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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.36 n°3Mention de date : juin 2023Paru le : 01/05/2023 |
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Ajouter le résultat dans votre panierPrévention des infections respiratoires par aération des lieux collectifs / F. Squinazi in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°3 (juin 2023)
[article] Prévention des infections respiratoires par aération des lieux collectifs [revue] / F. Squinazi, Auteur . - 2023 . - 83-86.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 83-86
Résumé : Une personne qui parle, qui tousse ou qui éternue émet dans l’air des gouttelettes respiratoires de différentes tailles. Les plus grosses sédimentent après l’émission, les plus petites se déshydratent pour former des particules fines qui vont rester en suspension dans l’air, sous forme d’un aérosol. En cas d’infection respiratoire, les gouttelettes peuvent contenir des agents infectieux, surtout viraux ou bactériens. Selon la survie de l’agent infectieux dans l’air, la transmission par inhalation est possible entre deux personnes, soit en proximité, soit à distance. L’aération des locaux permet de diluer et d’éliminer les particules infectantes en suspension dans l’air. La mesure du dioxyde de carbone (CO2 ), traceur du renouvellement de l’air intérieur, permet de définir la durée et la fréquence d’ouverture des fenêtres. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 83-86
Titre : Prévention des infections respiratoires par aération des lieux collectifs Type de document : revue Auteurs : F. Squinazi, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 83-86 Langues : Français Résumé : Une personne qui parle, qui tousse ou qui éternue émet dans l’air des gouttelettes respiratoires de différentes tailles. Les plus grosses sédimentent après l’émission, les plus petites se déshydratent pour former des particules fines qui vont rester en suspension dans l’air, sous forme d’un aérosol. En cas d’infection respiratoire, les gouttelettes peuvent contenir des agents infectieux, surtout viraux ou bactériens. Selon la survie de l’agent infectieux dans l’air, la transmission par inhalation est possible entre deux personnes, soit en proximité, soit à distance. L’aération des locaux permet de diluer et d’éliminer les particules infectantes en suspension dans l’air. La mesure du dioxyde de carbone (CO2 ), traceur du renouvellement de l’air intérieur, permet de définir la durée et la fréquence d’ouverture des fenêtres. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036309 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Diagnostic étiologique d’une déficience intellectuelle / D. Lehalle in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°3 (juin 2023)
[article] Diagnostic étiologique d’une déficience intellectuelle [revue] / D. Lehalle, Auteur ; D. Héron, Auteur . - 2023 . - 87-93.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 87-93
Résumé : La déficience intellectuelle (DI) touche entre 1 et 3 % de la population, et correspond à un groupe de maladies rares extrêmement hétérogène. Les étiologies sont génétiques dans la grande majorité des cas. Faire le diagnostic étiologique facilite la mise en place précoce du suivi et de la prise en charge, et permet de préciser le conseil génétique. Parmi les examens génétiques disponibles, on distingue (i) les examens chromosomiques comprenant le caryotype et l’analyse chromosomique par puce à ADN (ACPA) et (ii) les examens moléculaires parmi lesquels le séquençage ciblé et les examens par séquençage haut débit, dont la disponibilité est plus récente (panels de gènes, séquençage d’exome ou de génome). Le rendement diagnostique dans la DI est d’environ 15 % pour l’ACPA, 40 % pour le séquençage d’exome et 50 % pour le séquençage de génome. La démarche étiologique devant une DI commence toujours par une étape clinique, plus que jamais utile pour orienter le diagnostic et aider à l’interprétation des variants. La stratégie actuelle comporte en première intention une ACPA et une recherche de syndrome de l’X fragile. Les examens moléculaires de seconde intention comportaient jusqu’à présent des panels de gènes de taille variable et/ou un séquençage d’exome. La mise en place du Plan France Médecine Génomique (PFMG) 2025 permet actuellement la réalisation du séquençage de génome pour la pré-indication « déficience intellectuelle », ce qui va permettre d’améliorer le rendement diagnostique. Néanmoins, le déploiement de ces nouvelles techniques ouvre le débat sur les enjeux éthiques, sociétaux et économiques qu’elles soulèvent. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 87-93
