vol.18 n°200 201 août septembre 2018 vol.18 n°202 octobre 2018 vol.18 n°203 novembre 2018 vol.18 n°204 décembre 2018 vol 19 n°205 janvier 2019 vol.19 n°205 janvier 2019 vol.19 n°206 février 2019 Kinésithérapie la revue . vol.18 n°204 Mention de date :  décembre 2018 Paru le :  01/12/2018

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Évaluation de l’équilibre statique et des paramètres locomoteurs chez des patients avant et après prothèse totale de genou : une étude pilote / Julien Lebleu in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Évaluation de l’équilibre statique et des paramètres locomoteurs chez des patients avant et après prothèse totale de genou : une étude pilote [revue] / Julien Lebleu, Auteur . - 2018 . - p.3-11. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.3-11 Mots-clés : équilibre étude locomotion posture PTG prothèse totale du genou Résumé : Objectif : Le but était d’évaluer la faisabilité et l’intérêt de l’évaluation des capacités posturo-locomotrices de patients avant et après la pose d’une prothèse totale de genou (PTG), ainsi que les relations entre la fonctionnalité et les changements posturaux. Méthode : L’évaluation se décomposait en trois temps : en préopératoire (T1), à 2 semaines (T2) et 3 mois postopératoire (T3). Les données ont été récoltées chez 9 patients à l’aide d’un tapis baropodométrique et de questionnaires. Résultats : Le taux de refus/exclusion était de 95 %. Le principal motif de refus était la distance entre le domicile et le centre d’évaluation. Seule la cadence a augmenté significativement entre T1 et T3. La charge médiale du côté opéré à la marche a augmenté en relation avec les scores fonctionnels. Parallèlement, ceux-ci se sont améliorés entre T1 et T3. Discussion et conclusion : La faible participation est un obstacle à la réalisation d’autres études. L’utilisation de technologies portables pourrait pallier le motif principal de refus. Aucun paramètre posturographique n’a évolué dans les 3 mois postopératoires. Il y a eu peu de liens entre l’évolution des scores fonctionnels et les paramètres posturographiques. Niveau de preuve : 3 Essai comparatif non randomisé. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261950 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.3-11 Titre : Évaluation de l’équilibre statique et des paramètres locomoteurs chez des patients avant et après prothèse totale de genou : une étude pilote Type de document : revue Auteurs : Julien Lebleu, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.3-11 Langues : Français Mots-clés : équilibre étude locomotion posture PTG prothèse totale du genou Résumé : Objectif : Le but était d’évaluer la faisabilité et l’intérêt de l’évaluation des capacités posturo-locomotrices de patients avant et après la pose d’une prothèse totale de genou (PTG), ainsi que les relations entre la fonctionnalité et les changements posturaux. Méthode : L’évaluation se décomposait en trois temps : en préopératoire (T1), à 2 semaines (T2) et 3 mois postopératoire (T3). Les données ont été récoltées chez 9 patients à l’aide d’un tapis baropodométrique et de questionnaires. Résultats : Le taux de refus/exclusion était de 95 %. Le principal motif de refus était la distance entre le domicile et le centre d’évaluation. Seule la cadence a augmenté significativement entre T1 et T3. La charge médiale du côté opéré à la marche a augmenté en relation avec les scores fonctionnels. Parallèlement, ceux-ci se sont améliorés entre T1 et T3. Discussion et conclusion : La faible participation est un obstacle à la réalisation d’autres études. L’utilisation de technologies portables pourrait pallier le motif principal de refus. Aucun paramètre posturographique n’a évolué dans les 3 mois postopératoires. Il y a eu peu de liens entre l’évolution des scores fonctionnels et les paramètres posturographiques. Niveau de preuve : 3 Essai comparatif non randomisé. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261950

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Comparaison du mode de renforcement musculaire des membres supérieurs sur la dyspnée chez les patients atteints de BPCO, en réhabilitation respiratoire / Marc Beaumont in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Comparaison du mode de renforcement musculaire des membres supérieurs sur la dyspnée chez les patients atteints de BPCO, en réhabilitation respiratoire [revue] / Marc Beaumont, Auteur ; Héloïse Charoy, Auteur ; Anne-Cécile Berriet, Auteur . - 2018 . - p.12-18. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.12-18 Mots-clés : BPCO broncho pneumopathie chronique obstructive dyspnée membre supérieur réhabilitation respiratoire renforcement musculaire Résumé : Selon les sociétés savantes, il est recommandé d’inclure un renforcement des membres supérieurs à un programme de réhabilitation respiratoire. Cependant, les modalités de l’entraînement des membres supérieurs ne sont pas définies. L’objectif de cette étude est de comparer les effets de l’entraînement en Force (F) versus en Endurance (E), sur la dyspnée chez des patients atteints BPCO, en réhabilitation respiratoire. Méthode : Étude pilote, prospective, randomisée incluant des patients BPCO hospitalisés dans le service réhabilitation respiratoire du CH Morlaix pour 4 semaines. Le groupe (F) a bénéficié d’un entraînement des membres supérieurs en force et le groupe (E) d’un entraînement des membres supérieurs en endurance, 5jours par semaine. Les effets du mode entraînement a été évalué sur la dyspnée, la force d’abduction d’épaule et la capacité à l’exercice des membres supérieurs. Résultats : Dix patients ont été inclus dans cette étude. Les patients du groupe (F) ont davantage diminué leur dyspnée au questionnaire LCADL (−5,5 [–7,5–1,8] vs 0,5 [–5,3–4,3]) et amélioré leur force d’abduction (Droite : 48 [–92–96] ; Gauche : 21 [–110–74] vs Droite : 10,5 [–38–76,8] ; Gauche : 4,5 [–34–53,5]) comparativement au groupe (E), sans différence significative entre les 2 groupes. L’amélioration de la capacité à l’exercice des membres supérieurs était supérieure dans le groupe endurance (8,5 [–3,8–45,8] vs −2,5 [–15–29,5]), sans différence significative entre les 2 groupes. Conclusion : L’entraînement en force des membres supérieurs semble plus bénéfique en termes de diminution de la dyspnée et d’amélioration de la force comparativement à un entraînement en endurance, durant un programme de réhabilitation respiratoire, dans la BPCO. Ces résultats doivent être confirmés par une étude de plus grande ampleur. Niveau de preuve : 3. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261947 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.12-18 Titre : Comparaison du mode de renforcement musculaire des membres supérieurs sur la dyspnée chez les patients atteints de BPCO, en réhabilitation respiratoire Type de document : revue Auteurs : Marc Beaumont, Auteur ; Héloïse Charoy, Auteur ; Anne-Cécile Berriet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.12-18 Langues : Français Mots-clés : BPCO broncho pneumopathie chronique obstructive dyspnée membre supérieur réhabilitation respiratoire renforcement musculaire Résumé : Selon les sociétés savantes, il est recommandé d’inclure un renforcement des membres supérieurs à un programme de réhabilitation respiratoire. Cependant, les modalités de l’entraînement des membres supérieurs ne sont pas définies. L’objectif de cette étude est de comparer les effets de l’entraînement en Force (F) versus en Endurance (E), sur la dyspnée chez des patients atteints BPCO, en réhabilitation respiratoire. Méthode : Étude pilote, prospective, randomisée incluant des patients BPCO hospitalisés dans le service réhabilitation respiratoire du CH Morlaix pour 4 semaines. Le groupe (F) a bénéficié d’un entraînement des membres supérieurs en force et le groupe (E) d’un entraînement des membres supérieurs en endurance, 5jours par semaine. Les effets du mode entraînement a été évalué sur la dyspnée, la force d’abduction d’épaule et la capacité à l’exercice des membres supérieurs. Résultats : Dix patients ont été inclus dans cette étude. Les patients du groupe (F) ont davantage diminué leur dyspnée au questionnaire LCADL (−5,5 [–7,5–1,8] vs 0,5 [–5,3–4,3]) et amélioré leur force d’abduction (Droite : 48 [–92–96] ; Gauche : 21 [–110–74] vs Droite : 10,5 [–38–76,8] ; Gauche : 4,5 [–34–53,5]) comparativement au groupe (E), sans différence significative entre les 2 groupes. L’amélioration de la capacité à l’exercice des membres supérieurs était supérieure dans le groupe endurance (8,5 [–3,8–45,8] vs −2,5 [–15–29,5]), sans différence significative entre les 2 groupes. Conclusion : L’entraînement en force des membres supérieurs semble plus bénéfique en termes de diminution de la dyspnée et d’amélioration de la force comparativement à un entraînement en endurance, durant un programme de réhabilitation respiratoire, dans la BPCO. Ces résultats doivent être confirmés par une étude de plus grande ampleur. Niveau de preuve : 3. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261947

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Traitements kinésithérapiques du tremblement cérébelleux : revue de littérature / Rémi Hudelle in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Traitements kinésithérapiques du tremblement cérébelleux : revue de littérature [revue] / Rémi Hudelle, Auteur ; Roland Sultana, Auteur ; Serge Mesure, Auteur . - 2018 . - p.21-29. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.21-29 Mots-clés : ataxie kinésithérapie revue de littérature traitement tremblement Résumé : Le tremblement cérébelleux est l’un des symptômes de l’ataxie cinétique. Il est présent lors des mouvements volontaires et lors du maintien d’une position. Il engendre un déficit fonctionnel et peut avoir un impact sur le plan psycho-social. Nous avons tenté d’identifier les moyens masso-kinésithérapiques existant pour traiter ces tremblements. La recherche a été effectuée sur les bases de données francophones et anglophones sur la période allant de janvier 2005 à décembre 2015. La recherche a identifié 36 références. Parmi les moyens de traitement identifiés, certains montrent une efficacité à court terme, comme le lestage du membre. D’autres ne sont applicables qu’en présence du thérapeute comme le biofeedback musculaire ou la modification du feedback visuel. Les techniques que le patient peut utiliser seul n’ont pas fait l’objet d’études approfondies, il s’agit entre autres de la relaxation ou de l’occlusion des yeux lors de certaines tâches. Il est également possible de traiter l’ataxie dans son ensemble par l’amélioration globale de la coordination et de la précision des gestes. Les bénéfices obtenus sont cependant minimes. Il en va de même pour la thérapie utilisant les jeux vidéo. Dans ses grandes lignes, la « rééducation fonctionnelle, ludique et sportive » préconisée par Sultana et Mesure est très ancienne et toujours utilisée. De ce fait, ce type de rééducation a fait l’objet de plusieurs études indépendantes. Le principe de résistance mentale n’a pas encore fait l’objet d’études approfondies. Cette revue de littérature est cependant altérée par un biais relatif aux sources primaires. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261949 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.21-29 Titre : Traitements kinésithérapiques du tremblement cérébelleux : revue de littérature Type de document : revue Auteurs : Rémi Hudelle, Auteur ; Roland Sultana, Auteur ; Serge Mesure, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.21-29 Langues : Français Mots-clés : ataxie kinésithérapie revue de littérature traitement tremblement Résumé : Le tremblement cérébelleux est l’un des symptômes de l’ataxie cinétique. Il est présent lors des mouvements volontaires et lors du maintien d’une position. Il engendre un déficit fonctionnel et peut avoir un impact sur le plan psycho-social. Nous avons tenté d’identifier les moyens masso-kinésithérapiques existant pour traiter ces tremblements. La recherche a été effectuée sur les bases de données francophones et anglophones sur la période allant de janvier 2005 à décembre 2015. La recherche a identifié 36 références. Parmi les moyens de traitement identifiés, certains montrent une efficacité à court terme, comme le lestage du membre. D’autres ne sont applicables qu’en présence du thérapeute comme le biofeedback musculaire ou la modification du feedback visuel. Les techniques que le patient peut utiliser seul n’ont pas fait l’objet d’études approfondies, il s’agit entre autres de la relaxation ou de l’occlusion des yeux lors de certaines tâches. Il est également possible de traiter l’ataxie dans son ensemble par l’amélioration globale de la coordination et de la précision des gestes. Les bénéfices obtenus sont cependant minimes. Il en va de même pour la thérapie utilisant les jeux vidéo. Dans ses grandes lignes, la « rééducation fonctionnelle, ludique et sportive » préconisée par Sultana et Mesure est très ancienne et toujours utilisée. De ce fait, ce type de rééducation a fait l’objet de plusieurs études indépendantes. Le principe de résistance mentale n’a pas encore fait l’objet d’études approfondies. Cette revue de littérature est cependant altérée par un biais relatif aux sources primaires. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261949

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L’hypotonie du cérébelleux : quelles conséquences pour le patient et sa rééducation ? / Roland Sultana in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] L’hypotonie du cérébelleux : quelles conséquences pour le patient et sa rééducation ? [revue] / Roland Sultana, Auteur ; Rémi Hudelle, Auteur ; Serge Mesure, Auteur . - 2018 . - p.30-35. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.30-35 Mots-clés : activité aquatique hypotonie mouvement raideur rééducation fonctionnelle syndrome cérébelleux Résumé : L’hypotonie cérébelleuse entraîne une diminution de la « raideur articulaire physiologique » nécessaire à la stabilisation des différentes articulations. Ce déficit de co-contractions des muscles agonistes et antagonistes explique les symptômes (tremblement intentionnel, hypermétrie, épreuve de Stewart-Holmes, instabilité posturale, etc.) et l’action de plusieurs approches thérapeutiques de ces patients, en particulier l’utilisation de lests et l’auto-organisation des mouvements. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261951 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.30-35 Titre : L’hypotonie du cérébelleux : quelles conséquences pour le patient et sa rééducation ? Type de document : revue Auteurs : Roland Sultana, Auteur ; Rémi Hudelle, Auteur ; Serge Mesure, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.30-35 Langues : Français Mots-clés : activité aquatique hypotonie mouvement raideur rééducation fonctionnelle syndrome cérébelleux Résumé : L’hypotonie cérébelleuse entraîne une diminution de la « raideur articulaire physiologique » nécessaire à la stabilisation des différentes articulations. Ce déficit de co-contractions des muscles agonistes et antagonistes explique les symptômes (tremblement intentionnel, hypermétrie, épreuve de Stewart-Holmes, instabilité posturale, etc.) et l’action de plusieurs approches thérapeutiques de ces patients, en particulier l’utilisation de lests et l’auto-organisation des mouvements. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261951

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Rééducation fonctionnelle en neurologie : exemple des tremblements cérébelleux / Roland Sultana in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Rééducation fonctionnelle en neurologie : exemple des tremblements cérébelleux [revue] / Roland Sultana, Auteur ; Rémi Hudelle, Auteur ; Serge Mesure, Auteur . - 2018 . - p.36-44. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.36-44 Mots-clés : activité artistique activité ludique activité sportive rééducation fonctionnelle syndrome cérébelleux tremblement Résumé : L’approche fonctionnelle et les exercices de complément, ludiques, artistiques ou sportifs sont utilisés depuis des années pour rééduquer les patients de neurologie : sclérose en plaques, AVC, etc. Quels que soient les symptômes présentés, lorsque la pathologie s’aggrave, l’indépendance fonctionnelle diminue. Inversement, toute amélioration de l’indépendance ou des activités ludiques constitue la preuve d’un meilleur contrôle de la pathologie. Nous prendrons pour exemple les tremblements cérébelleux. Note de contenu : [Dossier] la kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261952 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.36-44 Titre : Rééducation fonctionnelle en neurologie : exemple des tremblements cérébelleux Type de document : revue Auteurs : Roland Sultana, Auteur ; Rémi Hudelle, Auteur ; Serge Mesure, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.36-44 Langues : Français Mots-clés : activité artistique activité ludique activité sportive rééducation fonctionnelle syndrome cérébelleux tremblement Résumé : L’approche fonctionnelle et les exercices de complément, ludiques, artistiques ou sportifs sont utilisés depuis des années pour rééduquer les patients de neurologie : sclérose en plaques, AVC, etc. Quels que soient les symptômes présentés, lorsque la pathologie s’aggrave, l’indépendance fonctionnelle diminue. Inversement, toute amélioration de l’indépendance ou des activités ludiques constitue la preuve d’un meilleur contrôle de la pathologie. Nous prendrons pour exemple les tremblements cérébelleux. Note de contenu : [Dossier] la kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261952

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Syndromes cérébelleux : des outils à effet immédiat / Daniel Vaast in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Syndromes cérébelleux : des outils à effet immédiat [revue] / Daniel Vaast, Auteur . - 2018 . - p.45-57. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.45-57 Mots-clés : musculo articulaire proprioception sensibilité syndrome cérébelleux vision Résumé : Les lésions cérébelleuses, quelles que soient leurs origines, entraînent des perturbations très spécifiques de la motricité qui en font un tableau clinique aisément identifiable, mais cela ne veut pas dire que ce soit irrémédiable. En effet, même en l’absence de prise en charge rééducative spécifique, nombre de patients voient leurs performances motrices s’améliorer spontanément au fil des mois et des années. Cela montre que le cervelet lésé garde des possibilités de reconstruction progressive de ses fonctions régulatrices du mouvement. La rééducation n’a pas pour objectif de restaurer ad integrum les fonctions cérébelleuses – pour l’instant les outils thérapeutiques n’existent pas – mais plutôt d’accompagner cette évolution naturelle en essayant de gagner du temps dans la restauration d’une motricité efficace pour le patient. Cette prise en charge peut prendre deux aspects apparemment diamétralement opposés, mais pas autant que l’on pourrait le penser car ils peuvent être utilisés conjointement : 1) Mettre le plus souvent possible le patient dans des situations fonctionnelles dont il doit se sortir seul pour favoriser le réapprentissage moteur (auto-organisation du mouvement), 2) ou provoquer les capacités d’adaptation restantes du cervelet pour améliorer immédiatement la fonctionnalité du patient (outils thérapeutiques à effet immédiat). Certains de ces outils à effet immédiat s’avèrent aussi utiles dans la rééducation d’autres syndromes neurologiques, telles que les atteintes sensitives ou vestibulaires. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261953 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.45-57 Titre : Syndromes cérébelleux : des outils à effet immédiat Type de document : revue Auteurs : Daniel Vaast, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.45-57 Langues : Français Mots-clés : musculo articulaire proprioception sensibilité syndrome cérébelleux vision Résumé : Les lésions cérébelleuses, quelles que soient leurs origines, entraînent des perturbations très spécifiques de la motricité qui en font un tableau clinique aisément identifiable, mais cela ne veut pas dire que ce soit irrémédiable. En effet, même en l’absence de prise en charge rééducative spécifique, nombre de patients voient leurs performances motrices s’améliorer spontanément au fil des mois et des années. Cela montre que le cervelet lésé garde des possibilités de reconstruction progressive de ses fonctions régulatrices du mouvement. La rééducation n’a pas pour objectif de restaurer ad integrum les fonctions cérébelleuses – pour l’instant les outils thérapeutiques n’existent pas – mais plutôt d’accompagner cette évolution naturelle en essayant de gagner du temps dans la restauration d’une motricité efficace pour le patient. Cette prise en charge peut prendre deux aspects apparemment diamétralement opposés, mais pas autant que l’on pourrait le penser car ils peuvent être utilisés conjointement : 1) Mettre le plus souvent possible le patient dans des situations fonctionnelles dont il doit se sortir seul pour favoriser le réapprentissage moteur (auto-organisation du mouvement), 2) ou provoquer les capacités d’adaptation restantes du cervelet pour améliorer immédiatement la fonctionnalité du patient (outils thérapeutiques à effet immédiat). Certains de ces outils à effet immédiat s’avèrent aussi utiles dans la rééducation d’autres syndromes neurologiques, telles que les atteintes sensitives ou vestibulaires. Note de contenu : [Dossier] La kinésithérapie des désordres cérébelleux En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261953

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Décision kinésithérapique : Martine D. Active malgré l’incontinence urinaire à l’effort / Alexandrine Close in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Décision kinésithérapique : Martine D. Active malgré l’incontinence urinaire à l’effort [revue] / Alexandrine Close, Auteur ; Guy Valancogne, Auteur . - 2018 . - p.60-68. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.60-68 Mots-clés : constipation effort incontinence urinaire rééducation comportementale rééducation périnéale Résumé : Martine D., âgée de 49 ans, vivant en couple, présente une incontinence urinaire à l’effort (IUE) ayant débuté il y a environ 10 ans et dont les symptômes s’aggravent. La patiente se plaint de fuites urinaires et d’une sensation de « boule » au niveau du vagin lors d’activités telles que le tennis et le jardinage, ainsi que lors des efforts de toux et d’éternuement. Elle signale également une constipation. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261955 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.60-68 Titre : Décision kinésithérapique : Martine D. Active malgré l’incontinence urinaire à l’effort Type de document : revue Auteurs : Alexandrine Close, Auteur ; Guy Valancogne, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.60-68 Langues : Français Mots-clés : constipation effort incontinence urinaire rééducation comportementale rééducation périnéale Résumé : Martine D., âgée de 49 ans, vivant en couple, présente une incontinence urinaire à l’effort (IUE) ayant débuté il y a environ 10 ans et dont les symptômes s’aggravent. La patiente se plaint de fuites urinaires et d’une sensation de « boule » au niveau du vagin lors d’activités telles que le tennis et le jardinage, ainsi que lors des efforts de toux et d’éternuement. Elle signale également une constipation. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261955

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Décision kinésithérapique : David, 16 ans. Tétraparétique spastique et sportif, volontaire pour se risquer à vivre / Marie Landelle in Kinésithérapie la revue, vol.18 n°204 (décembre 2018) 

ISBD Public [article] Décision kinésithérapique : David, 16 ans. Tétraparétique spastique et sportif, volontaire pour se risquer à vivre [revue] / Marie Landelle, Auteur . - 2018 . - p.69-71. Langues : Français in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.69-71 Mots-clés : bilan chute croissance décision diagnostic écriture équilibre moral paralysie cérébrale responsabilité spasticité Résumé : David, âgé de 16 ans, est en classe de seconde générale dans un Établissement régional d’enseignement adapté (EREA), et est suivi par un Service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) du fait de la paralysie cérébrale liée à sa naissance de grande prématurité. David se distingue par le fait qu’il est très dynamique. Il vit pour sa passion : le sport qui lui permet de maintenir une grande autonomie malgré un handicap lourd qui nécessite un fauteuil roulant électrique et une aide humaine quotidienne. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261956 [article]  in Kinésithérapie la revue > vol.18 n°204 (décembre 2018) . - p.69-71 Titre : Décision kinésithérapique : David, 16 ans. Tétraparétique spastique et sportif, volontaire pour se risquer à vivre Type de document : revue Auteurs : Marie Landelle, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.69-71 Langues : Français Mots-clés : bilan chute croissance décision diagnostic écriture équilibre moral paralysie cérébrale responsabilité spasticité Résumé : David, âgé de 16 ans, est en classe de seconde générale dans un Établissement régional d’enseignement adapté (EREA), et est suivi par un Service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) du fait de la paralysie cérébrale liée à sa naissance de grande prématurité. David se distingue par le fait qu’il est très dynamique. Il vit pour sa passion : le sport qui lui permet de maintenir une grande autonomie malgré un handicap lourd qui nécessite un fauteuil roulant électrique et une aide humaine quotidienne. En ligne : https://www.em-premium.com/article/1261956

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