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Ajouter le résultat dans votre panierLa coiffe au bloc opératoire : outil de prévention ou accessoire de mode ? / Gabriel Birgand in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] La coiffe au bloc opératoire : outil de prévention ou accessoire de mode ? [revue] / Gabriel Birgand, Auteur ; jean Christophe Lucet, Auteur ; Hélène Beloeil, Auteur ; Karine Astruc, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-Glélé, Auteur . - 2019 . - p.269-276.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.269-276
Mots-clés : bloc opératoire
coiffe
ISO infection du site opératoire
professionnel de santéRésumé : La tenue du personnel est un sujet récurrent de maîtrise de l’environnement au bloc opératoire. Ce domaine n’a pas généré de réel intérêt scientifique pendant de nombreuses années. Malgré cela, des débats passionnés existent autour de la coiffe chirurgicale, basés principalement sur des critères esthétiques. En 2016, l’Association américaine des infirmier(e)s de bloc opératoire a publié des recommandations sur la tenue au bloc opératoire, préconisant notamment une coiffe couvrant la tête, les cheveux et les oreilles. Ces recommandations ont généré une large controverse, par l’interprétation de la nécessité du port de charlotte par le personnel sur le champ opératoire, abolissant le port du rituel calot par les chirurgiens. Six études ont alors été menées, dans des spécialités chirurgicales variables, principalement rétrospectives ou quasi expérimentales, de manière à établir une évidence dans ce domaine. Aucune d’entre elles ne concluait à un avantage de la coiffe recouvrant l’ensemble des cheveux et des oreilles de type « charlotte ». Il n’est pas non plus établi qu’une coiffe à usage unique soit plus efficace qu’une coiffe réutilisable pour limiter la transmission de particules en salle d’intervention. Ces résultats doivent être modérés par de nombreux biais méthodologiques. De manière pragmatique, il est crucial de concentrer nos efforts de prévention des infections du site opératoire sur l’observance des mesures à fort impact, tout en restant rigoureux et cohérent sur celles qui font moins l’objet d’évidence. Dans l’état actuel des connaissances, aucun type de coiffe ne peut être privilégié. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.269-276
Titre : La coiffe au bloc opératoire : outil de prévention ou accessoire de mode ? Type de document : revue Auteurs : Gabriel Birgand, Auteur ; jean Christophe Lucet, Auteur ; Hélène Beloeil, Auteur ; Karine Astruc, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-Glélé, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.269-276 Langues : Français Mots-clés : bloc opératoire
coiffe
ISO infection du site opératoire
professionnel de santéRésumé : La tenue du personnel est un sujet récurrent de maîtrise de l’environnement au bloc opératoire. Ce domaine n’a pas généré de réel intérêt scientifique pendant de nombreuses années. Malgré cela, des débats passionnés existent autour de la coiffe chirurgicale, basés principalement sur des critères esthétiques. En 2016, l’Association américaine des infirmier(e)s de bloc opératoire a publié des recommandations sur la tenue au bloc opératoire, préconisant notamment une coiffe couvrant la tête, les cheveux et les oreilles. Ces recommandations ont généré une large controverse, par l’interprétation de la nécessité du port de charlotte par le personnel sur le champ opératoire, abolissant le port du rituel calot par les chirurgiens. Six études ont alors été menées, dans des spécialités chirurgicales variables, principalement rétrospectives ou quasi expérimentales, de manière à établir une évidence dans ce domaine. Aucune d’entre elles ne concluait à un avantage de la coiffe recouvrant l’ensemble des cheveux et des oreilles de type « charlotte ». Il n’est pas non plus établi qu’une coiffe à usage unique soit plus efficace qu’une coiffe réutilisable pour limiter la transmission de particules en salle d’intervention. Ces résultats doivent être modérés par de nombreux biais méthodologiques. De manière pragmatique, il est crucial de concentrer nos efforts de prévention des infections du site opératoire sur l’observance des mesures à fort impact, tout en restant rigoureux et cohérent sur celles qui font moins l’objet d’évidence. Dans l’état actuel des connaissances, aucun type de coiffe ne peut être privilégié. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier / Sophie Baranovsky in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier [revue] / Sophie Baranovsky, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; C. Dupont, Auteur ; Sylvie Parer, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur . - 2019 . - p.277-284.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.277-284
