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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.36 n°6Mention de date : décembre 2023Paru le : 01/11/2023 |
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Ajouter le résultat dans votre panierUn diagnostic spécifique par la PCR pour une surveillance efficace de la coqueluche / M. Elgarini in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Un diagnostic spécifique par la PCR pour une surveillance efficace de la coqueluche [revue] / M. Elgarini, Auteur ; Z. Mennane, Auteur ; A. Hammoumi, Auteur . - 2023 . - p.247-252.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.247-252
Résumé : La coqueluche est une infection respiratoire causée principalement par Bordetella pertussis, la maladie est gravissime pour le nouveau-né. La généralisation de l’utilisation des vaccins, en association avec l’amélioration des conditions de vie, a conduit à une diminution de la morbidité et de la mortalité liées à la coqueluche. Mais actuellement une résurgence est observée. Dans la population non vaccinée, il affecte principalement les enfants de moins de 6 mois. Les manifestations les plus courantes de l’infection à B.pertussis sont la maladie de la coqueluche et la bronchite avec des complications y compris la pneumonie, les convulsions, l’encéphalopathie et peut-être le décès des nouveaux-nés et du nourrisson. D’après les changements épidémiologiques récents de la maladie, le choix d’une méthode de diagnostic sensible et surtout spécifique permet d’assurer une étude épidémiologique efficace, de bien choisir le traitement adéquat par antibiotique et aussi pour détecter les échecs de vaccination de la coqueluche. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.247-252
Titre : Un diagnostic spécifique par la PCR pour une surveillance efficace de la coqueluche Type de document : revue Auteurs : M. Elgarini, Auteur ; Z. Mennane, Auteur ; A. Hammoumi, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.247-252 Langues : Français Résumé : La coqueluche est une infection respiratoire causée principalement par Bordetella pertussis, la maladie est gravissime pour le nouveau-né. La généralisation de l’utilisation des vaccins, en association avec l’amélioration des conditions de vie, a conduit à une diminution de la morbidité et de la mortalité liées à la coqueluche. Mais actuellement une résurgence est observée. Dans la population non vaccinée, il affecte principalement les enfants de moins de 6 mois. Les manifestations les plus courantes de l’infection à B.pertussis sont la maladie de la coqueluche et la bronchite avec des complications y compris la pneumonie, les convulsions, l’encéphalopathie et peut-être le décès des nouveaux-nés et du nourrisson. D’après les changements épidémiologiques récents de la maladie, le choix d’une méthode de diagnostic sensible et surtout spécifique permet d’assurer une étude épidémiologique efficace, de bien choisir le traitement adéquat par antibiotique et aussi pour détecter les échecs de vaccination de la coqueluche. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Les dangers de l’exposition précoce aux écrans : quelle prévention en pratique ? / V. Vincent in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Les dangers de l’exposition précoce aux écrans : quelle prévention en pratique ? [revue] / V. Vincent, Auteur . - 2023 . - p.253-258.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.253-258
Résumé : Les écrans ont progressivement envahi notre quotidien. Les enfants d’âge préscolaire y sont majoritairement exposés en dépit des recommandations officielles. Bien qu’incertain, l’impact d’une exposition avant 3 ans sur le développement du langage, des compétences académiques, de la motricité ou sur le plan cognitif et comportemental soulève des inquiétudes. Tout professionnel au contact des jeunes enfants joue un rôle dans la prévention et le dépistage du mésusage des écrans en apportant une guidance adaptée, basée sur l’état des connaissances scientifiques. Une approche basée sur la réduction des risques semble plus adaptée qu’une injonction d’interdiction totale des écrans avant 3 ans. Pour être efficaces, les messages de prévention doivent être adaptés et non culpabilisants. Il est important de rappeler aux parents que l’acquisition des compétences chez le jeune enfant ne peut être passive devant un écran. Le temps d’exposition doit donc être limité, particulièrement chez les plus petits, et ne doit pas empiéter sur le temps de jeu et d’interaction sociale. Les temps de repas, du lever et du coucher doivent être sans écran. Les contenus doivent être adaptés et l’interaction encouragée. Il est utile de promouvoir un plan de gestion des écrans au sein du foyer afin de définir des règles communes d’utilisation pour les adultes comme pour les enfants. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.253-258
