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Douleurs évaluation diagnostic Traitement . vol.25 n°4Mention de date : septembre 2024Paru le : 01/07/2024 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe syndrome douloureux post-mastectomie / Régis Fuzier in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] Le syndrome douloureux post-mastectomie [revue] / Régis Fuzier, Auteur ; Geneviève Salvignol, Auteur ; Audrey Eche-Gass, Auteur . - 2024 . - p.189-195.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.189-195
Résumé : Le syndrome douloureux post-mastectomie présente plusieurs définitions. Selon l’IASP, il s’agit d’une douleur chronique concernant la partie antérieure du thorax, le creux axillaire et/ou la moitié supérieure du bas survenant après une mastectomie et persistante plus de 3 mois après la chirurgie. La prévalence se situerait aux alentours de 35 % toutes douleurs confondues et 20 % pour les douleurs modérées à sévères. Les principaux facteurs de risque comprennent les lésions des nerfs du thorax et du creux axillaire (lésion directe, compression par hématome ou cicatrice), la réalisation d’un curage axillaire et une prise en charge inadéquate de la douleur en postopératoire. Plusieurs thérapeutiques ont montré leur efficacité sans qu’il ne soit possible de définir une stratégie unique : lipomodelage, excision du névrome, transplantation de ganglions lymphatiques, bloc paravertébral, radiofréquence, injection de corticoïdes, laser à haute intensité, antidépresseurs, gabapentine, capsaïcine, kinésithérapie, thérapie cognitive. Une mauvaise prise en charge de la douleur au cours des 72heures postopératoires multiplie par 5 le risque de développer une douleur chronique. Les techniques d’analgésie locorégionale ont montré leur efficacité dans la maîtrise de la douleur postopératoire. D’autres thérapies semblent également prometteuses en périopératoires (association prégabaline orale et esketamine notamment). Dans tous les cas, il est à privilégier une approche multidisciplinaire, plus efficace qu’un traitement médical standard. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.189-195
Titre : Le syndrome douloureux post-mastectomie Type de document : revue Auteurs : Régis Fuzier, Auteur ; Geneviève Salvignol, Auteur ; Audrey Eche-Gass, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.189-195 Langues : Français Résumé : Le syndrome douloureux post-mastectomie présente plusieurs définitions. Selon l’IASP, il s’agit d’une douleur chronique concernant la partie antérieure du thorax, le creux axillaire et/ou la moitié supérieure du bas survenant après une mastectomie et persistante plus de 3 mois après la chirurgie. La prévalence se situerait aux alentours de 35 % toutes douleurs confondues et 20 % pour les douleurs modérées à sévères. Les principaux facteurs de risque comprennent les lésions des nerfs du thorax et du creux axillaire (lésion directe, compression par hématome ou cicatrice), la réalisation d’un curage axillaire et une prise en charge inadéquate de la douleur en postopératoire. Plusieurs thérapeutiques ont montré leur efficacité sans qu’il ne soit possible de définir une stratégie unique : lipomodelage, excision du névrome, transplantation de ganglions lymphatiques, bloc paravertébral, radiofréquence, injection de corticoïdes, laser à haute intensité, antidépresseurs, gabapentine, capsaïcine, kinésithérapie, thérapie cognitive. Une mauvaise prise en charge de la douleur au cours des 72heures postopératoires multiplie par 5 le risque de développer une douleur chronique. Les techniques d’analgésie locorégionale ont montré leur efficacité dans la maîtrise de la douleur postopératoire. D’autres thérapies semblent également prometteuses en périopératoires (association prégabaline orale et esketamine notamment). Dans tous les cas, il est à privilégier une approche multidisciplinaire, plus efficace qu’un traitement médical standard. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Place des opioïdes forts aux urgences / Michel Galinski in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] Place des opioïdes forts aux urgences [revue] / Michel Galinski, Auteur ; Charles Grégoire, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur . - 2024 . - p.196-201.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.196-201
