Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
journal de pédiatrie et de puériculture . vol.37 n°1Mention de date : février 2024Paru le : 01/01/2024 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAlimentation sans gluten : quelles indications chez l’enfant ? / C. Girard in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Alimentation sans gluten : quelles indications chez l’enfant ? [revue] / C. Girard, Auteur ; C. Barde, Auteur ; E. Mas, Auteur . - 2024 . - p.1-7.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.1-7
Résumé : Le gluten est une protéine contenue dans différentes céréales comme le blé, le seigle et l’orge. La partie toxique de cette protéine est la gliadine. Chez certains individus génétiquement prédisposés porteurs des allèles HLA DQ2 et/ou DQ8, la gliadine va déclencher une réponse immunitaire anormale à l’origine de maladie cœliaque. La maladie cœliaque est une maladie auto-immune diagnostiquée en présence d’auto-anticorps spécifiques et d’anomalies histologiques duodénales. Il existe d’autres pathologies liées à la consommation de gluten comme l’allergie au blé et l’hypersensibilité au gluten non cœliaque. L’allergie au blé est une entité bien définie avec un mécanisme IgE dépendant, des tests diagnostiques (IgE anti-blé et prick-tests) et une prise en charge connus. Par contre, l’hypersensibilité au gluten non cœliaque est une entité d’identification plus récente, rapportée souvent par les patients en raison de leurs symptômes, sans test diagnostique spécifique ; des experts ont proposé un challenge gluten versus placebo afin de préciser les personnes dont les troubles intestinaux et extra-intestinaux pourraient être améliorés par une alimentation sans gluten (ASG). Une ASG est indiquée dans la maladie cœliaque, à vie. Dans l’allergie au blé, elle est stricte mais l’allergie disparaît souvent chez l’enfant d’âge scolaire, permettant une réintroduction. Pour l’hypersensibilité au gluten non cœliaque, cette alimentation pourrait être moins stricte et transitoire. L’ASG et/ou sans caséine est parfois réalisée chez des personnes ayant des troubles du spectre autistique (TSA). Elle pourrait être efficace pour certains d’entre eux, mais elle n’est pas à recommander pour toutes les personnes ayant un TSA. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.1-7
Titre : Alimentation sans gluten : quelles indications chez l’enfant ? Type de document : revue Auteurs : C. Girard, Auteur ; C. Barde, Auteur ; E. Mas, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.1-7 Langues : Français Résumé : Le gluten est une protéine contenue dans différentes céréales comme le blé, le seigle et l’orge. La partie toxique de cette protéine est la gliadine. Chez certains individus génétiquement prédisposés porteurs des allèles HLA DQ2 et/ou DQ8, la gliadine va déclencher une réponse immunitaire anormale à l’origine de maladie cœliaque. La maladie cœliaque est une maladie auto-immune diagnostiquée en présence d’auto-anticorps spécifiques et d’anomalies histologiques duodénales. Il existe d’autres pathologies liées à la consommation de gluten comme l’allergie au blé et l’hypersensibilité au gluten non cœliaque. L’allergie au blé est une entité bien définie avec un mécanisme IgE dépendant, des tests diagnostiques (IgE anti-blé et prick-tests) et une prise en charge connus. Par contre, l’hypersensibilité au gluten non cœliaque est une entité d’identification plus récente, rapportée souvent par les patients en raison de leurs symptômes, sans test diagnostique spécifique ; des experts ont proposé un challenge gluten versus placebo afin de préciser les personnes dont les troubles intestinaux et extra-intestinaux pourraient être améliorés par une alimentation sans gluten (ASG). Une ASG est indiquée dans la maladie cœliaque, à vie. Dans l’allergie au blé, elle est stricte mais l’allergie disparaît souvent chez l’enfant d’âge scolaire, permettant une réintroduction. Pour l’hypersensibilité au gluten non cœliaque, cette alimentation pourrait être moins stricte et transitoire. L’ASG et/ou sans caséine est parfois réalisée chez des personnes ayant des troubles du spectre autistique (TSA). Elle pourrait être efficace pour certains d’entre eux, mais elle n’est pas à recommander pour toutes les personnes ayant un TSA. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Mise en place des centres régionaux en antibiothérapie (CRAtb) : définition et rôle de ces nouveaux acteurs du bon usage en antibiothérapie en France / M.A. Bouldouyre in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Mise en place des centres régionaux en antibiothérapie (CRAtb) : définition et rôle de ces nouveaux acteurs du bon usage en antibiothérapie en France [revue] / M.A. Bouldouyre, Auteur ; B. Mollo, Auteur ; F. Stordeur, Auteur . - 2024 . - p.8-14.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.8-14
