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Sages-femmes . vol.18 n°1Mention de date : février 2019Paru le : 01/02/2019 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard / A. Bouillaut in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] Le devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard [revue] / A. Bouillaut, Auteur ; Guillaume Grandazzi, Auteur ; N. Brielle, Auteur . - 2019 . - p.1-6.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.1-6
Mots-clés : adolescent
devenir
mère
parcours
socioéconomieRésumé : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes dix ans plus tard est un sujet peu traité. Nous avons donc mené des entretiens semi-dirigés auprès de neuf femmes ayant accouché en 2004 au CHU de Caen, alors qu’elles avaient entre 15 et 19 ans. Il ressort de cette étude que le devenir de ces femmes d’un point de vue professionnel et relationnel (conjugal et amical) dépend notamment de leur typologie de grossesse. Concernant le devenir obstétrical et le devenir de l’enfant, nous pouvons globalement dire que ces femmes ont eu en moyenne trois enfants et que leurs enfants ont eu un bon développement. Enfin, l’ensemble des femmes interrogées semble avoir conservé une bonne estime de soi, mais une partie avoue que cela a été une expérience difficile et toutes ne réitéreraient pas cette expérience et ne la souhaitent pas à leurs enfants. [article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.1-6
Titre : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard Type de document : revue Auteurs : A. Bouillaut, Auteur ; Guillaume Grandazzi, Auteur ; N. Brielle, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.1-6 Langues : Français Mots-clés : adolescent
devenir
mère
parcours
socioéconomieRésumé : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes dix ans plus tard est un sujet peu traité. Nous avons donc mené des entretiens semi-dirigés auprès de neuf femmes ayant accouché en 2004 au CHU de Caen, alors qu’elles avaient entre 15 et 19 ans. Il ressort de cette étude que le devenir de ces femmes d’un point de vue professionnel et relationnel (conjugal et amical) dépend notamment de leur typologie de grossesse. Concernant le devenir obstétrical et le devenir de l’enfant, nous pouvons globalement dire que ces femmes ont eu en moyenne trois enfants et que leurs enfants ont eu un bon développement. Enfin, l’ensemble des femmes interrogées semble avoir conservé une bonne estime de soi, mais une partie avoue que cela a été une expérience difficile et toutes ne réitéreraient pas cette expérience et ne la souhaitent pas à leurs enfants. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence / S. Dupuis in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence [revue] / S. Dupuis, Auteur ; J. Antomarchi, Auteur ; V. Dani, Auteur . - 2019 . - p.7-13.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.7-13
Mots-clés : contraception d'urgence
éducation sexuelle
IVG Interruption volontaire de grossesseRésumé : Objectif :
En France, une grossesse sur trois est non prévue. Parmi celles-ci, la moitié font l'objet d'une interruption volontaire de grossesse. Cependant, l'utilisation de la contraception d'urgence est loin d'être systématique. Il est donc pertinent de s'interroger sur les raisons et les facteurs liés à l'absence de recours à la contraception d'urgence.
Méthodes :
Une étude observationnelle rétrospective a été menée dans le service d'orthogénie du centre hospitalier universitaire, sur une période d'un mois et demi. Les patientes consultant dans le cadre d'une interruption volontaire de grossesse étaient soumises à un questionnaire lors d'un entretien semi-dirigé. Les données recueillies étaient : âge, niveau d'étude, profession, taille de la commune d'habitation, statut légal, antécédents obstétricaux, contraception utilisée au moment de la grossesse non prévue, antécédent de prise de la contraception d'urgence et la raison de non prise d'une contraception d'urgence.
Résultats :
Cent cinq questionnaires ont été étudiés. Dans 81 % des cas, l'absence de recours à la contraception d'urgence était la conséquence d'une sous-estimation du risque de grossesse. Parmi l'ensemble des variables caractéristiques de la population étudiées, seul le niveau scolaire était lié au motif de non prise de la contraception d'urgence.
Conclusion :
La sous-estimation du risque de grossesse est le principal motif de l'absence de recours à la contraception d'urgence, indépendamment du profil de la patiente. Il apparaît essentiel de mieux informer l'ensemble des femmes en âge de procréer et leur entourage sur leur fécondité et sur les mécanismes de la reproduction afin de réduire le nombre de grossesses non prévues en France.[article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.7-13
Titre : Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence Type de document : revue Auteurs : S. Dupuis, Auteur ; J. Antomarchi, Auteur ; V. Dani, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.7-13 Langues : Français Mots-clés : contraception d'urgence
éducation sexuelle
IVG Interruption volontaire de grossesseRésumé : Objectif :
En France, une grossesse sur trois est non prévue. Parmi celles-ci, la moitié font l'objet d'une interruption volontaire de grossesse. Cependant, l'utilisation de la contraception d'urgence est loin d'être systématique. Il est donc pertinent de s'interroger sur les raisons et les facteurs liés à l'absence de recours à la contraception d'urgence.
Méthodes :
Une étude observationnelle rétrospective a été menée dans le service d'orthogénie du centre hospitalier universitaire, sur une période d'un mois et demi. Les patientes consultant dans le cadre d'une interruption volontaire de grossesse étaient soumises à un questionnaire lors d'un entretien semi-dirigé. Les données recueillies étaient : âge, niveau d'étude, profession, taille de la commune d'habitation, statut légal, antécédents obstétricaux, contraception utilisée au moment de la grossesse non prévue, antécédent de prise de la contraception d'urgence et la raison de non prise d'une contraception d'urgence.
Résultats :
Cent cinq questionnaires ont été étudiés. Dans 81 % des cas, l'absence de recours à la contraception d'urgence était la conséquence d'une sous-estimation du risque de grossesse. Parmi l'ensemble des variables caractéristiques de la population étudiées, seul le niveau scolaire était lié au motif de non prise de la contraception d'urgence.
Conclusion :
La sous-estimation du risque de grossesse est le principal motif de l'absence de recours à la contraception d'urgence, indépendamment du profil de la patiente. Il apparaît essentiel de mieux informer l'ensemble des femmes en âge de procréer et leur entourage sur leur fécondité et sur les mécanismes de la reproduction afin de réduire le nombre de grossesses non prévues en France.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque / C. Duvillier in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque [revue] / C. Duvillier, Auteur ; A. Rousseau, Auteur ; C. Bouyer, Auteur . - 2019 . - p.14-23.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.14-23
Mots-clés : bas risque
césarienne
classification de Robson
organisationRésumé : Objectif :
Il existe des différences considérables du taux de césariennes entre les maternités d'une même région. Le taux de césarienne a augmenté ces dernières années dans la population à bas risque. L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des facteurs organisationnels sur le taux de césarienne dans une population à bas risque.
Méthodes :
Nous avons réalisé une étude de cohorte rétrospective en population dans les dix maternités du réseau MYPA de 2009 à 2015. Nous avons sélectionné une population à bas risque en ne conservant que les groupes 1 et 3 de la classification de Robson. Le critère de jugement principal était l'accouchement par césarienne. Les facteurs organisationnels étudiés ont regroupé les caractéristiques structurelles des maternités (universitaire ou non, public ou privée, nombre d'accouchement annuel, unité de soins intensifs maternels, unité de soins intensifs néonatals, nombre de salle de naissance) et l'organisation de l'équipe soignante (nombre de sages-femmes et d'obstétriciens, mode de garde, charge de travail et réalisation d'une revue de morbi-mortalité). Nous avons réalisé une analyse multiniveau à intercept aléatoire, univariée puis multivariée en retenant les variables ayant un p<0,20.
Résultats :
Notre population d'étude a inclus 64 100 femmes. Le taux de césarienne a varié de 5,5 à 11,3 % parmi les 10 maternités. En analyse univariée, les variables organisationnelles significativement associées à la réalisation d'une césarienne étaient le statut de la maternité (centre hospitalier universitaire, centre hospitalier public non universitaire et établissement privé) et la réalisation d'une revue de morbi-mortalité. Cependant, après ajustement, aucun de ces facteurs organisationnels n'était significativement associé à la réalisation d'une césarienne. Lorsque l'analyse multivariée a été restreinte au sous-groupe des nullipares, le statut privé de la maternité était significativement associé à un taux plus élevé de césariennes (OR=1,39 [1,09-1,76]). De même, la probabilité de césarienne était plus importante lorsque le nombre d'accouchement par salle de naissance augmentait (OR=1,15 [1,01-1,31]). Pour le sous-groupe des multipares, aucune variable n'était significativement associée à la réalisation d'une césarienne.
Conclusion :
Dans notre population globale à bas risque, aucun facteur organisationnel n'apparaissait associé à une augmentation du taux de césarienne. En revanche, dans la population des nullipares à bas risque, le statut privé du centre et un nombre élevé d'accouchement par salle de naissance étaient associés à un plus grand nombre de césariennes. Augmenter le nombre de salles de naissance pourrait donc être une piste pour tenter de réduire le nombre de césariennes. Les travaux à venir devraient également chercher à identifier les facteurs spécifiques permettant de réduire les différences de taux de césarienne entre maternités privées et publiques.[article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.14-23
Titre : Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque Type de document : revue Auteurs : C. Duvillier, Auteur ; A. Rousseau, Auteur ; C. Bouyer, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.14-23 Langues : Français Mots-clés : bas risque
césarienne
classification de Robson
organisationRésumé : Objectif :
Il existe des différences considérables du taux de césariennes entre les maternités d'une même région. Le taux de césarienne a augmenté ces dernières années dans la population à bas risque. L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des facteurs organisationnels sur le taux de césarienne dans une population à bas risque.
Méthodes :
Nous avons réalisé une étude de cohorte rétrospective en population dans les dix maternités du réseau MYPA de 2009 à 2015. Nous avons sélectionné une population à bas risque en ne conservant que les groupes 1 et 3 de la classification de Robson. Le critère de jugement principal était l'accouchement par césarienne. Les facteurs organisationnels étudiés ont regroupé les caractéristiques structurelles des maternités (universitaire ou non, public ou privée, nombre d'accouchement annuel, unité de soins intensifs maternels, unité de soins intensifs néonatals, nombre de salle de naissance) et l'organisation de l'équipe soignante (nombre de sages-femmes et d'obstétriciens, mode de garde, charge de travail et réalisation d'une revue de morbi-mortalité). Nous avons réalisé une analyse multiniveau à intercept aléatoire, univariée puis multivariée en retenant les variables ayant un p<0,20.
Résultats :
Notre population d'étude a inclus 64 100 femmes. Le taux de césarienne a varié de 5,5 à 11,3 % parmi les 10 maternités. En analyse univariée, les variables organisationnelles significativement associées à la réalisation d'une césarienne étaient le statut de la maternité (centre hospitalier universitaire, centre hospitalier public non universitaire et établissement privé) et la réalisation d'une revue de morbi-mortalité. Cependant, après ajustement, aucun de ces facteurs organisationnels n'était significativement associé à la réalisation d'une césarienne. Lorsque l'analyse multivariée a été restreinte au sous-groupe des nullipares, le statut privé de la maternité était significativement associé à un taux plus élevé de césariennes (OR=1,39 [1,09-1,76]). De même, la probabilité de césarienne était plus importante lorsque le nombre d'accouchement par salle de naissance augmentait (OR=1,15 [1,01-1,31]). Pour le sous-groupe des multipares, aucune variable n'était significativement associée à la réalisation d'une césarienne.
Conclusion :
Dans notre population globale à bas risque, aucun facteur organisationnel n'apparaissait associé à une augmentation du taux de césarienne. En revanche, dans la population des nullipares à bas risque, le statut privé du centre et un nombre élevé d'accouchement par salle de naissance étaient associés à un plus grand nombre de césariennes. Augmenter le nombre de salles de naissance pourrait donc être une piste pour tenter de réduire le nombre de césariennes. Les travaux à venir devraient également chercher à identifier les facteurs spécifiques permettant de réduire les différences de taux de césarienne entre maternités privées et publiques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Maladie de Parkinson et grossesse / S. Maud in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] Maladie de Parkinson et grossesse [revue] / S. Maud, Auteur ; M. Ben Ismail, Auteur ; R. Rémy, Auteur . - 2019 . - p.24-28.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.24-28
Mots-clés : antiparkinsonnien
grossesse
maladie de ParkinsonRésumé : Objectif :
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative, qui touche principalement les personnes de plus de 50 ans. Cette pathologie peu connue chez les jeunes femmes en âge de procréer, pose la question des ressources dont disposent les professionnels de santé spécialisés en obstétrique, afin de les accompagner au mieux dans leur projet de naissance.
Méthode :
Présentation d’un cas clinique. Madame D. est une patiente âgée de 39 ans, dont le diagnostic de la maladie a été établi 8 ans plus tôt. Il s’agit d’une Ve geste, future IVe pare qui a déjà connu deux grossesses avec la maladie et qui démarre sa première grossesse sous lévodopa et pramipexole.
Conclusion :
Les études disponibles sur le sujet sont peu nombreuses et le plus souvent il s’agit de la présentation d’un à deux cas cliniques. Il semble néanmoins que le traitement permettrait de préserver les capacités physiques des patientes sans qu’aucune incidence obstétricale et fœtale ne lui soit directement imputé.[article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.24-28
Titre : Maladie de Parkinson et grossesse Type de document : revue Auteurs : S. Maud, Auteur ; M. Ben Ismail, Auteur ; R. Rémy, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.24-28 Langues : Français Mots-clés : antiparkinsonnien
grossesse
maladie de ParkinsonRésumé : Objectif :
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative, qui touche principalement les personnes de plus de 50 ans. Cette pathologie peu connue chez les jeunes femmes en âge de procréer, pose la question des ressources dont disposent les professionnels de santé spécialisés en obstétrique, afin de les accompagner au mieux dans leur projet de naissance.
Méthode :
Présentation d’un cas clinique. Madame D. est une patiente âgée de 39 ans, dont le diagnostic de la maladie a été établi 8 ans plus tôt. Il s’agit d’une Ve geste, future IVe pare qui a déjà connu deux grossesses avec la maladie et qui démarre sa première grossesse sous lévodopa et pramipexole.
Conclusion :
Les études disponibles sur le sujet sont peu nombreuses et le plus souvent il s’agit de la présentation d’un à deux cas cliniques. Il semble néanmoins que le traitement permettrait de préserver les capacités physiques des patientes sans qu’aucune incidence obstétricale et fœtale ne lui soit directement imputé.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF / Chabbert Buffet in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF [revue] / Chabbert Buffet, Auteur ; H. Marret, Auteur ; Aubert Agostini, Auteur . - 2019 . - p.30-51.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.30-51
Mots-clés : adolescent
cancer
contraception
DIU dispositif intra utérin (Stérilet)
information
risque cardio-vasculaireRésumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF. [article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.30-51
Titre : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF Type de document : revue Auteurs : Chabbert Buffet, Auteur ; H. Marret, Auteur ; Aubert Agostini, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.30-51 Langues : Français Mots-clés : adolescent
cancer
contraception
DIU dispositif intra utérin (Stérilet)
information
risque cardio-vasculaireRésumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF / N. Hamdaoui in Sages-femmes, vol.18 n°1 (février 2019)
[article] La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF [revue] / N. Hamdaoui, Auteur ; C. Cardinale, Auteur ; Aubert Agostini, Auteur . - 2019 . - p.52-59.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.52-59
Mots-clés : contraception d'urgence
DIU dispositif intra utérin (Stérilet)
RPC recommandation pour la pratique cliniqueRésumé : Objectifs :
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l’utilisation en termes d’efficacité, de sécurité et d’effets secondaires de la contraception d’urgence (CU).
Méthodes :
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu’au 1er mai 2018.
Résultats :
Il est recommandé d’informer les patientes que la CU n’est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d’une CU. Il est recommandé d’utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l’absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l’ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l’UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l’UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d’une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l’UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d’arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu’à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d’échec d’une méthode contraceptive.
Conclusion :
La contraception d’urgence n’est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.[article]
in Sages-femmes > vol.18 n°1 (février 2019) . - p.52-59
Titre : La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF Type de document : revue Auteurs : N. Hamdaoui, Auteur ; C. Cardinale, Auteur ; Aubert Agostini, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.52-59 Langues : Français Mots-clés : contraception d'urgence
DIU dispositif intra utérin (Stérilet)
RPC recommandation pour la pratique cliniqueRésumé : Objectifs :
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l’utilisation en termes d’efficacité, de sécurité et d’effets secondaires de la contraception d’urgence (CU).
Méthodes :
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu’au 1er mai 2018.
Résultats :
Il est recommandé d’informer les patientes que la CU n’est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d’une CU. Il est recommandé d’utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l’absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l’ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l’UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l’UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d’une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l’UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d’arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu’à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d’échec d’une méthode contraceptive.
Conclusion :
La contraception d’urgence n’est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00032526 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible
Exemplaires
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00032526 | Rev | Revue | Centre de documentation | Présentoir | Disponible |
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