Résumé : Aux urgences, la douleur aiguë concerne 70 % des admissions et parmi celles-ci, 45 % sont des douleurs sévères. Dans ce contexte, les opioïdes forts ont une place prépondérante dans la stratégie de prise en charge (morphine). Cependant, cette place a été quelque peu bousculée depuis quelques années. La crise des opioïdes aux États-Unis a fait prendre conscience de la non-innocuité des opioïdes dans la douleur aiguë et a engendré de nombreux travaux dont les résultats nous profitent. Un des résultats les plus intéressants pour les urgences, c’est l’évaluation du risque de mésusage avant les prescriptions de relais morphiniques au sortir des urgences. D’autres travaux ont bousculé la hiérarchie démontrant clairement que les non-opioïdes pouvaient être aussi efficaces que les opioïdes mettant un terme du même coup à la notion de palier d’antalgique. Il faut cependant rappeler que la prescription d’opioïdes forts reste encore faible dans les urgences françaises. Ceci pose la question des éléments qui freinent ces prescriptions comme le refus d’antalgique par le patient, l’opiophobie des soignants, la ré-interprétation par les soignants des évaluations et la nécessité de surveiller, dans des urgences saturées, l’administration d’opioïdes forts. Enfin, les modalités d’administration des opioïdes se sont élargies avec la démonstration de l’efficacité de la morphine nébulisée par aérosol et du sufentanil par voie intranasale. Finalement, les opioïdes forts restent pertinents en première intention, lorsqu’ils sont prescrits en cas de douleur sévère dont l’étiologie n’est pas encore connue, en contre-indications aux AINS, ou lorsqu’elle est associée à certaines pathologies bien identifiées. En 2e intention ils concernent les douleurs intenses ou sévères après échec des non-opioïdes. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.196-201
Titre : Place des opioïdes forts aux urgences Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur ; Charles Grégoire, Auteur ; Fabien Lemoel, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.196-201 Langues : Français Résumé : Aux urgences, la douleur aiguë concerne 70 % des admissions et parmi celles-ci, 45 % sont des douleurs sévères. Dans ce contexte, les opioïdes forts ont une place prépondérante dans la stratégie de prise en charge (morphine). Cependant, cette place a été quelque peu bousculée depuis quelques années. La crise des opioïdes aux États-Unis a fait prendre conscience de la non-innocuité des opioïdes dans la douleur aiguë et a engendré de nombreux travaux dont les résultats nous profitent. Un des résultats les plus intéressants pour les urgences, c’est l’évaluation du risque de mésusage avant les prescriptions de relais morphiniques au sortir des urgences. D’autres travaux ont bousculé la hiérarchie démontrant clairement que les non-opioïdes pouvaient être aussi efficaces que les opioïdes mettant un terme du même coup à la notion de palier d’antalgique. Il faut cependant rappeler que la prescription d’opioïdes forts reste encore faible dans les urgences françaises. Ceci pose la question des éléments qui freinent ces prescriptions comme le refus d’antalgique par le patient, l’opiophobie des soignants, la ré-interprétation par les soignants des évaluations et la nécessité de surveiller, dans des urgences saturées, l’administration d’opioïdes forts. Enfin, les modalités d’administration des opioïdes se sont élargies avec la démonstration de l’efficacité de la morphine nébulisée par aérosol et du sufentanil par voie intranasale. Finalement, les opioïdes forts restent pertinents en première intention, lorsqu’ils sont prescrits en cas de douleur sévère dont l’étiologie n’est pas encore connue, en contre-indications aux AINS, ou lorsqu’elle est associée à certaines pathologies bien identifiées. En 2e intention ils concernent les douleurs intenses ou sévères après échec des non-opioïdes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible À l’écoute des adolescentes atteintes de dysménorrhées sévères : DEMETER, une étude qualitative innovante pour mieux les accompagner / Agnès Suc in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] À l’écoute des adolescentes atteintes de dysménorrhées sévères : DEMETER, une étude qualitative innovante pour mieux les accompagner [revue] / Agnès Suc, Auteur ; Antoine Stocker, Auteur ; Emilie Leroy, Auteur . - 2024 . - p.202-211.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.202-211
