vol.30 n°4 septembre 2017 vol.30 n°5 - 6 novembre 2017 vol.31 n°1 mars 2018 vol.31 n°2 mai 2018 vol.31 n°3 juin 2018 vol.31 n°5 novembre 2018 vol.31 n°6 décembre 2018 journal de pédiatrie et de puériculture . vol.31 n°2 Mention de date :  mai 2018 Paru le :  01/05/2018

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Conseils pour l’allaitement maternel / Virginie Rigourd in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Conseils pour l’allaitement maternel [revue] / Virginie Rigourd, Auteur ; Muriel Nicloux, Auteur ; S. Hovanishian, Auteur . - 2018 . - p.53-74. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.53-74 Mots-clés : allaitement maternel bénéfice croissance formation lactarium pharmacologie prématuré promotion santé soutien tire lait Résumé : Le lait maternel est unique sur le plan biologique et nutritionnel. Sa composition évolue constamment pour répondre au mieux aux besoins de l’enfant jusqu’à 6 mois. La culture du biberon est en train de laisser progressivement place à celle de l’allaitement maternel comme en témoignent les dernières données épidémiologiques françaises. Si le taux d’initiation de l’allaitement maternel (AM) atteint en effet 76 à 86 % selon les régions, seuls 22 % des nourrissons restent allaités exclusivement à 6 mois. Dans les sociétés industrialisées, les jeunes mamans ont rarement vu d’autres mamans allaiter avant de le faire elles-mêmes. Avec les sorties précoces de maternité, beaucoup de femmes se trouvent désemparées face à d’inévitables petites difficultés. Les centres ressources (protection maternelle et infantile [PMI], pédiatres, généralistes, consultantes en lactation, association de soutien, etc.) vont alors avoir un rôle à part entière mais ne doivent pas diffuser des conseils inappropriés et/ou contradictoires. Combien d’interruptions d’allaitement pour une poussée de fièvre, une prescription médicamenteuse, un mamelon douloureux ou pire un renoncement à l’AM après une naissance prématurée ? C’est en se rapprochant au mieux des dernières connaissances sur la physiologie de la lactation qu’un allaitement maternel a le plus de chance de bien démarrer et de se prolonger sans douleur. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.53-74 Titre : Conseils pour l’allaitement maternel Type de document : revue Auteurs : Virginie Rigourd, Auteur ; Muriel Nicloux, Auteur ; S. Hovanishian, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.53-74 Langues : Français Mots-clés : allaitement maternel bénéfice croissance formation lactarium pharmacologie prématuré promotion santé soutien tire lait Résumé : Le lait maternel est unique sur le plan biologique et nutritionnel. Sa composition évolue constamment pour répondre au mieux aux besoins de l’enfant jusqu’à 6 mois. La culture du biberon est en train de laisser progressivement place à celle de l’allaitement maternel comme en témoignent les dernières données épidémiologiques françaises. Si le taux d’initiation de l’allaitement maternel (AM) atteint en effet 76 à 86 % selon les régions, seuls 22 % des nourrissons restent allaités exclusivement à 6 mois. Dans les sociétés industrialisées, les jeunes mamans ont rarement vu d’autres mamans allaiter avant de le faire elles-mêmes. Avec les sorties précoces de maternité, beaucoup de femmes se trouvent désemparées face à d’inévitables petites difficultés. Les centres ressources (protection maternelle et infantile [PMI], pédiatres, généralistes, consultantes en lactation, association de soutien, etc.) vont alors avoir un rôle à part entière mais ne doivent pas diffuser des conseils inappropriés et/ou contradictoires. Combien d’interruptions d’allaitement pour une poussée de fièvre, une prescription médicamenteuse, un mamelon douloureux ou pire un renoncement à l’AM après une naissance prématurée ? C’est en se rapprochant au mieux des dernières connaissances sur la physiologie de la lactation qu’un allaitement maternel a le plus de chance de bien démarrer et de se prolonger sans douleur.