Mots-clés : bactérie
diffusion
environnement
hôpital
microbiologie
risque infectieuxRésumé : Malgré des publications récentes très significatives, les démarches pour établir des recommandations basées sur la preuve et les méta-analyses dans le domaine du risque environnemental hospitalier se heurtent à la faiblesse des liens de causalité. Dans cet article, nous posons et discutons l’hypothèse qu’une microbiologie de l’environnement hospitalier intégrant peu à peu la complexité de l’écologie microbienne pourrait permettre une meilleure compréhension des mécanismes de transmission des infections associées aux soins (IAS) impliquant l’environnement, et donc une meilleure argumentation sur les mesures à mettre en œuvre. Cette mise au point, non exhaustive, pose les questions 1) de l’existence, au sein des espèces de bactéries responsables d’IAS, d’écotypes bactériens spécialisés dans l’écosystème hospitalier incluant le patient ; 2) du rôle de la variabilité et de la biodiversité des pathogènes hospitaliers dans leur succès épidémique et leur succès d’implantation grâce à une « assurance collective » ; 3) d’un changement de paradigme, en considérant comme unité de transmission nosocomiale non pas la souche pathogène isolée mais l’ensemble des génotypes à risque chez le patient et dans son environnement hospitalier ; 4) par conséquent, de la pertinence de la surveillance microbiologique de l’environnement telle qu’elle est réalisée aujourd’hui. Le challenge est aujourd’hui la confrontation des données microbiologiques aux situations clinico-épidémiques, afin de déterminer des indicateurs clinico-environnementaux permettant d’évaluer précisément le risque infectieux. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.277-284
Titre : Infections associées aux soins : prise en compte de la complexité des populations bactériennes dans l’environnement hospitalier Type de document : revue Auteurs : Sophie Baranovsky, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Patricia Licznar-Fajardo, Auteur ; C. Dupont, Auteur ; Sylvie Parer, Auteur ; Estelle Jumas-Bilak, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.277-284 Langues : Français Mots-clés : bactérie
diffusion
environnement
hôpital
microbiologie
risque infectieuxRésumé : Malgré des publications récentes très significatives, les démarches pour établir des recommandations basées sur la preuve et les méta-analyses dans le domaine du risque environnemental hospitalier se heurtent à la faiblesse des liens de causalité. Dans cet article, nous posons et discutons l’hypothèse qu’une microbiologie de l’environnement hospitalier intégrant peu à peu la complexité de l’écologie microbienne pourrait permettre une meilleure compréhension des mécanismes de transmission des infections associées aux soins (IAS) impliquant l’environnement, et donc une meilleure argumentation sur les mesures à mettre en œuvre. Cette mise au point, non exhaustive, pose les questions 1) de l’existence, au sein des espèces de bactéries responsables d’IAS, d’écotypes bactériens spécialisés dans l’écosystème hospitalier incluant le patient ; 2) du rôle de la variabilité et de la biodiversité des pathogènes hospitaliers dans leur succès épidémique et leur succès d’implantation grâce à une « assurance collective » ; 3) d’un changement de paradigme, en considérant comme unité de transmission nosocomiale non pas la souche pathogène isolée mais l’ensemble des génotypes à risque chez le patient et dans son environnement hospitalier ; 4) par conséquent, de la pertinence de la surveillance microbiologique de l’environnement telle qu’elle est réalisée aujourd’hui. Le challenge est aujourd’hui la confrontation des données microbiologiques aux situations clinico-épidémiques, afin de déterminer des indicateurs clinico-environnementaux permettant d’évaluer précisément le risque infectieux. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Évaluation de la prise en charge des cas d’infection à Clostridium difficile dans les Ehpad de Bourgogne Franche-Comté / Hélène Benoît in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Évaluation de la prise en charge des cas d’infection à Clostridium difficile dans les Ehpad de Bourgogne Franche-Comté [revue] / Hélène Benoît, Auteur ; Sandrine Osseby, Auteur ; Graziella Guerre, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-Glélé, Auteur ; Michel Tiv, Auteur . - 2019 . - p.286-290.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.286-290
Mots-clés : clostridium
contact
diagnostic
EHPAD établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
précautionRésumé : L’objectif de cette étude était d’évaluer la gestion des cas d’infection à Clostridium difficile (ICD) dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de Bourgogne Franche-Comté. Méthode. Une étude transversale à visée descriptive a été réalisée en juin 2017 au travers d’un questionnaire d’évaluation envoyé à 40 Ehpad tirés au sort. Résultats. Trente-neuf ont retourné le questionnaire dont 19 établissements publics. La capacité d’accueil médiane des Ehpad participants était de 68 lits. Concernant l’évaluation des précautions complémentaires contact (PCC), 13% des Ehpad placent ou laissent les résidents infectés par C. difficile en chambre double ; 49% réalisent un lavage simple suivi d’une friction hydro-alcoolique ; 95% recommandent le port de gants et 74% le port de la surblouse ou du tablier plastique à usage unique ; le nettoyage des bassins et des seaux de chaise percée est dans 26% des cas non conforme avec l’utilisation de douchette ; l’entretien quotidien de la chambre est réalisé avec de l’hypochlorite de sodium dans 69% des cas et les 3 temps du bionettoyage ne sont pas systématiques. Concernant le diagnostic biologique, les Ehpad semblent avoir des difficultés vis-à-vis des tests effectués et dans leur interprétation. Conclusion. Cette étude montre qu’il persiste une inadéquation entre les recommandations en cas d’ICD et les pratiques au sein des Ehpad pour la mise en place des PCC et des modalités de diagnostic. Des actions de sensibilisation et d’information restent nécessaires. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.286-290
Titre : Évaluation de la prise en charge des cas d’infection à Clostridium difficile dans les Ehpad de Bourgogne Franche-Comté Type de document : revue Auteurs : Hélène Benoît, Auteur ; Sandrine Osseby, Auteur ; Graziella Guerre, Auteur ; Ludwig-Serge Aho-Glélé, Auteur ; Michel Tiv, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.286-290 Langues : Français Mots-clés : clostridium
contact
diagnostic
EHPAD établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
précautionRésumé : L’objectif de cette étude était d’évaluer la gestion des cas d’infection à Clostridium difficile (ICD) dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de Bourgogne Franche-Comté. Méthode. Une étude transversale à visée descriptive a été réalisée en juin 2017 au travers d’un questionnaire d’évaluation envoyé à 40 Ehpad tirés au sort. Résultats. Trente-neuf ont retourné le questionnaire dont 19 établissements publics. La capacité d’accueil médiane des Ehpad participants était de 68 lits. Concernant l’évaluation des précautions complémentaires contact (PCC), 13% des Ehpad placent ou laissent les résidents infectés par C. difficile en chambre double ; 49% réalisent un lavage simple suivi d’une friction hydro-alcoolique ; 95% recommandent le port de gants et 74% le port de la surblouse ou du tablier plastique à usage unique ; le nettoyage des bassins et des seaux de chaise percée est dans 26% des cas non conforme avec l’utilisation de douchette ; l’entretien quotidien de la chambre est réalisé avec de l’hypochlorite de sodium dans 69% des cas et les 3 temps du bionettoyage ne sont pas systématiques. Concernant le diagnostic biologique, les Ehpad semblent avoir des difficultés vis-à-vis des tests effectués et dans leur interprétation. Conclusion. Cette étude montre qu’il persiste une inadéquation entre les recommandations en cas d’ICD et les pratiques au sein des Ehpad pour la mise en place des PCC et des modalités de diagnostic. Des actions de sensibilisation et d’information restent nécessaires. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Objectif zéro bijou : une campagne efficace au centre hospitalier Métropole Savoie / Virginie Forget in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Objectif zéro bijou : une campagne efficace au centre hospitalier Métropole Savoie [revue] / Virginie Forget, Auteur ; Aurélie Fourneret-Vivier, Auteur ; Corinne Vuillermet, Auteur ; Emmanuel Forestier, Auteur ; Marie-Gabrielle Demange, Auteur ; Marie-Laure Ravry, Auteur ; Suzanne Meyer, Auteur ; Sylvia Gotteland, Auteur ; Marion Levast, Auteur ; Franck-Olivier Mallaval, Auteur . - 2019 . - p.291-295.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.291-295
Mots-clés : bijou
communication
hygiène des mains
professionnel de santé
recommandation
sensibilisationRésumé : L’objectif de la campagne était de réduire le port des bijoux (sur les mains et les poignets), de faux ongles, et de vernis à ongles par les soignants. Méthode. Une étude avant/après a été réalisée auprès du personnel du centre hospitalier Métropole Savoie (CHMS), sur le site de Chambéry (1 167 lits). La prévalence du port de bijoux, de vernis à ongles, et de faux ongles a été auditée (T0). Une campagne de sensibilisation utilisant différents outils a été menée. La prévalence a été ré-auditée à 3 mois (T1) et à 1 an (T2) post-campagne. Résultats. À T0, 512 (41,5%) membres du personnel portaient des bijoux, dont l’alliance majoritairement (25,6%). À T1, 213 (16,9%) membres du personnel portaient des bijoux (-59,3%, p<0,05), à T2, 171 en portaient (14,7%). En 2016, dans le pôle hébergement, 9 membres du personnel portaient des bijoux (6,5%), en 2017, dans le pôle chirurgie, 44 membres du personnel en portaient (15,6%). Conclusion. La reproductibilité de cette campagne efficace a été évaluée sur l’autre site du CHMS. Celle-ci pourrait être utilisée dans d’autres établissements, afin que l’absence de bijou soit respectée, pour une bonne hygiène des mains. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.291-295
Titre : Objectif zéro bijou : une campagne efficace au centre hospitalier Métropole Savoie Type de document : revue Auteurs : Virginie Forget, Auteur ; Aurélie Fourneret-Vivier, Auteur ; Corinne Vuillermet, Auteur ; Emmanuel Forestier, Auteur ; Marie-Gabrielle Demange, Auteur ; Marie-Laure Ravry, Auteur ; Suzanne Meyer, Auteur ; Sylvia Gotteland, Auteur ; Marion Levast, Auteur ; Franck-Olivier Mallaval, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.291-295 Langues : Français Mots-clés : bijou
communication
hygiène des mains
professionnel de santé
recommandation
sensibilisationRésumé : L’objectif de la campagne était de réduire le port des bijoux (sur les mains et les poignets), de faux ongles, et de vernis à ongles par les soignants. Méthode. Une étude avant/après a été réalisée auprès du personnel du centre hospitalier Métropole Savoie (CHMS), sur le site de Chambéry (1 167 lits). La prévalence du port de bijoux, de vernis à ongles, et de faux ongles a été auditée (T0). Une campagne de sensibilisation utilisant différents outils a été menée. La prévalence a été ré-auditée à 3 mois (T1) et à 1 an (T2) post-campagne. Résultats. À T0, 512 (41,5%) membres du personnel portaient des bijoux, dont l’alliance majoritairement (25,6%). À T1, 213 (16,9%) membres du personnel portaient des bijoux (-59,3%, p<0,05), à T2, 171 en portaient (14,7%). En 2016, dans le pôle hébergement, 9 membres du personnel portaient des bijoux (6,5%), en 2017, dans le pôle chirurgie, 44 membres du personnel en portaient (15,6%). Conclusion. La reproductibilité de cette campagne efficace a été évaluée sur l’autre site du CHMS. Celle-ci pourrait être utilisée dans d’autres établissements, afin que l’absence de bijou soit respectée, pour une bonne hygiène des mains. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Gestion d’une épidémie à bactérie hautement résistante émergente dans un service de médecine / Julie Lizon in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Gestion d’une épidémie à bactérie hautement résistante émergente dans un service de médecine [revue] / Julie Lizon, Auteur ; Anaïs Colas, Auteur ; Laurie Renaudin, Auteur ; Arnaud Florentin, Auteur . - 2019 . - p.296-299.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.296-299