Résumé : Le centre d’évaluation et de traitement de la douleur pédiatrique est amené à recevoir de plus en plus d’adolescentes souffrant de dysménorrhée invalidante et résistante aux traitements. Un diagnostic d’endométriose sera finalement posé pour une partie de ces jeunes filles mais souvent avec un délai pouvant aller de plusieurs mois à plusieurs années. Pour ces adolescentes, ce délai se traduit souvent par une errance et une défiance vis-à-vis du personnel soignant dues à des expériences négatives répétées avec les professionnels de santé. Il est donc essentiel de comprendre les patientes adolescentes et leurs familles pour établir un partenariat médical solide, proposer une prise en charge adéquate de la douleur et, si nécessaire, entreprendre des examens complémentaires. Nous avons donc réuni une équipe pluridisciplinaire (spécialistes de la douleur pédiatrique, gynécologues pédiatres, chirurgien gynécologue pour adultes et spécialistes en sciences sociales et cognitives) pour développer DEMETER (Dysmenorrhea Exploration in Teenagers and Caregivers), une étude qualitative innovante conçue pour fournir une connaissance immersive des expériences et des représentations des adolescentes souffrant de dysménorrhée sévère, de leurs familles et des professionnels de santé qui les prennent en charge. Cinq focus group distincts ont été organisés : deux avec 10 adolescentes souffrant de dysménorrhée sévère (14–17ans, M 15,2), deux avec 5 parents et un avec 7 professionnels de la santé de divers horizons. Les données ont été analysées à l’aide de la méthodologie d’analyse thématique, en utilisant le logiciel d’analyse qualitative NVivo. Cette analyse a permis de dégager cinq grands constats : 1. Les adolescentes font état de manifestations douloureuses pléiomorphes mais avec un retentissement majeur sur leur qualité de vie et sur l’équilibre socioprofessionnel de toute la famille ; 2. Décrire les douleurs et reconnaître leur caractère anormal est un enjeu majeur ; 3. La gestion de la douleur est complexe et nécessite tout un arsenal thérapeutique avec des résultats souvent décevants ; 4. Des expériences traumatiques (violences, abus) sont décrites et il est indispensable de réfléchir à la manière d’aborder de façon systématique la sexualité normale et pathologique de ces adolescentes ; 5. Les représentations négatives des professionnels de santé sont un frein à la prise en charge alors que la mobilisation parentale est un levier. Ce travail pluridisciplinaire fondé sur l’écoute des adolescentes et de leurs familles a montré qu’il est essentiel, avant, entre et pendant les consultations médicales, de donner aux adolescentes et aux familles les moyens de décrire pleinement la nature et l’impact des douleurs liées aux menstruations et de suivre ces douleurs sur le long terme. Nos constats valident l’intérêt de la structuration d’un parcours spécifique pour les adolescentes suspectes d’endométriose. L’élargissement et la diffusion des connaissances sur cette pathologie et les besoins de ces adolescentes permettraient également d’améliorer significativement leur qualité de vie. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.202-211
Titre : À l’écoute des adolescentes atteintes de dysménorrhées sévères : DEMETER, une étude qualitative innovante pour mieux les accompagner Type de document : revue Auteurs : Agnès Suc, Auteur ; Antoine Stocker, Auteur ; Emilie Leroy, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.202-211 Langues : Français Résumé : Le centre d’évaluation et de traitement de la douleur pédiatrique est amené à recevoir de plus en plus d’adolescentes souffrant de dysménorrhée invalidante et résistante aux traitements. Un diagnostic d’endométriose sera finalement posé pour une partie de ces jeunes filles mais souvent avec un délai pouvant aller de plusieurs mois à plusieurs années. Pour ces adolescentes, ce délai se traduit souvent par une errance et une défiance vis-à-vis du personnel soignant dues à des expériences négatives répétées avec les professionnels de santé. Il est donc essentiel de comprendre les patientes adolescentes et leurs familles pour établir un partenariat médical solide, proposer une prise en charge adéquate de la douleur et, si nécessaire, entreprendre des examens complémentaires. Nous avons donc réuni une équipe pluridisciplinaire (spécialistes de la douleur pédiatrique, gynécologues pédiatres, chirurgien gynécologue pour adultes et spécialistes en sciences sociales et cognitives) pour développer DEMETER (Dysmenorrhea Exploration in Teenagers and Caregivers), une étude qualitative innovante conçue pour fournir une connaissance immersive des expériences et des représentations des adolescentes souffrant de dysménorrhée sévère, de leurs familles et des professionnels de santé qui les prennent en charge. Cinq focus group distincts ont été organisés : deux avec 10 adolescentes souffrant de dysménorrhée sévère (14–17ans, M 15,2), deux avec 5 parents et un avec 7 professionnels de la santé de divers horizons. Les données ont été analysées à l’aide de la méthodologie d’analyse thématique, en utilisant le logiciel d’analyse qualitative NVivo. Cette analyse a permis de dégager cinq grands constats : 1. Les adolescentes font état de manifestations douloureuses pléiomorphes mais avec un retentissement majeur sur leur qualité de vie et sur l’équilibre socioprofessionnel de toute la famille ; 2. Décrire les douleurs et reconnaître leur caractère anormal est un enjeu majeur ; 3. La gestion de la douleur est complexe et nécessite tout un arsenal thérapeutique avec des résultats souvent décevants ; 4. Des expériences traumatiques (violences, abus) sont décrites et il est indispensable de réfléchir à la manière d’aborder de façon systématique la sexualité normale et pathologique de ces adolescentes ; 5. Les représentations négatives des professionnels de santé sont un frein à la prise en charge alors que la mobilisation parentale est un levier. Ce travail pluridisciplinaire fondé sur l’écoute des adolescentes et de leurs familles a montré qu’il est essentiel, avant, entre et pendant les consultations médicales, de donner aux adolescentes et aux familles les moyens de décrire pleinement la nature et l’impact des douleurs liées aux menstruations et de suivre ces douleurs sur le long terme. Nos constats valident l’intérêt de la structuration d’un parcours spécifique pour les adolescentes suspectes d’endométriose. L’élargissement et la diffusion des connaissances sur cette pathologie et les besoins de ces adolescentes permettraient également d’améliorer significativement leur qualité de vie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Cognizance of chronic orofacial pain among dental practitioners in Mysuru, India / Sanjay Chikkarasinakere Jogigowda in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] Cognizance of chronic orofacial pain among dental practitioners in Mysuru, India [revue] / Sanjay Chikkarasinakere Jogigowda, Auteur ; Karthikeya Patil, Auteur ; Barsha Bhardwaj, Auteur . - 2024 . - p.212-219.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.212-219
Résumé : Orofacial pain, often known as OFP, is a distinct category of dental problems that focuses on the prevention, evaluation, diagnosis, treatment, and rehabilitation of nonodontogenic disorders that manifest in the head and neck region. General dental practitioners (GDPs) and dental specialists other than oral medicine personnel are expected to have the certain level of knowledge and clinical abilities required to diagnose the OFP followed by the best practise treatment technique for addressing the patient's major complaint and relieving symptoms.
Novelty: this study is unique in the medical literature because it focuses on registered general dentists in Mysuru with varying practice experience.
In this study, a self-designed, pretested, and validated online structured questionnaire covering all components of knowledge required for OFP is used.
