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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.34 n°1Mention de date : février 2021Paru le : 01/01/2021 |
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[article] Accouchement normal : accompagnement de la physiologie et interventions médicales. Recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) avec la collaboration du Collège national des gynécologues obstétriciens français (CNGOF) et du Collège national des sages-femmes de France (CNSF) – accueil du nouveau-né en salle de naissances [revue] / M. Nadjafizadeh, Auteur ; F.M. Caron, Auteur . - 2021 . - p.1-11.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.1-11
Mots-clés : clampage
nouveau né
peau à peauRésumé : L’objectif de cette revue de la littérature est d’émettre des recommandations concernant les premiers gestes et soins apportés au nouveau-né bien portant.
Matériel et méthodes; Consultation de la base de données Medline, de la Cochrane Library et des recommandations des sociétés savantes françaises et étrangères. L’évaluation initiale du nouveau-né permet de déterminer rapidement si des manœuvres de réanimation sont nécessaires (Avis d’Expert [AE]). Toute anomalie nécessite un recours au pédiatre (AE). Chez un nouveau-né sans difficultés d’adaptation cardiorespiratoire, le clampage retardé du cordon peut être considéré comme une modalité plus physiologique de l’accouchement, pouvant aider à prévenir une carence en fer au cours des premiers mois de vie, sans effet délétère pour l’enfant ou sa mère, en dehors du risque d’ictère néonatal légèrement augmenté (gradeC). Afin d’éviter la séparation de la femme et de son enfant, il est recommandé de différer les soins de routine laissant la place au contact peau-à-peau entre la mère, si elle le souhaite, et son nouveau-né selon un protocole de surveillance défini (grade B). L’allaitement maternel doit être encouragé et accompagné surtout lors de la première mise au sein (AE). En l’absence de signes cliniques évocateurs, l’aspiration des voies aériennes supérieures et la vérification systématique de la perméabilité des choanes et de l’œsophage ne sont pas recommandées (AE). La prévention de la maladie hémorragique du nouveau-né par l’administration orale de vitamine K1 à tous les enfants nés à terme débute en salle de naissance, de préférence en présence des parents et après avoir recueilli leur consentement (AE). À la naissance d’un nouveau-né sain, il est fortement conseillé d’éviter les gestes techniques inutiles et de privilégier la relation mère–enfant dans un climat de sécurité.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.1-11
Titre : Accouchement normal : accompagnement de la physiologie et interventions médicales. Recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) avec la collaboration du Collège national des gynécologues obstétriciens français (CNGOF) et du Collège national des sages-femmes de France (CNSF) – accueil du nouveau-né en salle de naissances Type de document : revue Auteurs : M. Nadjafizadeh, Auteur ; F.M. Caron, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.1-11 Langues : Français Mots-clés : clampage
nouveau né
peau à peauRésumé : L’objectif de cette revue de la littérature est d’émettre des recommandations concernant les premiers gestes et soins apportés au nouveau-né bien portant.
Matériel et méthodes; Consultation de la base de données Medline, de la Cochrane Library et des recommandations des sociétés savantes françaises et étrangères. L’évaluation initiale du nouveau-né permet de déterminer rapidement si des manœuvres de réanimation sont nécessaires (Avis d’Expert [AE]). Toute anomalie nécessite un recours au pédiatre (AE). Chez un nouveau-né sans difficultés d’adaptation cardiorespiratoire, le clampage retardé du cordon peut être considéré comme une modalité plus physiologique de l’accouchement, pouvant aider à prévenir une carence en fer au cours des premiers mois de vie, sans effet délétère pour l’enfant ou sa mère, en dehors du risque d’ictère néonatal légèrement augmenté (gradeC). Afin d’éviter la séparation de la femme et de son enfant, il est recommandé de différer les soins de routine laissant la place au contact peau-à-peau entre la mère, si elle le souhaite, et son nouveau-né selon un protocole de surveillance défini (grade B). L’allaitement maternel doit être encouragé et accompagné surtout lors de la première mise au sein (AE). En l’absence de signes cliniques évocateurs, l’aspiration des voies aériennes supérieures et la vérification systématique de la perméabilité des choanes et de l’œsophage ne sont pas recommandées (AE). La prévention de la maladie hémorragique du nouveau-né par l’administration orale de vitamine K1 à tous les enfants nés à terme débute en salle de naissance, de préférence en présence des parents et après avoir recueilli leur consentement (AE). À la naissance d’un nouveau-né sain, il est fortement conseillé d’éviter les gestes techniques inutiles et de privilégier la relation mère–enfant dans un climat de sécurité.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035011 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Vaccination / D. Floret in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°1 (février 2021)
[article] Vaccination [revue] / D. Floret, Auteur . - 2021 . - p.12-35.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.12-35
Mots-clés : maladie infectieuse
politique vaccinale
santé publique
vaccin
vaccinationRésumé : La vaccination est l’action de santé publique la plus efficace qui a permis de faire disparaître ou de réduire très fortement l’incidence des maladies infectieuses. Elle est cependant menacée par l’hésitation vaccinale déclenchée et entretenue par des polémiques sur ses effets indésirables, pour la plupart non scientifiquement confirmés. Elle procure une protection individuelle mais aussi collective par immunité de groupe. Il existe deux types de vaccins : vivants atténués et inactivés préparés à partir de germes inactivés ou de fractions du pathogène identifiés comme responsables de la réaction immune. À l’antigène sont ajoutés des conservateurs, des résidus et des adjuvants qui renforcent la réponse immune et s’avèrent indispensables pour l’efficacité de la plupart des vaccins sous-unitaires. L’aluminium est l’adjuvant le plus utilisé et n’est pas remis en cause en l’absence de démonstration des effets adverses qui lui sont attribués par quelques-uns. Certains vaccins ne protègent que contre une maladie. Le développement des vaccins combinés permet de simplifier la vaccination des enfants en réduisant le nombre d’injections. Les vaccins peuvent entraîner des effets indésirables au point d’injection ou généraux (fièvre, malaise, etc.). La quasi-totalité des effets indésirables graves attribués aux vaccins n’a pas été confirmée par les études scientifiques. Les contre-indications sont rares : vaccins vivants chez les immunodéprimés et les femmes enceintes, allergie à un des composants du vaccin. Cet article décrit l’épidémiologie des maladies à prévention vaccinale, le calendrier vaccinal français en population générale et dans des situations particulières, notamment pour les prématurés, les femmes enceintes, les immunodéprimés et les voyageurs et fait le point sur l’évolution récente de la politique vaccinale en France. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.12-35
Titre : Vaccination Type de document : revue Auteurs : D. Floret, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.12-35 Langues : Français Mots-clés : maladie infectieuse
politique vaccinale
santé publique
vaccin
vaccinationRésumé : La vaccination est l’action de santé publique la plus efficace qui a permis de faire disparaître ou de réduire très fortement l’incidence des maladies infectieuses. Elle est cependant menacée par l’hésitation vaccinale déclenchée et entretenue par des polémiques sur ses effets indésirables, pour la plupart non scientifiquement confirmés. Elle procure une protection individuelle mais aussi collective par immunité de groupe. Il existe deux types de vaccins : vivants atténués et inactivés préparés à partir de germes inactivés ou de fractions du pathogène identifiés comme responsables de la réaction immune. À l’antigène sont ajoutés des conservateurs, des résidus et des adjuvants qui renforcent la réponse immune et s’avèrent indispensables pour l’efficacité de la plupart des vaccins sous-unitaires. L’aluminium est l’adjuvant le plus utilisé et n’est pas remis en cause en l’absence de démonstration des effets adverses qui lui sont attribués par quelques-uns. Certains vaccins ne protègent que contre une maladie. Le développement des vaccins combinés permet de simplifier la vaccination des enfants en réduisant le nombre d’injections. Les vaccins peuvent entraîner des effets indésirables au point d’injection ou généraux (fièvre, malaise, etc.). La quasi-totalité des effets indésirables graves attribués aux vaccins n’a pas été confirmée par les études scientifiques. Les contre-indications sont rares : vaccins vivants chez les immunodéprimés et les femmes enceintes, allergie à un des composants du vaccin. Cet article décrit l’épidémiologie des maladies à prévention vaccinale, le calendrier vaccinal français en population générale et dans des situations particulières, notamment pour les prématurés, les femmes enceintes, les immunodéprimés et les voyageurs et fait le point sur l’évolution récente de la politique vaccinale en France. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035011 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Place des immunoglobulines polyvalents intraveineuses dans la prise en charge de l’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle rhésus 1 / M. Chemsi in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°1 (février 2021)
[article] Place des immunoglobulines polyvalents intraveineuses dans la prise en charge de l’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle rhésus 1 [revue] / M. Chemsi, Auteur ; A. Badre, Auteur ; S. Aitouahmane, Auteur . - 2021 . - p.36-43.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.36-43
Mots-clés : immunoglobuline
incompatibilitéRésumé : La maladie hémolytique Rhésus du nouveau-né résulte de l’alloimmunisation des globules rouges maternels contre les antigènes des globules rouges pour lesquels la mère et le fœtus sont incompatibles. L’IFM Rhésus peut conduire à la mort périnatale si l’anémie fœtale est non traitée et peut causer une hyper-bilirubinémie grave chez les nouveau-nés survivants. Le traitement postnatal conventionnel repose principalement sur la PTH intensive, l’exsanguino-transfusion (EST) et la transfusion de globules rouges. Le traitement par immunoglobulines intraveineuses (IgIV) combinées avec la photothérapie a été suggéré comme thérapie alternative pour réduire le besoin en EST depuis quelques années.
Objectif du travail
L’objectif principal de cette étude était de tester l’efficacité des IgIV dans le traitement des IFM rhésus en termes de réduction du recours à l’EST, de la durée de PTh et d’hospitalisation, et le besoin en transfusion de Culot globulaires.
Méthodologie
Une étude prospective, descriptive, comparative et analytique portant sur l’utilisation des IgIV dans le traitement de l’ictère néonatal par incompatibilité érythrocytaire fœto-maternelle dans le système Rhésus chez 38 nouveau-nés pris en charge au service de médecine et de réanimation néonatale de L’Hôpital universitaire d’Enfants Abderrahim Harrouchi sur une période allant du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017. L’étude comparative a été effectuée à l’aide d’un groupe historique de 49 nouveau-nés pris en charge au service de médecine et de réanimation néonatale de L’Hôpital universitaire d’Enfants Abderrahim Harrouchi du 1er janvier 2009 jusqu’au 31 décembre 2012 qui remplissent les mêmes critères d’appariement que ceux du groupe IGIV.
Résultats
Dans notre série, les caractéristiques épidémiologiques n’ont eu aucune influence ni sur l’évolution de la maladie ni sur les résultats finaux dans les deux groupes d’étude. Il n’y avait pas de différence significative de l’ensemble des antécédents maternels. Le traitement par les IGIV était efficace dans cette série en termes de réduction : du recours à l’EST : 7,9 % dans le groupe IGIV versus 26 % dans le groupe témoin (p=0,001) ; du nombre de séances de PTH intensive : 1,71 séances pour le groupe IGIV versus 2,04 séances dans le groupe témoin (p=0,020) ; du nombre de transfusions au cours de l’hospitalisation : 10,5 % pour le groupe IGIV et 26 % pour le groupe témoin (p=0,010) ; de la durée de l’hospitalisation : 4,87jours pour le groupe IGIV et 6,48jours pour le groupe témoin (p=0,037). Aucune différence significative n’a été enregistrée entre les deux groupes en termes de réduction : du nombre d’hémolyse tardive : 15,7 % pour le groupe IGIV et 14,2 % pour le groupe témoin (p=0,526) ; du nombre de ré-hospitalisations : 21 % pour le groupe IGIV et 14,2 % pour le groupe témoin (p=0,142).
Conclusion
À la lumière des résultats de notre étude et en se référant à l’analyse de la littérature internationale, on s’aperçoit que les IGIV associées à la PTH sont efficaces dans la prise en charge des ictères par IFM Rh et permettent une réduction du recours aux EST, de la durée de PTH et d’hospitalisation. Elles sont bien tolérées et peuvent être un adjuvant thérapeutique dans l’ictère néonatal sévère par IFM Rhésus.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.36-43
Titre : Place des immunoglobulines polyvalents intraveineuses dans la prise en charge de l’ictère néonatal par incompatibilité fœto-maternelle rhésus 1 Type de document : revue Auteurs : M. Chemsi, Auteur ; A. Badre, Auteur ; S. Aitouahmane, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.36-43 Langues : Français Mots-clés : immunoglobuline
incompatibilitéRésumé : La maladie hémolytique Rhésus du nouveau-né résulte de l’alloimmunisation des globules rouges maternels contre les antigènes des globules rouges pour lesquels la mère et le fœtus sont incompatibles. L’IFM Rhésus peut conduire à la mort périnatale si l’anémie fœtale est non traitée et peut causer une hyper-bilirubinémie grave chez les nouveau-nés survivants. Le traitement postnatal conventionnel repose principalement sur la PTH intensive, l’exsanguino-transfusion (EST) et la transfusion de globules rouges. Le traitement par immunoglobulines intraveineuses (IgIV) combinées avec la photothérapie a été suggéré comme thérapie alternative pour réduire le besoin en EST depuis quelques années.
Objectif du travail
L’objectif principal de cette étude était de tester l’efficacité des IgIV dans le traitement des IFM rhésus en termes de réduction du recours à l’EST, de la durée de PTh et d’hospitalisation, et le besoin en transfusion de Culot globulaires.
Méthodologie
Une étude prospective, descriptive, comparative et analytique portant sur l’utilisation des IgIV dans le traitement de l’ictère néonatal par incompatibilité érythrocytaire fœto-maternelle dans le système Rhésus chez 38 nouveau-nés pris en charge au service de médecine et de réanimation néonatale de L’Hôpital universitaire d’Enfants Abderrahim Harrouchi sur une période allant du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017. L’étude comparative a été effectuée à l’aide d’un groupe historique de 49 nouveau-nés pris en charge au service de médecine et de réanimation néonatale de L’Hôpital universitaire d’Enfants Abderrahim Harrouchi du 1er janvier 2009 jusqu’au 31 décembre 2012 qui remplissent les mêmes critères d’appariement que ceux du groupe IGIV.
Résultats
Dans notre série, les caractéristiques épidémiologiques n’ont eu aucune influence ni sur l’évolution de la maladie ni sur les résultats finaux dans les deux groupes d’étude. Il n’y avait pas de différence significative de l’ensemble des antécédents maternels. Le traitement par les IGIV était efficace dans cette série en termes de réduction : du recours à l’EST : 7,9 % dans le groupe IGIV versus 26 % dans le groupe témoin (p=0,001) ; du nombre de séances de PTH intensive : 1,71 séances pour le groupe IGIV versus 2,04 séances dans le groupe témoin (p=0,020) ; du nombre de transfusions au cours de l’hospitalisation : 10,5 % pour le groupe IGIV et 26 % pour le groupe témoin (p=0,010) ; de la durée de l’hospitalisation : 4,87jours pour le groupe IGIV et 6,48jours pour le groupe témoin (p=0,037). Aucune différence significative n’a été enregistrée entre les deux groupes en termes de réduction : du nombre d’hémolyse tardive : 15,7 % pour le groupe IGIV et 14,2 % pour le groupe témoin (p=0,526) ; du nombre de ré-hospitalisations : 21 % pour le groupe IGIV et 14,2 % pour le groupe témoin (p=0,142).
Conclusion
À la lumière des résultats de notre étude et en se référant à l’analyse de la littérature internationale, on s’aperçoit que les IGIV associées à la PTH sont efficaces dans la prise en charge des ictères par IFM Rh et permettent une réduction du recours aux EST, de la durée de PTH et d’hospitalisation. Elles sont bien tolérées et peuvent être un adjuvant thérapeutique dans l’ictère néonatal sévère par IFM Rhésus.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035011 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Kyste de l’ouraque infecté : faut-il y penser en cas de douleur abdominale chez l’enfant ? / I. Tadmori in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.34 n°1 (février 2021)
[article] Kyste de l’ouraque infecté : faut-il y penser en cas de douleur abdominale chez l’enfant ? [revue] / I. Tadmori, Auteur ; M. Hida, Auteur . - 2021 . - p.44-47.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.44-47
Mots-clés : douleur
enfant
kyste
malformationRésumé : L’ouraque est un résidu fibreux de l’allantoïde qui disparaisse après la naissance. Dans certains cas, il peut persister, on parle alors d’anomalies de l’ouraque. Cette persistance de l’ouraque est manifestée par des douleurs abdominales et peut être signalée par des complications, dont l’infection est la complication la plus courante. L’infection peut être mal comprise et confondue avec d’autres pathologies, surtout lorsqu’elle est associée à une douleur abdominale. Nous rapportons dans notre cas une observation de kyste de l’ouraque infecté, révélé par une douleur abdominale fébrile. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.34 n°1 (février 2021) . - p.44-47
Titre : Kyste de l’ouraque infecté : faut-il y penser en cas de douleur abdominale chez l’enfant ? Type de document : revue Auteurs : I. Tadmori, Auteur ; M. Hida, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.44-47 Langues : Français Mots-clés : douleur
enfant
kyste
malformationRésumé : L’ouraque est un résidu fibreux de l’allantoïde qui disparaisse après la naissance. Dans certains cas, il peut persister, on parle alors d’anomalies de l’ouraque. Cette persistance de l’ouraque est manifestée par des douleurs abdominales et peut être signalée par des complications, dont l’infection est la complication la plus courante. L’infection peut être mal comprise et confondue avec d’autres pathologies, surtout lorsqu’elle est associée à une douleur abdominale. Nous rapportons dans notre cas une observation de kyste de l’ouraque infecté, révélé par une douleur abdominale fébrile. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035011 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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00035011 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
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