Titre : Diagnostic étiologique d’une déficience intellectuelle Type de document : revue Auteurs : D. Lehalle, Auteur ; D. Héron, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 87-93 Langues : Français Résumé : La déficience intellectuelle (DI) touche entre 1 et 3 % de la population, et correspond à un groupe de maladies rares extrêmement hétérogène. Les étiologies sont génétiques dans la grande majorité des cas. Faire le diagnostic étiologique facilite la mise en place précoce du suivi et de la prise en charge, et permet de préciser le conseil génétique. Parmi les examens génétiques disponibles, on distingue (i) les examens chromosomiques comprenant le caryotype et l’analyse chromosomique par puce à ADN (ACPA) et (ii) les examens moléculaires parmi lesquels le séquençage ciblé et les examens par séquençage haut débit, dont la disponibilité est plus récente (panels de gènes, séquençage d’exome ou de génome). Le rendement diagnostique dans la DI est d’environ 15 % pour l’ACPA, 40 % pour le séquençage d’exome et 50 % pour le séquençage de génome. La démarche étiologique devant une DI commence toujours par une étape clinique, plus que jamais utile pour orienter le diagnostic et aider à l’interprétation des variants. La stratégie actuelle comporte en première intention une ACPA et une recherche de syndrome de l’X fragile. Les examens moléculaires de seconde intention comportaient jusqu’à présent des panels de gènes de taille variable et/ou un séquençage d’exome. La mise en place du Plan France Médecine Génomique (PFMG) 2025 permet actuellement la réalisation du séquençage de génome pour la pré-indication « déficience intellectuelle », ce qui va permettre d’améliorer le rendement diagnostique. Néanmoins, le déploiement de ces nouvelles techniques ouvre le débat sur les enjeux éthiques, sociétaux et économiques qu’elles soulèvent. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036309 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Puberté normale et pathologique / S. Moniez in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°3 (juin 2023)
[article] Puberté normale et pathologique [revue] / S. Moniez, Auteur ; C. Pienkowski, Auteur ; A. Cartault, Auteur . - 2023 . - 94-106.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 94-106
Résumé : L’évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l’enfant. À l’examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l’axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l’acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l’âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l’âge de 9ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d’origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l’absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14ans chez le garçon. Il peut s’agir d’un retard pubertaire simple ou bien d’une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d’hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 94-106
Titre : Puberté normale et pathologique Type de document : revue Auteurs : S. Moniez, Auteur ; C. Pienkowski, Auteur ; A. Cartault, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 94-106 Langues : Français Résumé : L’évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l’enfant. À l’examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l’axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l’acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l’âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l’âge de 9ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d’origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l’absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14ans chez le garçon. Il peut s’agir d’un retard pubertaire simple ou bien d’une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d’hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036309 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Pratique de la diversification alimentaire chez les nourrissons à Antananarivo, Madagascar : relation avec leur état nutritionnel / H.S.C. Samena in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°3 (juin 2023)
[article] Pratique de la diversification alimentaire chez les nourrissons à Antananarivo, Madagascar : relation avec leur état nutritionnel [revue] / H.S.C. Samena, Auteur ; R.J. Rasamoelison, Auteur ; M.Z. Ramananirina, Auteur . - 2023 . - 107-113.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 107-113
Résumé : La diversification alimentaire est une période à risque de déséquilibres nutritionnels. L’objectif de cette étude a été de déterminer la relation entre la pratique de la diversification alimentaire et l’état nutritionnel des nourrissons.
Une étude transversale a été menée du 01 au 30 Novembre 2021 au centre hospitalier universitaire mère-enfant Tsaralalana et dans 6 centres de santé de base de niveau II de la ville d’Antananarivo.
Ont été colligés 222 nourrissons âgés de 6–23 mois. La prévalence de l’insuffisance pondérale, de la malnutrition aiguë, de la malnutrition chronique a été respectivement de 46,9 %, 29,7 % et 34,7 %. L’âge d’initiation de la diversification alimentaire non conforme à la recommandation de l’OMS a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=2,22 (1,27–3,88)] et à la malnutrition aiguë [OR=5,09 (2,75–9,44)]. Un score de Ruel et Menon<9 a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=4,65 (2,53–8,53)], à la malnutrition aiguë [OR=5,57 (2,58–12,03)] et à la malnutrition chronique [OR=5,76 (2,81–11,79)]. Le non-respect du minimum alimentaire acceptable a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=3,22 (1,80–5,71)], à l’émaciation [OR=5,57 (2,58–12,03)] et au retard de croissance [OR=4,47 (2,27–8,82)]. L’utilisation d’assiette commune a été un déterminant de l’insuffisance pondérale [OR=2,38 (1,39–4,08)], de l’émaciation [OR=2,61 (1,50–4,95)] et du retard statural [OR=2,71 (1,53–4,79)].