Outcome: this study clearly gives the evidence that a sincere need is necessary to emphasize the general dental practitioners lacked sufficient knowledge in deciphering persistent orofacial pain and suggests for greater emphasis on OFP courses in dentistry school in order to prepare future dentists, also continued dental education programs for the practicing dentists.[article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.212-219
Titre : Cognizance of chronic orofacial pain among dental practitioners in Mysuru, India Type de document : revue Auteurs : Sanjay Chikkarasinakere Jogigowda, Auteur ; Karthikeya Patil, Auteur ; Barsha Bhardwaj, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.212-219 Langues : Français Résumé : Orofacial pain, often known as OFP, is a distinct category of dental problems that focuses on the prevention, evaluation, diagnosis, treatment, and rehabilitation of nonodontogenic disorders that manifest in the head and neck region. General dental practitioners (GDPs) and dental specialists other than oral medicine personnel are expected to have the certain level of knowledge and clinical abilities required to diagnose the OFP followed by the best practise treatment technique for addressing the patient's major complaint and relieving symptoms.
Novelty: this study is unique in the medical literature because it focuses on registered general dentists in Mysuru with varying practice experience.
In this study, a self-designed, pretested, and validated online structured questionnaire covering all components of knowledge required for OFP is used.
Outcome: this study clearly gives the evidence that a sincere need is necessary to emphasize the general dental practitioners lacked sufficient knowledge in deciphering persistent orofacial pain and suggests for greater emphasis on OFP courses in dentistry school in order to prepare future dentists, also continued dental education programs for the practicing dentists.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Place de la toxine botulique A dans la prise en charge thérapeutique des douleurs orofaciales myofasciales chroniques : à propos d’un cas clinique / Noura Chefaa in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.25 n°4 (septembre 2024)
[article] Place de la toxine botulique A dans la prise en charge thérapeutique des douleurs orofaciales myofasciales chroniques : à propos d’un cas clinique [revue] / Noura Chefaa, Auteur ; Mohammed Nassih, Auteur ; Nadia Merzouk, Auteur . - 2024 . - p.220-225.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.220-225
Résumé : La toxine botulique A est une neurotoxine synthétisée par une bactérie anaérobie : Clostridium botulinum . L’injection de cette substance dans les muscles masticateurs permet de rétablir une fonction musculaire équilibrée, une cinétique mandibulaire normale et une diminution des surcharges au niveau des articulations temporomandibulaires. Plusieurs études effectuées auprès de patients atteints de douleurs orofaciales myofasciales chroniques révèlent une diminution significative de la symptomatologie douloureuse et une amélioration de la qualité de vie suite à l’injection de cette toxine. À travers une revue récente de la littérature et la présentation d’un cas clinique, nous discuterons de l’intérêt et de la place de cette substance, dans la prise en charge thérapeutique des douleurs orofaciales myofasciales chroniques. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.25 n°4 (septembre 2024) . - p.220-225
Titre : Place de la toxine botulique A dans la prise en charge thérapeutique des douleurs orofaciales myofasciales chroniques : à propos d’un cas clinique Type de document : revue Auteurs : Noura Chefaa, Auteur ; Mohammed Nassih, Auteur ; Nadia Merzouk, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.220-225 Langues : Français Résumé : La toxine botulique A est une neurotoxine synthétisée par une bactérie anaérobie : Clostridium botulinum . L’injection de cette substance dans les muscles masticateurs permet de rétablir une fonction musculaire équilibrée, une cinétique mandibulaire normale et une diminution des surcharges au niveau des articulations temporomandibulaires. Plusieurs études effectuées auprès de patients atteints de douleurs orofaciales myofasciales chroniques révèlent une diminution significative de la symptomatologie douloureuse et une amélioration de la qualité de vie suite à l’injection de cette toxine. À travers une revue récente de la littérature et la présentation d’un cas clinique, nous discuterons de l’intérêt et de la place de cette substance, dans la prise en charge thérapeutique des douleurs orofaciales myofasciales chroniques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036657 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
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