurs de cette pandémie – Si l’application initiale de mesures collectives était légitime, l’adaptation des mesures à l’échelle individuelle a été en décalage avec les répercussions déjà connues suivies de celles constatées sur la santé de l’enfant. [article]
in Ethique et santé > vol.20 n°1 (mars 2023) . - p.39-46
Titre : Gestion de la pandémie à Sars-Cov2 en France – Balance bénéfice-risque à l’échelle collective versus à l’échelle individuelle chez les enfants Type de document : revue Auteurs : I. Claudet, Auteur ; C. Bréhin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.39-46 Langues : Français Mots-clés : autonomie
Covid-19
enfant
principe de précaution
PROPORTIONNALITERésumé : Selon le principe de précaution et face à l’incertitude initiale de la gravité potentielle de la Covid-19, la France a adopté des mesures collectives comprises comme acceptables malgré la privation de liberté et les risques connus d’un confinement long sur la santé mentale des individus. De telles mesures devraient être appliquées de façon proportionnelle et causer le moins de tort possible. Parmi celles-ci, la fermeture des écoles a été décidée par déclinaison de celles figurant dans des plans de réponse à des pandémies virales où les enfants jouent un rôle majeur dans la transmission de la maladie (ex. grippe). De façon inédite, des mesures et contraintes ont été prises à l’encontre de l’intérêt des enfants et pour protéger un autre groupe vulnérable que les enfants eux-mêmes. Du point de vue de la santé des enfants, le rapport entre gains de santé liés à ces mesures et conséquences négatives a été déséquilibré. La diminution du temps d’instruction a réduit le rendement scolaire général et a eu des conséquences défavorables sur la socialisation et le développement des enfants. Le confinement a généré une accidentologie domestique plus grave, une majoration des violences intrafamiliales et des effets collatéraux marqués en termes de santé mentale des adolescents. Très tôt, les différentes publications ont montré que les enfants n’étaient pas moteurs de cette pandémie – Si l’application initiale de mesures collectives était légitime, l’adaptation des mesures à l’échelle individuelle a été en décalage avec les répercussions déjà connues suivies de celles constatées sur la santé de l’enfant. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036192 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant / I. Claudet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°5 (octobre 2016)
[article] Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant [revue] / I. Claudet, Auteur . - 2016 . - p.244-268.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.244-268
Mots-clés : accident domestique
antidote
intoxicationRésumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Note de contenu : + Autoévaluation p.269-271 [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.244-268
Titre : Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant Type de document : revue Auteurs : I. Claudet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.244-268 Langues : Français Mots-clés : accident domestique
antidote
intoxicationRésumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Note de contenu : + Autoévaluation p.269-271 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029603 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant / I. Claudet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°5 (septembre 2024)
[article] Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant [revue] / I. Claudet, Auteur . - 2024 . - 336-363.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°5 (septembre 2024) . - 336-363
Résumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans, avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inappropriée et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution de symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont tous les symptômes neurologiques isolés non fébriles inexpliqués (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide d’e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°5 (septembre 2024) . - 336-363
Titre : Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant Type de document : revue Auteurs : I. Claudet, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : 336-363 Langues : Français Résumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans, avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inappropriée et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution de symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont tous les symptômes neurologiques isolés non fébriles inexpliqués (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide d’e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036719 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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