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Auteur Bernard Devalois
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Annoncer une mauvaise nouvelle en fin de vie, la bientraitance comme boussole / Bernard Devalois in l'aide soignante, vol.30 n°175 (mars 2016)
[article] Annoncer une mauvaise nouvelle en fin de vie, la bientraitance comme boussole [revue] / Bernard Devalois, Auteur ; Marion Broucke, Auteur . - 2016 . - p.24-27.
Langues : Français
in l'aide soignante > vol.30 n°175 (mars 2016) . - p.24-27
Mots-clés : accompagnement
annonce
authenticité
bientraitance
décès
soins palliatifs[article]
in l'aide soignante > vol.30 n°175 (mars 2016) . - p.24-27
Titre : Annoncer une mauvaise nouvelle en fin de vie, la bientraitance comme boussole Type de document : revue Auteurs : Bernard Devalois, Auteur ; Marion Broucke, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.24-27 Langues : Français Mots-clés : accompagnement
annonce
authenticité
bientraitance
décès
soins palliatifsExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00027855 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : analyse et commentaires / Régis Aubry in Médecine palliative, vol.15 n°3 (juin 2016)
[article] Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : analyse et commentaires [revue] / Régis Aubry, Auteur ; Louis Puybasset, Auteur ; Bernard Devalois, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.165-170.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°3 (juin 2016) . - p.165-170
Mots-clés : directive anticipée
droit du patient
fin de vie
loi
loi Claeys Leonetti
sédationRésumé : La loi no 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie renforce les droits précédents et introduit un droit nouveau. Le statut de la personne de confiance est renforcé. Les directives anticipées deviennent contraignantes mais ne sont pas opposables : elles s’imposent au médecin sauf dans trois cas : une urgence vitale, un caractère manifestement inapproprié ou une rédaction non conforme à la situation médicale du patient. Aucune durée de validité n’est exigée. Elles pourront être rédigées conformément à un modèle élaboré par la Haute Autorité de santé, qui prévoit la situation de la personne selon qu’elle se sait ou non atteinte d’une affection grave au moment où elle les rédige. Le médecin sera probablement incité à aider le patient à la rédaction de ses directives. Le « registre national » prévu dans la loi comme référence en termes de stockage, d’accessibilité et de sécurité pour les directives anticipées, pourrait être le dossier médical partagé. La loi introduit le droit à une sédation profonde et continue jusqu’au décès dans trois circonstances précises : (1) à la demande du patient lorsque son pronostic vital est engagé à court terme, lorsqu’il présente un ou des symptômes ou une souffrance impossibles à contrôler autrement que par cette sédation ; (2) à la demande du patient lorsqu’il choisit l’arrêt d’un traitement qui le maintient en vie artificiellement, cet arrêt devant engager son pronostic vital à court terme et être susceptible d’entraîner une souffrance insupportable ; (3) enfin, lorsque le patient ne peut pas exprimer sa volonté et lorsque le médecin, au terme d’une procédure collégiale, arrête un traitement de maintien en vie, au titre du refus de l’obstination déraisonnable ; la sédation profonde et continue s’impose lorsque le patient présente des signes de souffrance, ou que celle-ci ne peut être évaluée du fait de son état cérébral ou cognitif. La loi prévoit que ces pratiques s’appliquent après un contrôle a priori. Celui-ci est réalisé dans le cadre d’une procédure collégiale d’un nouveau genre. La bonne application de cette nouvelle loi dépendra largement des décrets d’application. Elle dépend aussi de la mise en place d’une véritable politique de développement des soins palliatifs et des recommandations professionnelles qui seront à réaliser. Certaines questions restent en suspens et devront faire l’objet de travaux d’approfondissement et de recherche. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°3 (juin 2016) . - p.165-170
Titre : Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : analyse et commentaires Type de document : revue Auteurs : Régis Aubry, Auteur ; Louis Puybasset, Auteur ; Bernard Devalois, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.165-170 Langues : Français Mots-clés : directive anticipée
droit du patient
fin de vie
loi
loi Claeys Leonetti