Mots-clés : BHRe bactérie hautement résistante aux antibiotiques émergentes
entérocoque
épidémie
étranger
hôpital
hospitalisationRésumé : Un service de médecine de 20 lits du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) a été confronté à une épidémie d’Enterococcus faecium Van A (ERV). L’épidémie s’est étalée sur cinq semaines durant l’été 2017. Le premier cas d’ERV a été découvert sur un prélèvement rectal datant du 1er septembre 2017. Nous avons recherché les patients contacts (PC) depuis la date d’admission du cas index au CHRU. Les mesures spécifiques sont mises en place pour ce patient et les PC. Après lancement des dépistages, neuf cas secondaires sont détectés. Une cellule de crise décide de maintenir le « cohorting » initialement mis en place dans le secteur conventionnel, de fermer les lits dans les chambres doubles et de renforcer la formation des soignants aux précautions standard. Après investigations, le patient index était le premier cas découvert. Il a été hospitalisé en Algérie trois mois avant son admission et cela n’avait pas été pris en compte lors de sa prise en charge initiale. Les neuf cas secondaires ont été générés avant la mise en place des mesures spécifiques. Suite à cet épisode, une sensibilisation des soignants à la politique locale de dépistage est réalisée, concernant notamment la recherche systématique à l’admission des antécédents d’hospitalisation à l’étranger dans l’année. Cette mesure est désormais rappelée tous les six mois auprès des internes et des nouveaux arrivants (assistants, praticiens hospitaliers). Cette expérience rappelle que la détection des patients à risque de portage d’une BHRe est un élément primordial pour maîtriser la diffusion de ces dernières au sein d’un établissement, en complément des autres mesures. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.296-299
Titre : Gestion d’une épidémie à bactérie hautement résistante émergente dans un service de médecine Type de document : revue Auteurs : Julie Lizon, Auteur ; Anaïs Colas, Auteur ; Laurie Renaudin, Auteur ; Arnaud Florentin, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.296-299 Langues : Français Mots-clés : BHRe bactérie hautement résistante aux antibiotiques émergentes
entérocoque
épidémie
étranger
hôpital
hospitalisationRésumé : Un service de médecine de 20 lits du centre hospitalier régional universitaire (CHRU) a été confronté à une épidémie d’Enterococcus faecium Van A (ERV). L’épidémie s’est étalée sur cinq semaines durant l’été 2017. Le premier cas d’ERV a été découvert sur un prélèvement rectal datant du 1er septembre 2017. Nous avons recherché les patients contacts (PC) depuis la date d’admission du cas index au CHRU. Les mesures spécifiques sont mises en place pour ce patient et les PC. Après lancement des dépistages, neuf cas secondaires sont détectés. Une cellule de crise décide de maintenir le « cohorting » initialement mis en place dans le secteur conventionnel, de fermer les lits dans les chambres doubles et de renforcer la formation des soignants aux précautions standard. Après investigations, le patient index était le premier cas découvert. Il a été hospitalisé en Algérie trois mois avant son admission et cela n’avait pas été pris en compte lors de sa prise en charge initiale. Les neuf cas secondaires ont été générés avant la mise en place des mesures spécifiques. Suite à cet épisode, une sensibilisation des soignants à la politique locale de dépistage est réalisée, concernant notamment la recherche systématique à l’admission des antécédents d’hospitalisation à l’étranger dans l’année. Cette mesure est désormais rappelée tous les six mois auprès des internes et des nouveaux arrivants (assistants, praticiens hospitaliers). Cette expérience rappelle que la détection des patients à risque de portage d’une BHRe est un élément primordial pour maîtriser la diffusion de ces dernières au sein d’un établissement, en complément des autres mesures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Bactéries hautement résistantes émergentes : les traquer au fond des toilettes ! / Marie-Laure Lier in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Bactéries hautement résistantes émergentes : les traquer au fond des toilettes ! [revue] / Marie-Laure Lier, Auteur ; Laurent Cavalié, Auteur ; Patrick Duchein, Auteur ; Julien Lacombe, Auteur ; Sophie Vandesteene, Auteur . - 2019 . - p.301-304.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.301-304