Résumé : Afin de préserver l’efficacité des antibiotiques si précieux (l’antibiorésistance étant classée parmi les 10 priorités de santé publique de l’OMS), la France a récemment mis en place des centres régionaux en antibiothérapie (ou CRAtb). Les CRAtb sont des structures publiques d’expertise et d’appui aux différents professionnels de santé, dont la mission principale est de promouvoir le bon usage en antibiothérapie au plus près du terrain : en ville (où sont prescrits 80 % des antibiotiques), dans les établissements médico-sociaux (EHPAD, FAM/MAS) et dans les établissements de santé. Adaptés à chaque région, leurs programmes se mettent en place selon un maillage autour des réseaux de ville et des équipes multidisciplinaires en antibiothérapie (ou EMA) : équipes d’infectiologie hospitalières qui vont se transformer pour s’ouvrir sur l’ensemble de leur territoire, avec un rôle de conseil clinique mais aussi d’activité stratégique en bon usage des antibiotiques (BUA). En contact avec différents acteurs et fonctionnant en réseau (R-CRAtb), les CRAtb coordonnent la stratégie régionale de bon usage en antibiothérapie, diffusent les recommandations, centralisent et promeuvent différents outils de bon usage en antibiothérapie : comme les TROD (streptocoque A ou Grippe/COVID/VRS) pour le diagnostic, les dispositifs d’aide à la prescription (logiciels type Antibioclic®, ordonnance de non-prescription de l’assurance maladie) ou les antibiogrammes ciblés. Leurs campagnes et autres actions sont orientées par les données régionales de surveillance de résistance et de consommation d’antibiotiques, et suivies sur des indicateurs. La participation des pédiatres, experts de la santé des enfants (dont la tranche d’âge 0–4 ans correspond à la première en terme de prescriptions d’antibiotiques, majoritairement par d’autres spécialistes), est extrêmement précieuse aux CRAtb, qui, de leur côté, pourront aussi soutenir et relayer leurs projets. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.8-14
Titre : Mise en place des centres régionaux en antibiothérapie (CRAtb) : définition et rôle de ces nouveaux acteurs du bon usage en antibiothérapie en France Type de document : revue Auteurs : M.A. Bouldouyre, Auteur ; B. Mollo, Auteur ; F. Stordeur, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.8-14 Langues : Français Résumé : Afin de préserver l’efficacité des antibiotiques si précieux (l’antibiorésistance étant classée parmi les 10 priorités de santé publique de l’OMS), la France a récemment mis en place des centres régionaux en antibiothérapie (ou CRAtb). Les CRAtb sont des structures publiques d’expertise et d’appui aux différents professionnels de santé, dont la mission principale est de promouvoir le bon usage en antibiothérapie au plus près du terrain : en ville (où sont prescrits 80 % des antibiotiques), dans les établissements médico-sociaux (EHPAD, FAM/MAS) et dans les établissements de santé. Adaptés à chaque région, leurs programmes se mettent en place selon un maillage autour des réseaux de ville et des équipes multidisciplinaires en antibiothérapie (ou EMA) : équipes d’infectiologie hospitalières qui vont se transformer pour s’ouvrir sur l’ensemble de leur territoire, avec un rôle de conseil clinique mais aussi d’activité stratégique en bon usage des antibiotiques (BUA). En contact avec différents acteurs et fonctionnant en réseau (R-CRAtb), les CRAtb coordonnent la stratégie régionale de bon usage en antibiothérapie, diffusent les recommandations, centralisent et promeuvent différents outils de bon usage en antibiothérapie : comme les TROD (streptocoque A ou Grippe/COVID/VRS) pour le diagnostic, les dispositifs d’aide à la prescription (logiciels type Antibioclic®, ordonnance de non-prescription de l’assurance maladie) ou les antibiogrammes ciblés. Leurs campagnes et autres actions sont orientées par les données régionales de surveillance de résistance et de consommation d’antibiotiques, et suivies sur des indicateurs. La participation des pédiatres, experts de la santé des enfants (dont la tranche d’âge 0–4 ans correspond à la première en terme de prescriptions d’antibiotiques, majoritairement par d’autres spécialistes), est extrêmement précieuse aux CRAtb, qui, de leur côté, pourront aussi soutenir et relayer leurs projets. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Freination de la myopie chez l’enfant en 2023 / F. Ernould-Huet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Freination de la myopie chez l’enfant en 2023 [revue] / F. Ernould-Huet, Auteur . - 2024 . - p.15-19.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.15-19
Résumé : La myopie évolutive de l’enfant est un sujet d’actualité. Selon les situations, des techniques de freination seront proposées telles que lunettes ou lentilles à défocus périphérique, et/ou des collyres à l’Atropine. Ces techniques sont efficaces, seules ou associées entre elles, et seront ré évaluées tous les 6 mois. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.15-19
Titre : Freination de la myopie chez l’enfant en 2023 Type de document : revue Auteurs : F. Ernould-Huet, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.15-19 Langues : Français Résumé : La myopie évolutive de l’enfant est un sujet d’actualité. Selon les situations, des techniques de freination seront proposées telles que lunettes ou lentilles à défocus périphérique, et/ou des collyres à l’Atropine. Ces techniques sont efficaces, seules ou associées entre elles, et seront ré évaluées tous les 6 mois. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Troubles du sommeil chez le nourrisson : Conduite à tenir / K. Spruyt in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Troubles du sommeil chez le nourrisson : Conduite à tenir [revue] / K. Spruyt, Auteur . - 2024 . - p.20-30.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.20-30
Résumé : L’importance du sommeil au cours des premières années de la vie ne peut être surestimée, car il s’agit de l’activité la plus cruciale pour les nourrissons. Pendant cette période critique, le développement cérébral et corporel des nourrissons dépend étroitement du sommeil pour croître, développer des compétences cognitives et s’épanouir. Cette revue narrative vise à introduire brièvement la nature du sommeil chez les nourrissons et à examiner la gestion des problèmes de sommeil courants. De nombreux facteurs, à la fois d’ordre biologique et psychosocial, peuvent contribuer aux difficultés de sommeil chez les nourrissons. Les professionnels de la santé rencontrent fréquemment des parents d’enfants qui font face à des problèmes de sommeil, tels que des difficultés d’endormissement, des réveils fréquents pendant la nuit ou des réveils trop matinaux. Étant donné que ces problèmes de sommeil semblent avoir une composante comportementale, les techniques de modification du comportement sont souvent utilisées pour les aborder. Cependant, d’autres troubles du sommeil (p.ex., respiratoire, mouvement) qui surviennent pendant la petite enfance peuvent se présenter sous forme d’insomnie, nécessitant ainsi des explications et des approches distinctes. Il est important de noter que les revues systématiques donnent des résultats variés quant à l’efficacité des interventions cognitivo-comportementales dans la résolution des problèmes de sommeil chez les nourrissons. Les traitements pharmacologiques sont rarement la première option et doivent être administrés sous surveillance médicale. Il convient de rappeler que chaque famille peut avoir ses propres préférences et croyances, quel que soit son contexte culturel. Par conséquent, il est essentiel de fournir une gamme d’interventions et de conseils pour répondre aux besoins et aux valeurs divers de tous les parents. De plus, les professionnels de la santé doivent tenir compte des circonstances uniques de chaque famille tout en dispensant des conseils et un soutien adaptés. En tant que société, nous devons assumer la responsabilité d’aider nos enfants à répondre à leurs besoins de sommeil individuels, en instaurant des horaires de travail et de vie familiale équilibrés, favorisant ainsi le développement et les aptitudes d’apprentissage de tous les enfants, quel que soit leur âge. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.20-30
