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Auteur P. Bondil
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Cancer et sexualité : le couple, un déterminant trop souvent négligé / P. Bondil in Sexologies, vol.25 n°2 (avril juin 2016)
[article] Cancer et sexualité : le couple, un déterminant trop souvent négligé [revue] / P. Bondil, Auteur ; Daniel Habold, Auteur ; d. Carnicelli, Auteur . - 2016 . - P.61-68.
Langues : Français
in Sexologies > vol.25 n°2 (avril juin 2016) . - P.61-68
Mots-clés : cancer
couple
information
prévention
résultat
sexualité[article]
in Sexologies > vol.25 n°2 (avril juin 2016) . - P.61-68
Titre : Cancer et sexualité : le couple, un déterminant trop souvent négligé Type de document : revue Auteurs : P. Bondil, Auteur ; Daniel Habold, Auteur ; d. Carnicelli, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : P.61-68 Langues : Français Mots-clés : cancer
couple
information
prévention
résultat
sexualitéExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00028925 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Disruptions en santé sexuelle : clinique, Evidence Based Medicine (EBM) ou intelligence artificielle (IA) ? / P. Bondil in Sexologies, vol.28 n°4 (octobe decembre 2019)
[article] Disruptions en santé sexuelle : clinique, Evidence Based Medicine (EBM) ou intelligence artificielle (IA) ? [revue] / P. Bondil, Auteur . - 2019 . - p.171-176.
Langues : Français
in Sexologies > vol.28 n°4 (octobe decembre 2019) . - p.171-176
Mots-clés : clinique
EBM evidence based medicine
humanisme
IA intelligence artificielle
santé sexuelleRésumé : En passant d’un statut d’outil à celui d’un nouveau mode de travail, l’Evidence Based Medicine (EBM) et l’intelligence artificielle (IA) sont à l’origine de disruptions majeures dans le monde de la santé, y compris sexuelle. Plusieurs disruptions la concernent : (1) s’en préoccuper peut améliorer la qualité mais aussi la quantité de vie des malades chroniques, (2) le concept de santé sexuelle positive doit être développé et favorisé, (3) la santé sexuelle contribue à restaurer la clinique et l’humanisme inhérents à la culture soignante. Nouveau déterminant de santé, de bien-être et de qualité de vie, elle doit être désormais intégrée dans les parcours de soins et de vie des malades chroniques pour répondre à leurs besoins émotionnels et médicaux, et à deux priorités de santé publique : réduire les inégalités de soins et améliorer leur pertinence. Une majorité de malades souhaite préserver ou récupérer ce facilitateur de lien social et de résilience mais la réponse soignante est globalement insuffisante. Le manque de connaissances et les idées reçues expliquent le défaut d’appropriation de la santé sexuelle et de ses troubles par les professionnels de santé. Malgré l’apport indéniable de l’EBM et de l’IA, la clinique, meilleur moyen jusqu’à présent pour les évaluer, reste primordiale pour atteindre l’objectif majeur des soins « centrés sur la personne » : concilier le « cure » (capacité de guérir/relation technique) et le « care » (capacité de prendre soin d’autrui/relation humaine). Prendre en compte la santé sexuelle et ses disruptions, en cours ou à venir, dans les parcours de soins devient une obligation déontologique pour se recentrer sur les fondamentaux éthiques de la médecine soignant une personne, en respectant son autonomie et sa dignité. Dans ce but, la sexologie doit devenir une compétence transdisciplinaire médicale et paramédicale pour favoriser une réappropriation soignante de la clinique et de l’humanisme. [article]
in Sexologies > vol.28 n°4 (octobe decembre 2019) . - p.171-176
Titre : Disruptions en santé sexuelle : clinique, Evidence Based Medicine (EBM) ou intelligence artificielle (IA) ? Type de document : revue Auteurs : P. Bondil, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.171-176 Langues : Français Mots-clés : clinique
EBM evidence based medicine
humanisme
IA intelligence artificielle
santé sexuelleRésumé : En passant d’un statut d’outil à celui d’un nouveau mode de travail, l’Evidence Based Medicine (EBM) et l’intelligence artificielle (IA) sont à l’origine de disruptions majeures dans le monde de la santé, y compris sexuelle. Plusieurs disruptions la concernent : (1) s’en préoccuper peut améliorer la qualité mais aussi la quantité de vie des malades chroniques, (2) le concept de santé sexuelle positive doit être développé et favorisé, (3) la santé sexuelle contribue à restaurer la clinique et l’humanisme inhérents à la culture soignante. Nouveau déterminant de santé, de bien-être et de qualité de vie, elle doit être désormais intégrée dans les parcours de soins et de vie des malades chroniques pour répondre à leurs besoins émotionnels et médicaux, et à deux priorités de santé publique : réduire les inégalités de soins et améliorer leur pertinence. Une majorité de malades souhaite préserver ou récupérer ce facilitateur de lien social et de résilience mais la réponse soignante est globalement insuffisante. Le manque de connaissances et les idées reçues expliquent le défaut d’appropriation de la santé sexuelle et de ses troubles par les professionnels de santé. Malgré l’apport indéniable de l’EBM et de l’IA, la clinique, meilleur moyen jusqu’à présent pour les évaluer, reste primordiale pour atteindre l’objectif majeur des soins « centrés sur la personne » : concilier le « cure » (capacité de guérir/relation technique) et le « care » (capacité de prendre soin d’autrui/relation humaine). Prendre en compte la santé sexuelle et ses disruptions, en cours ou à venir, dans les parcours de soins devient une obligation déontologique pour se recentrer sur les fondamentaux éthiques de la médecine soignant une personne, en respectant son autonomie et sa dignité. Dans ce but, la sexologie doit devenir une compétence transdisciplinaire médicale et paramédicale pour favoriser une réappropriation soignante de la clinique et de l’humanisme. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032873 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les érections priapiformes : que doit savoir et faire un sexologue ? / P. Bondil in Sexologies, vol.29 n°3 (juillet septembre 2020)
[article] Les érections priapiformes : que doit savoir et faire un sexologue ? [revue] / P. Bondil, Auteur ; d. Carnicelli, Auteur . - 2020 . - p.137-145.