Mots-clés : BHRe bactérie hautement résistante aux antibiotiques émergentes
dépistage
environnement
transmissionRésumé : Huit patients du même service ont été identifiés porteurs de la même souche de Klebsiella pneumoniae NDM entre janvier 2016 et janvier 2018. Nous décrivons l’investigation de cette épidémie. Matériel et méthodes. Une courbe épidémique et un tableau synoptique ont permis de décrire l’épisode. L’investigation a été réalisée à partir de prélèvements microbiologiques cliniques et de dépistage, des dossiers patients, de prélèvements environnementaux ainsi que d’un audit des organisations et des pratiques. Résultats. Entre le 5 septembre et le 31 décembre 2017, 7 cas de colonisation ou d’infection à K. pneumoniae NDM ont été signalés par le même service ; une souche identique a déjà été isolée en 2016. Les patients ont tous séjourné dans la même chambre du service. Les principaux résultats de l’investigation montrent des locaux extrêmement vétustes, une insuffisance de leur entretien et des défauts de respect des précautions standard. La souche de K. pneumoniae NDM est finalement retrouvée dans le tartre de la cuvette des toilettes. Conclusion. Dans ce type d’épisode, l’enquêteur doit avoir à l’esprit les nombreux aléas susceptibles de compliquer ses investigations. L’origine de la contamination du cas index n’a pas été identifiée. Tout patient peut-être porteur de BMR voire de BHRe, ce qui justifie pleinement d’un haut niveau d’application des précautions standard. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.301-304
Titre : Bactéries hautement résistantes émergentes : les traquer au fond des toilettes ! Type de document : revue Auteurs : Marie-Laure Lier, Auteur ; Laurent Cavalié, Auteur ; Patrick Duchein, Auteur ; Julien Lacombe, Auteur ; Sophie Vandesteene, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.301-304 Langues : Français Mots-clés : BHRe bactérie hautement résistante aux antibiotiques émergentes
dépistage
environnement
transmissionRésumé : Huit patients du même service ont été identifiés porteurs de la même souche de Klebsiella pneumoniae NDM entre janvier 2016 et janvier 2018. Nous décrivons l’investigation de cette épidémie. Matériel et méthodes. Une courbe épidémique et un tableau synoptique ont permis de décrire l’épisode. L’investigation a été réalisée à partir de prélèvements microbiologiques cliniques et de dépistage, des dossiers patients, de prélèvements environnementaux ainsi que d’un audit des organisations et des pratiques. Résultats. Entre le 5 septembre et le 31 décembre 2017, 7 cas de colonisation ou d’infection à K. pneumoniae NDM ont été signalés par le même service ; une souche identique a déjà été isolée en 2016. Les patients ont tous séjourné dans la même chambre du service. Les principaux résultats de l’investigation montrent des locaux extrêmement vétustes, une insuffisance de leur entretien et des défauts de respect des précautions standard. La souche de K. pneumoniae NDM est finalement retrouvée dans le tartre de la cuvette des toilettes. Conclusion. Dans ce type d’épisode, l’enquêteur doit avoir à l’esprit les nombreux aléas susceptibles de compliquer ses investigations. L’origine de la contamination du cas index n’a pas été identifiée. Tout patient peut-être porteur de BMR voire de BHRe, ce qui justifie pleinement d’un haut niveau d’application des précautions standard. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Déploiement d’un programme de prévention des infections liées aux cathéters veineux centraux hors réanimation / Mathieu Llorens in Hygiènes, vol.27 n°5 (novembre 2019)
[article] Déploiement d’un programme de prévention des infections liées aux cathéters veineux centraux hors réanimation [revue] / Mathieu Llorens, Auteur ; Aline Borer, Auteur ; Laurent Hennequin, Auteur ; Adeline Perrein, Auteur ; Jocelyne Sellies, Auteur . - 2019 . - p.307-313.