Titre : Troubles du sommeil chez le nourrisson : Conduite à tenir Type de document : revue Auteurs : K. Spruyt, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.20-30 Langues : Français Résumé : L’importance du sommeil au cours des premières années de la vie ne peut être surestimée, car il s’agit de l’activité la plus cruciale pour les nourrissons. Pendant cette période critique, le développement cérébral et corporel des nourrissons dépend étroitement du sommeil pour croître, développer des compétences cognitives et s’épanouir. Cette revue narrative vise à introduire brièvement la nature du sommeil chez les nourrissons et à examiner la gestion des problèmes de sommeil courants. De nombreux facteurs, à la fois d’ordre biologique et psychosocial, peuvent contribuer aux difficultés de sommeil chez les nourrissons. Les professionnels de la santé rencontrent fréquemment des parents d’enfants qui font face à des problèmes de sommeil, tels que des difficultés d’endormissement, des réveils fréquents pendant la nuit ou des réveils trop matinaux. Étant donné que ces problèmes de sommeil semblent avoir une composante comportementale, les techniques de modification du comportement sont souvent utilisées pour les aborder. Cependant, d’autres troubles du sommeil (p.ex., respiratoire, mouvement) qui surviennent pendant la petite enfance peuvent se présenter sous forme d’insomnie, nécessitant ainsi des explications et des approches distinctes. Il est important de noter que les revues systématiques donnent des résultats variés quant à l’efficacité des interventions cognitivo-comportementales dans la résolution des problèmes de sommeil chez les nourrissons. Les traitements pharmacologiques sont rarement la première option et doivent être administrés sous surveillance médicale. Il convient de rappeler que chaque famille peut avoir ses propres préférences et croyances, quel que soit son contexte culturel. Par conséquent, il est essentiel de fournir une gamme d’interventions et de conseils pour répondre aux besoins et aux valeurs divers de tous les parents. De plus, les professionnels de la santé doivent tenir compte des circonstances uniques de chaque famille tout en dispensant des conseils et un soutien adaptés. En tant que société, nous devons assumer la responsabilité d’aider nos enfants à répondre à leurs besoins de sommeil individuels, en instaurant des horaires de travail et de vie familiale équilibrés, favorisant ainsi le développement et les aptitudes d’apprentissage de tous les enfants, quel que soit leur âge. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Les apports en calcium en population pédiatrique générale : les recommandations françaises 2022 / J. Bacchetta in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Les apports en calcium en population pédiatrique générale : les recommandations françaises 2022 [revue] / J. Bacchetta, Auteur . - 2024 . - p.31-38.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.31-38
Résumé : Les recommandations sur la supplémentation en vitamine D et les apports calciques en population pédiatrique générale ont été actualisées en 2022. En voici les messages principaux : supplémentation pour tous les enfants de 0 à 18 ans, disparition de l’ajustement en fonction du type d’allaitement et de la couleur de peau de 0 à 2 ans, préférence à la supplémentation quotidienne (mais porte laissée ouverte à la supplémentation intermittente), identification de 4 facteurs de risque nécessitant un doublement des doses (obésité, peau foncée, absence d’exposition solaire et régime végétalien), et enfin nécessité de prescrire de la vitamine D sous forme médicament et non sous forme de complément alimentaire. Des situations spécifiques ont également été discutées : grands prématurés, enfants à risque de surdosage/carence, et enfants des DOM-TOM. Les recommandations insistent aussi sur l’importance des apports en calcium : en effet, il ne sert à rien d’amener de la vitamine D sans calcium (et vice versa). Alors qu’une grande partie de la population pédiatrique est carencée en calcium, les recommandations reprennent aussi les apports recommandés en calcium par jour en fonction de l’âge, et les différentes sources de calcium alimentaire : l’absorption du calcium est 7 fois meilleure pour les produits laitiers et les eaux minérales riches en calcium (par comparaison au calcium d’origine végétale), ce dont il faut tenir compte chez les enfants suivant des régimes végétaliens. Enfin, la promotion de l’activité physique, pour optimiser le pic de masse osseuse et pour prévenir l’obésité, devrait être un sujet quotidien du pédiatre. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.31-38
