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Auteur Michel Galinski
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Coup de chaleur fatal chez un homme de 38 ans / Marie Flandinette in Anesthésie & réanimation, vol.4 n°3 (mai 2018)
[article] Coup de chaleur fatal chez un homme de 38 ans [revue] / Marie Flandinette, Auteur ; Grégoire Evrard, Auteur ; Eric Tellier, Auteur ; Cédric Gil-Jardine, Auteur ; Michel Galinski, Auteur . - 2018 . - p.254-257.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°3 (mai 2018) . - p.254-257
Mots-clés : cas clinique
coup de chaleur
hémodynamique
morbidité
mortalité
REFROIDISSEMENTRésumé : Le coup de chaleur est une urgence vitale dont le diagnostic est clinique, avec une augmentation de la température corporelle supérieure à 40°C associée à une défaillance neurologique, voire une défaillance multiviscérale. C’est un enjeu de santé publique, entraînant un taux non négligeable de mortalité et de morbidité neurologique évitable. La prise en charge doit être débutée le plus précocement possible avec trois axes de prises en charge : le refroidissement corporel inférieur à 39°C le plus rapidement possible, le maintien de l’hémodynamique et le traitement symptomatique des défaillances organiques. Diverses techniques de refroidissement sont possibles selon les ressources disponibles. Aucune technique n’a fait preuve de sa supériorité par rapport à une autre. Ainsi, le refroidissement peut être effectué par conduction (application de glace sur les axes vasculaires, immersion dans de l’eau glacée, lavage gastrique, dialyse et perfusion de solutés glacés, circulation extracorporelle), par convection et évaporation (climatisation, vaporisation d’eau fraîche, ventilateur). Concernant les substances pharmaceutiques, le dantrolène sodique n’a pas d’indication dans le coup de chaleur, le paracétamol et l’acide acétylsalicylique doivent être évités. Le support de l’hémodynamique est adapté au patient et l’utilisation d’amines vasopressives peut s’avérer nécessaire. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.4 n°3 (mai 2018) . - p.254-257
Titre : Coup de chaleur fatal chez un homme de 38 ans Type de document : revue Auteurs : Marie Flandinette, Auteur ; Grégoire Evrard, Auteur ; Eric Tellier, Auteur ; Cédric Gil-Jardine, Auteur ; Michel Galinski, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.254-257 Langues : Français Mots-clés : cas clinique
coup de chaleur
hémodynamique
morbidité
mortalité
REFROIDISSEMENTRésumé : Le coup de chaleur est une urgence vitale dont le diagnostic est clinique, avec une augmentation de la température corporelle supérieure à 40°C associée à une défaillance neurologique, voire une défaillance multiviscérale. C’est un enjeu de santé publique, entraînant un taux non négligeable de mortalité et de morbidité neurologique évitable. La prise en charge doit être débutée le plus précocement possible avec trois axes de prises en charge : le refroidissement corporel inférieur à 39°C le plus rapidement possible, le maintien de l’hémodynamique et le traitement symptomatique des défaillances organiques. Diverses techniques de refroidissement sont possibles selon les ressources disponibles. Aucune technique n’a fait preuve de sa supériorité par rapport à une autre. Ainsi, le refroidissement peut être effectué par conduction (application de glace sur les axes vasculaires, immersion dans de l’eau glacée, lavage gastrique, dialyse et perfusion de solutés glacés, circulation extracorporelle), par convection et évaporation (climatisation, vaporisation d’eau fraîche, ventilateur). Concernant les substances pharmaceutiques, le dantrolène sodique n’a pas d’indication dans le coup de chaleur, le paracétamol et l’acide acétylsalicylique doivent être évités. Le support de l’hémodynamique est adapté au patient et l’utilisation d’amines vasopressives peut s’avérer nécessaire. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031935 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Particularités de la prise en charge des patients douloureux chronique aux urgences / Michel Galinski in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.23 n°1 (février 2022)
[article] Particularités de la prise en charge des patients douloureux chronique aux urgences [revue] / Michel Galinski, Auteur ; Cédric Gil-Jardine, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur . - 2022 . - p.31-36.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.23 n°1 (février 2022) . - p.31-36
Résumé : À peu près 30 % des patients admis aux urgences ont une douloureux chronique (DC). Parmi ceux-ci, 20 à 30 % ont pour motif d’admission une douleur en rapport avec leur douleur habituelle, soit 10 % des patients des urgences. L’objectif du présent article est de mettre en avant cette pathologie peu connue des urgentistes bien que fréquente et de proposer des modalités de prise en charge. Celle-ci admet 2 limites principales dans ce contexte. La première est le faible niveau de connaissance de ces pathologies par les urgentistes, le second est le temps limité pour s’en occuper. La DC est maintenant reconnue comme maladie à part entière et comprend 1 sous-groupe de DC primaires et 6, de DC secondaires, dont les douleurs cancéreuses. Elle est présente dans la CIM-11depuis 2018. Lors de la prise en charge, s’il s’agit d’une DC non cancéreuse, la stratégie est basée sur la recherche d’éléments de décompensation d’ordre thérapeutique, psychologique, de perte de contrôle de la gestion de la douleur. S’il s’agit d’une DC cancéreuse, il faut éliminer une urgence carcinologique puis rechercher des accès paroxystiques douloureux ou une augmentation des besoins en antalgique. En conclusion, la douleur chronique est une pathologie fréquente aux urgences et 10 % des patients des urgences vient pour leur douleur habituelle. Étant donné le volume de patients admis chaque année aux urgences cela représente un nombre absolu non négligeable. On se doit d’être attentif aux causes possibles d’une aggravation de la douleur chronique notamment chez les patients cancéreux. Globalement il est clair que les médecins urgentistes ne sont pas encore bien familiarisés avec ces pathologies. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.23 n°1 (février 2022) . - p.31-36
Titre : Particularités de la prise en charge des patients douloureux chronique aux urgences Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur ; Cédric Gil-Jardine, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.31-36 Langues : Français Résumé : À peu près 30 % des patients admis aux urgences ont une douloureux chronique (DC). Parmi ceux-ci, 20 à 30 % ont pour motif d’admission une douleur en rapport avec leur douleur habituelle, soit 10 % des patients des urgences. L’objectif du présent article est de mettre en avant cette pathologie peu connue des urgentistes bien que fréquente et de proposer des modalités de prise en charge. Celle-ci admet 2 limites principales dans ce contexte. La première est le faible niveau de connaissance de ces pathologies par les urgentistes, le second est le temps limité pour s’en occuper. La DC est maintenant reconnue comme maladie à part entière et comprend 1 sous-groupe de DC primaires et 6, de DC secondaires, dont les douleurs cancéreuses. Elle est présente dans la CIM-11depuis 2018. Lors de la prise en charge, s’il s’agit d’une DC non cancéreuse, la stratégie est basée sur la recherche d’éléments de décompensation d’ordre thérapeutique, psychologique, de perte de contrôle de la gestion de la douleur. S’il s’agit d’une DC cancéreuse, il faut éliminer une urgence carcinologique puis rechercher des accès paroxystiques douloureux ou une augmentation des besoins en antalgique. En conclusion, la douleur chronique est une pathologie fréquente aux urgences et 10 % des patients des urgences vient pour leur douleur habituelle. Étant donné le volume de patients admis chaque année aux urgences cela représente un nombre absolu non négligeable. On se doit d’être attentif aux causes possibles d’une aggravation de la douleur chronique notamment chez les patients cancéreux. Globalement il est clair que les médecins urgentistes ne sont pas encore bien familiarisés avec ces pathologies. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035662 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Place des opioïdes forts aux urgences / Michel Galinski in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] Place des opioïdes forts aux urgences [revue] / Michel Galinski, Auteur ; Charles Grégoire, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur . - 2024 . - p.196-201.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.196-201
Résumé : Aux urgences, la douleur aiguë concerne 70 % des admissions et parmi celles-ci, 45 % sont des douleurs sévères. Dans ce contexte, les opioïdes forts ont une place prépondérante dans la stratégie de prise en charge (morphine). Cependant, cette place a été quelque peu bousculée depuis quelques années. La crise des opioïdes aux États-Unis a fait prendre conscience de la non-innocuité des opioïdes dans la douleur aiguë et a engendré de nombreux travaux dont les résultats nous profitent. Un des résultats les plus intéressants pour les urgences, c’est l’évaluation du risque de mésusage avant les prescriptions de relais morphiniques au sortir des urgences. D’autres travaux ont bousculé la hiérarchie démontrant clairement que les non-opioïdes pouvaient être aussi efficaces que les opioïdes mettant un terme du même coup à la notion de palier d’antalgique. Il faut cependant rappeler que la prescription d’opioïdes forts reste encore faible dans les urgences françaises. Ceci pose la question des éléments qui freinent ces prescriptions comme le refus d’antalgique par le patient, l’opiophobie des soignants, la ré-interprétation par les soignants des évaluations et la nécessité de surveiller, dans des urgences saturées, l’administration d’opioïdes forts. Enfin, les modalités d’administration des opioïdes se sont élargies avec la démonstration de l’efficacité de la morphine nébulisée par aérosol et du sufentanil par voie intranasale. Finalement, les opioïdes forts restent pertinents en première intention, lorsqu’ils sont prescrits en cas de douleur sévère dont l’étiologie n’est pas encore connue, en contre-indications aux AINS, ou lorsqu’elle est associée à certaines pathologies bien identifiées. En 2e intention ils concernent les douleurs intenses ou sévères après échec des non-opioïdes. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.196-201