Titre : Les dangers de l’exposition précoce aux écrans : quelle prévention en pratique ? Type de document : revue Auteurs : V. Vincent, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.253-258 Langues : Français Résumé : Les écrans ont progressivement envahi notre quotidien. Les enfants d’âge préscolaire y sont majoritairement exposés en dépit des recommandations officielles. Bien qu’incertain, l’impact d’une exposition avant 3 ans sur le développement du langage, des compétences académiques, de la motricité ou sur le plan cognitif et comportemental soulève des inquiétudes. Tout professionnel au contact des jeunes enfants joue un rôle dans la prévention et le dépistage du mésusage des écrans en apportant une guidance adaptée, basée sur l’état des connaissances scientifiques. Une approche basée sur la réduction des risques semble plus adaptée qu’une injonction d’interdiction totale des écrans avant 3 ans. Pour être efficaces, les messages de prévention doivent être adaptés et non culpabilisants. Il est important de rappeler aux parents que l’acquisition des compétences chez le jeune enfant ne peut être passive devant un écran. Le temps d’exposition doit donc être limité, particulièrement chez les plus petits, et ne doit pas empiéter sur le temps de jeu et d’interaction sociale. Les temps de repas, du lever et du coucher doivent être sans écran. Les contenus doivent être adaptés et l’interaction encouragée. Il est utile de promouvoir un plan de gestion des écrans au sein du foyer afin de définir des règles communes d’utilisation pour les adultes comme pour les enfants. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Tics chez l’enfant, conduite à tenir / A. Hartmann in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Tics chez l’enfant, conduite à tenir [revue] / A. Hartmann, Auteur . - 2023 . - p.259-263.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.259-263
Résumé : Les tics de l’enfant sont fréquents et touchent, à un moment ou un autre du développement, jusqu’à 20 % de la population. Dans environ 1 % des cas, ces tics deviennent chroniques et, s’il y a association de tics moteurs et vocaux, on parle du syndrome Gilles de la Tourette (SGT). Ce dernier est souvent léger, voire frustre, et ne correspond donc pas aux représentations dramatiques, voire caricaturale que l’on retrouve dans les médias et sur les réseaux sociaux. En particulier, la coprolalie est plutôt rare et n’est pas un symptôme obligatoire pour poser le diagnostic de SGT. Si les tics sont gênants, alors plusieurs modalités de traitements existent en passant par la psychoéducation, les thérapies comportementales, les médicaments, la toxine botulique et, dans les cas les plus sévères, la stimulation cérébrale profonde. Hormis les tics, il faut aussi s’intéresser aux possibles comorbidités des tics/du SGT qui s’inscrivent dans les troubles du neurodéveloppement (trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité [TDA/H], troubles obsessionnels compulsifs, anxiété, crises de rage, automutilations, troubles de l’apprentissage ou troubles du spectre autistique) et faire appel à des spécialistes si besoin, en premier lieu les pédopsychiatres. Enfin, il est important d’insister sur le bon pronostic des tics à l’âge adulte et, en conséquence, une insertion socioprofessionnelle qui est généralement normale. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.259-263
Titre : Tics chez l’enfant, conduite à tenir Type de document : revue Auteurs : A. Hartmann, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.259-263 Langues : Français Résumé : Les tics de l’enfant sont fréquents et touchent, à un moment ou un autre du développement, jusqu’à 20 % de la population. Dans environ 1 % des cas, ces tics deviennent chroniques et, s’il y a association de tics moteurs et vocaux, on parle du syndrome Gilles de la Tourette (SGT). Ce dernier est souvent léger, voire frustre, et ne correspond donc pas aux représentations dramatiques, voire caricaturale que l’on retrouve dans les médias et sur les réseaux sociaux. En particulier, la coprolalie est plutôt rare et n’est pas un symptôme obligatoire pour poser le diagnostic de SGT. Si les tics sont gênants, alors plusieurs modalités de traitements existent en passant par la psychoéducation, les thérapies comportementales, les médicaments, la toxine botulique et, dans les cas les plus sévères, la stimulation cérébrale profonde. Hormis les tics, il faut aussi s’intéresser aux possibles comorbidités des tics/du SGT qui s’inscrivent dans les troubles du neurodéveloppement (trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité [TDA/H], troubles obsessionnels compulsifs, anxiété, crises de rage, automutilations, troubles de l’apprentissage ou troubles du spectre autistique) et faire appel à des spécialistes si besoin, en premier lieu les pédopsychiatres. Enfin, il est important d’insister sur le bon pronostic des tics à l’âge adulte et, en conséquence, une insertion socioprofessionnelle qui est généralement normale. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Prise en charge thérapeutique de la maladie de Kawasaki / L. Rossi-Semerano in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Prise en charge thérapeutique de la maladie de Kawasaki [revue] / L. Rossi-Semerano, Auteur ; I. Koné-Paut, Auteur ; P. Dusser, Auteur . - 2023 . - p.264-273.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.264-273