Titre : Les apports en calcium en population pédiatrique générale : les recommandations françaises 2022 Type de document : revue Auteurs : J. Bacchetta, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.31-38 Langues : Français Résumé : Les recommandations sur la supplémentation en vitamine D et les apports calciques en population pédiatrique générale ont été actualisées en 2022. En voici les messages principaux : supplémentation pour tous les enfants de 0 à 18 ans, disparition de l’ajustement en fonction du type d’allaitement et de la couleur de peau de 0 à 2 ans, préférence à la supplémentation quotidienne (mais porte laissée ouverte à la supplémentation intermittente), identification de 4 facteurs de risque nécessitant un doublement des doses (obésité, peau foncée, absence d’exposition solaire et régime végétalien), et enfin nécessité de prescrire de la vitamine D sous forme médicament et non sous forme de complément alimentaire. Des situations spécifiques ont également été discutées : grands prématurés, enfants à risque de surdosage/carence, et enfants des DOM-TOM. Les recommandations insistent aussi sur l’importance des apports en calcium : en effet, il ne sert à rien d’amener de la vitamine D sans calcium (et vice versa). Alors qu’une grande partie de la population pédiatrique est carencée en calcium, les recommandations reprennent aussi les apports recommandés en calcium par jour en fonction de l’âge, et les différentes sources de calcium alimentaire : l’absorption du calcium est 7 fois meilleure pour les produits laitiers et les eaux minérales riches en calcium (par comparaison au calcium d’origine végétale), ce dont il faut tenir compte chez les enfants suivant des régimes végétaliens. Enfin, la promotion de l’activité physique, pour optimiser le pic de masse osseuse et pour prévenir l’obésité, devrait être un sujet quotidien du pédiatre. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Perturbations de l’hémogramme au cours du paludisme grave de l’enfant au centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké (Côte d’Ivoire) / R.K.Y. Yeboua in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Perturbations de l’hémogramme au cours du paludisme grave de l’enfant au centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké (Côte d’Ivoire) [revue] / R.K.Y. Yeboua, Auteur ; J.P. Yenan, Auteur ; K.C. Yao, Auteur . - 2024 . - p.39-46.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.39-46
Résumé : L’anémie sévère est la seule anomalie à l’hémogramme définie comme critère de gravité du paludisme. Cependant, il existe d’autres perturbations à l’hémogramme non encore décrites au CHU de Bouaké. L’objectif était d’étudier les anomalies observées à l’hémogramme au cours du paludisme grave de l’enfant pour l’amélioration du pronostic.
Étude transversale menée dans le service de pédiatrie du CHU de Bouaké de janvier à mars 2021. Les cas de paludisme grave avec bilan paraclinique comportant au moins un hémogramme ont été inclus. Les paramètres d’étude étaient sociodémographiques, cliniques et biologiques. La comparaison des variables était faite avec le test de Chi2 ou le test exact de Fisher au seuil de significativité p<0,05.
Deux cent huit cas de paludisme grave dont 203 avec une anomalie à l’hémogramme sur au moins une lignée sanguine soit une fréquence des anomalies de 97,60 %. Le sex-ratio était de 1,74 avec un âge médian de 29 mois [6–144 mois]. Les motifs d’admission étaient dominés par : fièvre (83,17 %), vomissements (50,48 %) et anémie (49,04 %). La parasitémie moyenne était de 13 321,92 trophozoïtes/μL [800–150 000]. Les formes de gravité étaient : anémie sévère (79,81 %), formes neurologiques (10,10 %), formes neuro-anémiques (5,29 %), hyperparasitémie (4,80 %). Les principales anomalies à l’hémogramme étaient l’anémie (97,6 %), la thrombopénie (82,69 %), la lymphopénie (68,75 %) et l’hyperleucocytose (63,94 %). La létalité était de 4,81 %. Les facteurs significativement associés au décès étaient la thrombopénie profonde<25 000/μL ( p<0,000001), l’anémie sévère<5g/dL (p<0,001) et la densité parasitaire≥50 000 trophozoïtes/μL (p<0,006).