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Nouvelles méthodes de stimulation de l’oralité chez les enfants nés prématurément / V. Dell'Orto in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Nouvelles méthodes de stimulation de l’oralité chez les enfants nés prématurément [revue] / V. Dell'Orto, Auteur . - 2018 . - p.75-78. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.75-78 Mots-clés : alimentation oralité prématurité stimulation Résumé : L’amélioration des soins en réanimation néonatale a permis, dans les dernières décennies, une augmentation de survie des enfants nés prématurément. Une fois obtenue la stabilisation de la phase aiguë, l’acquisition de l’autonomie alimentaire est souvent la dernière étape à atteindre pour la sortie à domicile, mais, comme reconnu par l’American Academy of Pediatrics, est une condition essentielle pour la décharge. L’acquisition d’une alimentation autonome exige une coordination entre la respiration, la succion et la déglutition, qui est présente normalement entre la 32e et la 34e semaine de gestation. Un retard d’acquisition d’une capacité alimentaire autonome, au biberon ou au sain, augmente le temps d’hospitalisation, le stress parental, les coûts pour la santé, et peut causer problèmes à long terme pour ce qui concerne la sphère péri-orale. Dans les dernières années, plusieurs études ont démontré l’efficacité des stimulations orales ou sensorimotrices pour améliorer la capacité de succion nutritive chez l’enfant prématuré, avec la réduction du temps de transition entre l’alimentation passive et active. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.75-78 Titre : Nouvelles méthodes de stimulation de l’oralité chez les enfants nés prématurément Type de document : revue Auteurs : V. Dell'Orto, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.75-78 Langues : Français Mots-clés : alimentation oralité prématurité stimulation Résumé : L’amélioration des soins en réanimation néonatale a permis, dans les dernières décennies, une augmentation de survie des enfants nés prématurément. Une fois obtenue la stabilisation de la phase aiguë, l’acquisition de l’autonomie alimentaire est souvent la dernière étape à atteindre pour la sortie à domicile, mais, comme reconnu par l’American Academy of Pediatrics, est une condition essentielle pour la décharge. L’acquisition d’une alimentation autonome exige une coordination entre la respiration, la succion et la déglutition, qui est présente normalement entre la 32e et la 34e semaine de gestation. Un retard d’acquisition d’une capacité alimentaire autonome, au biberon ou au sain, augmente le temps d’hospitalisation, le stress parental, les coûts pour la santé, et peut causer problèmes à long terme pour ce qui concerne la sphère péri-orale. Dans les dernières années, plusieurs études ont démontré l’efficacité des stimulations orales ou sensorimotrices pour améliorer la capacité de succion nutritive chez l’enfant prématuré, avec la réduction du temps de transition entre l’alimentation passive et active.

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Mise au point : le purpura thrombopénique immunologique de l’enfant / Hélène Boutroux in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Mise au point : le purpura thrombopénique immunologique de l’enfant [revue] / Hélène Boutroux, Auteur ; T. Leblanc, Auteur ; M-F. Courcoux, Auteur . - 2018 . - p.79-85. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.79-85 Mots-clés : purpura thrombopénie Résumé : Le purpura thrombopénique immunologique est la cause la plus fréquente de thrombopénie chez l’enfant. Néanmoins, cette entité constitue un diagnostic d’exclusion et nécessite d’éliminer les autres causes de thrombopénie. Il s’agit d’une maladie dans la grande majorité des cas bénigne, mais son potentiel hémorragique doit être évalué de manière précise grâce notamment au score de Buchanan, pour ne pas méconnaître les rares formes hémorragiques sévères qui peuvent menacer le pronostic vital. La prise en charge à la phase aiguë repose principalement soit sur l’abstention thérapeutique, soit sur un traitement par immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) ou la corticothérapie. Concernant son mode évolutif, on distingue trois formes : aiguë, persistante et chronique. À la différence du purpura thrombopénique immunologique de l’adulte, la majorité des purpuras thrombopéniques immunologiques de l’enfant évolue sur un mode aigu ou persistant (80 %). La prise en charge des purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques est moins consensuelle et dépend principalement de la sévérité du syndrome hémorragique et de l’impact de la thrombopénie sur la qualité de vie de l’enfant. L’éventail des thérapeutiques est large et comprend : les IgIV, la corticothérapie, la splénectomie, les immunosuppresseurs, les analogues du récepteur de la thrombopoïétine et d’autres médicaments. Cependant, l’abstention thérapeutique reste la règle dans un grand nombre de cas. Il faut noter que les récents progrès dans la génétique des thrombopénies constitutionnelles ont permis de redresser un certain nombre de diagnostics de purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques vers une thrombopénie constitutionnelle. Le diagnostic de purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques doit donc être remis en question de manière régulière en fonction de l’évolution. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.79-85 Titre : Mise au point : le purpura thrombopénique immunologique de l’enfant Type de document : revue Auteurs : Hélène Boutroux, Auteur ; T. Leblanc, Auteur ; M-F. Courcoux, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.79-85 Langues : Français Mots-clés : purpura thrombopénie Résumé : Le purpura thrombopénique immunologique est la cause la plus fréquente de thrombopénie chez l’enfant. Néanmoins, cette entité constitue un diagnostic d’exclusion et nécessite d’éliminer les autres causes de thrombopénie. Il s’agit d’une maladie dans la grande majorité des cas bénigne, mais son potentiel hémorragique doit être évalué de manière précise grâce notamment au score de Buchanan, pour ne pas méconnaître les rares formes hémorragiques sévères qui peuvent menacer le pronostic vital. La prise en charge à la phase aiguë repose principalement soit sur l’abstention thérapeutique, soit sur un traitement par immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) ou la corticothérapie. Concernant son mode évolutif, on distingue trois formes : aiguë, persistante et chronique. À la différence du purpura thrombopénique immunologique de l’adulte, la majorité des purpuras thrombopéniques immunologiques de l’enfant évolue sur un mode aigu ou persistant (80 %). La prise en charge des purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques est moins consensuelle et dépend principalement de la sévérité du syndrome hémorragique et de l’impact de la thrombopénie sur la qualité de vie de l’enfant. L’éventail des thérapeutiques est large et comprend : les IgIV, la corticothérapie, la splénectomie, les immunosuppresseurs, les analogues du récepteur de la thrombopoïétine et d’autres médicaments. Cependant, l’abstention thérapeutique reste la règle dans un grand nombre de cas. Il faut noter que les récents progrès dans la génétique des thrombopénies constitutionnelles ont permis de redresser un certain nombre de diagnostics de purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques vers une thrombopénie constitutionnelle. Le diagnostic de purpuras thrombopéniques immunologiques chroniques doit donc être remis en question de manière régulière en fonction de l’évolution.