Résumé : La maladie de Kawasaki (MK) est la vascularite la plus fréquente chez l’enfant de moins de 5ans. Elle constitue une urgence diagnostique et thérapeutique. Sa gravité est liée à l’atteinte coronarienne qui survient chez 3–5 % des patients traités. Le défi de cette maladie est de deux types : (1) sa reconnaissance rapide, (2) la réduction de l’incidence des anévrismes coronariens (AC). Nous reprenons dans cette revue la prise en charge thérapeutique de cette maladie et notamment l’adjonction dans le cas de MK sévère d’un traitement adjuvant par corticothérapie qui semble réduire l’incidence des AC notamment dans les populations asiatiques. D’autres traitements (anti-TNF, anti-IL-1, ciclosporine) peuvent également apporter un bénéfice, mais les données sont à ce jour limitées et ne permettent pas leur indication en 1re intention mais seulement en cas de MK réfractaires après une ou deux doses d’IgIV. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.264-273
Titre : Prise en charge thérapeutique de la maladie de Kawasaki Type de document : revue Auteurs : L. Rossi-Semerano, Auteur ; I. Koné-Paut, Auteur ; P. Dusser, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.264-273 Langues : Français Résumé : La maladie de Kawasaki (MK) est la vascularite la plus fréquente chez l’enfant de moins de 5ans. Elle constitue une urgence diagnostique et thérapeutique. Sa gravité est liée à l’atteinte coronarienne qui survient chez 3–5 % des patients traités. Le défi de cette maladie est de deux types : (1) sa reconnaissance rapide, (2) la réduction de l’incidence des anévrismes coronariens (AC). Nous reprenons dans cette revue la prise en charge thérapeutique de cette maladie et notamment l’adjonction dans le cas de MK sévère d’un traitement adjuvant par corticothérapie qui semble réduire l’incidence des AC notamment dans les populations asiatiques. D’autres traitements (anti-TNF, anti-IL-1, ciclosporine) peuvent également apporter un bénéfice, mais les données sont à ce jour limitées et ne permettent pas leur indication en 1re intention mais seulement en cas de MK réfractaires après une ou deux doses d’IgIV. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Mort inattendue du nourrisson : comment l’éviter ? Mise au point sur les facteurs de risque et de protection / C. Dubois in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Mort inattendue du nourrisson : comment l’éviter ? Mise au point sur les facteurs de risque et de protection [revue] / C. Dubois, Auteur ; B. Kugener, Auteur . - 2023 . - p.274-282.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.274-282
Résumé : En France, près de 400 nourrissons de moins de 2 ans meurent chaque année de mort inattendue du nourrisson (MIN). Il s’agit d’une « mort survenant brutalement chez un nourrisson alors que rien, dans ses antécédents connus, ne pouvait le laisser prévoir ». Les campagnes nationales de promotion du couchage sur le dos au début des années 1990 ont permis une baisse significative du nombre de MIN. Depuis une vingtaine d’années, ce chiffre stagne alors que de nombreux décès pourraient être évités en appliquant des règles simples. La MIN est souvent d’origine multifactorielle. Selon le modèle du « triple risque », elle survient chez un nourrisson présentant une vulnérabilité sous-jacente, exposé à un facteur de stress exogène, pendant une période de développement critique. La suppression des facteurs de risque externes peut permettre à l’enfant vulnérable de dépasser l’âge critique sans décéder. L’objectif est d’éviter les risques de suffocation ou de confinement liés aux conditions de couchage. L’un des facteurs de risque majeur est la position de couchage : le couchage sur le dos est recommandé jusqu’à ce que l’enfant change de position de lui-même. Les autres facteurs de risque sont l’exposition au tabac, la présence d’objet dans le lit, une température ambiante trop élevée ou encore le partage du lit. Il existe des facteurs de protection : allaitement maternel, vaccinations, partage de la chambre et sucette pendant le sommeil. La prévention de la MIN repose sur une information généralisée à l’ensemble de la population, dès la période anténatale. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.274-282