Titre : Place des opioïdes forts aux urgences Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur ; Charles Grégoire, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.196-201 Langues : Français Résumé : Aux urgences, la douleur aiguë concerne 70 % des admissions et parmi celles-ci, 45 % sont des douleurs sévères. Dans ce contexte, les opioïdes forts ont une place prépondérante dans la stratégie de prise en charge (morphine). Cependant, cette place a été quelque peu bousculée depuis quelques années. La crise des opioïdes aux États-Unis a fait prendre conscience de la non-innocuité des opioïdes dans la douleur aiguë et a engendré de nombreux travaux dont les résultats nous profitent. Un des résultats les plus intéressants pour les urgences, c’est l’évaluation du risque de mésusage avant les prescriptions de relais morphiniques au sortir des urgences. D’autres travaux ont bousculé la hiérarchie démontrant clairement que les non-opioïdes pouvaient être aussi efficaces que les opioïdes mettant un terme du même coup à la notion de palier d’antalgique. Il faut cependant rappeler que la prescription d’opioïdes forts reste encore faible dans les urgences françaises. Ceci pose la question des éléments qui freinent ces prescriptions comme le refus d’antalgique par le patient, l’opiophobie des soignants, la ré-interprétation par les soignants des évaluations et la nécessité de surveiller, dans des urgences saturées, l’administration d’opioïdes forts. Enfin, les modalités d’administration des opioïdes se sont élargies avec la démonstration de l’efficacité de la morphine nébulisée par aérosol et du sufentanil par voie intranasale. Finalement, les opioïdes forts restent pertinents en première intention, lorsqu’ils sont prescrits en cas de douleur sévère dont l’étiologie n’est pas encore connue, en contre-indications aux AINS, ou lorsqu’elle est associée à certaines pathologies bien identifiées. En 2e intention ils concernent les douleurs intenses ou sévères après échec des non-opioïdes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte / Michel Galinski in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.21 n°2 (avril 2020)
[article] Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte [revue] / Michel Galinski, Auteur . - 2020 . - p.64-71.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.64-71
Mots-clés : douleur
évaluation
multimodalité
urgenceRésumé : En médecine d’urgence, la douleur aiguë est une réalité qui concerne la majorité des patients. Il est admis que sa prise en charge est prioritaire du fait de ses effets potentiellement délétères. Cette prise en charge doit être individualisée, c’est-à-dire, adaptée à la douleur, au patient et à la pathologie causale. L’évaluation de la douleur et la mesure de son intensité sont indispensables à une bonne prise en charge mais doivent être adaptées à chaque patient. La prise en charge de la douleur repose sur la multimodalité, utilisant des moyens pharmacologiques et non pharmacologiques avec notamment un accompagnement et une attitude empathique du soignant. La morphine est un antalgique majeur dont l’utilisation pourrait être davantage étendue moyennant des procédures précises et une formation adéquate des soignants. Par ailleurs, les douleurs des soins et des gestes doivent être anticipés. Certains gestes nécessitent une réelle sédation qui doit être parfaitement maîtrisée par les équipes soignantes afin de limiter le risque d’effets indésirables. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.64-71
Titre : Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.64-71 Langues : Français Mots-clés : douleur
évaluation
multimodalité
urgenceRésumé : En médecine d’urgence, la douleur aiguë est une réalité qui concerne la majorité des patients. Il est admis que sa prise en charge est prioritaire du fait de ses effets potentiellement délétères. Cette prise en charge doit être individualisée, c’est-à-dire, adaptée à la douleur, au patient et à la pathologie causale. L’évaluation de la douleur et la mesure de son intensité sont indispensables à une bonne prise en charge mais doivent être adaptées à chaque patient. La prise en charge de la douleur repose sur la multimodalité, utilisant des moyens pharmacologiques et non pharmacologiques avec notamment un accompagnement et une attitude empathique du soignant. La morphine est un antalgique majeur dont l’utilisation pourrait être davantage étendue moyennant des procédures précises et une formation adéquate des soignants. Par ailleurs, les douleurs des soins et des gestes doivent être anticipés. Certains gestes nécessitent une réelle sédation qui doit être parfaitement maîtrisée par les équipes soignantes afin de limiter le risque d’effets indésirables. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034365 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Réduire les douleurs provoquées par les gestes en situation d'urgence / Michel Galinski in Oxymag, n°142 (mai juin 2015)
[article] Réduire les douleurs provoquées par les gestes en situation d'urgence [revue] / Michel Galinski, Auteur . - 2015 . - p.24-27.
Langues : Français
in Oxymag > n°142 (mai juin 2015) . - p.24-27
Mots-clés : douleur
évaluation
patient
sédation
urgence[article]
in Oxymag > n°142 (mai juin 2015) . - p.24-27
Titre : Réduire les douleurs provoquées par les gestes en situation d'urgence Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.24-27 Langues : Français Mots-clés : douleur
évaluation
patient
sédation
urgenceExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00024873 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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