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Le syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires : SEIPA / Julie Lemale in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Le syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires : SEIPA [revue] / Julie Lemale, Auteur . - 2018 . - p.86-90. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.86-90 Mots-clés : allergie alimentaire enfant entérocolite nutrition Résumé : Le syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires (SEIPA) est une allergie alimentaire non IgE médiée, à médiation cellulaire dont le mode de présentation peut être sévère. Il se révèle le plus souvent dans la première année de vie mais peut aussi survenir chez l’enfant plus grand, voire chez l’adulte. Deux formes sont décrites. La forme aiguë dont les manifestations apparaissent 1 à 4 heures après la prise de l’aliment avec des vomissements incoercibles entraînant une déshydratation pouvant aller jusqu’à un choc hypovolémique. La forme chronique, observée essentiellement chez le petit nourrisson se manifeste par des symptômes non spécifiques à type de diarrhée parfois sanglante, de vomissements et d’une mauvaise croissance staturo-pondérale. Les aliments en cause varient selon les pays, les plus fréquents sont le lait de vache, le soja, le riz, l’avoine. Chez les enfants plus grands, des SEIPA à d’autres aliments, comme la volaille, le poisson, la pomme de terre ou encore la banane ont été décrits. Il n’existe aucun test allergologique cutané ou sanguin permettant d’affirmer le diagnostic. Celui est affirmé sur les signes cliniques qui s’améliorent rapidement après le retrait de l’aliment en cause. Dans la plupart des cas, l’évolution est favorable avec l’acquisition de la tolérance vers 3–5 ans. Un test de provocation oral est généralement proposé 12–18 mois après la dernière réaction selon un protocole spécifique, le développement d’une allergie IgE médiée associée doit être éliminé au préalable. Des formes persistantes à l’âge adulte ont été décrites. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.86-90 Titre : Le syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires : SEIPA Type de document : revue Auteurs : Julie Lemale, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.86-90 Langues : Français Mots-clés : allergie alimentaire enfant entérocolite nutrition Résumé : Le syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires (SEIPA) est une allergie alimentaire non IgE médiée, à médiation cellulaire dont le mode de présentation peut être sévère. Il se révèle le plus souvent dans la première année de vie mais peut aussi survenir chez l’enfant plus grand, voire chez l’adulte. Deux formes sont décrites. La forme aiguë dont les manifestations apparaissent 1 à 4 heures après la prise de l’aliment avec des vomissements incoercibles entraînant une déshydratation pouvant aller jusqu’à un choc hypovolémique. La forme chronique, observée essentiellement chez le petit nourrisson se manifeste par des symptômes non spécifiques à type de diarrhée parfois sanglante, de vomissements et d’une mauvaise croissance staturo-pondérale. Les aliments en cause varient selon les pays, les plus fréquents sont le lait de vache, le soja, le riz, l’avoine. Chez les enfants plus grands, des SEIPA à d’autres aliments, comme la volaille, le poisson, la pomme de terre ou encore la banane ont été décrits. Il n’existe aucun test allergologique cutané ou sanguin permettant d’affirmer le diagnostic. Celui est affirmé sur les signes cliniques qui s’améliorent rapidement après le retrait de l’aliment en cause. Dans la plupart des cas, l’évolution est favorable avec l’acquisition de la tolérance vers 3–5 ans. Un test de provocation oral est généralement proposé 12–18 mois après la dernière réaction selon un protocole spécifique, le développement d’une allergie IgE médiée associée doit être éliminé au préalable. Des formes persistantes à l’âge adulte ont été décrites.