Titre : Mort inattendue du nourrisson : comment l’éviter ? Mise au point sur les facteurs de risque et de protection Type de document : revue Auteurs : C. Dubois, Auteur ; B. Kugener, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.274-282 Langues : Français Résumé : En France, près de 400 nourrissons de moins de 2 ans meurent chaque année de mort inattendue du nourrisson (MIN). Il s’agit d’une « mort survenant brutalement chez un nourrisson alors que rien, dans ses antécédents connus, ne pouvait le laisser prévoir ». Les campagnes nationales de promotion du couchage sur le dos au début des années 1990 ont permis une baisse significative du nombre de MIN. Depuis une vingtaine d’années, ce chiffre stagne alors que de nombreux décès pourraient être évités en appliquant des règles simples. La MIN est souvent d’origine multifactorielle. Selon le modèle du « triple risque », elle survient chez un nourrisson présentant une vulnérabilité sous-jacente, exposé à un facteur de stress exogène, pendant une période de développement critique. La suppression des facteurs de risque externes peut permettre à l’enfant vulnérable de dépasser l’âge critique sans décéder. L’objectif est d’éviter les risques de suffocation ou de confinement liés aux conditions de couchage. L’un des facteurs de risque majeur est la position de couchage : le couchage sur le dos est recommandé jusqu’à ce que l’enfant change de position de lui-même. Les autres facteurs de risque sont l’exposition au tabac, la présence d’objet dans le lit, une température ambiante trop élevée ou encore le partage du lit. Il existe des facteurs de protection : allaitement maternel, vaccinations, partage de la chambre et sucette pendant le sommeil. La prévention de la MIN repose sur une information généralisée à l’ensemble de la population, dès la période anténatale. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Dermatophyties et dermatophytoses de l’enfant / N. Lachaume in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Dermatophyties et dermatophytoses de l’enfant [revue] / N. Lachaume, Auteur ; C. Goeller, Auteur ; J. Houel, Auteur . - 2023 . - p.283-297.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.283-297
Résumé : Les dermatophytoses représentent la majeure partie des infections fongiques superficielles et sont fréquentes chez l’enfant. Leur transmission est majoritairement anthropophile ou zoophile. Chez l’enfant en bonne santé, l’infection fongique reste superficielle. La zone anatomique atteinte détermine l’indication à la réalisation d’un prélèvement mycologique et du traitement local et/ou systémique. Les traitements systémiques sont réservés aux teignes ainsi qu’aux onychomycoses et aux formes sévères de la peau glabre (formes multifocales, très étendues ou atteinte palmoplantaire). La griséofulvine est le seul antifongique systémique ayant l’autorisation de mise sur le marché (AMM) en pédiatrie mais son arrêt de commercialisation en 2021 modifie la stratégie thérapeutique. La teigne doit absolument être connue car elle peut entraîner des séquelles alopéciques. Toute lésion du cuir chevelu est une teigne jusqu’à preuve du contraire. Un traitement systémique est indispensable. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.283-297
Titre : Dermatophyties et dermatophytoses de l’enfant Type de document : revue Auteurs : N. Lachaume, Auteur ; C. Goeller, Auteur ; J. Houel, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.283-297 Langues : Français Résumé : Les dermatophytoses représentent la majeure partie des infections fongiques superficielles et sont fréquentes chez l’enfant. Leur transmission est majoritairement anthropophile ou zoophile. Chez l’enfant en bonne santé, l’infection fongique reste superficielle. La zone anatomique atteinte détermine l’indication à la réalisation d’un prélèvement mycologique et du traitement local et/ou systémique. Les traitements systémiques sont réservés aux teignes ainsi qu’aux onychomycoses et aux formes sévères de la peau glabre (formes multifocales, très étendues ou atteinte palmoplantaire). La griséofulvine est le seul antifongique systémique ayant l’autorisation de mise sur le marché (AMM) en pédiatrie mais son arrêt de commercialisation en 2021 modifie la stratégie thérapeutique. La teigne doit absolument être connue car elle peut entraîner des séquelles alopéciques. Toute lésion du cuir chevelu est une teigne jusqu’à preuve du contraire. Un traitement systémique est indispensable. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Méningite bactérienne néonatale à Raoultella planticola : à propos d’un cas / R.G. Boukaka kala in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Méningite bactérienne néonatale à Raoultella planticola : à propos d’un cas [revue] / R.G. Boukaka kala, Auteur ; B. Diatewa, Auteur ; P.D. Bingui Outman, Auteur . - 2023 . - p.298-302.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.298-302
Résumé : Raoultella planticola est une bactérie environnementale rare. Il est actuellement associé à un nombre croissant d’infections humaines notamment celles des tissus mous, de pancréatite, d’infection des voies urinaires, gastro-intestinale et oropharyngée. Nous rapportons le premier cas de méningite à R. planticola chez un nouveau-né. L’objectif de cette étude est de rapporter un cas de méningite néonatale à R. planticola et de présenter les difficultés de la prise en charge dans nos conditions de travail.