Langues : Français
in Sexologies > vol.29 n°3 (juillet septembre 2020) . - p.137-145
Mots-clés : étiologie
physiopathologie
priapisme
sexologue
traitementRésumé : Quoique rarement confronté, le sexologue doit savoir qu’une érection « priapiforme », c’est-à-dire, consciente supérieure à 15minutes hors tout contexte sexuel, est anormale et devient potentiellement dangereuse après une heure. Jusqu’à preuve du contraire, c’est une urgence thérapeutique en raison du risque de séquelles érectiles (si non traité avant la 24e heure) spécifique au type veineux aigu (95 % des cas). Les trois points-clé du traitement sont de préciser la durée, le mécanisme physiopathologique et l’étiologie. Dans la majorité des cas, la clinique et, si besoin, la gazométrie distinguent le type veineux chronique, subaigu ou aigu (le plus dangereux) du rarissime type artériel. Le traitement est toujours adapté au type artériel ou veineux et à la souffrance hypoxique (rôle de la gazométrie). Pour le type veineux aigu, le traitement médical est quasi toujours efficace avant la 24e heure. La chirurgie n’est indiquée qu’en cas d’échec du traitement médical ou de cas vus après la 24e heure. Le sexologue peut être en 1re ligne en cas de priapisme veineux chronique ou surtout, subaigu provoqué par une injection intracaverneuse de médicaments proérectiles. Après avoir évalué le degré d’urgence, il ne doit pas hésiter à démarrer le traitement médical de 1re ligne avant de l’adresser, si besoin, aux urgences ou à l’urologue. De fait, la meilleure prévention des séquelles érectiles postpriapisme passe par la sensibilisation des professionnels de santé et des sujets à risque concernés à ces dangers ainsi que par le traitement précoce des érections priapiformes. [article]
in Sexologies > vol.29 n°3 (juillet septembre 2020) . - p.137-145
Titre : Les érections priapiformes : que doit savoir et faire un sexologue ? Type de document : revue Auteurs : P. Bondil, Auteur ; d. Carnicelli, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.137-145 Langues : Français Mots-clés : étiologie
physiopathologie
priapisme
sexologue
traitementRésumé : Quoique rarement confronté, le sexologue doit savoir qu’une érection « priapiforme », c’est-à-dire, consciente supérieure à 15minutes hors tout contexte sexuel, est anormale et devient potentiellement dangereuse après une heure. Jusqu’à preuve du contraire, c’est une urgence thérapeutique en raison du risque de séquelles érectiles (si non traité avant la 24e heure) spécifique au type veineux aigu (95 % des cas). Les trois points-clé du traitement sont de préciser la durée, le mécanisme physiopathologique et l’étiologie. Dans la majorité des cas, la clinique et, si besoin, la gazométrie distinguent le type veineux chronique, subaigu ou aigu (le plus dangereux) du rarissime type artériel. Le traitement est toujours adapté au type artériel ou veineux et à la souffrance hypoxique (rôle de la gazométrie). Pour le type veineux aigu, le traitement médical est quasi toujours efficace avant la 24e heure. La chirurgie n’est indiquée qu’en cas d’échec du traitement médical ou de cas vus après la 24e heure. Le sexologue peut être en 1re ligne en cas de priapisme veineux chronique ou surtout, subaigu provoqué par une injection intracaverneuse de médicaments proérectiles. Après avoir évalué le degré d’urgence, il ne doit pas hésiter à démarrer le traitement médical de 1re ligne avant de l’adresser, si besoin, aux urgences ou à l’urologue. De fait, la meilleure prévention des séquelles érectiles postpriapisme passe par la sensibilisation des professionnels de santé et des sujets à risque concernés à ces dangers ainsi que par le traitement précoce des érections priapiformes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034471 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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