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Prématurité : épidémiologie et facteurs étiologiques dans une maternité de Dakar (Sénégal) / Aïchata Sow in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Prématurité : épidémiologie et facteurs étiologiques dans une maternité de Dakar (Sénégal) [revue] / Aïchata Sow, Auteur ; Madiagne Gueye, Auteur . - 2018 . - p.91-95. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.91-95 Mots-clés : Dakar étiologie maternité prématurité Sénégal Résumé : La prématurité est la première cause de mortalité et de morbidité néonatale avec plus d’un million de décès annuel dans le monde. Plusieurs facteurs étiologiques contribuent à sa survenue nécessitant leur identification pour une prévention efficace. L’objectif de ce travail était d’étudier les aspects épidémiologiques et les facteurs étiologiques de la prématurité dans la maternité de l’hôpital général Grand YOFF (HOGGY) de Dakar sur la période du 1er janvier au 31 août 2013. Il s’agissait d’une étude prospective incluant tous les nouveau-nés vivants et viables. Ils étaient divisés en deux groupes : les prématurés (22 SA–36 SA+6 jours) et les nouveau-nés à terme (plus de 37 SA). Durant l’étude, 501 nouveau-nés ont été colligés dont 360 nouveau-nés à terme (71,9 %) et 141 prématurés (28,1 %). Le sex-ratio était de 1,07. Parmi les prématurés, 48,2 % présentaient une hypotrophie. On notait 13 cas de décès chez les prématurés, soit 9,22 % dont les causes étaient la prématurité 4,96 %, l’asphyxie 2,12 %, l’hémorragie 2,12 % et les infections néonatales 0,70 %. La survenue de la prématurité était significativement liée au niveau d’instruction, l’origine géographique et à l’indice de masse corporelle. Le nombre de consultations prénatales inférieur à trois était lié à un risque de prématurité (25,5 % vs 11,1 %, p=0,001). Les infections génito-urinaires (27,7 % vs 17,6 % ; p=0,059), l’hypertension artérielle (23,4 % vs 15,8 % ; p=0,047), la pré-éclampsie (8,5 % vs 3,9 % ; p=0,009), l’anémie isolée (36,2 % vs 15,0 % ; p=0,0001) et l’hémorragie isolée (10,6 % vs 4,7 % ; p=0,015) étaient retrouvées comme facteurs étiologiques significatifs. [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.91-95 Titre : Prématurité : épidémiologie et facteurs étiologiques dans une maternité de Dakar (Sénégal) Type de document : revue Auteurs : Aïchata Sow, Auteur ; Madiagne Gueye, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.91-95 Langues : Français Mots-clés : Dakar étiologie maternité prématurité Sénégal Résumé : La prématurité est la première cause de mortalité et de morbidité néonatale avec plus d’un million de décès annuel dans le monde. Plusieurs facteurs étiologiques contribuent à sa survenue nécessitant leur identification pour une prévention efficace. L’objectif de ce travail était d’étudier les aspects épidémiologiques et les facteurs étiologiques de la prématurité dans la maternité de l’hôpital général Grand YOFF (HOGGY) de Dakar sur la période du 1er janvier au 31 août 2013. Il s’agissait d’une étude prospective incluant tous les nouveau-nés vivants et viables. Ils étaient divisés en deux groupes : les prématurés (22 SA–36 SA+6 jours) et les nouveau-nés à terme (plus de 37 SA). Durant l’étude, 501 nouveau-nés ont été colligés dont 360 nouveau-nés à terme (71,9 %) et 141 prématurés (28,1 %). Le sex-ratio était de 1,07. Parmi les prématurés, 48,2 % présentaient une hypotrophie. On notait 13 cas de décès chez les prématurés, soit 9,22 % dont les causes étaient la prématurité 4,96 %, l’asphyxie 2,12 %, l’hémorragie 2,12 % et les infections néonatales 0,70 %. La survenue de la prématurité était significativement liée au niveau d’instruction, l’origine géographique et à l’indice de masse corporelle. Le nombre de consultations prénatales inférieur à trois était lié à un risque de prématurité (25,5 % vs 11,1 %, p=0,001). Les infections génito-urinaires (27,7 % vs 17,6 % ; p=0,059), l’hypertension artérielle (23,4 % vs 15,8 % ; p=0,047), la pré-éclampsie (8,5 % vs 3,9 % ; p=0,009), l’anémie isolée (36,2 % vs 15,0 % ; p=0,0001) et l’hémorragie isolée (10,6 % vs 4,7 % ; p=0,015) étaient retrouvées comme facteurs étiologiques significatifs.

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Un cas d’hématome épidural détecté en fin d’intervention d’une scoliose idiopathique de l’adolescent / T. Picart in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.31 n°2 (mai 2018)

ISBD Public [article] Un cas d’hématome épidural détecté en fin d’intervention d’une scoliose idiopathique de l’adolescent [revue] / T. Picart, Auteur ; T. Dudoit, Auteur ; O. Etard, Auteur . - 2018 . - p.96-100. Langues : Français in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.96-100 Mots-clés : adolescent arthrodèse hématome épidural scoliose [article]  in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.31 n°2 (mai 2018) . - p.96-100 Titre : Un cas d’hématome épidural détecté en fin d’intervention d’une scoliose idiopathique de l’adolescent Type de document : revue Auteurs : T. Picart, Auteur ; T. Dudoit, Auteur ; O. Etard, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.96-100 Langues : Français Mots-clés : adolescent arthrodèse hématome épidural scoliose

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