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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.33 n°5Mention de date : octobre 2020Paru le : 01/09/2020 |
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Ajouter le résultat dans votre panierToxoplasmose de la femme enceinte / F. Robert-Gangneux in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°5 (octobre 2020)
[article] Toxoplasmose de la femme enceinte [revue] / F. Robert-Gangneux, Auteur ; S. Dion, Auteur . - 2020 . - p.209-220.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.209-220
Mots-clés : infection maternofoetale
prévention
toxoplasmose
traitementRésumé : La toxoplasmose est une parasitose encore fréquente en France, dont il convient de ne pas méconnaître les manifestations cliniques, les conséquences à court ou à long terme, et les moyens diagnostiques. La prévention de la toxoplasmose congénitale repose sur un dépistage sérologique des femmes enceintes et des recommandations adaptées pour éviter une infection. Dans le contexte d’une primo-infection ou d’une suspicion d’infection précoce chez la femme enceinte, la datation est indispensable pour adapter la prise en charge en fonction du risque. Le traitement, éventuellement modifié après les résultats du diagnostic prénatal, permet de limiter la fréquence et la sévérité des infections congénitales. Dans tous les cas, même si la PCR toxoplasmose est négative dans le liquide amniotique, le dépistage postnatal est indispensable et repose essentiellement sur l’imagerie et le suivi sérologique du le nouveau-né pendant au moins 8 mois. Les techniques sérologiques sont variées et hétérogènes, et l’avis d’un laboratoire spécialisé est nécessaire, afin d’adapter au mieux la prise en charge de la femme enceinte et de son bébé. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.209-220
Titre : Toxoplasmose de la femme enceinte Type de document : revue Auteurs : F. Robert-Gangneux, Auteur ; S. Dion, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.209-220 Langues : Français Mots-clés : infection maternofoetale
prévention
toxoplasmose
traitementRésumé : La toxoplasmose est une parasitose encore fréquente en France, dont il convient de ne pas méconnaître les manifestations cliniques, les conséquences à court ou à long terme, et les moyens diagnostiques. La prévention de la toxoplasmose congénitale repose sur un dépistage sérologique des femmes enceintes et des recommandations adaptées pour éviter une infection. Dans le contexte d’une primo-infection ou d’une suspicion d’infection précoce chez la femme enceinte, la datation est indispensable pour adapter la prise en charge en fonction du risque. Le traitement, éventuellement modifié après les résultats du diagnostic prénatal, permet de limiter la fréquence et la sévérité des infections congénitales. Dans tous les cas, même si la PCR toxoplasmose est négative dans le liquide amniotique, le dépistage postnatal est indispensable et repose essentiellement sur l’imagerie et le suivi sérologique du le nouveau-né pendant au moins 8 mois. Les techniques sérologiques sont variées et hétérogènes, et l’avis d’un laboratoire spécialisé est nécessaire, afin d’adapter au mieux la prise en charge de la femme enceinte et de son bébé. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034610 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible L’invagination intestinale aiguë / N. Khen-Dunlop in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°5 (octobre 2020)
[article] L’invagination intestinale aiguë [revue] / N. Khen-Dunlop, Auteur . - 2020 . - p.221-227.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.221-227
Mots-clés : colon
douleur abdominale
intestin
lavement
urgenceRésumé : L’invagination intestinale aiguë est avec la cause la plus fréquente d’occlusion intestinale chez le nourrisson et l’enfant de moins de 3 ans avec une incidence est de 20/100 000. Elle se définit par l’incarcération d’un segment intestinal et de son mésentère dans le segment immédiatement adjacent, constituant une ischémie progressive qui, en l’absence de traitement, évolue vers la nécrose digestive. Elle constitue une urgence thérapeutique. La triade clinique classique associe douleurs abdominales, vomissements et rectorragies, mais elle n’est présente que dans 20 à 30 % des cas. Une grande vigilance du clinicien est donc nécessaire face aux présentations non typiques, qui ne doivent pas être responsables d’un retard de prise en charge. Le diagnostic d’invagination intestinale aiguë est confirmé par une échographie. Le traitement consiste en une réduction par un lavement thérapeutique, en l’absence de contre-indication. En cas d’échec ou de contre-indication du lavement, une intervention chirurgicale est réalisée. Elle permet une réduction de l’invagination, mais peut nécessiter une résection intestinale en fonction du degré d’ischémie. L’invagination est idiopathique dans près de 90 % des cas. Une réduction impossible au lavement ou des récidives multiples doit faire rechercher une lésion anatomique locale : diverticule, polype, hématome… Les suites sont habituellement simples, faisant de cette pathologie une affection bénigne dans notre pays, en l’absence de retard diagnostique et thérapeutique. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.221-227
Titre : L’invagination intestinale aiguë Type de document : revue Auteurs : N. Khen-Dunlop, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.221-227 Langues : Français Mots-clés : colon
douleur abdominale
intestin
lavement
urgenceRésumé : L’invagination intestinale aiguë est avec la cause la plus fréquente d’occlusion intestinale chez le nourrisson et l’enfant de moins de 3 ans avec une incidence est de 20/100 000. Elle se définit par l’incarcération d’un segment intestinal et de son mésentère dans le segment immédiatement adjacent, constituant une ischémie progressive qui, en l’absence de traitement, évolue vers la nécrose digestive. Elle constitue une urgence thérapeutique. La triade clinique classique associe douleurs abdominales, vomissements et rectorragies, mais elle n’est présente que dans 20 à 30 % des cas. Une grande vigilance du clinicien est donc nécessaire face aux présentations non typiques, qui ne doivent pas être responsables d’un retard de prise en charge. Le diagnostic d’invagination intestinale aiguë est confirmé par une échographie. Le traitement consiste en une réduction par un lavement thérapeutique, en l’absence de contre-indication. En cas d’échec ou de contre-indication du lavement, une intervention chirurgicale est réalisée. Elle permet une réduction de l’invagination, mais peut nécessiter une résection intestinale en fonction du degré d’ischémie. L’invagination est idiopathique dans près de 90 % des cas. Une réduction impossible au lavement ou des récidives multiples doit faire rechercher une lésion anatomique locale : diverticule, polype, hématome… Les suites sont habituellement simples, faisant de cette pathologie une affection bénigne dans notre pays, en l’absence de retard diagnostique et thérapeutique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034610 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Antibioprophylaxie en pédiatrie / E. Launay in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°5 (octobre 2020)
[article] Antibioprophylaxie en pédiatrie [revue] / E. Launay, Auteur ; H. Haas, Auteur . - 2020 . - p.228-238.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.228-238
Mots-clés : antibioprophylaxie
antibiothérapie
infection
préventionRésumé : L’émergence de bactéries multirésistantes aboutissant à des impasses thérapeutiques fait de la bonne gestion des antibiotiques une priorité internationale de santé publique. L’utilisation des antibiotiques dans un but de prévention (antibioprophylaxie) doit donc être raisonnée et guidée par les preuves. Les mesures d’antibioprophylaxie doivent toujours s’accompagner de mesure de prévention des infections (vaccination quand cela est indiqué, respect strict des règles d’hygiène). Il existe deux grandes catégories d’antibioprophylaxie : l’antibioprophylaxie chirurgicale et l’antibioprophylaxie médicale. La première a montré son efficacité pour la prévention des infections de sites opératoires dans des situations bien définies. Elle repose sur le principe d’obtention d’une concentration d’antibiotique suffisante au site d’incision pour éviter que les bactéries présentes pénètrent dans le site opératoire et y prolifèrent. Le choix de l’antibiothérapie varie en fonction des sites opératoires et du type de chirurgie. L’antibioprophylaxie chirurgicale ne concerne pas la chirurgie de site infecté et doit être limitée dans le temps avec, le plus souvent, une seule injection périopératoire et toujours d’une durée maximale de 48 heures. L’antibiothérapie médicale peut être indiquée dans certaines situations très bien définies comme certaines situations d’immunodépression (asplénie, déficit de l’immunité cellulaire sévère), la postexposition à des infections invasives (méningococcémie, coqueluche, infection invasive à streptocoque du groupe A, morsure) ou à des situations à risques (certains gestes invasifs chez des patients porteurs de cardiopathies à risques). L’indication de l’antibioprophylaxie urinaire est de plus en plus restreinte au vu de la balance bénéfice/risque et doit toujours être discutée avec un spécialiste. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.228-238
Titre : Antibioprophylaxie en pédiatrie Type de document : revue Auteurs : E. Launay, Auteur ; H. Haas, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.228-238 Langues : Français Mots-clés : antibioprophylaxie
antibiothérapie
infection
préventionRésumé : L’émergence de bactéries multirésistantes aboutissant à des impasses thérapeutiques fait de la bonne gestion des antibiotiques une priorité internationale de santé publique. L’utilisation des antibiotiques dans un but de prévention (antibioprophylaxie) doit donc être raisonnée et guidée par les preuves. Les mesures d’antibioprophylaxie doivent toujours s’accompagner de mesure de prévention des infections (vaccination quand cela est indiqué, respect strict des règles d’hygiène). Il existe deux grandes catégories d’antibioprophylaxie : l’antibioprophylaxie chirurgicale et l’antibioprophylaxie médicale. La première a montré son efficacité pour la prévention des infections de sites opératoires dans des situations bien définies. Elle repose sur le principe d’obtention d’une concentration d’antibiotique suffisante au site d’incision pour éviter que les bactéries présentes pénètrent dans le site opératoire et y prolifèrent. Le choix de l’antibiothérapie varie en fonction des sites opératoires et du type de chirurgie. L’antibioprophylaxie chirurgicale ne concerne pas la chirurgie de site infecté et doit être limitée dans le temps avec, le plus souvent, une seule injection périopératoire et toujours d’une durée maximale de 48 heures. L’antibiothérapie médicale peut être indiquée dans certaines situations très bien définies comme certaines situations d’immunodépression (asplénie, déficit de l’immunité cellulaire sévère), la postexposition à des infections invasives (méningococcémie, coqueluche, infection invasive à streptocoque du groupe A, morsure) ou à des situations à risques (certains gestes invasifs chez des patients porteurs de cardiopathies à risques). L’indication de l’antibioprophylaxie urinaire est de plus en plus restreinte au vu de la balance bénéfice/risque et doit toujours être discutée avec un spécialiste. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034610 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Le retard de la vaccination chez les nouveau-nés prématurés anciennement hospitalisés au service de néonatologie et de réanimation néonatale, CHU Mohammed VI Oujda, Maroc / S. Messaoudi in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°5 (octobre 2020)
[article] Le retard de la vaccination chez les nouveau-nés prématurés anciennement hospitalisés au service de néonatologie et de réanimation néonatale, CHU Mohammed VI Oujda, Maroc [revue] / S. Messaoudi, Auteur ; M. Azizi, Auteur ; A. Ayyad, Auteur . - 2020 . - p.239-243.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.239-243
Mots-clés : immunisation
prématuré
vaccinationRésumé : La prématurité et le poids de naissance ne constituent pas des facteurs limitant au calendrier vaccinal. Les vaccins doivent être administrés selon l’âge chronologique et non selon l’âge corrigé de l’enfant. Les décrets de la pratique du BCG ne mentionnent pas la prématurité parmi les contre-indications. Il s’agit d’une étude rétrospective, auprès de 51 nouveau-nés prématurés vivants, menée au service de néonatologie et de réanimation néonatale, s’étalant sur une durée de 28 mois, allant du 01/2017 au 04/2019. Notre objectif est d’attirer l’attention sur les causes du retard de la vaccination chez les prématurés et de comparer nos données avec les résultats de la littérature. L’âge gestationnel moyen des nouveau-nés prématurés est de 33,4SA. Le poids moyen était de 2kg. L’âge moyen de la réalisation du 1er vaccin était de 62,56 jours. Les causes du retard de la vaccination reviennent, en premier lieu, au refus du personnel des centres de santé devant le faible poids de naissance, la fièvre et l’ictère néonatal ainsi que la longue durée d’hospitalisation et le manque d’éducation des parents. À travers cette étude, on constate que la vaccination des nouveau-nés prématurés est retardée par rapport au nouveau-né à terme, ce retard revient principalement à la réticence du personnel de soin vis-à-vis de la vaccination des prématurés et des faibles poids de naissance puis à la longue durée d’hospitalisation. Ceci constitue un problème majeur vu la fréquence élevée des infections chez cette population. De ce fait, il est nécessaire d’actualiser les connaissances chez le personnel soignant et d’établir des recommandations claires concernant la vaccination des nouveau-nés prématurés et de faible poids de naissance. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.239-243
Titre : Le retard de la vaccination chez les nouveau-nés prématurés anciennement hospitalisés au service de néonatologie et de réanimation néonatale, CHU Mohammed VI Oujda, Maroc Type de document : revue Auteurs : S. Messaoudi, Auteur ; M. Azizi, Auteur ; A. Ayyad, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.239-243 Langues : Français Mots-clés : immunisation
prématuré
vaccinationRésumé : La prématurité et le poids de naissance ne constituent pas des facteurs limitant au calendrier vaccinal. Les vaccins doivent être administrés selon l’âge chronologique et non selon l’âge corrigé de l’enfant. Les décrets de la pratique du BCG ne mentionnent pas la prématurité parmi les contre-indications. Il s’agit d’une étude rétrospective, auprès de 51 nouveau-nés prématurés vivants, menée au service de néonatologie et de réanimation néonatale, s’étalant sur une durée de 28 mois, allant du 01/2017 au 04/2019. Notre objectif est d’attirer l’attention sur les causes du retard de la vaccination chez les prématurés et de comparer nos données avec les résultats de la littérature. L’âge gestationnel moyen des nouveau-nés prématurés est de 33,4SA. Le poids moyen était de 2kg. L’âge moyen de la réalisation du 1er vaccin était de 62,56 jours. Les causes du retard de la vaccination reviennent, en premier lieu, au refus du personnel des centres de santé devant le faible poids de naissance, la fièvre et l’ictère néonatal ainsi que la longue durée d’hospitalisation et le manque d’éducation des parents. À travers cette étude, on constate que la vaccination des nouveau-nés prématurés est retardée par rapport au nouveau-né à terme, ce retard revient principalement à la réticence du personnel de soin vis-à-vis de la vaccination des prématurés et des faibles poids de naissance puis à la longue durée d’hospitalisation. Ceci constitue un problème majeur vu la fréquence élevée des infections chez cette population. De ce fait, il est nécessaire d’actualiser les connaissances chez le personnel soignant et d’établir des recommandations claires concernant la vaccination des nouveau-nés prématurés et de faible poids de naissance. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034610 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Phytophotodermatose au panais : à propos d’un cas / M. Voidey in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.33 n°5 (octobre 2020)
[article] Phytophotodermatose au panais : à propos d’un cas [revue] / M. Voidey, Auteur ; A.S. Gauthier, Auteur . - 2020 . - p.244-246.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.244-246
Mots-clés : cas clinique
phytophotodermatoseRésumé : Les phytophotodermatoses sont des éruptions cutanées résultant du contact avec des composés photosensibilisants présents dans diverses plantes et d’une exposition solaire. Nous rapportons le cas d’une phytophotodermatose survenue chez un enfant de 6 mois, 12h après l’ingestion d’une purée de panais cuite prise en extérieure au printemps. Le traitement est essentiellement symptomatique. Des complications à type d’hyperpigmentation cutanée résiduelles sont fréquentes. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.33 n°5 (octobre 2020) . - p.244-246
Titre : Phytophotodermatose au panais : à propos d’un cas Type de document : revue Auteurs : M. Voidey, Auteur ; A.S. Gauthier, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.244-246 Langues : Français Mots-clés : cas clinique
phytophotodermatoseRésumé : Les phytophotodermatoses sont des éruptions cutanées résultant du contact avec des composés photosensibilisants présents dans diverses plantes et d’une exposition solaire. Nous rapportons le cas d’une phytophotodermatose survenue chez un enfant de 6 mois, 12h après l’ingestion d’une purée de panais cuite prise en extérieure au printemps. Le traitement est essentiellement symptomatique. Des complications à type d’hyperpigmentation cutanée résiduelles sont fréquentes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034610 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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00034610 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
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