La conduite de la diversification alimentaire influence l’état nutritionnel du nourrisson. L’amélioration des pratiques de l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant est fondamentale dans la lutte contre la malnutrition.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 107-113
Titre : Pratique de la diversification alimentaire chez les nourrissons à Antananarivo, Madagascar : relation avec leur état nutritionnel Type de document : revue Auteurs : H.S.C. Samena, Auteur ; R.J. Rasamoelison, Auteur ; M.Z. Ramananirina, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 107-113 Langues : Français Résumé : La diversification alimentaire est une période à risque de déséquilibres nutritionnels. L’objectif de cette étude a été de déterminer la relation entre la pratique de la diversification alimentaire et l’état nutritionnel des nourrissons.
Une étude transversale a été menée du 01 au 30 Novembre 2021 au centre hospitalier universitaire mère-enfant Tsaralalana et dans 6 centres de santé de base de niveau II de la ville d’Antananarivo.
Ont été colligés 222 nourrissons âgés de 6–23 mois. La prévalence de l’insuffisance pondérale, de la malnutrition aiguë, de la malnutrition chronique a été respectivement de 46,9 %, 29,7 % et 34,7 %. L’âge d’initiation de la diversification alimentaire non conforme à la recommandation de l’OMS a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=2,22 (1,27–3,88)] et à la malnutrition aiguë [OR=5,09 (2,75–9,44)]. Un score de Ruel et Menon<9 a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=4,65 (2,53–8,53)], à la malnutrition aiguë [OR=5,57 (2,58–12,03)] et à la malnutrition chronique [OR=5,76 (2,81–11,79)]. Le non-respect du minimum alimentaire acceptable a été associé à l’insuffisance pondérale [OR=3,22 (1,80–5,71)], à l’émaciation [OR=5,57 (2,58–12,03)] et au retard de croissance [OR=4,47 (2,27–8,82)]. L’utilisation d’assiette commune a été un déterminant de l’insuffisance pondérale [OR=2,38 (1,39–4,08)], de l’émaciation [OR=2,61 (1,50–4,95)] et du retard statural [OR=2,71 (1,53–4,79)].
La conduite de la diversification alimentaire influence l’état nutritionnel du nourrisson. L’amélioration des pratiques de l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant est fondamentale dans la lutte contre la malnutrition.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036309 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Mode de révélation atypique d’une hyperoxalurie primitive de type I / Y. Allata in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.36 n°3 (juin 2023)
[article] Mode de révélation atypique d’une hyperoxalurie primitive de type I [revue] / Y. Allata, Auteur ; F.Z. Souilmi, Auteur ; N. Hammas, Auteur . - 2023 . - 114-116.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 114-116
Résumé : L’hyperoxalurie primitive de type I (HP1) est due à un déficit enzymatique de l’alanine : glyoxylate-aminotransferase (AGT) qui convertie le glyoxylate en glycine. En l’absence de l’AGT le glyoxylate en transformé en oxalate. Les manifestions cliniques et biologiques de l’HP1 résultent du dépôt de l’oxalate dans différents organes (rein, os, vaisseaux, cerveau, yeux…). La présence d’une hyperoxalurie associée à une hyperoxalémie permet d’évoquer le diagnostic et la mise en évidence d’une variante pathogène du gène AGXT à l’état bi-allélique permet de retenir le diagnostic d’HP1 en utilisant un test génétique. Ici, nous rapportons le cas rare d’un enfant suivi pour une insuffisance rénale d’origine indéterminée traitée par hémodialyse, où une biopsie ostéomédullaire faite dans le cadre du diagnostic étiologique d’une pancytopénie a conduit au diagnostic d’hyperoxalurie primitive de type I. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.36 n°3 (juin 2023) . - 114-116
Titre : Mode de révélation atypique d’une hyperoxalurie primitive de type I Type de document : revue Auteurs : Y. Allata, Auteur ; F.Z. Souilmi, Auteur ; N. Hammas, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : 114-116 Langues : Français Résumé : L’hyperoxalurie primitive de type I (HP1) est due à un déficit enzymatique de l’alanine : glyoxylate-aminotransferase (AGT) qui convertie le glyoxylate en glycine. En l’absence de l’AGT le glyoxylate en transformé en oxalate. Les manifestions cliniques et biologiques de l’HP1 résultent du dépôt de l’oxalate dans différents organes (rein, os, vaisseaux, cerveau, yeux…). La présence d’une hyperoxalurie associée à une hyperoxalémie permet d’évoquer le diagnostic et la mise en évidence d’une variante pathogène du gène AGXT à l’état bi-allélique permet de retenir le diagnostic d’HP1 en utilisant un test génétique. Ici, nous rapportons le cas rare d’un enfant suivi pour une insuffisance rénale d’origine indéterminée traitée par hémodialyse, où une biopsie ostéomédullaire faite dans le cadre du diagnostic étiologique d’une pancytopénie a conduit au diagnostic d’hyperoxalurie primitive de type I. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00036309 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
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