La thrombopénie et la lymphopénie sont aussi fréquentes au cours du paludisme grave de l’enfant. La thrombopénie profonde est un facteur de mauvais pronostic d’où l’intérêt d’études complémentaires afin de la retenir éventuellement comme critère de gravité.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.39-46
Titre : Perturbations de l’hémogramme au cours du paludisme grave de l’enfant au centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké (Côte d’Ivoire) Type de document : revue Auteurs : R.K.Y. Yeboua, Auteur ; J.P. Yenan, Auteur ; K.C. Yao, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.39-46 Langues : Français Résumé : L’anémie sévère est la seule anomalie à l’hémogramme définie comme critère de gravité du paludisme. Cependant, il existe d’autres perturbations à l’hémogramme non encore décrites au CHU de Bouaké. L’objectif était d’étudier les anomalies observées à l’hémogramme au cours du paludisme grave de l’enfant pour l’amélioration du pronostic.
Étude transversale menée dans le service de pédiatrie du CHU de Bouaké de janvier à mars 2021. Les cas de paludisme grave avec bilan paraclinique comportant au moins un hémogramme ont été inclus. Les paramètres d’étude étaient sociodémographiques, cliniques et biologiques. La comparaison des variables était faite avec le test de Chi2 ou le test exact de Fisher au seuil de significativité p<0,05.
Deux cent huit cas de paludisme grave dont 203 avec une anomalie à l’hémogramme sur au moins une lignée sanguine soit une fréquence des anomalies de 97,60 %. Le sex-ratio était de 1,74 avec un âge médian de 29 mois [6–144 mois]. Les motifs d’admission étaient dominés par : fièvre (83,17 %), vomissements (50,48 %) et anémie (49,04 %). La parasitémie moyenne était de 13 321,92 trophozoïtes/μL [800–150 000]. Les formes de gravité étaient : anémie sévère (79,81 %), formes neurologiques (10,10 %), formes neuro-anémiques (5,29 %), hyperparasitémie (4,80 %). Les principales anomalies à l’hémogramme étaient l’anémie (97,6 %), la thrombopénie (82,69 %), la lymphopénie (68,75 %) et l’hyperleucocytose (63,94 %). La létalité était de 4,81 %. Les facteurs significativement associés au décès étaient la thrombopénie profonde<25 000/μL ( p<0,000001), l’anémie sévère<5g/dL (p<0,001) et la densité parasitaire≥50 000 trophozoïtes/μL (p<0,006).
La thrombopénie et la lymphopénie sont aussi fréquentes au cours du paludisme grave de l’enfant. La thrombopénie profonde est un facteur de mauvais pronostic d’où l’intérêt d’études complémentaires afin de la retenir éventuellement comme critère de gravité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Le point sur « MonParcoursPsy » : description et limites du dispositif actuel de remboursement des séances de psychologie / M. Schmoll in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.37 n°1 (février 2024)
[article] Le point sur « MonParcoursPsy » : description et limites du dispositif actuel de remboursement des séances de psychologie [revue] / M. Schmoll, Auteur ; E. Gabriel, Auteur . - 2024 . - p.47-49.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.47-49
Résumé : Depuis avril 2022, le dispositif « Mon parcoursPsy » [anciennement « Mon psy »] est entré en vigueur. Il a été mis en place par le gouvernement dans un contexte de crise sanitaire, suite à l'expérimentation menée dans quatre départements entre 2018 et 2020, et en réponse au rapport de la Cour des comptes [2021] qui préconisait une généralisation du remboursement des séances de psychologie et de psychothérapie à tout le territoire. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.37 n°1 (février 2024) . - p.47-49
Titre : Le point sur « MonParcoursPsy » : description et limites du dispositif actuel de remboursement des séances de psychologie Type de document : revue Auteurs : M. Schmoll, Auteur ; E. Gabriel, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.47-49 Langues : Français Résumé : Depuis avril 2022, le dispositif « Mon parcoursPsy » [anciennement « Mon psy »] est entré en vigueur. Il a été mis en place par le gouvernement dans un contexte de crise sanitaire, suite à l'expérimentation menée dans quatre départements entre 2018 et 2020, et en réponse au rapport de la Cour des comptes [2021] qui préconisait une généralisation du remboursement des séances de psychologie et de psychothérapie à tout le territoire. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036546 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00036546 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact