vol.20 n°5 octobre 2019 vol.20 n°6 décembre 2019 vol.21 n°1 février 2020 vol.21 n°2 avril 2020 vol.21 n°3 juin 2020 vol.21 supplément n°1 - Carrefours de la douleur 2020 juillet 2020 vol.21 n°4 septembre 2020 Douleurs évaluation diagnostic Traitement . vol.21 n°2 Mention de date :  avril 2020 Paru le :  01/03/2020

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Les anti-inflammatoires et SARS-CoV-2 (COVID-19) / Youssef Moutaouakkil in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.21 n°2 (avril 2020)

ISBD Public [article] Les anti-inflammatoires et SARS-CoV-2 (COVID-19) [revue] / Youssef Moutaouakkil, Auteur . - 2020 . - p.47-51. Langues : Français in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.47-51 Mots-clés : anti inflammatoire coronavirus Covid-19 Résumé : À ce jour, les options thérapeutiques pour le COVID-19 sévère restent limitées et il n’existe actuellement aucun médicament ni vaccin efficace pour le traitement ou la prévention du SARS-CoV-2 spécifique pour traiter les patients gravement malades. Une nouvelle stratégie de traitement, en plus de la thérapie antivirale seule, est susceptible d’être nécessaire pour avoir un impact significatif sur les résultats cliniques. Un traitement immunomodulateur pour réguler à la baisse de choc cytokinique peut fournir des informations sur le traitement de COVID-19. L’utilisation combinée d’un agent immunomodulateur avec un agent antiviral peut donner aux médecins plus de temps pour fournir un traitement de soutien aux patients atteints de COVID-19. Dans cette revue de la littérature, les rôles de plusieurs médicaments anti-inflammatoires ont été passés en revue pour explorer leur efficacité dans la lutte contre le SARS-CoV-2. [article]  in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.47-51 Titre : Les anti-inflammatoires et SARS-CoV-2 (COVID-19) Type de document : revue Auteurs : Youssef Moutaouakkil, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.47-51 Langues : Français Mots-clés : anti inflammatoire coronavirus Covid-19 Résumé : À ce jour, les options thérapeutiques pour le COVID-19 sévère restent limitées et il n’existe actuellement aucun médicament ni vaccin efficace pour le traitement ou la prévention du SARS-CoV-2 spécifique pour traiter les patients gravement malades. Une nouvelle stratégie de traitement, en plus de la thérapie antivirale seule, est susceptible d’être nécessaire pour avoir un impact significatif sur les résultats cliniques. Un traitement immunomodulateur pour réguler à la baisse de choc cytokinique peut fournir des informations sur le traitement de COVID-19. L’utilisation combinée d’un agent immunomodulateur avec un agent antiviral peut donner aux médecins plus de temps pour fournir un traitement de soutien aux patients atteints de COVID-19. Dans cette revue de la littérature, les rôles de plusieurs médicaments anti-inflammatoires ont été passés en revue pour explorer leur efficacité dans la lutte contre le SARS-CoV-2.

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Neurochirurgie et douleurs cancéreuses – état des lieux et perspectives / Anne Balossier in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.21 n°2 (avril 2020)

