Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Douleurs évaluation diagnostic Traitement . vol.20 n°6Mention de date : décembre 2019Paru le : 01/11/2019 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOpioïdes forts, opioïdes faibles, quelle utilisation en 2019 ? / Noémie Delage in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.20 n°6 (décembre 2019)
[article] Opioïdes forts, opioïdes faibles, quelle utilisation en 2019 ? [revue] / Noémie Delage, Auteur ; Pierre Brillaxis, Auteur ; William Lowenstein, Auteur . - 2019 . - p.265-271.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.265-271
Mots-clés : mésusage
métabolisme
opioïde
recommandationRésumé : Les opioïdes faibles et forts appartiennent à une catégorie de médicaments faisant l’objet d’une actualité particulièrement riche. De façon régulière, études, recommandations ou autres rapports viennent s’intéresser à ces molécules, que ce soit en termes d’efficacité, de tolérance ou de mésusage. Point culminant de l’actualité, la publication en février 2019 d’un rapport de l’ANSM sur les usages problématiques des antalgiques opioïdes. La situation outre-Atlantique inquiète quant à une possible crise des opioïdes en France. Le document de l’Agence de sécurité sanitaire dresse un tableau récent de la situation française, mettant particulièrement l’accent sur les risques trop souvent négligés des opioïdes faibles (tramadol, codéine, poudre d’opium, etc.). Nous avions, dans le passé, amorcé un travail de réflexion sur la place respective des opioïdes faibles et forts. Ce premier article, publié en 2017, nous semble désormais mériter une mise à jour tenant compte des recommandations et données d’études les plus récentes. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.265-271
Titre : Opioïdes forts, opioïdes faibles, quelle utilisation en 2019 ? Type de document : revue Auteurs : Noémie Delage, Auteur ; Pierre Brillaxis, Auteur ; William Lowenstein, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.265-271 Langues : Français Mots-clés : mésusage
métabolisme
opioïde
recommandationRésumé : Les opioïdes faibles et forts appartiennent à une catégorie de médicaments faisant l’objet d’une actualité particulièrement riche. De façon régulière, études, recommandations ou autres rapports viennent s’intéresser à ces molécules, que ce soit en termes d’efficacité, de tolérance ou de mésusage. Point culminant de l’actualité, la publication en février 2019 d’un rapport de l’ANSM sur les usages problématiques des antalgiques opioïdes. La situation outre-Atlantique inquiète quant à une possible crise des opioïdes en France. Le document de l’Agence de sécurité sanitaire dresse un tableau récent de la situation française, mettant particulièrement l’accent sur les risques trop souvent négligés des opioïdes faibles (tramadol, codéine, poudre d’opium, etc.). Nous avions, dans le passé, amorcé un travail de réflexion sur la place respective des opioïdes faibles et forts. Ce premier article, publié en 2017, nous semble désormais mériter une mise à jour tenant compte des recommandations et données d’études les plus récentes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033772 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Qu’en est-il de la conversion en clinique de la douleur ? / Bertrand Lionet in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.20 n°6 (décembre 2019)
[article] Qu’en est-il de la conversion en clinique de la douleur ? [revue] / Bertrand Lionet, Auteur ; Amaury Marecaux, Auteur . - 2019 . - p.272-278.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.272-278
Mots-clés : classification
conversion
douleurRésumé : À l’intérieur des troubles nociplastiques, la conversion occupe une place particulière. Il s’agit d’un concept ancien et mouvant tant dans sa compréhension que dans son expression. Tenter de saisir la conversion en clinique de la douleur nécessite d’en aborder les fondements et les contours sémiologiques avant de la considérer dans ses modes d’expression actuels. Sa définition par le DSM IV-TR, puis par le DSM5 évolue. Plutôt que de définir la conversion par la négative et l’absence d’une authentification somatique du trouble c’est l’évaluation de la charge psychique associée ou la cohérence entre la pathologie et l’expression de la plainte douloureuse qui sont prises en compte. La CIM10, actuelle classification de l’OMS, insiste davantage sur les troubles psychiques intermittents et sur la part intersubjective des symptômes de conversion. D’un autre côté, les avancées en imagerie cérébrales réalisées ces vingt dernières années permettent de mieux saisir les mécanismes neuropsychologiques et psychologiques impliqués. Ces avancées ont redonné du crédit à un trouble qui était trop souvent pensé comme imaginaire ou intentionnel. Mais peut-on pour autant s’acquitter de la dimension imaginaire de la conversion, portée par les représentations individuelles ou sociales de la maladie ? La conversion c’est aussi une certaine logique du symptôme, malléable, suggestible, sensible aux effets du contexte et notamment de la rencontre entre soignant et soigné. À travers cet article, nous proposons de parcourir les différents modèles de compréhension de la conversion au regard de la pratique en consultation douleur en en consultation médicopsychologique. Nous verrons comment la conversion interpelle les limites de chaque modèle et rappelle la nécessité d’une approche pluriprofessionnelle des situations rencontrées. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.272-278
Titre : Qu’en est-il de la conversion en clinique de la douleur ? Type de document : revue Auteurs : Bertrand Lionet, Auteur ; Amaury Marecaux, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.272-278 Langues : Français Mots-clés : classification
conversion
douleurRésumé : À l’intérieur des troubles nociplastiques, la conversion occupe une place particulière. Il s’agit d’un concept ancien et mouvant tant dans sa compréhension que dans son expression. Tenter de saisir la conversion en clinique de la douleur nécessite d’en aborder les fondements et les contours sémiologiques avant de la considérer dans ses modes d’expression actuels. Sa définition par le DSM IV-TR, puis par le DSM5 évolue. Plutôt que de définir la conversion par la négative et l’absence d’une authentification somatique du trouble c’est l’évaluation de la charge psychique associée ou la cohérence entre la pathologie et l’expression de la plainte douloureuse qui sont prises en compte. La CIM10, actuelle classification de l’OMS, insiste davantage sur les troubles psychiques intermittents et sur la part intersubjective des symptômes de conversion. D’un autre côté, les avancées en imagerie cérébrales réalisées ces vingt dernières années permettent de mieux saisir les mécanismes neuropsychologiques et psychologiques impliqués. Ces avancées ont redonné du crédit à un trouble qui était trop souvent pensé comme imaginaire ou intentionnel. Mais peut-on pour autant s’acquitter de la dimension imaginaire de la conversion, portée par les représentations individuelles ou sociales de la maladie ? La conversion c’est aussi une certaine logique du symptôme, malléable, suggestible, sensible aux effets du contexte et notamment de la rencontre entre soignant et soigné. À travers cet article, nous proposons de parcourir les différents modèles de compréhension de la conversion au regard de la pratique en consultation douleur en en consultation médicopsychologique. Nous verrons comment la conversion interpelle les limites de chaque modèle et rappelle la nécessité d’une approche pluriprofessionnelle des situations rencontrées. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033772 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible La chirurgie de la douleur / Alain Serrie in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.20 n°6 (décembre 2019)
[article] La chirurgie de la douleur [revue] / Alain Serrie, Auteur . - 2019 . - p.279-290.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.279-290
Mots-clés : chirurgie
douleurRésumé : Pratiquée depuis la plus haute antiquité, réduite pendant plusieurs millénaires à la simple « trépanation » qui permettait aux esprits maléfiques responsables de s’échapper du corps, la chirurgie de la douleur n’a véritablement pris son essor qu’à la fin du XIXe siècle avec le développement des connaissances dans les domaines de la neuro-anatomie, de la neuro-physiologie et bien évidemment aussi grâce aux progrès de la technique et de l’anesthésiologie. Dès lors, devant des douleurs chroniques irréductibles la fin allait justifier tous les moyens et une multitude de modalités thérapeutiques allait être proposée, allant de la simple section des nerfs périphériques jusqu’à la psycho-chirurgie qui a connu ses heures de gloire il n’y a pas si longtemps, mais dont l’action antalgique n’était acquise qu’au prix d’une atteinte des fonctions mentales, du pragmatisme, et plus généralement de la personnalité qui était à jamais mutilée. La profusion des techniques proposées, l’excès des indications à tous les types de douleurs rebelles, quelles qu’en soient la nature et l’origine allait aboutir à un scepticisme compréhensible et à une « crise de confiance » quant à l’efficacité, voire même la justification de cette chirurgie de la douleur. Cette suspicion légitime allait en outre être confortée par les progrès spectaculaires des traitements étiologiques de la plupart des affections causales, ainsi que par l’efficacité toujours croissante des médications à visée antalgique qui allait réduire de façon considérable les indications « classiques » de la chirurgie de la douleur. À l’heure actuelle néanmoins, cette chirurgie conserve des indications exemplaires, non seulement dans le traitement de certaines douleurs cancéreuses irréductibles, mais aussi dans des affections bénignes chroniques et il semble même que ces indications deviennent plus fréquentes, en raison du fait que dans nombre de cas des techniques percutanées peuvent remplacer la chirurgie « à ciel ouvert ». D’emblée, il faut souligner que sur un plan général deux approches fondamentalement opposées caractérisent la chirurgie de la douleur : les techniques d’interruption des voies de la douleur ; les méthodes d’électrostimulation analgésique tendant à renforcer les mécanismes inhibiteurs physiologiques. À ces deux grands chapitres, il faut à l’heure actuelle ajouter, bien que ce soit à la limite de la chirurgie, les nouvelles voies d’administration de molécules antalgiques. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.279-290