sédationRésumé : La loi no 2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie renforce les droits précédents et introduit un droit nouveau. Le statut de la personne de confiance est renforcé. Les directives anticipées deviennent contraignantes mais ne sont pas opposables : elles s’imposent au médecin sauf dans trois cas : une urgence vitale, un caractère manifestement inapproprié ou une rédaction non conforme à la situation médicale du patient. Aucune durée de validité n’est exigée. Elles pourront être rédigées conformément à un modèle élaboré par la Haute Autorité de santé, qui prévoit la situation de la personne selon qu’elle se sait ou non atteinte d’une affection grave au moment où elle les rédige. Le médecin sera probablement incité à aider le patient à la rédaction de ses directives. Le « registre national » prévu dans la loi comme référence en termes de stockage, d’accessibilité et de sécurité pour les directives anticipées, pourrait être le dossier médical partagé. La loi introduit le droit à une sédation profonde et continue jusqu’au décès dans trois circonstances précises : (1) à la demande du patient lorsque son pronostic vital est engagé à court terme, lorsqu’il présente un ou des symptômes ou une souffrance impossibles à contrôler autrement que par cette sédation ; (2) à la demande du patient lorsqu’il choisit l’arrêt d’un traitement qui le maintient en vie artificiellement, cet arrêt devant engager son pronostic vital à court terme et être susceptible d’entraîner une souffrance insupportable ; (3) enfin, lorsque le patient ne peut pas exprimer sa volonté et lorsque le médecin, au terme d’une procédure collégiale, arrête un traitement de maintien en vie, au titre du refus de l’obstination déraisonnable ; la sédation profonde et continue s’impose lorsque le patient présente des signes de souffrance, ou que celle-ci ne peut être évaluée du fait de son état cérébral ou cognitif. La loi prévoit que ces pratiques s’appliquent après un contrôle a priori. Celui-ci est réalisé dans le cadre d’une procédure collégiale d’un nouveau genre. La bonne application de cette nouvelle loi dépendra largement des décrets d’application. Elle dépend aussi de la mise en place d’une véritable politique de développement des soins palliatifs et des recommandations professionnelles qui seront à réaliser. Certaines questions restent en suspens et devront faire l’objet de travaux d’approfondissement et de recherche. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00028710 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Nutrition et hydratation artificielles en fin de vie : déconstruire les contrevérités / Marion Broucke in Soins Aides soignantes, vol.20 n°114 (septembre octobre 2023)
[article] Nutrition et hydratation artificielles en fin de vie : déconstruire les contrevérités [revue] / Marion Broucke, Auteur ; Bernard Devalois, Auteur . - 2023 . - p.18-19.
Langues : Français
in Soins Aides soignantes > vol.20 n°114 (septembre octobre 2023) . - p.18-19
Résumé : La nutrition et l’hydratation par voie entérale ou parentérale intraveineuse sont des traitements visant à maintenir en vie artificiellement les patients. Elles consistent à apporter par voie entérale ou parentérale des nutriments et/ou des apports liquidiens. Elles diffèrent des fonctions naturelles que sont l’alimentation et la boisson. Dans un contexte de fin de vie, ce sont des pratiques éthiquement discutables. Ces interventions n’améliorent pas le confort du patient. A contrario, elles s’avèrent même maltraitantes (en majorant l’inconfort). Elles peuvent être constitutives d’une obstination déraisonnable contraire à la loi française de 2016 sur la fin de vie. Note de contenu : [Dossier] Le risque de dénutrition [article]
in Soins Aides soignantes > vol.20 n°114 (septembre octobre 2023) . - p.18-19
Titre : Nutrition et hydratation artificielles en fin de vie : déconstruire les contrevérités Type de document : revue Auteurs : Marion Broucke, Auteur ; Bernard Devalois, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.18-19 Langues : Français Résumé : La nutrition et l’hydratation par voie entérale ou parentérale intraveineuse sont des traitements visant à maintenir en vie artificiellement les patients. Elles consistent à apporter par voie entérale ou parentérale des nutriments et/ou des apports liquidiens. Elles diffèrent des fonctions naturelles que sont l’alimentation et la boisson. Dans un contexte de fin de vie, ce sont des pratiques éthiquement discutables. Ces interventions n’améliorent pas le confort du patient. A contrario, elles s’avèrent même maltraitantes (en majorant l’inconfort). Elles peuvent être constitutives d’une obstination déraisonnable contraire à la loi française de 2016 sur la fin de vie. Note de contenu : [Dossier] Le risque de dénutrition Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036392 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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