La méningite bactérienne à R. planticola du nouveau-né est grave. La capacité de R. planticola à être un organisme multirésistant aux antibiotiques usuels souligne la nécessité d’une attention particulière du personnel médical dans cette tranche d’âge avec une prise en charge précoce et adaptée.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.298-302
Titre : Méningite bactérienne néonatale à Raoultella planticola : à propos d’un cas Type de document : revue Auteurs : R.G. Boukaka kala, Auteur ; B. Diatewa, Auteur ; P.D. Bingui Outman, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.298-302 Langues : Français Résumé : Raoultella planticola est une bactérie environnementale rare. Il est actuellement associé à un nombre croissant d’infections humaines notamment celles des tissus mous, de pancréatite, d’infection des voies urinaires, gastro-intestinale et oropharyngée. Nous rapportons le premier cas de méningite à R. planticola chez un nouveau-né. L’objectif de cette étude est de rapporter un cas de méningite néonatale à R. planticola et de présenter les difficultés de la prise en charge dans nos conditions de travail.
La méningite bactérienne à R. planticola du nouveau-né est grave. La capacité de R. planticola à être un organisme multirésistant aux antibiotiques usuels souligne la nécessité d’une attention particulière du personnel médical dans cette tranche d’âge avec une prise en charge précoce et adaptée.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Hématome bilatéral des surrénales à révélation néonatale / O. Hammami in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°6 (décembre 2023)
[article] Hématome bilatéral des surrénales à révélation néonatale [revue] / O. Hammami, Auteur ; I. Khamassi, Auteur ; A. Jelassi, Auteur . - 2023 . - p.303-306.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.303-306
Résumé : L’hématome surrénalien est la masse surrénale la plus courante chez les nouveaux-nés. L’hémorragie surrénalienne (AH) du nouveau-né a un large spectre de gravité de la maladie et, par conséquent, la littérature rapporte une incidence variable, initialement estimée à 1,7 à 3 pour 1000 naissances vivantes. La majorité des AH sont toutefois asymptomatiques et la fréquence à laquelle elle survient accidentellement n’a été appréciée que récemment. Plusieurs études ont évalué rétrospectivement la présence d’AH avec des échographies abdominales de dépistage chez les nouveaux-nés, suggérant une occurrence plus fréquente de 16 à 29 pour 1000 naissances vivantes. La plupart des nouveaux-nés atteints d’une maladie reconnue n’ont pas besoin de traitement, car même 10 % de tissu producteur de cortisol fonctionnel est suffisant pour prévenir l’insuffisance surrénale (IA). Ceux qui progressent vers l’IA et nécessitent un traitement, bien que rares, montrent une résolution rapide. Nous offrons une revue de la littérature sur l’AH chez les nouveaux-nés, ainsi qu’une présentation unique de la maladie bilatérale dans le cadre d’un accouchement traumatique. Notre patiente a été suivie jusqu’à l’âge de 18 mois et n’a montré aucune IA persistante. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°6 (décembre 2023) . - p.303-306
Titre : Hématome bilatéral des surrénales à révélation néonatale Type de document : revue Auteurs : O. Hammami, Auteur ; I. Khamassi, Auteur ; A. Jelassi, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.303-306 Langues : Français Résumé : L’hématome surrénalien est la masse surrénale la plus courante chez les nouveaux-nés. L’hémorragie surrénalienne (AH) du nouveau-né a un large spectre de gravité de la maladie et, par conséquent, la littérature rapporte une incidence variable, initialement estimée à 1,7 à 3 pour 1000 naissances vivantes. La majorité des AH sont toutefois asymptomatiques et la fréquence à laquelle elle survient accidentellement n’a été appréciée que récemment. Plusieurs études ont évalué rétrospectivement la présence d’AH avec des échographies abdominales de dépistage chez les nouveaux-nés, suggérant une occurrence plus fréquente de 16 à 29 pour 1000 naissances vivantes. La plupart des nouveaux-nés atteints d’une maladie reconnue n’ont pas besoin de traitement, car même 10 % de tissu producteur de cortisol fonctionnel est suffisant pour prévenir l’insuffisance surrénale (IA). Ceux qui progressent vers l’IA et nécessitent un traitement, bien que rares, montrent une résolution rapide. Nous offrons une revue de la littérature sur l’AH chez les nouveaux-nés, ainsi qu’une présentation unique de la maladie bilatérale dans le cadre d’un accouchement traumatique. Notre patiente a été suivie jusqu’à l’âge de 18 mois et n’a montré aucune IA persistante. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036483 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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