Langues : Français
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.307-313
Mots-clés : amélioration
cathéter
infection
prévention
qualité des soinsRésumé : Contexte et objectif. Des cas groupés d’infections sur cathéters veineux centraux (CVC) en médecine et chirurgie nous ont conduits à élaborer un programme de prévention. Méthode. Ce programme comportait quatre étapes couvrant toutes les étapes de la vie d’un cathéter. La préparation a permis d’identifier les services à risque et de fixer des objectifs adaptés du Propias. La mise en œuvre a consisté en 1) la généralisation de l’emploi de la chlorhexidine 2% en solution alcoolique et de pansements renforcés ; 2) la mise en œuvre de formations par simulation ; 3) la réalisation d’un film sur la réfection du pansement de cathéters veineux centraux à insertion périphérique (Picc) ; 4) la généralisation de formulaires de surveillance dans le dossier patient informatisé. L’évaluation a porté sur des indicateurs 1) de structure : proportion de professionnels formés ; 2) de processus : évaluation des connaissances sur les CVC et évaluations des pratiques de manipulation de ceux-ci ; 3) de résultats : taux d’infections nosocomiales sur cathéter dans quatre services. Résultats. Nous avons formé 220 professionnels par simulation et amélioré les connaissances des infirmiers formés. Les évaluations de pratique ont permis d’identifier des défauts de manipulations aseptiques. Enfin, nous avons observé une baisse de 20% du taux d’infection sur CVC dans deux services sur quatre. Perspectives. Un nouveau cycle d’actions doit être mis en œuvre pour pérenniser les améliorations. Il devra intégrer l’ensemble du parcours patient. [article]
in Hygiènes > vol.27 n°5 (novembre 2019) . - p.307-313
Titre : Déploiement d’un programme de prévention des infections liées aux cathéters veineux centraux hors réanimation Type de document : revue Auteurs : Mathieu Llorens, Auteur ; Aline Borer, Auteur ; Laurent Hennequin, Auteur ; Adeline Perrein, Auteur ; Jocelyne Sellies, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.307-313 Langues : Français Mots-clés : amélioration
cathéter
infection
prévention
qualité des soinsRésumé : Contexte et objectif. Des cas groupés d’infections sur cathéters veineux centraux (CVC) en médecine et chirurgie nous ont conduits à élaborer un programme de prévention. Méthode. Ce programme comportait quatre étapes couvrant toutes les étapes de la vie d’un cathéter. La préparation a permis d’identifier les services à risque et de fixer des objectifs adaptés du Propias. La mise en œuvre a consisté en 1) la généralisation de l’emploi de la chlorhexidine 2% en solution alcoolique et de pansements renforcés ; 2) la mise en œuvre de formations par simulation ; 3) la réalisation d’un film sur la réfection du pansement de cathéters veineux centraux à insertion périphérique (Picc) ; 4) la généralisation de formulaires de surveillance dans le dossier patient informatisé. L’évaluation a porté sur des indicateurs 1) de structure : proportion de professionnels formés ; 2) de processus : évaluation des connaissances sur les CVC et évaluations des pratiques de manipulation de ceux-ci ; 3) de résultats : taux d’infections nosocomiales sur cathéter dans quatre services. Résultats. Nous avons formé 220 professionnels par simulation et amélioré les connaissances des infirmiers formés. Les évaluations de pratique ont permis d’identifier des défauts de manipulations aseptiques. Enfin, nous avons observé une baisse de 20% du taux d’infection sur CVC dans deux services sur quatre. Perspectives. Un nouveau cycle d’actions doit être mis en œuvre pour pérenniser les améliorations. Il devra intégrer l’ensemble du parcours patient. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00033126 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
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