ISBD Public [article] Neurochirurgie et douleurs cancéreuses – état des lieux et perspectives [revue] / Anne Balossier, Auteur ; Vincent d'Hardemare, Auteur ; Romain Chiquet, Auteur ; Nadia Buisset, Auteur ; Jean Régis, Auteur . - 2020 . - p.52-63. Langues : Français in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.52-63 Mots-clés : cancer douleur neurochirurgie neuromodulation Résumé : La prise en charge de la douleur dans la maladie cancéreuse est une mission de santé publique. La majorité des patients atteints de cancer présenteront des douleurs au cours de leur maladie : lors du diagnostic, de l’évolution, ou au stade terminal. Malgré le développement de nouvelles molécules et formes galéniques, ces douleurs demeurent particulièrement réfractaires au traitement médical bien conduit, et la prise en charge de la douleur de cancer reste encore trop souvent sous-optimale. La neurochirurgie de la douleur a connu un premier essor dans la première moitié du XXe siècle grâce aux techniques d’interruption ; plus récemment les techniques de neuromodulation sont apparues, permettant une plus large offre de soin. La variété des méthodes permet d’adapter la prise en charge à la topographie de la douleur, à la valence entre les composantes nociceptive et neuropathique, à l’état général du patient, et à son pronostic vital. Néanmoins, malgré leur grande efficacité, ces techniques restent très largement sous-utilisées, induisant une perte de chance pour le patient. L’enjeu majeur réside dans la coordination des équipes de soin : d’une part, l’implication précoce du neurochirurgien, d’autre part, la connaissance et la démystification de ces techniques par les équipes impliquées dans la prise en charge des patients, aussi bien au niveau oncologique et algologique que chirurgical. [article]  in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.52-63 Titre : Neurochirurgie et douleurs cancéreuses – état des lieux et perspectives Type de document : revue Auteurs : Anne Balossier, Auteur ; Vincent d'Hardemare, Auteur ; Romain Chiquet, Auteur ; Nadia Buisset, Auteur ; Jean Régis, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.52-63 Langues : Français Mots-clés : cancer douleur neurochirurgie neuromodulation Résumé : La prise en charge de la douleur dans la maladie cancéreuse est une mission de santé publique. La majorité des patients atteints de cancer présenteront des douleurs au cours de leur maladie : lors du diagnostic, de l’évolution, ou au stade terminal. Malgré le développement de nouvelles molécules et formes galéniques, ces douleurs demeurent particulièrement réfractaires au traitement médical bien conduit, et la prise en charge de la douleur de cancer reste encore trop souvent sous-optimale. La neurochirurgie de la douleur a connu un premier essor dans la première moitié du XXe siècle grâce aux techniques d’interruption ; plus récemment les techniques de neuromodulation sont apparues, permettant une plus large offre de soin. La variété des méthodes permet d’adapter la prise en charge à la topographie de la douleur, à la valence entre les composantes nociceptive et neuropathique, à l’état général du patient, et à son pronostic vital. Néanmoins, malgré leur grande efficacité, ces techniques restent très largement sous-utilisées, induisant une perte de chance pour le patient. L’enjeu majeur réside dans la coordination des équipes de soin : d’une part, l’implication précoce du neurochirurgien, d’autre part, la connaissance et la démystification de ces techniques par les équipes impliquées dans la prise en charge des patients, aussi bien au niveau oncologique et algologique que chirurgical.

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Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte / Michel Galinski in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.21 n°2 (avril 2020)

ISBD Public [article] Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte [revue] / Michel Galinski, Auteur . - 2020 . - p.64-71. Langues : Français in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.64-71 Mots-clés : douleur évaluation multimodalité urgence Résumé : En médecine d’urgence, la douleur aiguë est une réalité qui concerne la majorité des patients. Il est admis que sa prise en charge est prioritaire du fait de ses effets potentiellement délétères. Cette prise en charge doit être individualisée, c’est-à-dire, adaptée à la douleur, au patient et à la pathologie causale. L’évaluation de la douleur et la mesure de son intensité sont indispensables à une bonne prise en charge mais doivent être adaptées à chaque patient. La prise en charge de la douleur repose sur la multimodalité, utilisant des moyens pharmacologiques et non pharmacologiques avec notamment un accompagnement et une attitude empathique du soignant. La morphine est un antalgique majeur dont l’utilisation pourrait être davantage étendue moyennant des procédures précises et une formation adéquate des soignants. Par ailleurs, les douleurs des soins et des gestes doivent être anticipés. Certains gestes nécessitent une réelle sédation qui doit être parfaitement maîtrisée par les équipes soignantes afin de limiter le risque d’effets indésirables. [article]  in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.21 n°2 (avril 2020) . - p.64-71 Titre : Prise en charge de la douleur aiguë en médecine d’urgence chez l’adulte Type de document : revue Auteurs : Michel Galinski, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.64-71 Langues : Français Mots-clés : douleur évaluation multimodalité urgence Résumé : En médecine d’urgence, la douleur aiguë est une réalité qui concerne la majorité des patients. Il est admis que sa prise en charge est prioritaire du fait de ses effets potentiellement délétères. Cette prise en charge doit être individualisée, c’est-à-dire, adaptée à la douleur, au patient et à la pathologie causale. L’évaluation de la douleur et la mesure de son intensité sont indispensables à une bonne prise en charge mais doivent être adaptées à chaque patient. La prise en charge de la douleur repose sur la multimodalité, utilisant des moyens pharmacologiques et non pharmacologiques avec notamment un accompagnement et une attitude empathique du soignant. La morphine est un antalgique majeur dont l’utilisation pourrait être davantage étendue moyennant des procédures précises et une formation adéquate des soignants. Par ailleurs, les douleurs des soins et des gestes doivent être anticipés. Certains gestes nécessitent une réelle sédation qui doit être parfaitement maîtrisée par les équipes soignantes afin de limiter le risque d’effets indésirables.

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