Titre : La chirurgie de la douleur Type de document : revue Auteurs : Alain Serrie, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.279-290 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
douleurRésumé : Pratiquée depuis la plus haute antiquité, réduite pendant plusieurs millénaires à la simple « trépanation » qui permettait aux esprits maléfiques responsables de s’échapper du corps, la chirurgie de la douleur n’a véritablement pris son essor qu’à la fin du XIXe siècle avec le développement des connaissances dans les domaines de la neuro-anatomie, de la neuro-physiologie et bien évidemment aussi grâce aux progrès de la technique et de l’anesthésiologie. Dès lors, devant des douleurs chroniques irréductibles la fin allait justifier tous les moyens et une multitude de modalités thérapeutiques allait être proposée, allant de la simple section des nerfs périphériques jusqu’à la psycho-chirurgie qui a connu ses heures de gloire il n’y a pas si longtemps, mais dont l’action antalgique n’était acquise qu’au prix d’une atteinte des fonctions mentales, du pragmatisme, et plus généralement de la personnalité qui était à jamais mutilée. La profusion des techniques proposées, l’excès des indications à tous les types de douleurs rebelles, quelles qu’en soient la nature et l’origine allait aboutir à un scepticisme compréhensible et à une « crise de confiance » quant à l’efficacité, voire même la justification de cette chirurgie de la douleur. Cette suspicion légitime allait en outre être confortée par les progrès spectaculaires des traitements étiologiques de la plupart des affections causales, ainsi que par l’efficacité toujours croissante des médications à visée antalgique qui allait réduire de façon considérable les indications « classiques » de la chirurgie de la douleur. À l’heure actuelle néanmoins, cette chirurgie conserve des indications exemplaires, non seulement dans le traitement de certaines douleurs cancéreuses irréductibles, mais aussi dans des affections bénignes chroniques et il semble même que ces indications deviennent plus fréquentes, en raison du fait que dans nombre de cas des techniques percutanées peuvent remplacer la chirurgie « à ciel ouvert ». D’emblée, il faut souligner que sur un plan général deux approches fondamentalement opposées caractérisent la chirurgie de la douleur : les techniques d’interruption des voies de la douleur ; les méthodes d’électrostimulation analgésique tendant à renforcer les mécanismes inhibiteurs physiologiques. À ces deux grands chapitres, il faut à l’heure actuelle ajouter, bien que ce soit à la limite de la chirurgie, les nouvelles voies d’administration de molécules antalgiques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033772 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible L’apport de l’acupuncture dans l’analgésie postopératoire de la chirurgie prothétique du genou / Khaireddine Raddaoui in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.20 n°6 (décembre 2019)
[article] L’apport de l’acupuncture dans l’analgésie postopératoire de la chirurgie prothétique du genou [revue] / Khaireddine Raddaoui, Auteur ; Mohamed Radhouani, Auteur ; Karima Zoghlami, Auteur ; Emna Trigui, Auteur ; Tahani Hannachi, Auteur ; Olfa Kaabachi, Auteur . - 2019 . - p.291-297.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.291-297
Mots-clés : acupuncture
analgésie
douleur postopératoire
PTG prothèse totale du genouRésumé : La chirurgie prothétique du genou est une chirurgie très douloureuse en postopératoire nécessitant une analgésie multimodale systémique, associée à une analgésie par cathéter périnerveux dont la gestion est astreignante pour l’équipe paramédicale. Afin de faciliter la gestion de l’analgésie postopératoire et de réduire les complications liées aux cathéters périnerveux de la médecine alternative, tels que l’acupuncture, est de plus en plus étudiée avec des résultats controversés. Le but de cette étude était d’évaluer l’intérêt de l’électro-acupuncture dans la gestion de l’analgésie postopératoire pour chirurgie prothétique du genou. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.20 n°6 (décembre 2019) . - p.291-297
Titre : L’apport de l’acupuncture dans l’analgésie postopératoire de la chirurgie prothétique du genou Type de document : revue Auteurs : Khaireddine Raddaoui, Auteur ; Mohamed Radhouani, Auteur ; Karima Zoghlami, Auteur ; Emna Trigui, Auteur ; Tahani Hannachi, Auteur ; Olfa Kaabachi, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.291-297 Langues : Français Mots-clés : acupuncture
analgésie
douleur postopératoire
PTG prothèse totale du genouRésumé : La chirurgie prothétique du genou est une chirurgie très douloureuse en postopératoire nécessitant une analgésie multimodale systémique, associée à une analgésie par cathéter périnerveux dont la gestion est astreignante pour l’équipe paramédicale. Afin de faciliter la gestion de l’analgésie postopératoire et de réduire les complications liées aux cathéters périnerveux de la médecine alternative, tels que l’acupuncture, est de plus en plus étudiée avec des résultats controversés. Le but de cette étude était d’évaluer l’intérêt de l’électro-acupuncture dans la gestion de l’analgésie postopératoire pour chirurgie prothétique du genou. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033772 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00033772 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact