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Imagerie de la Femme / SIFEM Société d'imagerie de la femme . vol.28 n°2Mention de date : juin 2018Paru le : 01/06/2018 |
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Ajouter le résultat dans votre panierImagerie du pelvis de l’adolescente / Corinne Bordonné in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Imagerie du pelvis de l’adolescente [revue] / Corinne Bordonné, Auteur ; Valérie Merzoug, Auteur ; Mélanie Brzakowski, Auteur . - 2018 . - p.56-71.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.56-71
Mots-clés : adolescent
aménorrhée
malformation
pelvis
syndrome des ovaires polykystiquesRésumé : L’adolescence est une période de transition entre l’enfance et l’âge adulte, et l’exploration du pelvis d’une adolescente en radiologie comporte des particularités qu’il faut connaître. L’adolescente nécessite une imagerie adaptée dans plusieurs situations cliniques : lors de troubles des règles (aménorrhée primaire ou secondaire, spanioménorrhée, méno- ou métrorragies) ; lors de règles douloureuses (dysménorrhées) ; lors d’une douleur pelvienne aiguë ; ou encore lors de la palpation d’une masse pelvienne, qu’elle soit douloureuse ou asymptomatique. Les examens non irradiants seront privilégiés : l’exploration de première intention est l’échographie, souvent limitée à la voie sus-pubienne, avec un recours facile à l’IRM. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.56-71
Titre : Imagerie du pelvis de l’adolescente Type de document : revue Auteurs : Corinne Bordonné, Auteur ; Valérie Merzoug, Auteur ; Mélanie Brzakowski, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.56-71 Langues : Français Mots-clés : adolescent
aménorrhée
malformation
pelvis
syndrome des ovaires polykystiquesRésumé : L’adolescence est une période de transition entre l’enfance et l’âge adulte, et l’exploration du pelvis d’une adolescente en radiologie comporte des particularités qu’il faut connaître. L’adolescente nécessite une imagerie adaptée dans plusieurs situations cliniques : lors de troubles des règles (aménorrhée primaire ou secondaire, spanioménorrhée, méno- ou métrorragies) ; lors de règles douloureuses (dysménorrhées) ; lors d’une douleur pelvienne aiguë ; ou encore lors de la palpation d’une masse pelvienne, qu’elle soit douloureuse ou asymptomatique. Les examens non irradiants seront privilégiés : l’exploration de première intention est l’échographie, souvent limitée à la voie sus-pubienne, avec un recours facile à l’IRM. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Douleurs pelvipérinéales chroniques neurogènes : diagnostic positif ou d’élimination ? / Valérie Laigle-Quérat in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Douleurs pelvipérinéales chroniques neurogènes : diagnostic positif ou d’élimination ? [revue] / Valérie Laigle-Quérat, Auteur ; Eric Frampas, Auteur ; Thibault Riant, Auteur . - 2018 . - p.72-79.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.72-79
Mots-clés : infiltration
IRM imagerie par résonance magnétique
névralgie clunéale
névralgie pudendaleRésumé : Les douleurs pelvipérinéales chroniques neurogènes sont largement dominées à l’étage périnéal par la névralgie pudendale. Son étiologie principale est un syndrome canalaire. Il peut se situer à trois niveaux différents : le canal sous piriforme, la pince ligamentaire entre le ligament sacroépineux et le ligament sacrotubéral, le canal d’Alcock. Elle est diagnostiquée par les seules données de l’interrogatoire et de l’examen clinique périnéal. L’imagerie complémentaire par résonance magnétique pelvienne ne sera réalisée qu’en cas d’atypie clinique, relativement rare, à la recherche d’une autre cause de névralgie pudendale : principalement à la recherche d’un syndrome de masse sur le trajet de son tronc nerveux. Les autres entités de névralgie périnéales sont rares et de diagnostic principalement clinique. Le radiologue a une place importante dans le diagnostic positif de névralgie périnéale puisque l’infiltration, idéalement sous contrôle scanographique, en est une étape incontournable. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.72-79
Titre : Douleurs pelvipérinéales chroniques neurogènes : diagnostic positif ou d’élimination ? Type de document : revue Auteurs : Valérie Laigle-Quérat, Auteur ; Eric Frampas, Auteur ; Thibault Riant, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.72-79 Langues : Français Mots-clés : infiltration
IRM imagerie par résonance magnétique
névralgie clunéale
névralgie pudendaleRésumé : Les douleurs pelvipérinéales chroniques neurogènes sont largement dominées à l’étage périnéal par la névralgie pudendale. Son étiologie principale est un syndrome canalaire. Il peut se situer à trois niveaux différents : le canal sous piriforme, la pince ligamentaire entre le ligament sacroépineux et le ligament sacrotubéral, le canal d’Alcock. Elle est diagnostiquée par les seules données de l’interrogatoire et de l’examen clinique périnéal. L’imagerie complémentaire par résonance magnétique pelvienne ne sera réalisée qu’en cas d’atypie clinique, relativement rare, à la recherche d’une autre cause de névralgie pudendale : principalement à la recherche d’un syndrome de masse sur le trajet de son tronc nerveux. Les autres entités de névralgie périnéales sont rares et de diagnostic principalement clinique. Le radiologue a une place importante dans le diagnostic positif de névralgie périnéale puisque l’infiltration, idéalement sous contrôle scanographique, en est une étape incontournable. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Cancers du corps utérin / Aurélie Jalaguier-Coudray in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Cancers du corps utérin [revue] / Aurélie Jalaguier-Coudray, Auteur ; Rim Villard-Mahjoub, Auteur ; Jeanne Thomassin-Piana, Auteur . - 2018 . - p.80-87.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.80-87
Mots-clés : cancer du corps utérin
carcinome endométrial
carcinosarcome
sarcomeRésumé : La classification des cancers du corps utérin de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est importante à connaître. Elle divise les tumeurs du corps utérin en six catégories : les tumeurs épithéliales, les tumeurs mésenchymateuses, les tumeurs mixtes, les tumeurs lymphoïdes et tumeurs secondaires. Le carcinome endométrial reste la tumeur la plus fréquente. Le bilan d’extension locorégional d’un carcinome endométrial est réalisé par IRM et doit donner des informations précises aux chirurgiens et aux cliniciens pour définir la stratégie thérapeutique et notamment évaluer le risque d’envahissement ganglionnaire et la possibilité de réaliser un curage ganglionnaire d’emblée. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.80-87
Titre : Cancers du corps utérin Type de document : revue Auteurs : Aurélie Jalaguier-Coudray, Auteur ; Rim Villard-Mahjoub, Auteur ; Jeanne Thomassin-Piana, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.80-87 Langues : Français Mots-clés : cancer du corps utérin
carcinome endométrial
carcinosarcome
sarcomeRésumé : La classification des cancers du corps utérin de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est importante à connaître. Elle divise les tumeurs du corps utérin en six catégories : les tumeurs épithéliales, les tumeurs mésenchymateuses, les tumeurs mixtes, les tumeurs lymphoïdes et tumeurs secondaires. Le carcinome endométrial reste la tumeur la plus fréquente. Le bilan d’extension locorégional d’un carcinome endométrial est réalisé par IRM et doit donner des informations précises aux chirurgiens et aux cliniciens pour définir la stratégie thérapeutique et notamment évaluer le risque d’envahissement ganglionnaire et la possibilité de réaliser un curage ganglionnaire d’emblée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Tumeurs trophoblastiques gestationnelles : éléments clés dans notre pratique radiologique / Noémie Peyron Faure in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Tumeurs trophoblastiques gestationnelles : éléments clés dans notre pratique radiologique [revue] / Noémie Peyron Faure, Auteur ; Jérôme Massardier, Auteur ; Pierre-Adrien Bolze, Auteur . - 2018 . - p.88-103.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.88-103
Mots-clés : CHORIOCARNINOME
échographie
IRM imagerie par résonance magnétique
maladie trophoblastique
métastatique
scanner
tumeur utérineRésumé : Les tumeurs trophoblastiques gestationnelles correspondent à un spectre de lésions malignes d’origine placentaire, composé majoritairement de la môle invasive et du choriocarcinome, mais intégrant également les tumeurs rares du site d’implantation placentaire et trophoblastique épithélioïde. Le diagnostic de tumeur trophoblastique gestationnelle postmôlaire est basé sur les dosages des hormones chorioniques gonadotrophiques plasmatiques, et non sur l’imagerie ou l’histologie. L’imagerie est par contre cruciale pour faire le bilan d’extension tumorale, participer au suivi, et traiter les complications. Les caractéristiques des tumeurs trophoblastiques gestationnelles en imagerie pelvienne sont peu spécifiques, mais il existe certaines spécificités comme leur caractère hypervasculaire. L’échographie reste l’examen de première intention pour le diagnostic initial, et peut prédire le caractère invasif ou récurrent de la pathologie trophoblastique persistante. L’IRM pelvienne est en passe de devenir systématique, permettant une analyse plus fiable de l’extension locorégionale et du risque de complications locales. Le scanner thoraco-abdominopelvien et l’IRM cérébrale sont les techniques de choix pour le bilan d’extension à distance. L’artériographie est indispensable pour prévenir les risques hémorragiques ou traiter certaines complications vasculaires comme les malformations artérioveineuse. L’objectif de cette revue est d’aider à optimiser la prise en charge multidisciplinaire de ces patientes en donnant aux radiologues diagnostiques et interventionnels des clés de compréhension de la prise en charge oncologique de ces lésions et en développant la place et l’apport des différentes techniques d’imagerie.
[article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.88-103
Titre : Tumeurs trophoblastiques gestationnelles : éléments clés dans notre pratique radiologique Type de document : revue Auteurs : Noémie Peyron Faure, Auteur ; Jérôme Massardier, Auteur ; Pierre-Adrien Bolze, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.88-103 Langues : Français Mots-clés : CHORIOCARNINOME
échographie
IRM imagerie par résonance magnétique
maladie trophoblastique
métastatique
scanner
tumeur utérineRésumé : Les tumeurs trophoblastiques gestationnelles correspondent à un spectre de lésions malignes d’origine placentaire, composé majoritairement de la môle invasive et du choriocarcinome, mais intégrant également les tumeurs rares du site d’implantation placentaire et trophoblastique épithélioïde. Le diagnostic de tumeur trophoblastique gestationnelle postmôlaire est basé sur les dosages des hormones chorioniques gonadotrophiques plasmatiques, et non sur l’imagerie ou l’histologie. L’imagerie est par contre cruciale pour faire le bilan d’extension tumorale, participer au suivi, et traiter les complications. Les caractéristiques des tumeurs trophoblastiques gestationnelles en imagerie pelvienne sont peu spécifiques, mais il existe certaines spécificités comme leur caractère hypervasculaire. L’échographie reste l’examen de première intention pour le diagnostic initial, et peut prédire le caractère invasif ou récurrent de la pathologie trophoblastique persistante. L’IRM pelvienne est en passe de devenir systématique, permettant une analyse plus fiable de l’extension locorégionale et du risque de complications locales. Le scanner thoraco-abdominopelvien et l’IRM cérébrale sont les techniques de choix pour le bilan d’extension à distance. L’artériographie est indispensable pour prévenir les risques hémorragiques ou traiter certaines complications vasculaires comme les malformations artérioveineuse. L’objectif de cette revue est d’aider à optimiser la prise en charge multidisciplinaire de ces patientes en donnant aux radiologues diagnostiques et interventionnels des clés de compréhension de la prise en charge oncologique de ces lésions et en développant la place et l’apport des différentes techniques d’imagerie.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Apport de l’échographie dans la prise en charge des troubles de la statique pelvienne / Denis Savary in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Apport de l’échographie dans la prise en charge des troubles de la statique pelvienne [revue] / Denis Savary, Auteur . - 2018 . - p.104-113.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.104-113
Mots-clés : échographie
périnée
prolapsus
promontofixation
prothèseRésumé : L’échographie périnéale n’a pas connu l’essor de l’IRM dans l’exploration des troubles de la statique pelvienne. Pourtant elle jouit de qualités essentielles comme son accessibilité, son approche physiopathologique ou sa vision des matériaux prothétiques. Dans cette revue nous explorons les aspects techniques et les spécificités de l’échographie périnéale. Puis nous étudions son apport dans les situations cliniques les plus fréquentes et le cas complexe des récidives. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.104-113
Titre : Apport de l’échographie dans la prise en charge des troubles de la statique pelvienne Type de document : revue Auteurs : Denis Savary, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.104-113 Langues : Français Mots-clés : échographie
périnée
prolapsus
promontofixation
prothèseRésumé : L’échographie périnéale n’a pas connu l’essor de l’IRM dans l’exploration des troubles de la statique pelvienne. Pourtant elle jouit de qualités essentielles comme son accessibilité, son approche physiopathologique ou sa vision des matériaux prothétiques. Dans cette revue nous explorons les aspects techniques et les spécificités de l’échographie périnéale. Puis nous étudions son apport dans les situations cliniques les plus fréquentes et le cas complexe des récidives. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Quelles informations sur les facteurs de risque de cancer du sein faut-il présenter dans le cadre du dépistage ? / François Eisinger in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Quelles informations sur les facteurs de risque de cancer du sein faut-il présenter dans le cadre du dépistage ? [revue] / François Eisinger, Auteur ; Jessica Moretta, Auteur . - 2018 . - p.114-116.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.114-116
Mots-clés : cancer du sein
décision
dépistage
informationRésumé : La décision de réaliser ou non un dépistage du cancer du sein ainsi que le choix de la périodicité et des outils dépendent de paramètres, dont la plupart sont des facteurs de risque de cancer. Cet article décrit la logique qui est en jeu pour choisir les éléments qui devraient être discutés avec les patientes. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.114-116
Titre : Quelles informations sur les facteurs de risque de cancer du sein faut-il présenter dans le cadre du dépistage ? Type de document : revue Auteurs : François Eisinger, Auteur ; Jessica Moretta, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.114-116 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
décision
dépistage
informationRésumé : La décision de réaliser ou non un dépistage du cancer du sein ainsi que le choix de la périodicité et des outils dépendent de paramètres, dont la plupart sont des facteurs de risque de cancer. Cet article décrit la logique qui est en jeu pour choisir les éléments qui devraient être discutés avec les patientes. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Dépistage et rayons X : tous égaux ? / Michel Bourguignon in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Dépistage et rayons X : tous égaux ? [revue] / Michel Bourguignon, Auteur . - 2018 . - p.117-121.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.117-121
Mots-clés : cancer du sein
mammographie
radiosusceptibilité
rayon XRésumé : La radiosusceptibilité au cancer, connue de longue date et qui touche probablement entre 10 et 20 % de la population, est peu prise en compte dans le cadre du dépistage mammographique du cancer du sein. Elle a réellement émergé avec la problématique du dépistage des femmes à haut risque de cancer du sein. En effet, alors qu’un lien entre le cancer du sein et de faibles doses de rayons X était difficile à établir dans la population générale, l’épidémiologie a montré un lien pour les femmes mutées sur le gène BRCA1/2. D’autre part, la radiobiologie a permis de montrer des indicateurs de radiosusceptibilité aux faibles doses à l’échelon cellulaire et dans des sous-catégories de population prédisposées au cancer. Plusieurs tests fonctionnels des voies de signalisation et de réparation des lésions de l’ADN sont aujourd’hui disponibles et sont susceptibles de pouvoir mettre en évidence cette réponse individuelle variable aux rayons X. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.117-121
Titre : Dépistage et rayons X : tous égaux ? Type de document : revue Auteurs : Michel Bourguignon, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.117-121 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
mammographie
radiosusceptibilité
rayon XRésumé : La radiosusceptibilité au cancer, connue de longue date et qui touche probablement entre 10 et 20 % de la population, est peu prise en compte dans le cadre du dépistage mammographique du cancer du sein. Elle a réellement émergé avec la problématique du dépistage des femmes à haut risque de cancer du sein. En effet, alors qu’un lien entre le cancer du sein et de faibles doses de rayons X était difficile à établir dans la population générale, l’épidémiologie a montré un lien pour les femmes mutées sur le gène BRCA1/2. D’autre part, la radiobiologie a permis de montrer des indicateurs de radiosusceptibilité aux faibles doses à l’échelon cellulaire et dans des sous-catégories de population prédisposées au cancer. Plusieurs tests fonctionnels des voies de signalisation et de réparation des lésions de l’ADN sont aujourd’hui disponibles et sont susceptibles de pouvoir mettre en évidence cette réponse individuelle variable aux rayons X. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Dépistage et information des femmes au Canada : comment augmenter les taux de participation pour obtenir la meilleure efficacité du dépistage du cancer du sein ? / Jean M. Seely in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Dépistage et information des femmes au Canada : comment augmenter les taux de participation pour obtenir la meilleure efficacité du dépistage du cancer du sein ? [revue] / Jean M. Seely, Auteur . - 2018 . - p.122-127.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.122-127
Mots-clés : Canada
cancer du sein
mammographie
participationRésumé : Au Canada, le taux de mortalité lié au cancer du sein a diminué de 40 % depuis 1989, un résultat attribué de façon presque équivalente au dépistage et aux améliorations de traitement. Les modalités de dépistage sont principalement la mammographie numérique pour les femmes moyennement à risque, à quoi s’ajoute l’IRM pour les femmes à risque élevé. Le dépistage supplémentaire avec tomosynthèse n’est offert que dans certains centres et l’échographie supplémentaire pour les femmes avec seins denses n’est que rarement offerte. Les programmes provinciaux de dépistage mammographique visent les femmes âgées de 50 à 74 ans, mais la majorité d’entre eux acceptent aussi les femmes âgées de 40 à 49 ans et de plus de 74 ans. Le taux de participation au dépistage mammographique au Canada est en moyenne de 65 %. Cet article de synthèse illustre diverses stratégies pour rejoindre davantage de femmes et pour augmenter le taux de participation. L’essentiel pour avoir le plus de succès possible est de mobiliser l’ensemble des acteurs clés (patientes, médecins, administrateurs du système de santé et la communauté en général) dans une approche pluridimensionnelle. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.122-127
Titre : Dépistage et information des femmes au Canada : comment augmenter les taux de participation pour obtenir la meilleure efficacité du dépistage du cancer du sein ? Type de document : revue Auteurs : Jean M. Seely, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.122-127 Langues : Français Mots-clés : Canada
cancer du sein
mammographie
participationRésumé : Au Canada, le taux de mortalité lié au cancer du sein a diminué de 40 % depuis 1989, un résultat attribué de façon presque équivalente au dépistage et aux améliorations de traitement. Les modalités de dépistage sont principalement la mammographie numérique pour les femmes moyennement à risque, à quoi s’ajoute l’IRM pour les femmes à risque élevé. Le dépistage supplémentaire avec tomosynthèse n’est offert que dans certains centres et l’échographie supplémentaire pour les femmes avec seins denses n’est que rarement offerte. Les programmes provinciaux de dépistage mammographique visent les femmes âgées de 50 à 74 ans, mais la majorité d’entre eux acceptent aussi les femmes âgées de 40 à 49 ans et de plus de 74 ans. Le taux de participation au dépistage mammographique au Canada est en moyenne de 65 %. Cet article de synthèse illustre diverses stratégies pour rejoindre davantage de femmes et pour augmenter le taux de participation. L’essentiel pour avoir le plus de succès possible est de mobiliser l’ensemble des acteurs clés (patientes, médecins, administrateurs du système de santé et la communauté en général) dans une approche pluridimensionnelle. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anomalie classée Bi-Rads 3 de l’American College of Radiology (ACR) : suis-je juridiquement tenu de tout proposer ? / Julie Chaillet in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Anomalie classée Bi-Rads 3 de l’American College of Radiology (ACR) : suis-je juridiquement tenu de tout proposer ? [revue] / Julie Chaillet, Auteur . - 2018 . - p.128-130.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.128-130
Mots-clés : anomalie
consentement éclairé
dépistage
responsabilitéRésumé : Face à une anomalie classée, 3 selon le Breast Imaging Reporting and Data System (Bi-Rads), le radiologue a deux choix : proposer, comme le prévoit le cahier des charges du dépistage organisé et les recommandations — deux nouveaux contrôles rapprochés —, ou de proposer des investigations complémentaires. Ces dernières, qui peuvent permettre un meilleur diagnostic, sont, néanmoins, potentiellement iatrogènes et sources de surdiagnostic. Dès lors, quelle attitude le radiologue doit-il préférer pour soigner au mieux sa patiente et limiter le risque de voir sa responsabilité engagée ? À défaut de réponse scientifique unanime et définitive, la seule solution qui semble s’offrir au praticien est de présenter à sa patiente les options pertinentes, en l’informant de leurs avantages et de leurs risques, afin de lui permettre de prendre une décision éclairée. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.128-130
Titre : Anomalie classée Bi-Rads 3 de l’American College of Radiology (ACR) : suis-je juridiquement tenu de tout proposer ? Type de document : revue Auteurs : Julie Chaillet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.128-130 Langues : Français Mots-clés : anomalie
consentement éclairé
dépistage
responsabilitéRésumé : Face à une anomalie classée, 3 selon le Breast Imaging Reporting and Data System (Bi-Rads), le radiologue a deux choix : proposer, comme le prévoit le cahier des charges du dépistage organisé et les recommandations — deux nouveaux contrôles rapprochés —, ou de proposer des investigations complémentaires. Ces dernières, qui peuvent permettre un meilleur diagnostic, sont, néanmoins, potentiellement iatrogènes et sources de surdiagnostic. Dès lors, quelle attitude le radiologue doit-il préférer pour soigner au mieux sa patiente et limiter le risque de voir sa responsabilité engagée ? À défaut de réponse scientifique unanime et définitive, la seule solution qui semble s’offrir au praticien est de présenter à sa patiente les options pertinentes, en l’informant de leurs avantages et de leurs risques, afin de lui permettre de prendre une décision éclairée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Lésions frontières en pathologie mammaire à fort risque de surdiagnostic : lesquelles ? Double lecture anatomopathologique, une nécessité ? / Gaëtan Macgrogan in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Lésions frontières en pathologie mammaire à fort risque de surdiagnostic : lesquelles ? Double lecture anatomopathologique, une nécessité ? [revue] / Gaëtan Macgrogan, Auteur . - 2018 . - p.131-137.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.131-137
Mots-clés : dépistage
sein
surdiagnosticRésumé : Le dépistage mammographique s’accompagne d’un surdiagnostic, inhérent à l’acte de dépistage mais lié aussi, dans un certain nombre de cas, à une surinterprétation des images mammographiques, de la part des radiologues, et des lésions frontières de la part les pathologistes. Les lésions frontières en pathologie mammaire sont des néoplasies intraépithéliales dont le diagnostic est difficile du fait de l’existence d’un continuum lésionnel morphologique, avec des limites floues d’une catégorie lésionnelle à l’autre, diminuant la reproductibilité diagnostique interobservateur. L’Institut national du cancer a récemment proposé un plan d’action pour la rénovation du dépistage organisé en France et l’amélioration de la qualité en pathologie. Dans le cadre de ce plan une expérimentation de double lecture des lésions frontières est proposée, mais ses modalités pratiques restent à définir. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.131-137
Titre : Lésions frontières en pathologie mammaire à fort risque de surdiagnostic : lesquelles ? Double lecture anatomopathologique, une nécessité ? Type de document : revue Auteurs : Gaëtan Macgrogan, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.131-137 Langues : Français Mots-clés : dépistage
sein
surdiagnosticRésumé : Le dépistage mammographique s’accompagne d’un surdiagnostic, inhérent à l’acte de dépistage mais lié aussi, dans un certain nombre de cas, à une surinterprétation des images mammographiques, de la part des radiologues, et des lésions frontières de la part les pathologistes. Les lésions frontières en pathologie mammaire sont des néoplasies intraépithéliales dont le diagnostic est difficile du fait de l’existence d’un continuum lésionnel morphologique, avec des limites floues d’une catégorie lésionnelle à l’autre, diminuant la reproductibilité diagnostique interobservateur. L’Institut national du cancer a récemment proposé un plan d’action pour la rénovation du dépistage organisé en France et l’amélioration de la qualité en pathologie. Dans le cadre de ce plan une expérimentation de double lecture des lésions frontières est proposée, mais ses modalités pratiques restent à définir. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Prise en charge des hyperplasies canalaires atypiques sur macrobiopsies : une désescalade possible ? / Youenn Drouet in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Prise en charge des hyperplasies canalaires atypiques sur macrobiopsies : une désescalade possible ? [revue] / Youenn Drouet, Auteur ; Julien Le Gall, Auteur ; Julie Gervasoni, Auteur . - 2018 . - p.138-143.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.138-143
Mots-clés : cancer du sein
hyperplasie
risqueRésumé : L’hyperplasie canalaire atypique diagnostiquée sur biopsie à l’aiguille est associée à un taux de sous-estimation de 11 à 35 % conduisant le plus souvent à une biopsie chirurgicale. Par ailleurs, l’hyperplasie canalaire atypique augmente le risque de cancer du sein à long terme nécessitant après avoir éliminé une sous-estimation une surveillance spécifique. Les propositions d’abstention chirurgicale de la littérature utilisent des critères différents pour sélectionner les patientes à bas risque de sous-estimation et en général celui-ci varie de 3 à 8 %. La seule stratégie montrant un taux acceptable de sous-estimation (2 %), bien que validée prospectivement, n’a pas été évaluée de façon multicentrique ce qui limite sa valeur en termes de recommandations. En comparaison avec la population générale, le risque relatif de cancer du sein après un diagnostic d’hyperplasie canalaire atypique est inférieur à 5 qu’il soit fait sur biopsie chirurgicale ou à l’aiguille. L’IRM mammaire annuelle n’est pas recommandée en dehors du contexte de très haut risque de cancer du sein familial validé par une réunion de concertation pluridisciplinaire d’oncogénétique, qu’il y ait ou non une mutation identifiée. L’IRM de surveillance entre 25 et 30 ans pourrait aussi se discuter au cas par cas en réunion de concertation pluridisciplinaire chez des femmes ayant été atteinte d’hyperplasie atypique avant 30 ans comme cela est proposé par l’équipe du Massachusetts General Hospital de Boston. Un consensus se dégage de la littérature, recommandant un suivi annuel par mammographie pendant 10 ans en France mais la durée pour les anglo-saxons n’est pas précisée. Le sur-risque de cancer persistant au-delà de cette période, la tendance serait plutôt de prolonger le suivi spécifique qui doit être aussi évalué au regard de l’irradiation de la glande mammaire par des contrôles mammographiques répétés. En conclusion, la désescalade pour la prise en charge initiale de l’hyperplasie canalaire atypique reste toujours controversée et pour le suivi à long terme ne semble pas d’actualité. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.138-143
Titre : Prise en charge des hyperplasies canalaires atypiques sur macrobiopsies : une désescalade possible ? Type de document : revue Auteurs : Youenn Drouet, Auteur ; Julien Le Gall, Auteur ; Julie Gervasoni, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.138-143 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
hyperplasie
risqueRésumé : L’hyperplasie canalaire atypique diagnostiquée sur biopsie à l’aiguille est associée à un taux de sous-estimation de 11 à 35 % conduisant le plus souvent à une biopsie chirurgicale. Par ailleurs, l’hyperplasie canalaire atypique augmente le risque de cancer du sein à long terme nécessitant après avoir éliminé une sous-estimation une surveillance spécifique. Les propositions d’abstention chirurgicale de la littérature utilisent des critères différents pour sélectionner les patientes à bas risque de sous-estimation et en général celui-ci varie de 3 à 8 %. La seule stratégie montrant un taux acceptable de sous-estimation (2 %), bien que validée prospectivement, n’a pas été évaluée de façon multicentrique ce qui limite sa valeur en termes de recommandations. En comparaison avec la population générale, le risque relatif de cancer du sein après un diagnostic d’hyperplasie canalaire atypique est inférieur à 5 qu’il soit fait sur biopsie chirurgicale ou à l’aiguille. L’IRM mammaire annuelle n’est pas recommandée en dehors du contexte de très haut risque de cancer du sein familial validé par une réunion de concertation pluridisciplinaire d’oncogénétique, qu’il y ait ou non une mutation identifiée. L’IRM de surveillance entre 25 et 30 ans pourrait aussi se discuter au cas par cas en réunion de concertation pluridisciplinaire chez des femmes ayant été atteinte d’hyperplasie atypique avant 30 ans comme cela est proposé par l’équipe du Massachusetts General Hospital de Boston. Un consensus se dégage de la littérature, recommandant un suivi annuel par mammographie pendant 10 ans en France mais la durée pour les anglo-saxons n’est pas précisée. Le sur-risque de cancer persistant au-delà de cette période, la tendance serait plutôt de prolonger le suivi spécifique qui doit être aussi évalué au regard de l’irradiation de la glande mammaire par des contrôles mammographiques répétés. En conclusion, la désescalade pour la prise en charge initiale de l’hyperplasie canalaire atypique reste toujours controversée et pour le suivi à long terme ne semble pas d’actualité. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Prise en charge des carcinomes mammaires in situ : surtraitement ? Peut-on faire moins ? / Bruno Cutuli in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Prise en charge des carcinomes mammaires in situ : surtraitement ? Peut-on faire moins ? [revue] / Bruno Cutuli, Auteur . - 2018 . - p.144-151.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.144-151
Mots-clés : CCIS carcinome canalaire in situ
chirurgie
radiothérapie
récidive
surtraitement
traitementRésumé : Les carcinomes canalaires in situ représentent désormais environ 15 % des cancers du sein. Ils constituent la première étape de la cancérisation mammaire et évoluent dans une grande majorité des cas vers un cancer invasif, mais avec des délais et des potentiels évolutifs variables. Compte tenu de l’extension et/ou de la multicentricité, la mastectomie reste nécessaire dans environ 30 % des cas. La chirurgie conservatrice seule conduit, même pour des cas très sélectionnés (bas grade, petite taille, résection complète), à des taux de récidive locale de 15 à 20 %, dont la moitié invasive. Ces dernières peuvent être potentiellement létales dans 15 % des cas. L’adjonction de la radiothérapie réduit le risque de récidive locale d’environ 50 %, comme l’ont confirmé quatre essais randomisés et deux méta-analyses. Les facteurs de risque de récidive locale sont cliniques, histopathologiques et/ou liés aux traitements. Afin d’éviter un possible surtraitement plusieurs études de « désescalade thérapeutique » sont en cours, essayant de sélectionner des lésions à très bas risque évolutif en intégrant certains paramètres moléculaires. Il faut toutefois rester très prudent et trouver un équilibre afin d’éviter également un sous traitement pour une maladie quasi totalement guérissable à son début par un traitement optimal. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.144-151
Titre : Prise en charge des carcinomes mammaires in situ : surtraitement ? Peut-on faire moins ? Type de document : revue Auteurs : Bruno Cutuli, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.144-151 Langues : Français Mots-clés : CCIS carcinome canalaire in situ
chirurgie
radiothérapie
récidive
surtraitement
traitementRésumé : Les carcinomes canalaires in situ représentent désormais environ 15 % des cancers du sein. Ils constituent la première étape de la cancérisation mammaire et évoluent dans une grande majorité des cas vers un cancer invasif, mais avec des délais et des potentiels évolutifs variables. Compte tenu de l’extension et/ou de la multicentricité, la mastectomie reste nécessaire dans environ 30 % des cas. La chirurgie conservatrice seule conduit, même pour des cas très sélectionnés (bas grade, petite taille, résection complète), à des taux de récidive locale de 15 à 20 %, dont la moitié invasive. Ces dernières peuvent être potentiellement létales dans 15 % des cas. L’adjonction de la radiothérapie réduit le risque de récidive locale d’environ 50 %, comme l’ont confirmé quatre essais randomisés et deux méta-analyses. Les facteurs de risque de récidive locale sont cliniques, histopathologiques et/ou liés aux traitements. Afin d’éviter un possible surtraitement plusieurs études de « désescalade thérapeutique » sont en cours, essayant de sélectionner des lésions à très bas risque évolutif en intégrant certains paramètres moléculaires. Il faut toutefois rester très prudent et trouver un équilibre afin d’éviter également un sous traitement pour une maladie quasi totalement guérissable à son début par un traitement optimal. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Reconstruction mammaire et lipomodelage : information, technique, précautions, images à connaître / Emmanuel Delay in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Reconstruction mammaire et lipomodelage : information, technique, précautions, images à connaître [revue] / Emmanuel Delay, Auteur ; Christophe Tourasse, Auteur . - 2018 . - p.152-163.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.152-163
Mots-clés : cancer du sein
chirurgie reconstructrice
échographie
greffe
lipomodelage
mammographie
traitement conservateurRésumé : Le lipomodelage du sein est une technique qui consiste à transférer de la graisse en excès d’une zone, vers le sein à reconstruire. Nous avons mis au point cette technique en 1998. Il s’agit d’une adaptation de la technique de lipostructure, utilisée au niveau de la chirurgie esthétique du visage, et que nous avons transposée au niveau de la chirurgie réparatrice du sein. Cette technique a initialement fait l’objet de polémiques jusqu’à son acceptation par la majorité des chirurgiens plasticiens français et internationaux. Cette technique a fait l’objet d’une évaluation par la Haute autorité de santé, qui a émis un rapport en janvier 2015, ce qui a permis la création d’un code spécifique pour la prise en charge de cette intervention par l’Assurance maladie, en chirurgie réparatrice. Cette technique comporte de nombreux avantage : tissus autologues, technique reproductible, peu invasive, avec peu de complications, et donnant un résultat très naturel. Les inconvénients sont représentés par la nécessité de répéter plusieurs séances de lipomodelage en cas de déformation importante, le fait que les résultats sont expérience-dépendants, avec une courbe d’apprentissage assez importante, et finalement les œdèmes et les ecchymoses. Le radiologue a une place centrale pour la sécurité oncologique de cette intervention, avant la réalisation d’un lipomodelage, surtout après sein conservé ayant donné des séquelles. L’imagerie préopératoire, adaptée au contexte de la patiente, est indispensable, et doit clairement conclure à la possibilité ou non de la réalisation de la chirurgie. De la même façon, le suivi après lipomodelage doit clairement définir les aspects normaux des zones de cytostéatonécrose, et la conclusion de l’imagerie doit être claire et sans équivoque. En présence d’une lésion suspecte, une microbiopsie permettra d’éliminer une éventuelle néoplasie sous-jacente. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.152-163
Titre : Reconstruction mammaire et lipomodelage : information, technique, précautions, images à connaître Type de document : revue Auteurs : Emmanuel Delay, Auteur ; Christophe Tourasse, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.152-163 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
chirurgie reconstructrice
échographie
greffe
lipomodelage
mammographie
traitement conservateurRésumé : Le lipomodelage du sein est une technique qui consiste à transférer de la graisse en excès d’une zone, vers le sein à reconstruire. Nous avons mis au point cette technique en 1998. Il s’agit d’une adaptation de la technique de lipostructure, utilisée au niveau de la chirurgie esthétique du visage, et que nous avons transposée au niveau de la chirurgie réparatrice du sein. Cette technique a initialement fait l’objet de polémiques jusqu’à son acceptation par la majorité des chirurgiens plasticiens français et internationaux. Cette technique a fait l’objet d’une évaluation par la Haute autorité de santé, qui a émis un rapport en janvier 2015, ce qui a permis la création d’un code spécifique pour la prise en charge de cette intervention par l’Assurance maladie, en chirurgie réparatrice. Cette technique comporte de nombreux avantage : tissus autologues, technique reproductible, peu invasive, avec peu de complications, et donnant un résultat très naturel. Les inconvénients sont représentés par la nécessité de répéter plusieurs séances de lipomodelage en cas de déformation importante, le fait que les résultats sont expérience-dépendants, avec une courbe d’apprentissage assez importante, et finalement les œdèmes et les ecchymoses. Le radiologue a une place centrale pour la sécurité oncologique de cette intervention, avant la réalisation d’un lipomodelage, surtout après sein conservé ayant donné des séquelles. L’imagerie préopératoire, adaptée au contexte de la patiente, est indispensable, et doit clairement conclure à la possibilité ou non de la réalisation de la chirurgie. De la même façon, le suivi après lipomodelage doit clairement définir les aspects normaux des zones de cytostéatonécrose, et la conclusion de l’imagerie doit être claire et sans équivoque. En présence d’une lésion suspecte, une microbiopsie permettra d’éliminer une éventuelle néoplasie sous-jacente. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Et maintenant un peu d’histoire ! Rayons X, plus de 100 ans d’épopée lyonnaise / Nicolas Foray in Imagerie de la Femme, vol.28 n°2 (juin 2018)
[article] Et maintenant un peu d’histoire ! Rayons X, plus de 100 ans d’épopée lyonnaise [revue] / Nicolas Foray, Auteur . - 2018 . - p.164-168.
Langues : Français
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.164-168
Mots-clés : histoire de la médecine
radiobiologie
radiologie
radiothérapieRésumé : Dès la découverte des rayons X par Roentgen en 1895 et jusqu’à la fin de la première guerre mondiale, Lyon fut le berceau des premiers développements de la radiologie, de la radiothérapie et de la radiobiologie. En effet, grâce au soutien logistique des frères Lumière et avec l’appui des maires-médecins Gailleton et Augagneur, cinq médecins lyonnais furent les contributeurs majeurs des applications médicales des rayons X : Despeignes, le premier radiothérapeute, avec un traitement sur le lymphome de son voisin 6 mois seulement après la découverte des rayons X ; Destot, le premier radiologue, avec les premières descriptions des fractures osseuses du pied, de la main et du poignet ; Regaud, le premier radiobiologiste, avec les premières lois dose–effet et les 1000 premiers patients traités par radiothérapie en tant que directeur de la section de biologie de l’institut du Radium ; Bouchacourt et la radiologie des organes cavitaires, avec les premiers clichés radiographiques dentaires, les premières pelvimétries et la première publication sur la radiosensibilité individuelle ; Arcelin, pionnier de l’imagerie du cœur et du rein, et investigateur principal de la première étude sur les effets secondaires de la radiothérapie. [article]
in Imagerie de la Femme > vol.28 n°2 (juin 2018) . - p.164-168
Titre : Et maintenant un peu d’histoire ! Rayons X, plus de 100 ans d’épopée lyonnaise Type de document : revue Auteurs : Nicolas Foray, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.164-168 Langues : Français Mots-clés : histoire de la médecine
radiobiologie
radiologie
radiothérapieRésumé : Dès la découverte des rayons X par Roentgen en 1895 et jusqu’à la fin de la première guerre mondiale, Lyon fut le berceau des premiers développements de la radiologie, de la radiothérapie et de la radiobiologie. En effet, grâce au soutien logistique des frères Lumière et avec l’appui des maires-médecins Gailleton et Augagneur, cinq médecins lyonnais furent les contributeurs majeurs des applications médicales des rayons X : Despeignes, le premier radiothérapeute, avec un traitement sur le lymphome de son voisin 6 mois seulement après la découverte des rayons X ; Destot, le premier radiologue, avec les premières descriptions des fractures osseuses du pied, de la main et du poignet ; Regaud, le premier radiobiologiste, avec les premières lois dose–effet et les 1000 premiers patients traités par radiothérapie en tant que directeur de la section de biologie de l’institut du Radium ; Bouchacourt et la radiologie des organes cavitaires, avec les premiers clichés radiographiques dentaires, les premières pelvimétries et la première publication sur la radiosensibilité individuelle ; Arcelin, pionnier de l’imagerie du cœur et du rein, et investigateur principal de la première étude sur les effets secondaires de la radiothérapie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031971 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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